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 Script VF - 1X15 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb

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carine79
Inspectrice à N-Y
carine79

Série préférée : Lucifer

Script VF - 1X15 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Empty
MessageSujet: Script VF - 1X15 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 1X15 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeDim 19 Juil - 14:01

Finch : On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret : une Machine. Elle vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je le sais parce que c’est moi qui l’aie créée. Je l’avais conçue pour prévenir des actes de terrorisme, mais la Machine voit tout, tous les crimes impliquant des citoyens ordinaires, tels que vous. Des crimes dont le gouvernement se désintéresse. Alors, j’ai décidé d’agir à sa place. Mais il me fallait un associé, quelqu’un capable d’intervenir sur le terrain. Traqués par les autorités, nous travaillons dans l’ombre, jamais vous ne nous trouverez. Mais victime ou criminel, si votre numéro apparaît, nous, nous vous trouverons.
 
SÉQUENCES – 35ème étageBalconCaméra22 heures 4 minutes 5 secondes ; PKWY Trafic sur le pontPoste 13522 heures 5 minutes 14 secondes
EXTÉRIEUR – Près d’un hôpitalSoirée
Finch : (Au téléphone.) Nous avons un nouveau numéro, monsieur Reese, son nom est Michael Cahill.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Reese : (Pendant qu’Harold regarde la photo de l’homme sur la vitre.) C’est tout ce que vous avez, Finch ?
 
EXTÉRIEUR – Près d’un hôpitalSoirée
Finch : (Au téléphone ; pendant que le nouveau numéro sort le brancard.) Cahill a 33 ans, célibataire, ni femme, ni enfant, ni chat, ni chien. Pas la moindre attache, un peu comme vous, monsieur Reese.
Cahill va vers l’hélicoptère pour pouvoir prendre un blessé. Il regarde ses yeux à l’aide d’une lampe torche.
Urgentiste : Il y a un problème avec le passeport de ce gars-là, les types de l’immigration sont en route, il faut attendre…
Michael Cahill : Ce gars-là, comme tu dis, a fait quinze heures de vol pour une greffe du cœur, je ne vais pas le laisser crever ici comme un chien à deux pas de l’hôpital. On l’embarque.
Finch : (Au téléphone.) A priori, Cahill a tout du citoyen honnête, il est bien sous tous rapports.
Michael Cahill : Attends, je passe devant.
Reese : (Au téléphone.) Il faut se méfier des apparences.
Michael Cahill : (Enlevant le masque du blessé.) Tu es bien payé pour ce que tu as à faire, alors tu la fermes, OK. (Il remet le masque sur le nez du faux blessé, prend un couteau. L’un des urgentistes relève le blessé pendant que Cahill fait un trou dans le brancard. Il en sort une boîte où se trouvent des diamants.)
Finch : (Au téléphone.) En effet, Cahill est un criminel. Cambriolages, agression à mains armées sur un policier, maintenant il est spécialisé dans la contrebande. Il fait partie d’un gang dirigé par un certain Vargas. (Mettant la photo de ce dernier sur la vitre.) Ces types ne reculent devant rien. Si quelqu’un leur barre la route, ils le tuent. Comment voulez-vous qu’on procède, monsieur Reese ?
Reese : (Au téléphone.) Comme d’habitude, Finch. Plus ils sont dangereux…
Vargas : Qu’est-ce que t’attends, en route. (John se trouve dans l’ambulance en tant que chauffeur.)
Reese : (Au téléphone.) … plus j’aime être auprès d’eux.
 
SÉQUENCE – Angle de Pear et WhitehallNord-ouestCaméra 0422 heures 8 minutes 55 secondes
INTÉRIEUR – Dans l’ambulanceSoirée
Ils continuent de rouler lorsqu’une voiture de police, avec gyrophare et alerte sonore, s’approche d’eux.
Vargas : On a un problème.
L’ambulance s’arrête et la voiture de police la suit après.
Reese : Laissez-moi parler au flic.
Michael Cahill : (Enclenchant son arme, prêt à tirer.) Je m’en charge, bougez pas.
Cahill sort de l’ambulance et va voir les policiers. John prépare son arme pendant qu’un des hommes commence à paniquer.
Vargas : Soit pas si nerveux. Cahill va le baratiner et si ça ne suffit pas, il le tuera. Je ne connais personne qui déteste autant les flics que lui.
Ajax : (Sortant son arme, de plus en plus nerveux.) Bah alors, pourquoi c’est si long, hein. Ce flic, s’il appelle des renforts, on est mort.
Vargas : Il n’aura pas de renforts, je suis bien renseigné par la DRH.
Michael Cahill : (Il entre dans l’ambulance et se tourne à l’arrière.) C’est toi qui as trouvé cette ambulance ? On a un phare cassé, ce brave agent de police voulait juste nous le signaler.
 
SÉQUENCES – Côté Parking B22 heures 50 minutes 14 secondes ; Côté Parking A22 heures 50 minutes 17 secondes
EXTÉRIEUR – Dans une ruelleSoirée
Un homme constate les diamants. Il donne un sachet à Vargas. John regarde toute la scène.
Homme : Voilà votre part. (Ils s’en vont.)
Ajax : (Prenant son arme, il mime un tir tout en souriant.) J’ai bien cru que j’allais devoir les buter. (Il se fait taper dessus par Cahill.)
Vargas : Mike, arrête ! Du calme, OK. Le gosse en a appris assez pour aujourd’hui.
Michael Cahill : À la prochaine connerie, je lui fais la peau.
Michael Cahill et John mettent de l’essence dans l’ambulance. Cahill y met le feu et le véhicule s’embrase.
 
SÉQUENCES – Côté Parking D22 heures 51 minutes 25 secondes ; Côté Parking E22 heures 51 minutes 26 secondes ; TourCaméraSud2 heures 50 minutes 16 secondes ; Porte de sécurité2 heures 52 minutes 55 secondes ; Entrée 012 heures 53 minutes 00 seconde ; 34ème rueLamppost 352 heures 53 minutes 12 secondes
Reese : (Via un micro.) On a un problème, Finch. Cahill vient de sortir.
Finch : (Via un micro.) Il est presque trois heures du matin. Vous savez où il va ?
Reese : (Via un micro.) Non, mais quoi qu’il en soit, ce n’est pas bon signe.
Cahill passe devant des caméras de vidéosurveillance où il prend sa voiture.
 
SÉQUENCE – Orchard/RugbySud-Ouest­B3 heures 34 minutes 24 secondes
EXTÉRIEUR – Près de la maison de Tulley  - Nuit
John, avec sa voiture, suit les mouvements de Cahill. Ce dernier semble chercher quelque chose.
Reese : Cahill est en train d’examiner une maison. 3404 Orchard…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Reese : (Au téléphone.) Avenue à Brooklyn.
Pendant ce temps, Harold fait la recherche sur son ordinateur.
 
