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 Script VF - 1X17 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb

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carine79
Inspectrice à N-Y
carine79

Série préférée : Lucifer

Script VF - 1X17 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Empty
MessageSujet: Script VF - 1X17 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 1X17 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeDim 19 Juil - 14:16

Finch : On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret : une Machine. Elle vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je le sais parce que c’est moi qui l’aie créée. Je l’avais conçue pour prévenir des actes de terrorisme, mais la Machine voit tout, tous les crimes impliquant des citoyens ordinaires, tels que vous. Des crimes dont le gouvernement se désintéresse. Alors, j’ai décidé d’agir à sa place. Mais il me fallait un associé, quelqu’un capable d’intervenir sur le terrain. Traqués par les autorités, nous travaillons dans l’ombre, jamais vous ne nous trouverez. Mais victime ou criminel, si votre numéro apparaît, nous, nous vous trouverons.
 
Homme 1 : Tu as entendu, Moretti sort de taule.
Homme 2 : Moretti. Tu crois qu’Elias est au courant ?
Homme 1 : Je crois même qu’Elias a arrangé le coup, il veut qu’il soit à découvert.
Des images de Don Moretti et de Carl Elias sont diffusées, la Machine ayant indiqué une menace imminente avec Carl Elias.
 
SÉQUENCE – Outer Fence 15(Cour B)15 heures 4 minutes 26 secondes ; Outer Fence 13(Toit A)15 heures 4 minutes 27 secondes ; Outer Fence 12Périmètre 0115 heures 4 minutes 29 secondes
EXTÉRIEUR – Près de la prisonJournée
Dans la voiture de Joss Carter, John monte à l’intérieur.
Carter : Je peux savoir d’où vous venez comme ça ?
Reese : J’avais envie de marcher.
Carter : Ça fait une trotte depuis Manhattan.
 
SÉQUENCE – Porte principale 0415 heures 5 minutes 21 secondes
Don Moretti sort de prison par la porte principale.
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Joss CarterJournée
Carter : Ne me dites pas que vous êtes là pour Moretti. Comment vous savez qu’il sortait de prison ? (N’obtenant aucune réponse.) Je n’aime pas ça, à chaque fois que vous apparaissez, les ennuis ne sont jamais loin.
Reese : C’est quoi votre plan, Carter ?
Carter : J’ai l’autorisation de placer Moretti sous protection, en échange, il nous dit comment arrêter l’ennemi public numéro un de New York.
Reese : Son fils.
Carter : Ouais, son fils Elias.
Joss sort de la voiture pour rejoindre un autre véhicule où des hommes viennent récupérer Moretti.
Reese : (Activant son oreillette.) Vous êtes là, Finch ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Pas pour longtemps. Vous avez vu Moretti ?
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Joss CarterJournée
Reese : (Voyant Moretti entrer dans une voiture.) Il savoure sa première bouffée de liberté. Vous allez quelque part ?
Finch : (Au téléphone.) Il y a un nouveau numéro.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Mettant son manteau.) Attribué par l’administration de la sécurité sociale il y a deux mois. Il correspond à une femme du nom de Leila Smith. Soit c’est une nouvelle citoyenne, soit c’est une affaire de fraude d’identité. Je n’ai rien de plus que l’adresse de son lieu de travail.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Joss CarterJournée
Reese : Nous sommes sur l’affaire Moretti, pour l’instant Finch. Il faut que vous restez au QG.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Les numéros n’attendent pas leur tour, monsieur Reese. Je vous rappelle.
 
SÉQUENCE – Parking 6(Entrée principale)15 heures 5 minutes 24 secondes
EXTÉRIEUR – Près de la prisonJournée
Joss se met en travers de la route de la voiture de Moretti en montrant sa plaque. Le chauffeur n’a pas le choix que de s’arrêter.
Carter : (Frappant sur la vitre de la porte arrière de la voiture.) Carter, police de New York, vous vous rappelez ?
Gianni Moretti : L’ennui, c’est que tous les flics se ressemblent.
Carter : Vous savez qu’Elias vous recherche.
Gianni Moretti : Je ne le vois pas.
Carter : Pas encore, mais je peux vous mettre en sécurité, si vous voulez. Essayer de vous garder en vie.
Gianni Moretti : Oui, je me souviens de vous maintenant, vous êtes celle qu’Elias voulait tuer. La femme flic qui est toute seule. On dirait que rien n’a changé. (Il remonte la fenêtre de la voiture qui s’en va, laissant Joss seule sous les yeux de John.)
 
