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Tag 38 sur Series of Interest Nonew10Sujet: Script VF - 1X02 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb
carine79

Réponses: 1
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Rechercher dans: Saison 1   Tag 38 sur Series of Interest I_icon_minipostSujet: Script VF - 1X02 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb    Tag 38 sur Series of Interest I_icon_minitimeVen 17 Juil - 9:07
GÉNÉRIQUE
 
Harold (En voix-off) : On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret, une Machine. Elle vous espionne, jour et nuit, sans relâche. Je le sais parce que c'est moi qui l'ait créée. Je l'avais conçue pour prévenir des actes de terrorismes, mais la Machine voit tout, tous les crimes impliquant des citoyens ordinaires, tels que vous. Des crimes dont le gouvernement se désintéresse. Alors, j'ai décidé d'agir à sa place, mais il me fallait un associé, quelqu'un capable d'intervenir sur le terrain. Traqués par les autorités, nous travaillons dans l'ombre. Jamais vous ne nous trouverez. Mais victimes ou criminels, si votre numéro apparaît, nous, nous vous trouverons.
 
SÉQUENCES - SKLN - SW - 3 - 22 heures 16 minutes 04 secondes - 22 heures 16 minutes 08 secondes ; ATM - AR403 - 48/BROADWAY - 22 heures 16 minutes 41 secondes
 
Une image d'une caméra de vidéosurveillance montre l'accueil au 30ème étage avec un réceptionniste ainsi qu'un homme avec un bouquet de fleurs, appelant l'ascenseur et semble impatient. Il est 22 heures 17 minutes.
 
Bill (En reconnaissance vocale ; au téléphone) : Oui, c'est moi. Oui, excuse-moi. J'étais coincé au bureau. On pourrait peut-être aller manger un morceau. (Il prend l'ascenseur de droite qui est en train de s'ouvrir, avec deux hommes en costume à l'intérieur.) Même endroit que d'habitude, d'accord ?
 
INTÉRIEUR - Dans un ascenseur - Soirée
 
Bill : (Au téléphone) Je suis là dans une demi-heure. (Il raccroche son portable, tape le numéro de l'étage lorsque John arrive.)
Reese : Attendez ! (Il se retourne.) Il était moins une.
 
Les portes de l'ascenseur se referment.
 
Reese : C'est pour votre femme ?
Bill : Euh, oui.
Reese : Je crois que ses fleurs préférées étaient les roses.
Bill : Je vous demande pardon. Je vous connais ?
Reese : Non, mais moi, je vous connais Bill. (Hors cadre.) Petit conseil d'ordre matrimonial : on ne quitte pas sa femme comme ça, il faut réfléchir avant. (Les deux hommes derrière John et Bill se regardent, se doutant de quelque chose.)
Bill : Vous travaillez ici ? Parce que, si c'est le cas, vous êtes viré. (John parais sûr de lui.)
Reese : Non, je travaille plutôt en libéral. Vous ne m'avez pas l'air d'un type foncièrement méchant. (Bill le regarde, étonné.) Vous et votre femme, vous passez une mauvaise passe. (Il jette un œil derrière vers l'un des deux hommes.) Ça arrive, certaines femmes se contenteraient de partir (Bill le dévisage), mais d'autres seraient capables d'engager deux tueurs, (hors cadre ; l'un des deux hommes regarde vers John) qui débarqueraient sur votre lieu de travail, casseraient les caméras de surveillance, (Bill, surpris, tourne la tête derrière lui et retour sur John.) pour faire croire à un vol qui a mal tourné.
 
Tout le monde se regarde, John, souriant se retourne et voit les deux hommes sortir leurs armes et une bagarre commence. De l'extérieur, quatre coups de feu se font entendre ainsi que l'ascenseur dont les portes, s'ouvrant, ont trois impacts de balle. Les deux hommes se trouvent au sol et gémissent ; Bill voit partir John, ne comprenant rien à ce qui se passe.
 
Reese : (L'arme à la main.) Je serais vous, j’appellerais la police et un avocat spécialisé dans le divorce.
 
SÉQUENCES : NW - Parking - Cage d'escalier - 22 heures 32 minutes 47 secondes ; mosaïque d'imagesAngle Nord-Est de la 51ème et de la 9ème - Caméra 02 - 22 heures 39 minutes 42 secondes - 22 heures 39 minutes 44
 
A l'angle Sud-Est de la 47ème et 7ème, vue de la caméra n°6, un homme au milieu de la foule est aperçu en gros plan avec un carré blanc autour de lui, il est 22 heures 43. Une autre vue (caméra n°1) de l'homme à l'angle de la 45ème et de la 7ème, se rend vers une cabine téléphonique (VE783P1) qui se met à sonner. Il décroche, il est 22 heures 45.
 