EXTÉRIEUR – Près de la maison de Tulley - Nuit
Reese : (Sorti de la voiture, il commence à traverser la rue en voyant Cahill entrer dans la maison.) Il entre dans la maison, Finch. J’ai besoin d’infos, tout de suite.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : (Après qu’il ait réussi à trouver ce qu’il cherche.) Le propriétaire s’appelle Tulley. C’est un policier.
 
EXTÉRIEUR – Près de la maison de Tulley - Nuit
Finch : (Au téléphone.) Il faut arrêter Cahill, vite.
John se trouve en face de Cahill, l’arme à la main, prêt à tirer. En fait, Cahill regarde son fils.
Danny : Papa, papa, tu es à la maison.
Daniel Tulley : (L’ayant pris dans ses bras.) Oui, mon grand. (Il l’embrasse.)
Melinda Tulley : C’est l’heure de dormir pour les enfants sages.
Daniel Tulley : Salut, champion, fais de beaux rêves.
Finch : (Au téléphone.) Apparemment, vous n’êtes pas le seul…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : …à travailler comme agent infiltré, monsieur Reese. (Il affiche une photo de Tulley en tenue de policier.)
 
EXTÉRIEUR – Près de la maison de Tulley - Nuit
John regarde Tulley en train d’éteindre la lumière de la pièce.
 
La frise chronologique passe de 2012 à 2008. La Machine accède aux archives d’où la mission est inconnue.
 
2008

Reese : (Entendant des chiffres en allemand sur le poste de radio, il nettoie son arme. Peu de temps après, Stanton éteins la radio.) Ils sont peut-être en train de changer les ordres.
Klara Stanton : Tu crois que les ordres proviennent de Langley. Officiellement, on est pas censé mener des opérations dans ce pays. Tu vas le nettoyer encore longtemps ?
Reese : À l’armée, ils nous disaient que la façon la plus sûre de se faire descendre, c’est d’avoir mal nettoyé son arme.
Klara Stanton : Chez les Marines, ils disent que la façon la plus rapide de nettoyer son arme, c’est de tuer quelques ennemis.
Quelqu’un frappe à la porte, Stanton donne son arme à John qui la prend. Il va vers la porte, l’arme pointée vers elle et l’ouvre. Il s’agit de l’agent Snow. John baisse la garde.
Mark Snow : (Il entre avec un paquet dans la main.) Pas trouvé mieux. De la vodka polonaise bon marché. Le colis est prêt ?
Reese : On a tout ce qu’il faut, sauf l’adresse de livraison.
Mark Snow : Vous avez presque tout. Il manque un verre.
Klara Stanton va dans la salle de bains, l’ouvre et on voit un homme allongé dans la baignoire, une cagoule sur la tête et les mains attachées.
Klara Stanton : (Le prenant sur le lavabo.) J’en ai un.
Reese : Le colis, qu’est-ce qu’il a fait ?
Mark Snow : Ce ne sont pas nos oignons.
Klara Stanton : C’est sans doute une huile. Les gens d’ici n’aiment qu’on s’en prenne à l’un des leurs.
Mark Snow : Oui, c’est une huile, il a tenté de vendre un truc à nous aux Chinois.
Reese : Quoi ?
Mark Snow : Un logiciel, des infos. Je ne sais pas et je m’en fiche. Nous, notre boulot, c’est tout simplement de lui offrir un voyage sans retour. S’il y a un problème de passeport ou si l’avion tombe en panne, vous l’exécutez. (À John.) Ça fait combien de temps que tu n’es pas rentré dans le pays ? L’ordre ne viendra pas ce soir. Accorde-toi du bon temps. (Le voyant partir.) N’oublie pas que tu es en territoire ennemi. Tu seras tout seul si tu te fais prendre.
John quitte la pièce et s’en va à l’extérieur. Il marche dans la rue vers une destination inconnue.
 
SÉQUENCE – Jackson AvenuePoste 50217 heures 19 minutes 43 secondes
 
La frise chronologique passe de 2008 à 2012
 
2012
 
SÉQUENCE – Orchard/RugbySud-OuestC7 heures 40 minutes 17 secondes
EXTÉRIEUR – Près de la maison des Tulley - Matinée
Reese : (Regardant vers la maison où se trouve Tulley.) Cahill m’a bien eu.
Finch : (Au téléphone.) Son vrai nom est Daniel Tulley.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : (Regardant vers son écran d’ordinateur, il tape sur le clavier.) Diplômé de l’école supérieure de police en 2003. Mais depuis, il n’y a aucune trace de lui dans les fichiers.
 
EXTÉRIEUR – Près de la maison des Tulley - Matinée
Finch : (Pendant que John surveille Tulley grâce à sa jumelle.) La police a pris beaucoup de précautions pour dissimuler son identité. (Tulley est en train de prendre le petit-déjeuner avec son fils.) Ils lui ont même forgé un faux numéro de sécurité sociale.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Mais si la Machine nous a donné son numéro, c’est peut-être parce que sa couverture n’est plus fiable. Il faut le prévenir.
 
EXTÉRIEUR – Près de la maison des Tulley - Matinée
Reese : Il savait qu’il risquait sa vie en choisissant ce métier. Si on fait le moindre faux pas, ça peut être lourd de conséquences.
 
SÉQUENCE – Croisement OrchardNord8 heures 2 minutes 38 secondes
EXTÉRIEUR – Près de la maison des Tulley - Matinée
Tulley monte dans sa voiture et quelqu’un le rejoint.
Reese : (Regardant dans sa jumelle.) Ah, on a de la compagnie, Finch.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de TulleyMatinée
Byrne : (Lui donnant son insigne.) Autant le porter si tu tiens à griller ta couverture. Moins de 24 heures avant le plus gros coup de filet de ta carrière, tu décides de rentrer chez…
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnMatinée
Byrne : (Via le téléphone.) …toi.
Reese : C’est le contact de Cahill.
Daniel Tulley : Personne ne m’a suivi.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de TulleyMatinée
Daniel Tulley : Il fallait que je vois ma famille.
Byrne : On en sait assez sur Vargas, si tu veux, je peux t’extraire.
Daniel Tulley : On aurait pu coincer Vargas il y a cinq mois, ce n’est qu’un délinquant. Le gros poisson, c’est LOS. Il paraît qu’il viendra en personne à la prochaine livraison.
Byrne : LOS, c’est de la poudre aux yeux, Michael.
Daniel Tulley : (Donnant un sachet de drogue.) J’ai pris ça sur la dernière livraison qu’on lui a faite, c’est de la pure à 100%. C’est lui le grand patron, à l’origine de tout.
Byrne : Je ne sais pas qui c’est, mais en tout cas, si personne ne l’empêche de mener sa barque, c’est qu’il y a une raison. Je n’ai pas envie de me pointer un jour en costume noir pour dire à ta femme…
Daniel Tulley : Occupe-toi de ce qui te regarde et laisse-moi gérer les risques. Je crois que Vargas a un indic dans la police. Hier soir, quand le flic nous a arrêtés, ça m’a paru louche qu’il ne panique pas. Il y a quelqu’un qui le protège, j’en mettrai ma main à couper.
Byrne : Je vais voir ça.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : (Mettant la photo du contact sur la vitre.) Cahill croit que Vargas a le soutien d’un flic corrompu.
 
