carine79
Control
Série préférée : Lucifer
 |  Sujet: Résumé détaillé - 2X05 - Crédit : carine79  Dim 25 Oct - 8:15 | |
| | Un extrait audio montre que deux candidats, à savoir Griffin et Walker, sont au coude-à-coude pour briguer la Mairie de New York. Mais une journaliste réputée, Maxine Angelis, travaillant au New York Journal, a des preuves concernant l’entourage de Griffin. En effet, l’expert financier est soupçonné d’avoir trafiqué les comptes de campagne. |  |
 | Maxine se rend justement chez le financier de Griffin, Hinks pour discuter de ce problème. Elle le menace en disant qu’elle n’a pas dit à sa femme qu’il est dans une chambre d’hôtel en train d’attendre une prostituée. Elle n’a pas pu voir personne de son bureau alors elle s’adresse directement à lui. Elle se présente comme Maxine Angelis du New York Journal. Il la menace à son tour en évoquant les lecteurs qui peuvent découvrir qu’elle obtient ses informations à coup de chantage. Elle lui rétorque qu’elle fait très bien son travail. Dans cinq jours, la ville de New York va élire son nouveau maire. Que le financement illégal des comptes de campagne l’intéresse vraiment. Il doit lui parler honnêtement et elle oubliera les circonstances particulières de la rencontre. |
| John scrute Maxine alors qu’il se trouve sur le toit en face. Il écoute la discussion lorsqu’elle évoque les cent mille dollars récoltés lors de la campagne. En prenant les photos, il voit la raison pour laquelle il est abonné aux gros titres. Harold explique que Maxine fait partie des espèces de journalistes menacés. S’ils doivent échapper aux blogueurs et autres réseaux sociaux, ils sont obligés d’être inventifs pour obtenir des scoops. Un bruit parasite leur entretien, c’est qu’Harold a commis une erreur d’acheter un jouet qui quine. Elle est au journal depuis six ans et elle a publié des articles sur les criminels les plus dangereux, le cartel, Elias, la DRH, elle s’est fait beaucoup d’ennemis redoutables. Peut-être qu’elle pourrait mourir à cause d’un article qu’elle va écrire. À travers le micro, elle dit qu’elle a les informations qu’elle souhaite et qu’elle remercie du temps accordé. Elle lui demande à transmettre ses amitiés à son épouse. Son patron lui téléphone pour lui dire que des tas d’autres policiers doivent travailler pour la DRH, elle a raison et que le FBI est en train d’en interpeller des dizaines. Elle arrive au bureau. | 
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 | Le FBI arrête des policiers, membres supposés de la DRH. Dans les locaux de la police, Joss dit à Lionel que c’est le FBI qui interpelle mais que c’est lui le responsable de ce coup de filet. Il demande de ne pas parler trop fort et dit que comme il n’est pas clean, John n’aura sans doute pas fait infiltrer la DRH. L’agent Donnelly est aussi sur les lieux. Lionel est content que les fédéraux ne lui soient pas encore tombés dessus. Elle rejoint Donnelly et lui dit que c’est un grand jour. Qu’elle soit tranquille, il n’a pas oublié l’homme au costume. Ils l’arrêteront dès que l’affaire de la DRH soit terminée. Elle est sur les rails puisque ils ont arrêté plus de soixante-dix policiers, il devrait se réjouir, mais il manque la tête pensante, le chef. Peut-être un flic est derrière tout ça ? Il n’est pas sûr que ça soit un policier mais il est sur une piste, si elle est payante, il connaîtra le nom du big boss. Le lieutenant Kane va vers lui et lui demande de lâcher l’affaire. La DRH a embêté beaucoup de truands, elle est liée à toutes les mafias de la région. Toutes ces personnes voudront la peau du patron de la DRH. Le policier qui l’aura, devra éviter de se faire tuer. Il s’en va et elle dit à Lionel que ça lui donne plus envie de l’avoir, ce qui est peut-être bizarre mais venant d’elle, pas vraiment. |