Commanditaire (En voix-off, au téléphone) : J'ai un boulot pour toi. Top priorité. (Plan large et retour à la cabine) Trois fois le tarif habituel.
Homme : C'est quoi le nom ?
 
SÉQUENCES : CNTPKW #38 - Images accélérées de la nuit au levée du soleil ; Angle Sud-Ouest de Liberty et Nassau - Caméra n°2 - 8 heures 23 minutes 11 secondes ; Angle Nord-Ouest de Broadway et "Cortlandt" - Caméra n°5 - 8 heures 24 minutes 23 secondes
 
EXTÉRIEUR - Dans une rue - Journée
 
John se trouve dans la rue, avec des lunettes de soleil, un portable à la main et appelle Harold, de dos, prenant le sien dans la poche de sa veste. Il répond alors qu'un homme appelle un taxi.
 
Finch : Oui.
Reese : (Au téléphone.) Bonjour Finch. (John se trouve sur le trottoir, près d'un lampadaire, faisant face à Harold qui ne le voit pas.) Tout s'est bien passé, hier soir. (Au téléphone.) Les deux tueurs s’apprêtaient à abattre notre homme, comme vous l'aviez prévu. J'ai fait ce qu'il fallait.
Finch : Bon. Vous devriez souffler un peu.
Reese : Non. J'ai quelques recherches à effectuer.
Finch : (Au téléphone.) Vous me direz où elles vous ont mené. Il faudra que je vous vois, plus tard.
Reese : Votre Machine a sorti un nouveau numéro ? Un futur assassin ou bien une malheureuse victime.(John, voyant Harold prendre l'angle du trottoir, commence à marcher dans sa direction.)
Finch : (Au téléphone.) Il s'agit d'un cas un peu particulier.
 
John, toujours le téléphone à l'oreille, se trouve au même endroit qu'Harold mais il n'y a plus personne. Il regarde autour de lui, ne sachant pas par où il est passé.
 
Finch : (Au téléphone.) Je vous dirais par où commencer. Oh ! Et pendant que j'y suis, c'est moi qui décide quand nous devons nous rencontrer. Pas vous. (John raccroche.)
 
INTÉRIEUR - Parking - Journée
 
Le lieutenant Carter arrive sur les lieux où les deux hommes ont été blessés par John. L'inspecteur de police Terney est déjà sur place.
 
Terney : (Un dossier à la main.) Qu'est-ce que tu fais là, Carter ? Ce n'est pas pour la criminelle, il n'y a pas de macchabée pour toi. Rien que deux gus qui ne pourront plus jamais jouer au golf.
Carter : Oui, je sais. Mais c'est lié à une de mes enquêtes en cours. Qu'est-ce que tu sais du tireur ?
Terney : Un type plein aux as s'apprêtait à entrer chez lui quand deux hommes ont tenté de le buter, et c'est à ce moment-là que cet autre monsieur est (il lève la main pour faire le signe des guillemets) je cite "intervenu".
Carter : (Elle n'est pas vraiment surprise de ce qu'il lui dit.) Laisse-moi deviner : un type en costume. (Elle regarde à l'intérieur de l'ascenseur, les mains sur les hanches, soupirant.)
 
EXTÉRIEUR - Dans un cimetière - Journée
 
Harold et John sont en train de marcher dans les allées d'un cimetière.
 
Finch : Alors, qu'ont donné vos recherches ?
Reese : Elles ne m'ont mené nulle part.
Finch : Le numéro qui est sorti est d'une dénommée Theresa Withaker, une jeune fille de quinze ans. Une gamine sans histoires, à part quelques bêtises d'ado.
Reese : Ah oui ? Si la Machine a sorti son numéro, il faut croire que tout ne va pas si bien. Où est-ce que je peux la trouver ? (Harold se retourne vers John.)
Finch : Comme je vous l'ai dit au téléphone, il s'agit d'un cas un peu particulier, parce que Theresa Withaker est censée se trouver ici.
 
John enlève ses lunettes de soleil. Lui et Harold se trouvent devant une pierre tombale où il est inscrit le nom "Whitaker" ainsi que tous que les prénoms des membres de la famille.
 
Finch : Elle a été assassinée en même temps que toute sa famille. (Regardant John.) Il y a de ça deux ans.
 
Un plan élargi du cimetière et de la ville de New York est montré.
 
Reese (En voix-off) : Alors, on court après un fantôme ?
 
 
FLASH-BACK
 
L'entrepôt où se trouvent les serveurs est visible, un zoom est fait sur une lumière rouge clignotante et des voix se font entendre. Une mosaïque d'images apparaît avec une bannière contenant les années de 2011 à 2001. Les années 2009 et 2002 sont mises en évidence.
 