SÉQUENCE – Croisement OrchardNord8 heures 3 minutes 24 secondes
Reese : Moi aussi. Vargas a dit qu’il était bien renseigné par la DRH.
 
EXTÉRIEUR – Dans une rueMatinée
Le contact est sorti de la voiture et s’en va.
Reese : C’est le nom de code des flics véreux qui voulaient laisser Elias tuer Carter.
 
SÉQUENCES – Orchard/RugbySud-OuestC8 heures 3 minutes 31 secondes ; Avenue APoste 37115 heures 4 minutes 28 secondes ; EntréeCaméra 0215 heures 9 minutes 35 secondes
EXTÉRIEUR – Près du commissariatJournée
Joss monte les marches lorsqu’elle est interpellée par Snow.
Mark Snow : (En criant.) Lieutenant Carter !
Carter : Agent Snow. (Descendant les marches pour se mettre à hauteur de Snow.) Je croyais que vous aviez quitté la ville.
Mark Snow : Pendant quelques jours, en effet. Et à présent, je suis sûr que notre homme a un allié dans la police.
Carter : Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
Mark Snow : J’ai trouvé ses empreintes dans une clinique vétérinaire perdue dans la montagne, et pourtant je suis certain que John n’y est jamais allé. Je souhaite bonne chance à cet allié. John a tendance à se servir des gens et ensuite, à les jeter. Je me souviens bien de sa coéquipière et de ses funérailles, une très jolie femme, comme vous. Mais après qu’il lui ait réglé son compte, elle était moins jolie.
Snow s’en va et ensuite, Harold arrive juste derrière.
Finch : Un mot, lieutenant ?
Carter : (Se tournant vers Harold.) Vous réalisez que l’homme qui a tiré sur John était là, à l’instant.
Finch : L’agent Snow ne me connaît pas. Et il ignore que notre ami et moi sommes associés. (Montrant une photo de Tulley.) On a besoin de votre aide. Cet homme est Michael Cahill, de son vrai nom, Daniel Tulley. Il est des narcotiques, infiltré dans un réseau de contrebande. Un réseau que notre ami vient aussi d’infiltrer.
Carter : Vous m’en direz tant.
Finch : Mais on pense qu’il y a un indic dans les rangs de la police. Inutile de vous dire ce qui arrivera à Cahill si cet homme le trahi.
Carter : Et bien sûr, vous voulez que je vous dise qui sait.
Finch : Je veux juste savoir comment ça fonctionne. Qui est au courant de la couverture de Cahill ?
Carter : Uniquement son référent.
 
SÉQUENCE – Hall 14Caméra 2(TAB)15 heures 16 minutes 18 secondes
Le référent de Cahill tape à la porte du bureau des affaires internes. Un homme en sort.
Finch : (Hors cadre.) Personne d’autre n’a accès à ses rapports, à ses dossiers ?
 
EXTÉRIEUR – Près du commissariatJournée
Carter : Tout est conservé sur papier en un seul exemplaire pour éviter que les vilains pirates comme vous s’en emparent.
Finch : Je vous trouve très blessante, lieutenant.
Carter : (Hors cadre ; pendant que le référent et l’autre homme entre dans une pièce protégée.) Les dossiers sont gardés dans des coffres, sous le contrôle des Affaires internes. Mais seuls les référents connaissent la combinaison du coffre de leurs infiltrés. Quiconque essaierai de cambrioler un de ces coffres, serait immédiatement envoyé au pénitencier de Rykers Island. (Pendant ce temps, le référent range le dossier de Michael Cahill dans un des coffres.)
Finch : Donc, il faut qu’on détruise le dossier de Cahill avant que quelqu’un s’en empare.
Carter : Pardon. Sachez que cambrioler le QG de la police, c’est un crime fédéral.
Finch : Quelqu’un me couvrira. (Il s’en va sous le regard étonné de Carter.)
 
SÉQUENCE – BoxCaméra 0216 heures 4 minutes 23 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoJournée
Le téléphone de Lionel sonne, il prend l’appel.
Fusco : Laisse-moi deviner, tu as besoin d’un service.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Reese : (Mettant son manteau.) Il se pourrait que quelqu’un balance un flic infiltré dans un gang à un trafiquant du nom de Vargas. (Enlevant son chargeur.) Va rendre visite à tes copains ripoux des narcotiques.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Lionel FuscoJournée
Fusco : Ces gars-là ne me font plus vraiment confiance. Ici, j’ai du bon boulot ces derniers temps. J’ai même eu des éloges.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Reese : Tu as eu des éloges en restant le cul sur ta chaise. Il est temps de retourner te salir les mains.
 
SÉQUENCES – Sud-EstCaméra 1016 heures 5 minutes 40 secondes ; 295SPoste 73316 heures 34 minutes 18 secondes ; AlléeCaméra 12 heures 3 minutes 14 secondes ; Côté ParkingCaméra 32 heures 3 minutes 16 secondes
EXTÉRIEUR – Dans une ruelle - Nuit
Cahill, Vargas et John sortent d’une voiture. Vargas reçoit un coup de téléphone.
Vargas : Ouais. Tu en es sûr ? Lequel ? Eh bien, trouve la réponse, fais-vite.
Reese : (Activant l’oreillette.) Il y a un truc qui cloche, Finch. Vargas a eu un coup de fil et il n’a pas l’air content.
Vargas : Ouais, on poursuit la livraison.
John prend la photo d’une voiture avec son téléphone. À la bibliothèque, Harold reçoit la photo sur son écran après quelques manipulations sur le clavier.
Vargas : Parce que LOS nous tuera si on ne le fait pas. (Il raccroche.)
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantNuit
Vargas et tout le reste du groupe s’invitent dans un restaurant. L’autre groupe est mené par un chef cuisinier et ils ont une arme.
Chef : Combien de fois je t’ai invité à dîner ? Il n’y a que ton business qui compte.
Vargas : (Pendant que le chef ouvre un sac de riz.) Ouais, les affaires avant tout, on n’a pas le temps de manger.
Le chef écrase les grains de riz et de la poudre blanche apparaît, il l’avance vers Vargas qui la goûte.
Chef : Tu sais, j’ai réfléchi. Toi et moi, on pourrait peut-être renégocier notre accord ?
Vargas : Tu sais, dans ce métier réfléchir, c’est sans doute la chose la plus dangereuse à faire.
Chef : (Regardant vers les hommes qui ont des armes.) Je peux aussi décider de livrer à LOS directement, tout faire sans toi.
Les hommes du chef commencent à braquer leurs armes vers le groupe de Vargas. Ce dernier en fait de même.
Vargas : (Baissant la garde.) OK, OK, tu sais quoi, je peux te laisser quelque chose en cadeau, un petit extra, rien que pour toi. D’accord ?
Vargas tire dans la tête du chef et tout le monde commence à tirer les uns contre les autres. Le jeune se fait tirer dessus en tentant de prendre les sacs. Vargas le sort de là et le groupe s’enfuit.
Vargas : Tiens bon.
 