| Lionel téléphone à son fils pour qu’il ne prenne pas le bus car il vient le chercher. Il doit réfléchir au film qu’il veut voir. Il entre dans sa voiture et Simmons se trouve derrière lui. Lionel veut tout lui expliquer mais ce dernier l’arrête en disant qu’il risque de dire de grosses bêtises. Il l’a vu et lorsque les gars du FBI étaient là, il l’a regardé avec l’homme en costume donc John. Il s’est même demandé s’il n’a pas fait la bêtise de tout balancer pour les faire tomber. Mais jamais il ne serait stupide, Lionel répond par la négative, ce qui plaît à Simmons. La DRH est peut-être KO mais elle n’est pas morte. Son patron fait appel à ses relations pour sauver le sommet de la pyramide. Lionel demande pourquoi ils ont besoin de lui encore, c’est parce que le FBI continue de fouiner. D’après ses informations, le FBI serait sur une piste qui pourrait les faire plonger. Lui, le boss et probablement Lionel. Qu’est-ce qu’ils savent ? Simmons dit que c’est à lui de le dire. Sa coéquipière, donc Joss, fait copain-copain avec Donnelly, il va devoir faire en sorte ce que cherchent les fédéraux et le faire disparaître. S’il refuse, alors ils se reverront en prison. Comment réagira son fils s’il sait ce qu’il a fait ? Son ex épouse ne risque pas de le revoir après ce qu’il aura fait. C’est leur intérêt d’enterrer l’affaire. C’est qui son ami dans les moments difficiles ? Sa coéquipière qui est la première de sa classe ou Simmons ? Qu’il rende ce dernier service et s’il veut arrêter, il sera libre. Il s’en va en claquant la porte. | 
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 | Alonzo Quinn se trouve dans la rue et Maxine Angelis vient vers lui. Une discussion s’engage. Elle demande ce qu’il a fait sortir de son QG de campagne. Les hurlements de son patron et qu’elle lui a bien pourrie la journée. John est en train de les suivre à distance respectable. Il peut passer des moments difficiles alors qu’il accepte d’être en campagne avec quelqu’un comme Griffin qui est un escroc, il faut s’attendre à passer des moments difficiles. Il s’en remettra, les politiciens vont et viennent mais eux seront toujours là. Ce n’est pas l’année de Griffin puisque Walker est en tête qu’Alonzo ne trouvera rien sur lui pour sauver sa tête. Elle dit que plus ils sont sains à l’extérieur, plus ils sont pourris à l’intérieur, il le sait bien. Il est venu la mettre en garde. Griffin veut voir sa tête au bout d’une pique. Dans ce cas-là, qu’il prenne un ticket. |
| John et Harold ont entendu la conversation. Edward Griffin, un des suspects mais doute que ce soit le dernier. Harold est gêné par le jouet qu’il a donné. Il lui lance la balle de tennis que Balou ne va pas chercher. Il abandonne et retourne à son bureau en disant qu’il va bientôt avoir accès au cloud de Maxine. Il va pouvoir regarder les dossiers sur lesquels la journaliste travaille pour pouvoir déterminer qui pourrait vouloir la tuer. |  |
 | Maxine dit qu’ils ne tiennent pas le sujet car ce qu’il manque, c’est le boss non pas les dizaines de policiers arrêtés. Le FBI sait qu’ils ne l’ont pas arrêté. Alors, ils embarquent tout et n’importe qui en se disant que plus grand est le filet, plus il y a de chances pour qu’il soit dedans. Son patron veut bien qu’elle enquête sur le big boss mais il veut son nom et des preuves. John dit qu’elle veut trouver le chef de l’organisation. Elle devrait peut-être surveillé Simmons. Avec les documents que lui a donnés Lionel, Simmons est plutôt un lieutenant haut gradé. |
| Mais qui peut être le chef ? Mais en allant à son bureau, il s’aperçoit que quelqu’un appelle la journaliste. Numéro masqué, donc pas d’identité. L’homme dit qu’il ne peut pas lui dire qui il est mais qu’il a des informations sur le patron de la DRH. Il lui annonce que le patron de la DRH est Christopher Zambrano. Il l’arrête ce soir même. Elle demande qui il est et répond que c’est un ami. Zambrano est le fils d’un des parrains de la Mafia. Contrairement à son père, il ne semble pas mêlé à des affaires louches. Plus facile de permettre la liaison entre la Mafia et la police. Il dirige une entreprise d’import-export, idéal pour se mettre à la contrebande dont s’est livré la DRH. Maxine appelle un de ses contacts au FBI. |  |