SÉQUENCES - IFT - Cour - Zone 2 - #02 - 05 heures 34 minutes 21 secondes - 05 heures 34 minutes 25 secondes ; IFT - 36ème étage - #08 - 05 heures 37 minutes 35 secondes - 05 heures 37 minutes 43 secondes - 10 juin 2002
 
Nous sommes en 2002. Nathan Ingram arrive par la cour dans sa société de l'IFT (Ingram Fondation Technologie), prend l'ascenseur, arrive au 36ème étage et traverse un couloir afin de retrouver Harold Finch. Celui-ci est en train de faire de l'exercice en courant sur un tapis roulant. Il voit Nathan et s'arrête.
 
Ingram : Ah ah ! J'étais sûr tu serais encore là. Je ne suis pas venu les mains vides. Whisky et une nouvelle récompense pour nous deux. (Il montre un trophée dans sa main droite et la fait bouger.)
 
Harold quitte le tapis roulant et s'essuie le visage avec une serviette.
 
Ingram : Je sais quel est notre accord : je bichonne le conseil d'administration, j'encaisse la moitié du fric, je ramasse les récompenses et toi, tu fais le plus gros du boulot.
 
Nathan et Harold, qui reprend ses lunettes, s'approchent d'un bureau où sont posés un clavier et un ordinateur. Harold tape sur une touche, une image, contenant des carrés noirs, sur l'écran devant eux apparaît.
 
Ingram : Mais franchement, je commence à trouver ça épuisant. (Il lève une petite bouteille et verse le contenu dans un verre.)
Finch : (Il se sèche les mains et le cou.) Cette répartition des tâches me convient parfaitement. Surtout, ne change rien. (Nathan se met à rigoler.) C'est pourquoi, cette fois ?
Ingram : (Prenant le verre et le trophée.) Celui-là, c'est "Pour service rendu à l'humanité". Je ne leur ai pas dit qu'on avait viré la moitié des salariés pour que le cauchemar d'Orwell devienne enfin réalité.
Finch : Je croyais que tu voulais changer les choses, que tu te sentais redevable.
 
Nathan Ingram regarde, en buvant son Whisky, des câbles qui sont positionnés et proches d'un écran d'ordinateur.
 
Ingram : C'est le flux de données gouvernementales ?
Finch : (reniflant.) En lien direct avec le siège de la NSA. Là-dedans, tu as chaque e-mail, chaque coup de téléphone, chaque... image de toutes les caméras.
Ingram : Du pays entier ?
Finch : Non, là, tu n'as que New York. J'attaque par le B. A. BA. Je lui apprends à pister les personnes (Un écran avec une image des quartiers de New York ainsi que des informations qui défilent, apparaît.)grâce aux données de localisation GSM, à la reconnaissance faciale. Bientôt, je vais pouvoir m'attaquer au problème suivant.
Ingram : Et c'est quoi ce problème ?
Finch : Le tri des données. Les terroristes ne se promènent pas avec une pancarte dans le dos. Il faut apprendre à la Machine à fouiller les e-mails, à mettre... les portables sur écoute ou pointer les opérations bancaires. Savoir repérer ceux qui ont quelque chose à dissimuler. (Hors cadre.) Les gens qui mènent une double vie. (Sur l'écran est montré un plan de New York avec des points noirs, en mouvement.)
Ingram : Des gens comme toi, tu veux dire. (Il se met à rire et Harold lui jette un regard.) Ça prendra combien de temps ?
Finch : Quatre ans, peut-être cinq.
 
Harold s'approche d'un ordinateur, bouge la chaise roulante, scrute toutes les informations sur l'écran et tapant sur le clavier. Nathan s'approche de l'image où se trouve la carte des rues de New York.
 
Ingram : (Pointant vers l'écran.) Alors ça, c'est...
Finch : C'est tout le monde.
 
Un gros plan sur un carré noir avec un triangle rouge clignotant apparaît, suivi d'une mosaïque d'images et de la bannière des années, passant de 2005 à 2011.
 
SÉQUENCE - Quai 12 - Caméra n°5 - 09 heures 02 minutes 05 secondes - 22 septembre 2011
 
EXTÉRIEUR - Près d'un port de plaisance - Matin
 
Harold observe, pensif, les bateaux à quai. Il tient un dossier à la main et il est rejoint par John.
 