SÉQUENCE – Côté ParkingCaméra 12 heures 05 minutes 47 secondes
Vargas et le jeune sortent, un carré blanc autour tandis que John les suit, un carré jaune autour de sa tête.)
Vargas : On y va, on y va.
EXTÉRIEUR – Dans une ruelleNuit
Vargas : Monte à l’arrière !
Pendant qu’ils mettent le petit dans le véhicule, John prend place côté chauffeur.
Vargas : Allez, on se tire.
 
SÉQUENCE – AlléeCaméra 022 heures 06 minutes 07 secondes
INTÉRIEUR – Dans un hangarNuit
Le véhicule transportant John et le reste du groupe arrive dans un hangar.
Vargas : Verrouillez le hangar.
Daniel Tulley : (Prenant le jeune avec un autre homme.) OK, allez, doucement. (L’allongeant dans un fauteuil.) Allonge-toi là. (Le jeune continue de souffrir.)
Daniel Tulley : Je croyais qu’on devait voir LOS, patron.
Vargas : C’est prévu. On fait juste une petite mise au point. Sortez vos téléphones et détruisez-les.
 
INTÉRIEUR – Dans une planque de la policeNuit
Homme : Le repaire est à Brooklyn, on aura l’adresse dans une seconde.
 
INTÉRIEUR – Dans un hangarNuit
John détruit son téléphone, ce qu’il fait qu’Harold n’a plus de contact avec John. Tulley en fait de même.
 
INTÉRIEUR – Dans une planque de la policeNuit
Byrne : Qu’est-ce qu’il se passe ?
 
INTÉRIEUR – Dans un hangarNuit
Vargas : Et maintenant les flingues. (Mettant un sac sur un canapé.) Flanquez-les maintenant, tout le monde. (Le groupe s’exécute.) L’un de vous est une taupe. D’ici une heure ou deux, je saurai qui est ce traître. Ceux qui sont encore en vie termineront la livraison. (Un gros plan est fait sur Tulley puis sur John.)
 
La frise chronologique passe de 2012 à 2008
 
2008
SÉQUENCE – Madison AvenueCaméraPoste 4898 19 heures 07 minutes 15 secondes
INTÉRIEUR – Dans un barSoirée
John se trouve dans un bar et va à la rencontre d’un homme pendant que Barack Obama fait un discours.
Obama : L’Amérique est un endroit où tout est possible, qui se demande si le rêve de nos pères fondateurs est toujours vivant…
Reese : Je peux.
Peter Arndt : Oui, bien sûr. (Il range des affaires dans sa serviette.
Obama :…la puissance de notre démocratie.
Peter Arndt : C’est dingue, hein.
Obama : …la réponse lui sera donnée ce soir.
Peter Arndt : Vous êtes new-yorkais ou juste de passage.
Reese : Juste de passage.
Peter Arndt : Vous venez d’où ?
Reese : Ma ville natale ? Puyallup, vous connaissez ?
Peter Arndt : Ça alors, je n’en reviens pas, ma femme est née là-bas. Vous y vivez ?
Reese : Non, plus depuis longtemps. Je voyage pour mon boulot.
Peter Arndt : Ah, oui, j’ai connu ça. C’est pas cool, mais c’est du passé. Ma femme et moi, on vient juste de verser un acompte pour l’achat d’une maison, à New Rochelle.
Reese : (En souriant.) Félicitations, ça doit être sympa.
Peter Arndt : Et justement, ma femme est en retard, comme d’habitude. Je vais lui passer un coup de fil, voir si tout va bien. (Il quitte sa place pendant que John boit son verre de bière.)
Klara Stanton : Qu’est-ce que je t’ai dit, John ?
Reese : De sortir, boire un verre.
Klara Stanton : Et sur les 8 millions de personnes avec qui tu pourrais trinquer à New York, tu as choisi, comme par hasard, le mari de ton ex.
John regarde vers Peter puis devant lui.

SÉQUENCE – Madison AvenueCaméraPoste 489819 heures 9 minutes 42 secondes
 
La frise chronologique repasse de 2008 à 2012.

_________________
"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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Script VF - 1X15 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Empty
MessageSujet: Re: Script VF - 1X15 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 1X15 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeDim 19 Juil - 14:04

2012
 
SÉQUENCE – CourSécurité 042 heures 48 minutes 7 secondes
INTÉRIEUR – Dans un hangarNuit
Ajax : (Souffrant de plus en plus.) Cahill aide-moi, pitié, pitié.
Daniel Tulley : Il perd beaucoup de sang, il faudrait l’amener à l’hôpital.
Vargas : Personne ne sort d’ici tant que je ne sais pas lequel de vous est le traître.
Daniel Tulley : (Donnant une bouteille d’eau.) Boit ça. Doucement. (Il lui prend son portable.)
Jeune homme : (Le prenant par la veste.) Emmène-moi à l’hôpital, je t’en supplie, je veux pas crever.
Homme : Ferme-la, si tu ne veux pas que je t’abrège tes souffrances.
Jeune homme : (Gémissant.) Aide-moi, s’il te plaît.
Reese : Il faut qu’on lui pose un garrot.
Homme : À quoi bon ?
Reese : Si on arrête l’hémorragie, il y aura peut-être une chance pour qu’il la boucle.
 
SÉQUENCE – EntréeCaméra 013 heures 3 minutes 55 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterNuit
Carter : Vous êtes sur un coup ?
Policier : Une fusillade chez Su Chin, une sombre histoire de drogue. Quel dommage. Le meilleur kung pao du Queens.
Carter : Toutes mes condoléances.
Le téléphone de Carter se met à sonner. Un appel anonyme puisque c’est Harold.
Carter : Où est votre bras droit ? Oh, laissez-moi deviner dans le Queens.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : (Voyant sur son écran que la connexion a été rompue.) À vrai dire, j’ai un peu de mal à le localiser.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterNuit
Carter : Vous l’avez perdu, c’est ça ?
Finch : Le terme est un peu fort…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : …Mais oui, lieutenant, pour répondre à votre question implicite, j’ai besoin de votre aide.
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterNuit
Carter : Vous avez quoi ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : (Tapant sur le clavier pour faire afficher la voiture que John a prise en photo.) Une plaque minéralogique.
 
SÉQUENCE EN ACCÉLÉRÉE – Caméra vue de la merPoste 4196 heures 20 minutes 12 secondes – 7 heures 32 minutes 46 secondes
INTÉRIEUR – Dans un hangarMatinée
John a réussi à faire le garrot sur la blessure du jeune homme qui s’est endormi.
Daniel Tulley : Il a perdu beaucoup de sang, tu crois qu’il va s’en sortir ?
Reese : Ça m’étonnerait mais on a fait ce qu’on pouvait.
Tulley profite que John soit parti pour prendre le téléphone du jeune. Il envoie un message.
 