 | C’est l’agent Clarke du FBI qui répond à l’appel. Elle lui rappelle la fois où il dirige une cargaison de méth et qu’elle n’a rien publié. Il ne sait pas comment la remercier, donc elle a trouvé un moyen. Elle demande ce qu’il sait sur l’enquête contre la DRH. Ça serait Christopher Zambrano qui chapeauterait toute l’organisation. Cela doit rester confidentiel mais il sait qu’il est dans le collimateur de Donnelly et lorsqu’il prépare les papiers pour les mises en examen, son nom revient souvent. Elle le remercie et ne le citera pas encore. Donc, elle semble tenir quelque chose de solide. Il faut enquêter sur Zambrano mais John a peur qu’elle les a pris de vitesse. |
| Sur les docks, Zambrano est avec deux hommes pour discuter de l’arrivage d’un manège de chevaux. Maxine arrive mais il lui demande de partir. John réussit à cloner le téléphone de Zambrano, donc a ses yeux et ses oreilles. Elle peut fouiller, elle ne trouvera que des meubles d’importation et un manège d’enfants qu’il vient d’acheter pour une œuvre de charité. Est-ce qu’on en parle dans les journaux ? Non, le fait qu’il s’appelle Zambrano fait de lui un possible membre de la Mafia. Elle lui dit que pour elle, il dirige la DRH. Qu’est-ce qu’il lui a dit ça ? Il sait très bien de quoi elle parle. Elle montre l’agent Donnelly qui lui aurait rendu visite. Il lui dit que c’est la première fois qu’il le voit mais ce n’est pas ce que le garde a vu car il a eu une altercation. Il est dirigeant d’une boîte d’import-export et se fait cuisiner par un agent qui enquête sur la DRH, comment il explique cela. Il lui dit de la fermer et si elle ne veut pas qu’il y ait de problème, qu’elle se mette à l’écart. John n’aime pas la tournure de l’entretien mais il ne peut pas car Maxine a un autre sujet de prédilection : la chasse à l’homme au costume. Ils sont deux fugitifs qui piratent des informations avec un système gouvernemental, la chose à éviter c’est de se montrer en pleine lumière. Il va devoir la protéger en secret pour qu’elle ne puisse pas savoir que l’homme en costume, c’est lui. Si Zambrano est aussi honnête, pourquoi il se met en colère. Il lui interdit de publier. Elle lui rétorque qu’une journaliste agressée par le chef présumé de la DRH, aux yeux des gens, ça ne risque pas de le trouver innocent. Il demande à son homme de main de la raccompagner jusqu’à la sortie. John se demande comment il va faire pour la surveiller lorsque cette dernière veut mettre sa photo en première page. | 
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 | Harold sait bien que la situation est délicate alors que John nettoie son arme. Il faut continuer à la protéger. Rien ne suppose sur les empreintes numériques que Zambrano est bien le chef de la DRH. Et d'autres criminels ont déjà réussi à les berner. Il ne veut pas qu'il continue à nettoyer son arme mais il lui rétorque qu'il l'a fait dans le parc, mais les gens l'ont regardé bizarrement. Admettons que le chef de la DRH, c'est bien Zambrano et si elle écrit un article sur lui, il va sûrement la faire abattre. Et John aura du mal à le stopper sans que Maxine ne le voit à l'œuvre. Si John sort de l'ombre, qu'est-ce qu'il se passera ? Elle saura aussitôt qu'il sera l'homme en costume, il faut trouver un moyen de le cacher en pleine lumière. Du coup, il vaut mieux des renforts. |
| Joss a entendu parler de Maxine qui est sur de grosses affaires. Comment vont faire John et Harold avec la journaliste alors qu'ils sont obsédés par l'anonymat. Il gardera ses distances. Il a envoyé une autre photo, Christopher Zambrano, qu'il donne à Lionel. Maxine pense que c'est lui le chef de la DRH. Il donc aussi pourri que son père. Regardant la tête de Lionel, il lui demande ce qu'il ne va pas et lui répond qu'il a dû manger quelque chose qui ne passe pas. Ce qui est sûr, être à la tête de la DRH, il ne faut pas être brouillon, si Zambrano veut tuer Maxine, il le fera de manière invisible. Jamais ils pourront faire le lien avec lui. John demande depuis la dernière fois qu'il a rencontré Simmons et c'est lorsqu'il l'a canardé pour le protéger. Il faut le trouver et le filer et s'il pose des problèmes, John s'en occupera. Joss va parler à Donnelly et voir si d'autres membres de la DRH ont été arrêtés. Et si la journaliste a des problèmes avant d'avoir trouvé le tireur, John appellera la police. | 