Reese : Très joli coin.
Finch : (Donnant le dossier à John.) C'est ici que Theresa Whitaker a été vue en vie pour la dernière fois. Il y a deux ans son père, Grant, a emmené toute la famille passer le week-end en mer. Ils ne sont jamais revenus.
Reese : (Regardant les informations sur la famille Whitaker.) Le père, il était promotteur immobilier.
Finch : Le marché s'est effondré, il s'est retrouvé endetter sur quatorze propriétés. Selon la police, il a abattu sa femme et ses enfants avant de retourner l'arme contre lui.
Reese : Il y est écrit qu'on a retrouvé les corps.
Finch : Uniquement ceux des parents et du fils de 18 ans. En revanche, jamais on a retrouvé le corps de Theresa.
Reese : (Regardant vers Harold.) Ouais, présumée morte. Ça semble plutôt plausible, non.
Finch : Comme toujours, la police n'a vu que ce qu'elle avait envie de voir. La Machine, elle, voit pratiquement tout. Si son numéro est apparu, cette gamine est forcément en vie.
Reese : Alors, pourquoi est-ce qu'on ne l'a jamais revue ? Pourquoi est-ce qu'elle n'ait pas allé voir la police ou la famille ?
Harold : (Tournant sa tête ainsi que son cou bloqué vers John.) Je n'en sais rien. Mais si elle est bien vivante, comme la Machine l'affirme, ce ne sera pas pour longtemps. (Reprenant sa position initiale.) Il faut la retrouver et vite.
Reese : Le rapport de police nous sera utile. Je vais rendre visite à mon petit camarade. (John s'en va en laissant Harold.)
 
INTÉRIEUR - Couloir du poste de police - Journée
 
Lionel sort par la porte d'une pièce, regarde autour de lui en remettant sa cravate. John l'empoigne par l'épaule, l'emmène dans les toilettes et le pousse contre le mur.
 
Reese : Salut Lionel.
Fusco : (Agacé.) Encore toi ! Ça devient lourd. Comment tu as fait pour entrer ?
Reese : (Montrant l'insigne de Stills, cachée dans la poche intérieure de sa veste.) Souvenir de ton ami Stills, celui que j'ai descendu avec ton arme et que tu as enterré à Oyster Bay. (Lionel souffle de dépit.) Il faut que tu me sortes un dossier.
Fusco : Ouais, et toi, tu vas faire disparaître le mien. J'ai les types de l'Inspection qui me lâche pas, un pas de travers, je me retrouve en taule, avec tous les cinglés que j'ai pus coffrer. (Se tapant le doigt contre la chemise.) Ils me prennent pour un pourri.
Reese : Je me contrefiche de tes ennuis, Lionel. Si on te prend pour un pourri, c'est parce que tu en es un. Theresa Withaker. Meurtre doublé d'un suicide, il y a deux ans, à Bowery Bay. Trouve-moi le dossier.
 
John quitte les toilettes et Lionel soupire.
 
SÉQUENCES - 2ème étage - Une rue - Caméra n°3 - 11 heures 16 minutes 11 secondes - 11 heures 16 minutes 13 secondes ; Angle Nord-Ouest, de la 35ème et de la 2ème - Caméra n°6 - 11 heures 16 minutes 25 secondes - 11 heures 16 minutes 27 secondes
 
INTÉRIEUR - À la bibliothèque - Journée
 
Un écran est montré avec un extrait vidéo d'une archive datant de 2009 concernant la mort des Whitaker. Derek et Elisabeth Whitaker, le frère et la belle-soeur, sont interviewés par une journaliste du site "News on 10".
 
Derek Whitaker : (Sous le choc.) Je n'aurais jamais cru qu'on en arriverait là.
Elisabeth Whitaker : (En pleurs.) On savait qu'ils avaient des, des problèmes financiers. Mais jamais, jamais je n'aurais pu croire qu'il... qu'il les tuerait.
 
Assis au poste de travail d'Harold, John regarde la vidéo, sa main sur son front.
 
Reese : Il ne les a pas tués. (Retour à la vidéo.)
Derek Whitaker : Si seulement il... il était venu me parler. J'aurais voulu pouvoir l'aider.
Reese : (tapant sur une touche du clavier pour arrêter la vidéo.) C'est l'oeuvre d'un professionnel.
 
Harold, se trouvant à côté de lui, fait le tour de la chaise pour scotcher l'article relatant le massacre, sur le panneau vitré.
 
Reese : Les brûlures de canon ont été faites après coups, pour imiter les tirs à bout portant, comme si c'était le père. Et les flics sont passés à côté.
Finch : Et vous, comment le savez-vous ?
Reese : C'est comme ça que j'aurais procédé.
 
Harold lève un sourcil et scotche aussi une photo de Theresa Whitaker.
 
Finch : Alors, pourquoi le tireur n'a pas aussi abattu Theresa ?
Reese : (Il remet les feuilles en place en claquant la tranche du dossier sur la table.) Ça, je ne me l'explique pas, ni pourquoi depuis elle n'a pas donné signe de vie. (Il repose le dossier sur un coin de table.)
Finch : J'ai trouvé l'adresse d'un oncle et d'une tante, qui habitent à Brooklyn Heights. Si Whitaker avait des ennuis, ils nous diront peut-être lesquels.
Reese : (se lève et prend le dossier.) J'ai la piste d'un jeune qui connaissait Theresa. Peut-être que lui, il sait où elle est. (Il fait le tour de la chaise, s'approche d'Harold et lui tend le dossier.) Tenez, c'est le dossier de Theresa chez les mineurs. (Harold ouvre le dossier, les fiches de Theresa et du jeune garçon sont montrées.) Elle a été arrêtée pour vandalisme avec un garçon un peu plus vieux, Deacon Page. Il a été interpellé à de nombreuses reprises depuis, pour vols et port d'armes prohibées.
Finch : A défaut d'aller voir sa famille, elle est peut-être allée voir des amis.
Reese : Le problème, c'est qu'on ne sait pas combien de temps il lui reste à vivre. Je vais avoir besoin de votre aide, Finch. (Harold le regarde.)
 