INTÉRIEUR – Dans une cache de la policeMatinée
Byrne : On a une info. Il s’agit d’un entrepôt aux docks de Brooklyn.
Homme : Central. On a besoin de plusieurs unités d’intervention.
 
INTÉRIEUR – Dans un hangarMatinée
Tulley efface le message et met le portable dans la poche de sa veste, alors que tous les autres portables sont en morceaux sur le sol.
 
EXTÉRIEUR – Dans un endroit inconnuJournée
Simmons : Tiens, tiens, un revenant. Tu as mauvaise mine.
Fusco : Et toi tu ferais bien d’arrêter de picoler.
Simmons : (En rigolant.) Qu’est-ce qui me vaut ce plaisir ?
Fusco : Un trafiquant du nom de Neil Vargas, tu le connais ? Je lui ferais bien quelques misères pour voir s’il me lâcherai un pourcentage. Ça peut-être t’intéresser ?
Simmons : Ben, d’abord tu disparais pendant trois mois et tout à coup, tu te pointes avec un nouveau plan. Si encore tes anciens collègues n’étaient pas en prison, j’aurais plus confiance. Tu as envie de secouer Vargas ? Alors, sois sage et demande la permission. Si ton homme n’est pas sous la coupe de la DRH, alors il est à toi.
Fusco : Je contacte qui, si je veux parler à la DRH ?
Simmons : Tu l’as déjà fait.
Le téléphone de Lionel se met à sonner.
Fusco : (En partant.) Je t’appellerai.
Simmons : N’y compte pas de trop.
Fusco : Ouais.
Finch : (Au téléphone.) Il va y avoir un changement d’équipe au QG de la police. C’est sûrement notre seule chance.
SÉQUENCES – Flushing Meadow ParkPromenade 710 heures 33 minutes 23 secondes ; Angle de la 73ème et BroadwaySud-EstCaméra 0211 heures 52 minutes 56 secondes ; Angle de Worth & CentreSud-OuestCaméra 0413 heures 13 minutes 12 secondes
Fusco : Notre seule chance de faire quoi ?
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeJournée
Finch : (Au téléphone.) Vous êtes en place ?
Fusco : (Ayant du mal à l’oreille.) Oh, oh, doucement sur le volume, OK. Je comprends que votre copain soit souvent de mauvais poil.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Vous verrez, vous vous y ferez avec le temps. Malheureusement, vous n’en avez pas beaucoup.
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeJournée
Fusco : Je sais c’est bon, allez-y, c’est quoi votre plan ?
Finch : (Au téléphone.) C’est très simple.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Harold regarde la fiche signalétique d’un agent.
Finch : L’agent des affaires internes qui surveille l’endroit passe faire une dernière inspection avant que son collègue prenne la relève. Ce qui vous laisse à peu près 8 minutes 30 pour trouver le code…
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeJournée
Finch : (Au téléphone.)…Ouvrir le coffre et détruire le dossier de Tulley afin que l’informateur de Vargas ne puisse pas y accéder.
Fusco : Ouais, c’est simple, effectivement.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Surtout, pointez bien le lecteur vers la carte.
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeJournée
Fusco : (Regardant le lecteur.) Est-ce qu’il y a autre chose ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Évitez qu’on vous attrape.
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeJournée
Fusco : Ouais, merci, je vais faire de mon mieux. (Il avance et voit Carter.)
Carter : (En arrivant.) Fusco, qu’est-ce que tu fais ici ?
Fusco : Et toi ?
Carter : Euh, ben en fait, je m’en allais.
Fusco : Moi, je rends service au capitaine.
Carter : À plus.
Fusco : Ouais, à plus, d’accord.
Tous les deux s’éloignent, allant chacun de leur côté. Carter appelle Harold.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Appuyant sur une touche du clavier pour activer le téléphone.) Lieutenant Carter.
Carter : (Au téléphone.) J’ai des infos sur cette plaque minéralogique. Elle a été repérée par un radar sur un 4x4 à Brooklyn Sud.
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeJournée
Carter : Je poursuis les recherches.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Content de le savoir, merci lieutenant. (Rappuyant sur une touche du clavier.)
Fusco : (Au téléphone.) Finch, Finch, vous êtes là ?
Finch : Oui, je vous écoute.
Fusco : (Au téléphone.) Bon, je vais rentrer.
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeJournée
Fusco s’avance et lorsqu’il voit un agent sortir de la salle des coffres, le bouscule pour pouvoir scanner la carte.
Fusco : Oh, je suis désolé.
Agent : Ce n’est rien.
Fusco : (Utilisant le lecteur.) La porte est ouverte.
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeDans la salle des coffres - Journée
Il entre et met un liquide sur la caméra de vidéosurveillance pour la brouiller.
Fusco : Et maintenant, je fais quoi ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Éteignez la lumière…
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeDans la salle des coffres - Journée
Finch : (Au téléphone.) …et allumez la lampe que je vous ai donnée. (Pendant que Lionel utilise la lampe sur le clavier du coffre.) Vous voyez les empreintes ?
Fusco : Trois-cinq-
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Fusco : (Au téléphone.) –huit.
Finch : Combinez ces trois chiffres…
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeDans la salle des coffres - Journée
Finch : (Au téléphone.) au hasard pour trouver le code.
Pendant que Lionel tente de trouver le code.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Dépêchez-vous, lieutenant, le temps presse.
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeDans la salle des coffres - Journée
Fusco : J’ai tout essayé, ça ne marche pas. Un petit coup de main.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Une des empreintes n’était pas nette ?
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeDans la salle des coffres - Journée
Fusco : Ouais, celle du cinq.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Il doit servir deux fois.
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeDans la salle des coffres - Journée
Finch : (Au téléphone.) Essayez 3558.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Cinq-cinq-
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeDans la salle des coffres - Journée
Finch : (Au téléphone.) –huit-trois.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Huit-cinq-trois-cinq
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeDans la salle des coffres - Journée
Fusco : (Après avoir essayé les combinaisons qu’Harold lui a données, le coffre s’ouvre.) Ça y est, j’en reviens pas. (Prenant le dossier de Tulley.) J’ai le dossier de Tulley.
Finch : (Au téléphone.) Joli travail, lieutenant, Tulley est sauvé.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Il vous reste 23 secondes.
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeDans la salle des coffres - Journée
Il se met à détruire le dossier de Tulley lorsqu’une porte s’ouvre. Un agent entre et allume la lumière.
Agent : Lieutenant Fusco, n’est-ce pas.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Agent : (Via un micro.) Mon service a enquêté…
 