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 | Dans les locaux du New York Journal, Griffin fait une intervention à la télévision que les journalistes regardent dont Maxine. Il tente de se justifier après l'article paru sur lui. Il annonce que les fonds seront reversés à des œuvres caritatives. Et Walker s'exprime à son tour pour dire que le fait de dissimuler des preuves n'a jamais fait disparaître le crime. C'est ce que n'a pas compris son adversaire. Le patron de Maxine lui dit de regarder ce qu'elle a provoqué. Walker veut redonner à la ville le sens de l'honnêteté. Elle lui annonce qu'elle tient le chef de la DRH, Christopher Zambrano. John les scrute en étant sur le toit. Elle a quatre sources différentes : un appel anonyme, un gardien sur les docks, un agent du FBI qui connaît bien le dossier et Zambrano lui-même car il lui a crié dessus, s'il est honnête, il ne l'aurai pas fait. Donnelly a déjà fait la demande de mise en examen. Il lui dit de balancer l'information sur le site, ils attendent qu'il soit arrêté et ils imprimeront. Elle l'a fait. |
| Ça y est, l'information est lâchée mais elle n'est pas au bout de ses peines. Zambrano peut bien la faire exécuter par pure vengeance. Elle ne sera tranquille que quand il sera en prison. Impossible de la protéger à cette distance. Il faut se rapprocher d'elle mais Harold a tout prévu. Elle s'est inscrite à contrecœur à un site de rencontre. Il a utilisé un algorithme à rebours pour déterminer ce qui, selon elle, est l'homme idéal. Elle a une petite faiblesse pour les chiens. Harold lui a arrangé un rencard pour le soir même à vingt heures. Il tchatte avec elle toute la journée. Il lui demande ce qu'il vient de lui dire. | 
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 | John arrive en trombe avec une voiture de sport, ce qui fait dire à Harold qu'il comprend les boutons de manchette mais est-ce bien raisonnable la voiture. Il n'a qu'à se détendre, la voiture est volée. Maxine trouve belle la voiture et espère que ce n'est pas pour cacher autre chose. Il faut qu'il se rappelle, il s'appelle John Anderson, vice-président de Jenson Actuair. Il aime bien promener son chien, faire du kayak et il est fan d'Hitchcock. Maxine aime bien les intellos, ce qui est pratique pour cacher l'identité. Est-ce qu'il a mis les lunettes qu'il a trouvées. Il répond bien sûr. Une serveuse leur trouve une table. Il a téléphoné avant pour avoir une bouteille et lui demande si elle aime bien le champagne. Elle répond non puisqu'ils en ont parlé pendant leurs échanges. Harold lui a envoyé des notes, il demande s'il les a lues, ce qui n'est pas le cas. Elle veut savoir ce que c'est d'être un actuair. La plupart du temps, c'est de rester éveillé. Elle souhaite quelqu'un qui se plaît à son travail. Il faut renvoyer des renforts. Zoe arrive derrière lui et demande si ça va. Il la tenait en réserve. C'est de la psychologie sociale : une étude montre que les femmes sont attirées par des hommes qui aiment d'autres jolies femmes. John présente Zoe à Maxine qui demande comment ils se sont rencontrés. Ils ont passé deux très longues nuits ensemble l'année précédente. Maxine est étonnée qu'il soit sorti avec Zoe Morgan. Tous les journaux de la ville donneraient n'importe quoi pour avoir une interview d'elle. La psychologie sociale repose en fait sur un processus. Il ne peut pas aller plus loin car John a coupé la communication. Il lui demande sur quel sujet passionnant elle est en ce moment. Il va dire qu'elle est bizarre. Elle lui explique qu'il y a un bruit qui cours, un homme que la police a surnommé l'homme au costume. Personne ne connaît son visage ni son nom, elle n'est même pas sûr qu'il existe. C'est comme si il est un super héros sorti tout droit d'une BD. En cas de problème, subitement il apparaît. Personne ne sait qui il est, mais il a sauvé beaucoup de vies. Et qu'il a tiré dans les genoux de pas mal de monde. Ça doit être un type formidable mais une belle légende urbaine. Si elle le trouve, elle fera tout pour qu'il soit en une de tous les journaux et magazines que comptent les Etats-Unis. Il préfère mettre ses lunettes. Il lui demande des informations sur Christopher Zambrano. Elle ne risque rien d'écrire sur quelqu'un qui