SÉQUENCES - Port de plaisance - Caméra du pont d - 15 heures 34 minutes 34 secondes ; Caméra du métro - Tillary/Gold - 15 heures 47 minutes 59 secondes.
 
Harold arrive devant la porte de la maison de Darek et Elisabeth Whitaker et sonne. Elisabeth arrive pour voir qui c'est.
 
Finch : Bonjour, madame. Je suis Arthur Bellinger, du groupe d'assurance Liberty State. Êtes-vous Elisabeth Withaker ?
Elisabeth : Oui.
Finch : Une assurance-vie a été souscrite auprès de notre compagnie par Mr Grant Whitaker. (Elisabeth ouvre la porte séparatrice.) Vous êtes bien ses plus proches parents, vous et votre mari Derek ?
Elisabeth : Ex-mari. Nous avons divorcé il y a un an. Je vous en prie.
Finch : Merci.
 
INTÉRIEUR - Maison des Whitaker - Journée
 
Harold et Elisabeth sont autour d'une table. Il a le dossier et tient un stylo afin d'annoter des informations qu'elle lui donne.
 
Finch : Le traitement du dossier peut prendre un certain temps, dans ce genre de situation, impliquant une longue enquête judiciaire.
Elisabeth : Uh, je suis même étonnée qu'à l'époque, mon beau-frère ait pu continuer à verser de l'argent. Je dois comprendre qu'on a renoncé à rechercher Theresa ? Enfin, son corps je veux dire.
Finch : (S'arrêtant de noter.) La police a estimé que le dossier était clos. Vous n'êtes pas de leur avis ?
Elisabeth : Ce n'est pas ça, seulement... Nous avons enterré un cercueil vide. Ils... Ils ont dit que... son corps a dû être emporté par le courant. Alors, au fond de moi, j'espérais que, peut-être un jour, le... le courant la ramènerait. (Submergée par l'émotion, elle souffle.) Je vous demande pardon mais tout ça(elle se lève) remue des souvenirs extrêmement pénibles.
Finch : Non, non, je vous en prie.
Elisabeth : (Prenant le cadre posé dans une vitrine.) Derek ne s'en est jamais remis. (Revenant s'asseoir à la table.) Parfois les gens sortent de votre vie, comme ça.
Finch : Vous ne savez pas comment je pourrais entrer en contact avec lui ?
Elisabeth : Nous nous sommes à peine adresser la parole depuis notre séparation. J'ai un vieux numéro de portable (Harold regarde vers le dossier et écrit.) Euh... Vous aurez de la chance si vous arrivez à le joindre. Euh... Et n'oubliez pas de préciser qu'il y a de l'argent à la clé.
Finch : Je dois vous poser la question : avez-vous des enfants ?
Elisabeth : Non, pas d'enfants. (Regardant la photo.) Et je n'ai plus ni neveu, ni nièce. (Montrant la photo, où figure la famille, à Harold.) Theresa, c'était du vif-argent, je l'aimais comme ma propre fille. (Harold sourit.) Malheureusement, on ne choisit pas sa famille. (Harold a un regard pensif.)
 
INTÉRIEUR - Bureau de Carter - Journée
 
Carter : (Regardant les dossiers des affaires impliquant John, dépitée.) Hallucinant ! J'ai huit dossiers dans lesquels figurent les empreintes de ce type, et la moitié de ces dossiers a été censurée.
Kane : (Se déplaçant de son bureau à celui de Carter.) En voilant un autre. Personnes disparues en 2007, encore ton clodo bagarreur.
Carter : Devenu entre temps, un tueur en costard. (Elle ouvre un dossier vide, simplement une feuille avec mention "Dossier expurgé."
Kane : C'est peut-être un ancien diplomate qui a pété les plombs.
Carter : (Dégoûtée.) Ils ont carrément tout viré.
 
Kane : C'est ça, les fédéraux. Laisse tomber Carter, tu ne peux pas lutter. (Il tape deux fois sur la table et s'en va, sous le regard de Carter.)
 
EXTÉRIEUR - Dans la rue - Journée
 
John est en train de marcher, ayant le portable à l'oreille, dans la main droite, communiquant avec Harold. Il a également une photo du jeune dans l'autre main.
 