INTÉRIEUR – Dans le QG de la policeDans la salle des coffres - Journée
Agent : … sur vous et vos complices.
Fusco : C’est pas ce que vous croyez, je peux tout expliquer.
Agent : Expliquer la destruction d’un dossier top-secret. (Pointant son arme vers Lionel.) Vous en état d’arrestation.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
L’agent fait monter Lionel dans sa voiture, ce dernier ayant les menottes les mains devant.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de l’agentJournée
Fusco : Il fallait que je détruise ce dossier. La vie d’un infiltré était en danger.
Agent : Et vous savez ça comment ?
Fusco : Il y a quelqu’un qui me dit des choses.
Agent : Qui est-ce ? Et qu’est-ce qu’il dit ?
Finch : (Au téléphone.) Attention à ce que vous dites, lieutenant, on peut vous protéger mais ces hommes…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : …sont à la recherche de notre ami.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de l’agentJournée
Fusco : Écoutez, ce qui compte, ce n’est pas de savoir d’où vient l’info. Non, ce qui faut savoir c’est qu’un policier était en danger et que j’ai essayé de le sauver.
Agent : (Prenant l’appel car son téléphone s’est mis à sonner.) Ouais, j’ai un problème. Je n’ai pas pu avoir le dossier. Un imbécile l’a détruit. Mais j’ai une info intéressante : la taupe vient…
 
INTÉRIEUR – Dans un hangarJournée
Agent : (Au téléphone ; à Vargas.)…d’envoyer un SMS de l’endroit où vous êtes.
Vargas : Un SMS, qu’est-ce que tu racontes, c’est impossible.
Agent : (Au téléphone.) Laisse-moi gérer…
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de l’agentJournée
Agent : …la situation. Je te rappelle.
Fusco : C’est vous l’informateur ? (Il se prend un coup de poing dans la figure et s’évanoui. À la bibliothèque, Harold comprend que Lionel est en danger.)
 
INTÉRIEUR – Dans un hangarJournée
Vargas raccroche et s’approche du jeune blessé pour fouiller ses poches à la recherche du téléphone portable. Il comprend qu’il ne l’a pas trouvé.
Vargas : Où est son téléphone ? (Les autres se regardent, il n’obtient pas de réponse.) J’aurais moins de mal à vous fouiller (sortant son arme) quand vous serez mort.
Reese : (Pointant l’index vers Tulley.) Il l’a pris.
Daniel Tulley : (S’attaquant à John.) Tu es malade, je n’ai rien fait.
John profite de l’altercation pour prendre le téléphone dans la poche de Tulley, ce dernier se dégageant.)
Daniel Tulley : Lâche-moi.
Vargas : De toute manière, on va être fixé très vite. (Il appelle avec son téléphone. Il comprend que c’est John qui l’a, il le fouille et le trouve dans la poche intérieure de sa veste.) Cette fois, on sait qui est le traître.
John, se mettant à sourire, se fait assommer par un des hommes.
 
SÉQUENCES – Crane 2Sécurité C14 heures 4 minutes 17 secondes ; Garage 10Caméra14 heures 5 minutes 53 secondes
INTÉRIEUR – Dans un hangarJournée
John, attaché à une chaise, se fait tabasser par un des hommes et est interrogé par Vargas.
Vargas : Tu as parlé de LOS aux flics ? Hein, de la livraison ?
Reese : Vous perdez votre temps. Mes collègues vont débarquer d’une minute à l’autre.
Vargas : (Lui donnant un coup de poing au visage.) Si c’était vrai, j’aurais déjà été prévenu et à cette heure-ci, tu serais mort.
Daniel Tulley : Tout ça nous avance pas. (Prenant une barre de fer.) Laisse-moi seul avec lui, je vais le faire parler.
Vargas : C’est ça, fait le parler, sinon je vous bute tous les deux.
Daniel Tulley : (Donnant un coup de barre dans l’estomac.) Bon, alors, t’es qui ? Je sais que tu n’es pas de la police.
Reese : (À voix basse.) Non. Mais les missions secrètes, ça me connait. Je sais que ce que tu souhaites le plus au monde, c’est de retrouver ta femme Melinda et ton fils Danny.
Daniel Tulley : (Regardant derrière lui puis prenant John par la veste.) Eh, que les choses soit bien claires, tu ne me connais pas.
Reese : Je sais que ton référent s’appelle Byrne. Je sais que tu es dans la police depuis 2003. Je sais que ton petit frère Connor est mort d’une overdose juste avant que tu partes faire tes études.
Daniel Tulley : (Étonné de ce qu’il entend.) Comment tu…
Reese : C’est pour ça que tu tiens tant à arrêter LOS.
Daniel Tulley : (Ne sachant pas quoi dire.) Tu fais quoi, tu es du FBI ou d’autre chose ?
Reese : D’autre chose. Si tu veux, je peux t’aider. Pour que tu rentres chez toi.
Daniel Tulley : Puisque tu me connais si bien, tu sais que c’est hors de question. Tant que LOS court toujours, je reste.
Reese : Tu vas être démasqué. En restant, tu risques de tout perdre. Ta vie. Ta famille.
Daniel Tulley : Je peux te charger d’un message, pour ma femme. (John fait oui de la tête.) Dis-lui que je l’aime.
Reese : On va trouver une solution. Mais tu pourras lui dire toi-même.
Daniel Tulley : (Se baissant vers John.) La livraison aura lieu à la casse.
Reese : (Voyant Vargas.) Il arrive. (Tulley lui donne un coup de poing dans l’estomac.)
Daniel Tulley : (En prenant la barre de fer.) D’accord.
Vargas : (S’approchant d’eux.) Il a dit quelque chose ?
Daniel Tulley : Laisse-moi encore quelques minutes.
Vargas : Non, on n’a pas le temps. Ajax est mort, il faut se débarrasser des corps.
Daniel Tulley : Attends, laisse-moi faire. (Laissant tomber la barre.) Je suis curieux de voir la tête qu’il fera quand il crèvera.
Vargas : (Donnant l’arme à Tulley.) Dépêche-toi.
Tulley tire sur John qui baisse la tête, faisant le mort.
 
FLASH-BACK
2008
 
Klara Stanton : À quoi on joue exactement ? On va tuer ce type ? Dissoudre son cadavre dans une baignoire remplie d’acide ? Ou c’est juste un accès de nostalgie ? Il s’appelle Peter, il a 37 ans. Il gagne 175 000 dollars par an. Est-ce que c’est un chic type ou un tueur en série, je n’en sais rien. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il prendra mieux soin d’elle que toi. C’est pour ça que j’hésitais à te laisser partir. Je veux dire, au milieu de tous ces gens, tu as l’air normal, mais tu n’es plus comme eux, pas vrai ? S’ils savaient ce que tu as fait, je suis sûre qu’ils diraient que tu n’es pas un être humain.
Reese : On travaille dans l’ombre. J’ai déjà entendu cette formule.
Peter qui arrive vers eux.
Peter Arndt : (Surpris ; à John.) Ah, désolé, je ne savais pas que vous attendiez une amie.
Klara Stanton : Chéri, tu ne lui as pas parlé de ta merveilleuse petite femme ? Ça va barder en rentrant. D’ailleurs, on devrait y aller.
Peter Arndt : Euh, attendez deux secondes, euh, j’aimerai vraiment vous présenter ma femme, elle sera tellement contente de rencontrer quelqu’un de Puyallup. (Il s’en va la chercher.)
Klara Stanton : Je sais ce que c’est. Tu peux me croire, j’ai connu ça. La première fois que j’ai pu rentrer, je suis allée tout droit voir ma famille. Je suis restée pendant trois heures assise dans une voiture de location à les regarder. Et j’ai réalisé que j’aurais beau leur dire tout ce que j’avais vu et tout ce que j’avais fait, ils pourraient jamais rien y comprendre. Ce n’est pas qu’une formule. Oh non, on ne fait que travailler dans l’ombre, on est l’ombre.
Jessica Arndt : Ah, Peter.
Peter Arndt : Jessica.
Jessica Arndt : Désolée, je suis encore en retard.
Klara Stanton : (Elle s’en va.) Il faut partir, John.
Peter Arndt : (À Jessica, en l’embrassant.) Il y a un couple au bar que j’aimerai te présenter.
Jessica Arndt : D’accord.
Peter et Jessica arrivent au bar mais John et Klara sont déjà partis.
Jessica Arndt : Ils ont dû s’évaporer.
Peter Arndt : (Déçu.) Ouais.
Jessica Arndt : Ouais.
 