pourrait lui faire du tord. Ce sont les risques du métier. N'empêche, un week-end hors de New York ne peut pas faire de mal. Elle trouve gentille son offre de l'enlever pour le week-end mais elle refuse car cette vie, elle l'a choisie. Elle cherche ce qui est nécessaire d'écrire aux gens, ce que veulent faire à tout prix les puissants, elle fait en sorte que tout le monde l'apprenne. Cela mérite de prendre quelques risques. A une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. Harold comprend que c'est du George Orwell. Son téléphone se met à bipper et le portable de John aussi. D'un côté, c'est le patron de Maxine et de l'autre, c'est Joss qui lui explique que Christopher Zambrano n'a jamais été le chef de la DRH et qu'elle a fait une grosse erreur. Ni le chef, ni un suspect. Maintenant Zambrano est désormais la cible de tous les groupes mafieux. Il faut le retrouver mais il ne répond pas sur son portable. John paie l'addition et dit à Maxine qu'il a une urgence professionnelle mais pas aussi lourde que celle de Maxine. A cause d'elle, il risque de mourir, il faut le retrouver. |
| Ils vont vers les docks. Maxine y va toute seule alors que John a la position de Zambrano grâce à Harold. Les fédéraux arrivent mais à l'opposé de la situation de Zambrano. Elle tente de retrouver Christopher en criant. John arrive discrètement sur deux hommes qui voulaient s'en prendre à Maxine. Une bagarre éclate. Elle crie à l'aide mais il est trop tard, Zambrano est mort. |  |
 | Joss est en train d'interroger Maxine ainsi que John Anderson avec ce qu'il s'est passé avec Zambrano. Elle l'a découvert alors qu'ils lui ont tiré dessus. Elle est sous le choc et ne sait pas quoi dire. Être resté à distance, c'est comme ça qu'il fait mais c'est plus compliqué. Les tueurs ont été présents mais il les a mis KO. Ils sont du cartel des toreros. Une des nombreuses organisations qui veulent la tête de la DRH, sauf que ce n'est pas lui. Lionel passe son chemin. Ce n'est pas l'endroit idéal pour John, il ne peut pas la laisser seule et s'il peut l'emmener. Il reprend Maxine pour partir mais ils sont empêchés par l'agent Donnelly qui veut lui poser des questions sur la mort de Zambrano. |
| Maxine Angelis s'explique parce que le gardien des docks lui a dit qu'ils se sont disputés Donnelly et Zambrano. Elle parle de l'agent, mais il n'est informé de rien. Donnelly n'a pas envie de l'écouter tenter de se justifier de ce qu'elle a fait. Ce qu'il veut c'est de savoir qui est la personne qui lui a dit que Zambrano est le chef de la DRH. Un informateur anonyme, un homme, le numéro masqué. Elle trouve l'heure qui est de 11 heures 41 minutes. Donnelly l'entoure. Elle se demande si ce n'est pas le chef alors pourquoi toute cette scène. Il lui dit qu'elle se rend compte de la gravité de l'erreur. Ce n'est pas le chef mais juste un témoin qui va faire tomber le chef justement. Le père de Zambrano représente la Mafia aux yeux de la DRH, il consigne tout dans un registre avec toutes les sommes perçues y compris le chef, mais son fils a découvert le registre et l'a gardé en lieu sûr. C'est quelqu'un de bien, un homme sans tâche. Quand il a compris ce qu'il a dans les mains, il a appelé le FBI. Elle lui dit qu'ils auraient dû la protéger. Mais pourquoi ils se sont accrochés ? Il a essayé de le convaincre mais avec des gens comme Maxine qui le croient être un criminel, on pense que le FBI le croit impliqué. Il remet le registre une fois l'immunité garantie. Les papiers sont arrivés le soir même. Si elle a le malheur de publier tout ça, il la fera boucler pour obstruction. Il reçoit un papier qui lui informe que la personne qui l'a appelée vienne d'un téléphone jetable, moyen de communication préféré des criminels, aucun moyen de remonter jusqu'à eux. Il la félicite d'avoir été manipulée vraisemblablement par le vrai chef. Il s'en va la laissant seule dans son chagrin. Joss s'en va et Lionel qui se trouve avec elle, voit Simmons. | 