Finch (En voix-off.) : Sa tante est toujours en vie. L'oncle a disparu de la circulation.
Reese : Disparu ? Vous avez aucun moyen de le joindre ?
 
INTÉRIEUR - Dans la bibliothèque - Journée
 
Harold est à son poste de travail, debout, avec un casque téléphonique sans fil sur les oreilles.
 
Finch : Son téléphone ne répond pas et il est parti sans laisser...
 
EXTÉRIEUR - Dans un parc - Journée
 
Finch (En voix-off) : d'adresse. Où êtes-vous ?
Reese : (Continuant de marcher.) : J'ai dû faire tous les skate-parks de la ville, je n'ai rien vu. A part des p'tits caïds sur roulettes.
Finch (En voix-off.) : Aucun signe de Theresa ?
 
John regarde la photo représentant Deacon Page et lève la tête et voit un jeune homme lui ressemblant accompagné d'une fille assis sur un mur de pierre, proche d'une fontaine.
 
Reese : Non. Mais je viens de trouver notre jeune délinquant.
 
John coupe la communication, range la photo dans la poche et s'approche du jeune homme. Une vue de la caméra du parc montrant la scène avec John et Deacon (respectivement avec un carré jaune et un carré blanc) apparaît. Il est 16 heures 58 minutes.
Deacon roule en skate lorsque John fait tomber volontairement son portable.
 
Deacon : Hey ! Qu'est-ce que... tu me fais quoi, là ?
Reese : (Ramassant le téléphone et montrant l'insigne.) Les skates sont interdits, c'est 200 dollars d'amende. C'était quand la dernière que tu as vu cette fille, Deacon ? (Il montre la photo de Theresa.)
Deacon : C'est quoi, ça ?  De l'humour noir ? Mauvaise nouvelle, chef. Son père a envoyé gicler toute la famille. Elle est morte.
Reese : Ou peut-être pas. Peut-être même que tu l'as vue, chef !
 
SÉQUENCE : WASHINGTON - SQ - PK - Caméra n°5 - 17 heures 01 minutes 43 secondes - 17 heures 01 minutes 46 secondes
 
Deacon (En reconnaissance vocale.) : Elle est morte, je te dis. Rendez-moi mon téléphone.
 
EXTÉRIEUR - Dans un parc - Journée
 
Avant de rendre le téléphone à Deacon, il en profite pour effectuer un appairage forcé, réussi, avec le sien. Deacon s'en va sous le regard de John. Il rejoint un autre jeune qui lui rend son skate.
 
Jeune : Un problème ? (Il s'en va en s'indignant.) C'est qui lui ? James Bond ?
 
John reçoit, sur son portable, un message de Deacon envoyé à Theresa : "Coincé par les flics. Tire-toi." Il regarde autour de lui pour localiser le portable de Theresa, et ainsi la retrouver. Il l'aperçoit, se trouvant proche d'un distributeur, avec une capuche sur la tête. Il commence à marcher vers elle, récupérant ses affaires. La caméra du distributeur la voit et un carré blanc se trouve autour de Theresa, s'enfuyant. Il est 17 heures 03 minutes.
 
EXTÉRIEUR - Dans le parc - Journée
 
Theresa utilise son skate-board afin d'aller plus vite mais elle est prise en chasse par John. La course de Theresa est vue par la caméra numéro 2 à l'angle Nord-Est de l'Université et Haverly à 17 heures 04 minutes. Elle manque de peu de bousculer un passant qui s'insurge. Elle continue de rouler sur son skate, avec John sur ses talons, obligeant les gens à s'écarter.
 
Reese : Theresa !
 
Ayant entendu l'appel de John, elle sort un cutter. John l'attrape par le bras.
 
Reese : Attend !
 
Theresa se retourne et blesse John au poignet. Elle en profite pour prendre son skate et s'enfuit en courant. Il se plaint mais se remet à courir derrière elle, mais il est stoppé dans son élan par une camionnette.
 
Chauffeur : Eh ! Regarde où tu vas !
 
Dépité, il regarde et secoue sa main blessée où il saigne entre le pouce et l'index.
 
EXTÉRIEUR - Dans une rue - Matinée
 
Harold marche, en boitant, au coeur de la foule et regarde sur sa droite. Il a une mallette dans la main droite. Il monte les marches, avec difficulté, vers l'entrée d'une entreprise où des personnes s'y trouvent déjà.
 
INTÉRIEUR - Dans les locaux de l'IFT - Matinée
 
Harold traverse un couloir, regarde sa montre, arrive vers les bureaux et rencontre une employée, qui lui sourit.
 
Sasha : Bonjour, Harold.
Finch : Bonjour.
 
Harold sourit et va vers son poste de travail lorsqu'il rencontre son "supérieur".
 