SÉQUENCE – Madison AvenueCaméraPoste 489819 heures 11 minutes 56 secondes
 
La frise chronologique passe de 2008 à 2012.
 
SÉQUENCES – Pier 5Sécurité C16 heures 02 minutes 19 secondes ; Harbor DrivewaySécurité A16 heures 5 minutes 15 secondes
EXTÉRIEUR – Près du hangarJournée
Ils mettent Ajax dans le coffre d’une voiture puis John à côté.
Vargas : (À Tulley qui met une lampe dans la poche de manteau de John.) Qu’est-ce que tu cherches ?
Daniel Tulley : (Fermant le coffre de la voiture, il prend un portefeuille etl le donne à Vargas.) Il sera plus difficile à identifier sans ça.
Vargas : De toute façon, la voiture va brûler, il ne restera plus rien.
 
SÉQUENCES – Harbor DrivewaySécurité B16 heures 6 minutes 6 secondes ; Harbor DrivewaySécurité B16 heures 6 minutes 13 secondes
Tulley brise la vitre arrière à l’aide d’une barre et les autres membres du groupe mettent de l’essence sur la voiture et dans le coffre où se trouve John, toujours laissé pour mort. Tulley allume un paquet d’allumettes et le jette dans le coffre.
 
SÉQUENCES – Outcropping 4Sécurité A16 heures 6 minutes 52 secondes ; Harbor DrivewaySécurité B16 heures 7 minutes 00 seconde
EXTÉRIEUR – Près du hangarJournée
La voiture continue de brûler avec John à l’intérieur. Il commence à se réveiller mais tousse à cause de la fumée.
SÉQUENCE – Harbor DrivewaySécurité B16 heures 7 minutes 13 secondes
EXTÉRIEUR – Près du hangarJournée
John, toussant toujours, réussi à enlever ses liens des mains et à attraper la lampe torche. Il l’allume. Il essaie tant bien que mal à ouvrir la porte du coffre, y arrive et se jette sur le sol. Il voit Joss.
Carter : Je passais dans le coin, je vous dépose quelque part ?
Reese : (Se relevant.) Ah, c’est mon jour de chance.
Carter : C’est ça pour vous un jour de chance, vous prendre une balle et vous faire rôtir.
Reese : C’est rien, juste une éraflure. Heureusement, Cahill est un excellent tireur.
Carter : (Prenant son téléphone, Joss voit que c’est Harold, elle le donne à John.) C’est pour vous.
Finch : (Au téléphone.) Où est Cahill ?
Reese : (Se sentant blesser.) Oh, euh, ben ça va Finch. Merci de poser la question. Cahill est allé au rendez-vous avec LOS, sans renforts.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Où ça ?
Reese : (Au téléphone.) Dans une casse au sud de Brooklyn, ils sont en route.
 
EXTÉRIEUR – Près du hangarJournée
Reese : (À Carter.) Vous n’auriez pas une autre arme à disposition ?
Carter : (Ouvrant le coffre de sa voiture.) Si.
Reese : (Voyant les armes.) Oh, vous savez que vous me plaisez, vous.
Finch : (Au téléphone.) Monsieur Reese.
Reese : Oui.
Finch : (Au téléphone.) Nous avons un autre problème.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Fusco est entre les mains de l’informateur de Vargas, il est plus que probable que sa vie est en danger.
 
EXTÉRIEUR – Près du hangarJournée
Finch : (Au téléphone.) Monsieur Reese…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : J’ai bien peur qu’on ne puisse pas les sauver tous les deux.
 
SÉQUENCES – Principale casse D16 heures 59 minutes 51 secondes ; Casse Est A16 heures 59 minutes 57 secondes
EXTÉRIEUR – Dans une casse - Journée
Les membres du groupe dont Vargas attendent LOS qui arrive dans un 4x4. Tulley préparant son arme.
Daniel Tulley : (Voyant LOS descendre.) C’est lui, LOS ?
LOS : (S’approchant de Vargas.) Tu as mis une belle pagaille. (Il fait signe à l’un de ses hommes de prendre les sacs du coffre de la voiture.) La prochaine fois, ne me fait pas attendre.
Il commence à partir mais Tulley le prend par la gorge et le menace d’une arme.
Daniel Tulley : Reculez, reculez ! (Les membres du groupe de LOS braquent leur arme vers Tulley.) Faites ce que je vous dis, sinon j’explose la cervelle de votre patron sans la moindre hésitation.
LOS : Tu sais qui tu menaces ? Ils sont où tes renforts ?
Vargas : (Pointant son arme sur la tempe de Tulley.) Lâche-le.
Daniel Tulley : (Toujours aussi menaçant.) Tu vas devoir me tuer.
John tire sur Vargas et le blesse. Joss et John continuent de tirer pendant que les hommes de LOS ripostent. Ils arrivent à les neutraliser. Pendant ce temps, LOS se dégage de l’emprise de Tulley et veut récupérer son arme mais en est empêcher par John.
Reese : (Mettant son pied sur l’arme.) À ta place, je ne ferai pas ça.
Carter : (Pointant son arme sur les hommes à terre, éloignant les armes des assaillants.) Restez à terre, plus personne ne bouge.
Daniel Tulley : (Menaçant LOS.) Allonge-toi.
LOS : (En souriant.) Vas-y, arrête-moi. Je serai sorti dans moins de 24 heures. Et alors là, je t’en ferai baver. (Il est assommé par John.)
Daniel Tulley : Menace sur un agent de police, j’ajouterai ça aux chefs d’inculpation.
Reese : Il n’y aura pas de chefs d’inculpation ou alors, ils ne tiendront pas. Il est de la CIA.
Daniel Tulley : (Surpris.) Quoi ? La CIA fait du trafic de drogue.
Reese : Le gouvernement a perdu la guerre contre la drogue. Le trafic finance la lutte anti-terroriste.
Daniel Tulley : Et ça, tout le monde le sait ?
Reese : J’en doute. La CIA est bâtie sur des secrets.
Daniel Tulley : J’ai risqué ma vie pour ça ? (Prenant LOS.) Je le coffre.
Reese : Si tu fais ça, la CIA va ruiner ta carrière et encore, si tu as de la chance.
Daniel Tulley : Je prends le risque.
Reese : J’aime bien forcer un peu ma chance moi aussi.
Tulley embarque LOS dans la voiture.
 