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 | John dit que Maxine est l'auteur du crime malgré elle. Elle est quand même responsable. D'un côté, la DRH élimine l'homme qui pourrait le faire tomber et de l'autre côté, la journaliste dont la carrière est brisée. John va trouver l'homme qui a fait ça et le faire payer. Harold va chercher dans l'empreinte numérique de Zambrano, peut-être qu'il trouvera où se situe le registre dont le nom du grand patron. John va voir ce que le policier infiltré c'est-à-dire Lionel peut faire de son côté. Il l'appelle pour qu'il parle à Simmons. Qu'il sache s'il connaît le numéro un de la DRH. Lionel dit qu'ils auraient dû le choper la dernière fois avec le reste de l'organisation. Il faut le lui demander et de le rappeler s'il y a du nouveau. Lionel se fait la réflexion de savoir où se situe le registre. |
| Maxine se rend à son bureau l’air dépité et meurtri. Tous ses collègues la regardent passer. Alonzo Quinn l’appelle sur son portable pour prendre des nouvelles. La journée va être dure et ils vont se servir de cette histoire pour la discréditer. Tout ce qu’elle a dit sur Griffin est mort. Elle va passer à la moulinette. Elle est dans son bureau lorsque Glenn approche et l’interpelle. Elle demande ce qu’elle peut faire. Ils ont fait ce qu’il fallait et laisse les élections en deuxième pour laisser place à la rétractation sur Zambrano. Elle demande de l’écrire mais il refuse qu’elle continue d’écrire tant qu’elle n’a pas vu l’avocat. Elle ne sait pas quoi faire mais elle se met à appeler le numéro de l’appel anonyme, ce que constate Harold. Elle ne sait pas à qui elle parle mais elle sait ce qu’il a fait. Elle trouvera son nom et dans ce cas là, elle le mettra en première page avec des menottes. Elle est à la recherche du registre mais John veut l’en dissuader avant que ça ne s’aggrave. Il l’appelle pour l’inviter à boire un verre. | 
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 | Maxine trouve bizarre le deuxième rendez-vous surtout quand le premier finit par un cadavre. John a pensé à elle, ce qu’elle traverse. Il est là en cas de besoin, ça tombe bien, elle a un dossier à montrer et demande son analyse du point de vue comptable, c’est tout ce qu’elle a trouvé sur Zambrano. Il ne veut pas et demande à ce qu’elle le donne aux autorités compétentes. Elle admet qu’elle a mis le scoop avant la recherche de la vérité. Et son arrogance a coûté la vie à un homme. Elle sait que c’est fini, qu’elle ne peut rien y changer, mais ce qu’elle peut faire c’est de démasquer celui qui tire les ficelles. Elle le remercie pour la bière et s’en va. Elle sort mais est rejoint par John qui lui dit qu’il sait ce qu’elle ressent. Elle ne peut pas revenir en arrière et John ne peut pas l’en empêcher de souffrir ou tenter de se racheter, mais elle n’est pas seule. Il a juste le temps de se baisser et des hommes se mettent à tirer vers eux. Il croit que le grand patron a eu son message. |
| Maxine demande ses clés et il lui donne. John fait le tour et tire vers eux et annonce à Harold qui l’emmène chez lui. Harold oublie qu’il a le chien et l’amène chez John. Il se cache dans la buanderie et donne le jouet à Balou alors que John et Maxine arrivent. Elle l’aime bien le chien qu’elle trouve plus beau que sur les photos et le voit regarder vers un placard où se trouve Harold. John prétexte que ses biscuits sont dedans. Encore une soirée intéressante. Il faudrait peut-être appeler la police. Mais qui se fier avec le chef de la DRH. Harold regarde autour de lui et voit toutes les armes. John se demande qui a bien pu leur tirer dessus. Elle réplique en disant que s’ils cherchent à la tuer, c’est qu’elle est sur la bonne voie. Le travail doit être ennuyeux mais il paye bien. Il annonce qu’il n’ira pas travailler demain. Il reste avec elle jusqu’à ce que soit finit. C’est un type bien, elle l’appelle John Anderson. Il dormira sur le canapé. Elle répète ce qu’elle dit. Elle demande pour ses lentilles de contact et John lui montre le chemin. Elle y va et Harold sort du placard qui s’inquiète de voir toutes ces armes chez lui. Il n’aurai pas dû l’amener dans le loft. Plus elle restera et plus elle l’interrogera. Quelles seraient le nombre de questions qu’elle posera si elle le voit dans la pièce ? Il demande pour les agresseurs mais John réplique qu’ils ont été en train de lui tirer dessus. Il va voir ce qu’il va trouver sur les caméras du pub. | 