Dave : Salut, Harold. Il faut que je te dise, le codage sur lequel tu travailles, il nous le faut... un peu plus tôt que ce qui avait été dit. Il va falloir mettre le turbo.
Harold : (Répondant à voix basse.) Je vais voir ce que je peux faire, Dave.
 
Dave s'en va et Harold arrive à son poste de travail lorsqu'il se trouve nez-à-nez avec John qui est assis.
 
Reese : Je ne m'attendais pas tout à fait à ça.
 
Harold, étonné, se retourne.
 
Reese : Meilleur ingénieur logiciel du mois, je suis impressionné. Mais, ça ne suffit pas à expliquer les gardes du corps, les fonds illimités.
Finch : Non, non, c'est certain. (Il s'asseoit.)
Reese : J'ai fait quelques recherches aux Ressources Humaines : ça fait apparemment 17 ans que vous travaillez ici et rien que deux promotions, en 17 ans. (S'approchant d'Harold.) Alors, dites-moi, combien de personnes savent que la société entière vous appartient ?
Finch : Aucune. La meilleure manière de se cacher, comme vous devez le savoir Mr Reese, c'est de se montrer au grand jour.
Reese : Alors, si je me mettais à parler trop fort, à dire des choses gênantes ? (en souriant.)
Finch : Il pourrait y avoir un remaniement complet du service, certains seraient réaffectés, d'autres promus, (regardant vers Dave.) d'autres seraient virés.
Reese : (Hors cadre.) Alors, je vais faire vite. (Continuant de sourire.) La bonne nouvelle, c'est que la gamine est en vie et, euh, (montrant sa main blessée et bandée) en pleine forme. Elle a l'air plutôt d'un naturel méfiant. Elle a filé et je l'ai perdue. (Prend un boîtier à la main et le donne à Harold.) Mais j'ai découvert comme elle a réussi à survivre depuis tout ce temps. Elle l'a laissé sur un distributeur de billets.
Finch : (Regardant le boîtier.) C'est un skimmer. Il récupère le code ainsi que le numéro des cartes. (Il ouvre la mallette et le met à l'intérieur.) Si elle tente de les revendre sur le net, je devrais parvenir à la localiser.
Reese : D'ici là, il va falloir également qu'on trouve qui a tué sa famille et pourquoi.
Finch : Son oncle se cache, poursuivi par une dizaine de créanciers mais je le trouverai. Je vais aussi regarder, de manière plus attentive, les finances de Grant Whitaker.
Reese : Très bien. Et puisque c'est un meurtre sur contrat, moi, je vais chercher le tueur.
Finch : (regardant vers John.) Comment ?
Reese : Je vais demander où je peux en trouver un.
 
John se lève et s'en va lorsque Sasha, l'émployée qui a salué Harold, vient le voir. Il commence à travailler comme si de rien était.
 
Sasha : (souriante.) Dites-moi, Harold, c'était qui votre ami ?
 
Ils regardent vers le couloir d'où est parti John.
 
EXTÉRIEUR - Dans une rue - Journée
 
Une voiture tourne à gauche, près d'un bar, lorsque John et Lionel sont dans la voiture de ce dernier.
 
INTÉRIEUR - Voiture de Lionel - Journée
 
Fusco : Le barman est un fournisseur. Il touche sa com' sur quasiment tous les contrats. Si cette famille a été exécutée, je pense qu'il connaît le tueur. (John commence à ouvrir la portière lorsque Lionel le stoppe.) Hey, il n'est pas vraiment du genre à causer aux visiteurs.
 
Reese : Lionel, tu te fais du souci pour moi ? Ça me touche vraiment.
 
EXTÉRIEUR - Dans une rue - Journée
 
Il quitte la voiture et une vue de la caméra n°3, au Nord-Est, entre la 46ème et la 21ème, montrant John, avec un carré jaune autour de lui, marchant vers le bar. Retour à la voiture, Lionel a l'air dubitatif sur ce qu'entreprend John. Celui-ci ouvre la porte d'entrée, Lionel patiente mais une autre porte s'ouvre, avec deux hommes jetant John sur les sacs poubelles, qui se plaint. L'un des deux hommes prend son arme et le vise.
 
Homme : Tu ne ramènes plus jamais ta gueule, ici, c'est clair ?
 
Lionel regarde la scène, sans bouger, se demandant ce qu'il se passe lorsque les deux hommes rentrent dans le bar.
 
Homme : Tire-toi !
 
John se relève, secoue son costume, regarde vers Lionel, ébahi. Il retourne dans le bar et une bagarre éclate. Des bruits de vitres brisées se font entendre, les hommes se défendent comme ils peuvent, des coups de feu retentissent et pour finir, un des hommes est jeté vers le store. Lionel voit sortir John du bar et ils sont tous par terre, gémissants. Il semble ne pas être étonné de la tournure des événements. Pendant ce temps, John revient vers la voiture.
 