SÉQUENCE – Weather CamCE 38212 heures 13 minutes 42 minutes
EXTÉRIEUR – Dans une forêtNuit
L’informateur emmène Lionel dans une forêt pour l’éliminer.
Agent : Tu sais pourquoi je suis doué pour mon travail, Fusco. Je suis capable de repérer un ripou rien qu’en le voyant.
Fusco : Alors, regarde-toi dans la glace.
Agent : Tu peux penser que tu es rangé, que tu as trouvé Dieu, Bouddha ou je ne sais quel chaman, mais en réalité, tu as toujours les mains sales et ça ne changera jamais. T’entends quelque chose là ?
Fusco : Non, je n’entends rien.
Agent : C’est exact, ni sirène, ni mégaphone, aucune âme charitable pour te sauver. Tout le monde s’en moque. Cet homme, celui qui te dit des choses, il s’est servi de toi et maintenant, il te laisse pourrir comme une ordure. Au moins, si tu acceptais de me dire qui c’est, tu auras la satisfaction qu’il subisse le même sort.
Fusco : Tu crois que tu es le premier à braquer un flingue sur moi ?
Agent : Non, mais je serai le dernier.
Fusco : Ouais, peut-être bien. Quand tu te prends une balle, c’est dingue ce qu’il te vient à l’esprit. « Tu es content d’avoir un caleçon propre, d’avoir planqué tes revues pornos ». Tu es triste à l’idée que ton fils apprenne que tu étais un flic véreux. Et tu réalises que c’est la fin. Tu essaies de te racheter à la dernière seconde. Tu sais rien de tout ça, toi, pourriture.
Agent : À genoux. (Il oblige Fusco à se mettre à genoux et prépare son arme, prêt à tirer.)
John est arrivé par derrière et tire dans le dos de l’agent. Lionel tente de se tourner, John le relève.
Fusco : Merde, il était vraiment moins une.
Reese : Au moins, je ne suis pas en retard. (Il enlève les menottes de Lionel.)
Fusco : (Prenant un téléphone tombé au sol.) Il faut que je rappelle le gars. Je peux faire un joli coup.
Reese : C’est la preuve qu’il était de mèche avec Vargas ?
Fusco : Ouais.
Reese : (Regardant le téléphone.) Fais voir. (Il le fait tomber au sol et le casse avec son pied.)
Fusco : Je peux savoir ce qui te prend ?
Reese : Je ne peux pas te laisser devenir réglo. J’ai besoin que tu infiltres la DRH, que tu t’en approches.
Fusco : Mais au quartier général, il y a pleins de caméras. Les gens sauront que je suis parti avec ce type. Je risque d’être accusé d’avoir tué un flic.
Reese : Justement, tu auras besoin de tes amis de la DRH pour t’aider à te trouver un alibi.
Fusco : (Il se met à sourire.) Et moi qui commençais à trouver que ce n’était pas mal d’être réglo.
Reese : Tu as fait du bon boulot, Lionel, désolé, mais tu es plus utile dans l’autre camp.
Fusco : (Voyant John partir.) Ouais, j’ai les mains sales et elles le restent, hm.
SÉQUENCES – Skyline Camera 2A7 heures 41 minutes 08 secondes ; Orchard/RugbySud-Ouest – C – 7 heures 50 minutes 12 secondes
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnMatinée
John et Harold surveillent la maison des Tulley.
Danny : (Via un micro.) C’est vrai, on emmène maman à l’hôpital.
Daniel Tulley : (Via un micro.) Ouais, champion.
 
EXTÉRIEUR – Près de la maison des TulleyMatinée
Daniel Tulley : (Prenant son fils dans ses bras.) Tu es sur le point d’avoir un petit frère. (Il le repose et va vers son épouse.)
Melinda Tulley : Je suis sûre d’oublier quelque chose. J’aurais dû tout préparer à l’avance.
Daniel Tulley : (Prenant la valise et soutenant son épouse.) Allez, en route.
Melinda Tulley : Qu’est-ce qu’il y a chéri ? Ça va ?
Daniel Tulley : Je t’aime très fort, tu sais ?
Melinda Tulley : Je le sais, oui.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnMatinée
Finch : Pour votre information, l’agent Snow s’est arrangé pour faire libérer LOS. Il sortira dans une heure. Qu’est-ce que vous comptez faire ?
Reese : Garder un œil sur Cahill. (Voyant la famille Tulley monter dans la voiture.) M’assurer qu’il puisse dormir sur ses deux oreilles.
Finch : Il y aura un bébé à la maison, ça m’étonnerait qu’il passe de bonnes nuits avant plusieurs mois.
Reese : Pauvre homme.
Tulley monte dans sa voiture.
 
SÉQUENCES – EntréeCaméra 108 heures 3 minutes 17 secondes ; EntréeCaméra 68 heures 3 minutes 19 secondes
EXTÉRIEUR – Près du poste de policeJournée
LOS sort du commissariat de police avec Mark Snow.
LOS : Ça fait un bail, Mark. Je suis surpris que c’est toi qu’ils aient envoyé.
Mark Snow : Tu sais bien qu’à l’agence, on prend soin des nôtres.
LOS : Toute l’opération a été comprise, ça a dû nous coûter 20 à 30 millions. Il faut qu’on s’occupe des deux flics qui m’ont arrêté. Un infiltré et une femme lieutenant. Je les avais clairement prévenus. On les raye. (Rejoignant sa voiture.) Il faut qu’on envoie un message.
Mark Snow : Toujours aussi impulsif, Ray, seulement, tu n’as pas le droit de tuer des policiers. Tu n’aurais pas dû te faire arrêter, c’est tout. Je t’avais prévenu. Tu es en terrain ennemi, ici. (Ouvrant la portière.) Allez, monte.
LOS monte dans la voiture mais un agent lui met un sac noir sur la tête et lui attache les mains. Snow ferme la portière.
 
EXTÉRIEUR – Dans la forêtJournée
Simmons : (Voyant Lionel arriver avec une pelle.) J’ai eu ton message, tu as l’air d’avoir un sérieux problème.
Fusco : C’était un accident.
Simmons : Un accident qui s’est réglé à coup de pelle.
Fusco : Aide-moi à me sortir de là, je te vaudrais ça.
Simmons : Je pense que ça ira plus loin que ça, mon pote. Maintenant, tu appartiens à la DRH.
Lionel comprend qu’il n’a pas le choix et rejoint la voiture de police.

_________________
"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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