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 | Le lendemain, Harold annonce qu’il a une piste parce qu’il a vu les vidéos des caméras de vidéosurveillance. Il a trouve une photo supprimé qu’il a réussi à retrouver deux hommes sont encadrés. John voit la photo et dit que c’est le FBI mais Harold explique que ce sont des ex du FBI, agents Bogel et Pete, en retraite anticipée depuis un an. Ce sont sûrement eux qui ont annoncé au patron de la DRH l’information sur le registre de Zambrano. John ne veut pas griller sa couverture mais Maxine doit savoir à qui elle a à faire et aussi assurer sa protection. Qu’il se rassure, il lui a déjà donné l’info de manière anonyme. Elle arrive et demande à voir une de ses amies, en l’occurrence Zoe Morgan. |
| Leonard Pete et Craig Bogel, poussés vers la sortie pour harcèlement et poursuites abusives. Ils auraient été achetés selon les on-dit. Ils se servaient de leur plaque pour vendre des services à leur vrai employeur. L’homme qui a tué Zambrano, celui qui l’a appelé d’un portable, le grand patron, elle demande à Zoe qui il est mais cette dernière explique qu’elle n’a pas toutes les données et qu’elle ne le sait pas. Zoe explique que ce ne sont pas que les criminels qui utilisent les portables jetables, mais aussi les QG de campagne, anonyme, impossible à localiser et pas cher. Si quelqu’un se fait prendre faisant des coups tordus, ça peut le tirer d’affaire. Maxine voit un spot sur Walker et elle fait le lien entre la mort de Zambrano, qui connaît le nom du chef de la DRH et l’élection pour la ville de New York qui aura lieu dans cinq jours. Elle se demande si ce n’est pas un candidat à l’élection qui est le grand chef. Zoe n’émet qu’une opinion rien de plus. Elle ne veut pas avoir à faire avec les politiciens, ils n’ont pas de réel pouvoir et elle est contente de l’avoir rencontrée, ou plutôt ne jamais avoir rencontrée. | 
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 | Elle a eu un appel d’un adversaire de Griffin qui a été harcelé par Bogel et Pete pendant la campagne. Si Griffin les a contactés, alors ils doivent encore travailler pour lui. John est revenu avec un sac de nourriture. John pense qu’elle va les mettre en première page mais qu’elle ne fera pas la même erreur, qu’elle attendra d’avoir le registre entre les mains pour publier. Il faut trouver l’endroit où Zambrano l’a caché. John lui sert un verre de vin blanc. Très habile d’avoir un troisième rendez-vous mais il le voit comme une troisième tentative de premier rendez-vous. Elle parle de Zambrano qui dit qu’on parle de lui comme quelqu’un de la Mafia non pas comme quelqu’un qui s’occupe d’œuvre de charité. Le registre est peut-être à un endroit où personne n’a l’idée de regarder. Ils font le lien avec le carrousel de Christopher. |
| Ils tentent d’ouvrir une porte menant au carrousel. John y parvient et entrent avec deux lampes. Il faut regarder dans les chevaux, ils sont arrivés la veille. John tente de frapper sur les chevaux pour trouver un endroit creux. Il trouve un cheval et voit à sa jambe que c’est creux. Il l’ouvre et obtient le registre. Elle est contente de l’avoir trouvé mais Bogel et Pete arrivent et les menacent avec leurs armes. | 
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 | Harold prévient John que les renforts arrivent et qu’il ne doit pas tenter de se débattre. Bogel est content qu’elle ait fait un incroyable travail, d’abord Zambrano puis le registre. Pete prend du sang sur la tempe de John pour le mettre sous les doigts de Maxine. En mettant leurs corps dans l’appartement de Maxine, la police croira à une querelle entre amants qui a mal tourné. Peut-être que la police trouvera les notes de Maxine et fasse le lien avec les deux ex agents du FBI. Ils vont commettre un meurtre pour la faire taire. Pete met un sac plastique au sol. Mais dès qu’ils seront coincés, leur chef n’hésitera pas à les tuer pour ne laisser aucune trace. Il faut peut-être regarder dans le registre, le nom du grand patron est sûrement dedans. Bogel lui donne une claque tandis que John