INTÉRIEUR - Voiture de Lionel - Journée
 
Reese : J'ai un nom. (Faisant un signe.) On décolle.
 
INTÉRIEUR - Parloir d'une prison - Journée
 
Un bruit de buzzer du verrouillage de la grille se fait entendre et un détenu, avec à ses côtés un gardien, sort du parloir. John informe Harold de ce qu'il a trouvé.
 
Reese : (Au téléphone.) L'indic de Fusco m'a orienté vers un tueur qui s'appelle Solnick. Sauf que Solnick est déjà derrière les barreaux suite à un autre boulot.
 
INTERIEUR - Bureau d'Harold - IFT - Journée
 
Harold est au téléphone et écoute John.
 
Reese (En voix-off.) Alors, j'ai obtenu une visite.
 
INTÉRIEUR - Parloir - Journée
 
Une caméra montre Solnick, menotté et a un carré blanc autour de son visage. Il est accompagné par deux gardiens. Il est 14 heures 04 minutes.
 
Solnick (En reconnaissance vocale.) : C'est bon, c'est bon. Lâchez-moi.
 
L'un des deux gardiens amène Solnick, enlève ses menottes et le fait asseoir. Devant lui, se trouve un visiteur inattendu.
 
Solnick : (Frottant son poignet, prenant le téléphone et John en fait autant.) Vous êtes qui, vous ? Mon avocat m'a encore lâché ?
Reese : Non. (au téléphone.) Je voudrais que vous et moi, on parle de cette famille que vous avez exécutée (de dos.) et que vous avez jetée dans Bowery Bay. (Solnick se retourne, se demandant ce qui se passe.) Quoi ? Vous ne voulez pas parler de ce contrat-là ? (au téléphone.) Vous préférez qu'on parle d'une autre de vos victimes. (De dos.) Parce qu'il y a ce chef de gang qui est enfermé dans le même couloir que vous. (Au téléphone.) Il serait ravi de savoir quels ont été les derniers mots de son petit frère. (De dos.) Vous ne croyez pas ?
Solnick : (Au téléphone.) Ah, ah ! OK, je vois. (de dos.) Toi, tu es comme moi, (au téléphone.) tu es un collègue, un vrai méchant, sans morale, ni rien... Alors, je n'ai pas besoin t'expliquer ce qui est arrivé à ces braves gens, sur le bateau. Tu connais ça par cœur.
Reese : (Hors cadre.) Il y a une chose que je ne sais pas. (Au téléphone.) C'est pourquoi vous avez épargné la petite.
Solnick : (Au téléphone.) Jamais je ne l'aurais tuée. Ils avaient peut-être payé, je n'en avais rien à foutre.(De dos.) J'ai dit à la môme que si on apprenait (au téléphone) qu'elle était vivante, je finirai le travail. Jamais je ne tuerai une gosse (de dos.) L'autre jour, il y a une tête de nœud, ici, (au téléphone) qui m'a dit qu'il avait entendu la même chose, comme quoi je l'aurais tuée, je lui ai répondu pareil.
Reese : Qui vous a engagé ?
Solnick : (au téléphone.) Un type qui n'avait pas de nom. Je ne l'ai vu qu'une fois. Payé en cash. (relevant le combiné.) Et toi, qui t'as engagé ? (John retirant le téléphone.)
 
INTÉRIEUR - Bureau de Finch - IFT - Journée
 
Harold est assis à son bureau de travail et il est au téléphone avec John.
 
Reese (En voix-off.) : Les tueurs d'enfants ne sont pas vraiment appréciés des taulards. Pour Solnick, c'est une question d'honneur.
Finch : Peut-être que ceux qui l'ont engagé ont découvert que Theresa était vivante. Maintenant, ils font appel à quelqu'un d'autre pour terminer le travail.
 
Une vue d'une caméra de vidéosurveillance, qui se brouille, montre un couloir avec John marchant vers la sortie, un carré jaune autour de lui ainsi qu'un gardien et se croisent. Il est 14 heures 16 minutes.
 
Finch : (Hors-cadre.) Pourquoi avoir si peur d'une adolescente ?
Reese : (Au téléphone.) Aucune idée. Mais on a intérêt à le découvrir, vite.
 
INTÉRIEUR - Bureau de Finch - IFT - Journée
 
Finch : J'ai peut-être trouvé quelque chose. (Harold tape sur le clavier et des images, un plan ainsi qu'un bilan financier avec l'en-tête d'une société d'investissement Landale, apparaissent sur l'écran d'ordinateur.) Whitaker a toujours été l'unique investisseur sur tous ses projets immobiliers, sauf pour une opération : un partenariat sur plusieurs terrains avec une société d'investissement immobilière qui s'appelle Landale.
Reese : (Au téléphone.) Landale ? (Harold se retourne pour voir s'il n'est pas observé.) Envoyez-moi l'adresse. J'y vais tout de suite.
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