tente de lui venir en aide mais est poussé violemment par Pete. Ce dernier refrappe John qui tombe au sol alors que Joss et Lionel arrivent sur les lieux. Une discussion s’engage entre les quatre, les ex du FBI prétextant une mission officielle alors que Joss parle que Maxine est témoin dans une affaire criminelle. Mais les agents comprennent qu’ils ne sont pas en mission officielle et se mettent à tirer. Une fusillade s’engage et John tente de se relever après avoir tiré. Il appuie sur le bouton faisant démarrer le carrousel. Le registre tombe au sol. Elle tente de rechercher Griffin mais c’est Walker qui y figure. John pendant ce temps, s’en prend à Pete. Elle fait une photo du registre et envoie un message en disant que Walker est le chef de la DRH. Bogel arrive près de Maxine pour l’abattre mais un inconnu tire sur lui qui se trouve être John. Joss, après avoir appréhendé les deux ex agents, appelle des renforts ainsi qu’une ambulance. John demande ce qu’il a manqué et elle lui dit qu’il pourra lire dans le journal du matin. Lionel récupère le registre car c’est une pièce à conviction. Il sort et regarde à l’intérieur pour trouver Simmons et lui-même, il déchire les pages correspondantes. |
| Walker parle de ses rendez-vous tandis que le FBI approche pour l’arrêter et c’est Donnelly en personne qui le fait. Il l’arrête pour corruption et extorsion de fonds en bande organisée. Les agents du FBI lui mettent les menottes tandis que Donnelly lui dit ses droits. |  |
 | Pendant ce temps, Maxine est en train de taper l’article. Son patron lui montre l’article où elle a évoqué le candidat Landon Walker comme possible chef de la DRH. |
| Lionel a donné les deux pages qu’il a trouvés dans le registre et dit à Simmons qu’il est hors d’atteinte. Le boss est en prison. Il lui dit qu’ils sont quittes mais Simmons lui fait comprendre qu’une fois qu’il a signé, il ne peut pas revenir en arrière. Il fait donc toujours partie de la DRH. S’il veut les aider, il ne doit plus parler de son fils. Simmons lui dit que ce n’est pas lui-même qui est dangereux pour lui mais bien son propre père. Il s’en va. | 
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 | Maxine et John ont réussi leur première sortie depuis la fin de l’affaire du registre. Alors, c’est à ça que ressemble un rendez-vous normal avec elle. C’est agréable et c’est malheureusement la dernière fois qu’ils se voient. Elle l’aime beaucoup. Mais elle est mariée à son travail et que pour elle, il n’a pas tiré un trait sur Zoe Morgan. Elle l’embrasse et s’en va. John parle de la chasse de l’homme en costume qu’elle certainement fini de pourchasser. Elle lui a dit avant, c’est une légende urbaine surtout avec ce qu’il s’est passé avec Zambrano et le carrousel. Elle pense que s’il existe vraiment, elle aurait fait sa connaissance. Harold revient vers John pour lui dire que ce n’est sûrement pas fini, John lui dit qu’il est parano. Mais il doute qu’ils ont le vrai responsable. Walker a eu des raisons de tuer Zambrano, il a touché de l’argent de la DRH. Ils savent que Walker a engagé Bogel et Pete pour tuer Maxine et c’est ça le plus étrange. Le patron de la DRH est un vrai génie, pas du genre à engager deux agents débarqués du FBI pour tuer une journaliste. Et Walker ne semble pas avoir tout ce qu’il faut, y compris les relations, pour diriger une organisation aussi complexe que celle de la DRH. La question posée est de savoir qui est le vrai patron de la DRH, si on enlève Walker. |
| Simmons et son patron regardent la victoire de Griffin dans la course de la mairie après l’arrestation de Walker. Il sert deux verres et explique qu’en faisant arrêter Walker, il a couvert ses arrières. Il demande à rappeler qu’il ne doit jamais doubler son patron qui n’est autre qu’Alonzo Quinn. C’est pour ça qu’il ne veut pas faire partie de ceux qui peuplent, l’argent ne compte pas lorsque il a le vrai pouvoir. Les politiciens vont et viennent mais eux resteront toujours là. Ils choquent leurs verres. | 
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"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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