SÉQUENCE – EntréeCaméra CTrottoir15 heures 27 minutes 51 secondes
Harold sort de sa voiture dont la Machine l’a reconnu car il a un carré jaune autour de lui.
EXTÉRIEUR – Dans une rueJournée
Il passe devant un fourgon où deux hommes mettent une combinaison hospitalière.
SÉQUENCES – Saint-RaymondSécurité 2(Porte) – 15 heures 28 minutes 31 secondes ; Saint-RaymondSécurité 18(Basement-Panel)15 heures 30 minutes 6 secondes
EXTÉRIEUR – Près d’une cliniqueJournée
Harold descend des escaliers et va vers un boîtier électrique. Il coupe ainsi deux caméras de vidéosurveillance de l’établissement.
INTÉRIEUR – Dans la clinique Saint-RaymondJournée
Harold fait des recherches sur un ordinateur et s’aperçoit que Leila Smith n’est pas une employée mais une patiente.
Finch : Mais vous ne travaillez pas dans cette clinique, Leila, vous êtes une patiente.
 
EXTÉRIEUR – Sur une routeJournée
Joss et John continuent de suivre la voiture où se trouve Moretti.
Reese : Vous savez où il va ?
Carter : Je sais qu’il avait une maison dans le coin.
 
INTÉRIEUR – Dans la clinique Saint-RaymondJournée
Harold sort de l’ascenseur en habit de médecin.
Finch : (À une secrétaire.) Bonjour, docteur Tilman, je viens de voir Leila Smith. Le docteur Adalian m’a demandé de vérifier l’état de sa bronchite.
Mary Abbot : Elle a l’air de s’en être très bien remise.
Finch : C’est ce que je vais vérifier. Vous avez son dossier médical ?
La secrétaire prend le dossier issu d’un porte-dossier puis ouvre la porte grâce à la carte qu’elle a mise dans le lecteur.
Mary Abbot : (Entrant dans la pièce, elle va vers un lit où se trouve un bébé.) Voici Leila, notre petit ange.
Finch : (Regardant le dossier.) Il n’y a pas le nom des parents ?
Mary Abbot : Leila est une enfant abandonnée. Le docteur Adalian l’a trouvée à la porte de la clinique.
Finch : Qui l’a fait enregistrer à la sécurité sociale.
Mary Abbot : Moi. Je voulais être sûr que l’État sache qu’elle existe et même si ses propres parents s’en moquaient, normalement, elle devrait déjà avoir été adoptée mais avec sa bronchite, il fallait qu’elle guérisse. Elle trouvera bientôt un foyer.
Finch : C’est tout, mademoiselle. (La secrétaire quitte la pièce pendant qu’Harold regarde la petite.) Bonjour, Leila. Qui pourrait bien te vouloir du mal ?
 
EXTÉRIEUR – Sur une routeJournée
La voiture de Carter suit toujours celle de Moretti.
 
INTÉRIEUR – Dans la clinique Saint-RaymondJournée
Pendant qu’Harold est au chevet de Leila, un homme s’adresse à la secrétaire.
Homme : On est là pour Leila Smith. (Harold regarde vers deux hommes.) On doit la transférer dans une autre clinique.
Mary Abott : Je n’étais pas au courant.
Harold s’aperçoit que les deux hommes ont un sac et des boots aux pieds. Il appelle John.
 
EXTÉRIEUR – Sur une routeJournée
Le téléphone de John se met à sonner.
Finch : Monsieur Reese,
 
INTÉRIEUR – Dans la clinique Saint-RaymondJournée
Finch : Je crois que j’ai de gros ennuis.
 
EXTÉRIEUR – Sur une routeJournée
Reese : (Voyant une voiture stationner sur la droite de la route.) Oui, moi aussi. Je vous rappelle plus tard.
 
INTÉRIEUR – Dans la clinique Saint-RaymondJournée
Mary Abbot : (Emmenant les deux hommes vers la chambre de Leila, pendant qu’Harold les regarde.) C’est par là, suivez-moi.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de MorettiJournée
Homme : On dirait un accident.
Don Moretti : Ne t’arrête pas.
Femme : (Qui se trouve au sol, elle crie.) S’il vous plaît, j’ai besoin d’aide.
Don Moretti : Continue.
Un 4x4 percute violemment la voiture de Moretti, le chauffeur et Moretti chahutés. L’homme et la femme commencent à tirer. Un autre homme est tué par balle ainsi que le chauffeur. La femme va à la rencontre de Moretti et ouvre la portière.
Femme : Sort de là !
Joss et John sortent à leur tour de la voiture.
Carter : (À un homme.) Police, lâchez votre arme !
John tire et tue l’homme. Un autre homme riposte mais il est touché par John tandis que la femme tire mais est tuée par Joss.
Carter : (Venant à la rencontre de Moretti.) Venez, on s’en va.
John, Joss et Moretti vont vers la voiture.
 
SÉQUENCES EN ACCÉLÉRÉE – 50ème étageVue sur la merCaméra17 heures 23 minutes 08 secondes – 18 heures 13 minutes 9 secondes ; QuartierCaméra 519 heures 4 minutes 44 secondes
INTÉRIEUR – Dans un appartementSoirée
Joss a emmené Don Moretti dans un appartement, en lieu sûr. Szymanski y est déjà.
Szymanski : J’ai appris ce qu’il s’était passé. Vous avez eu de la chance qu’elle soit là, monsieur Moretti.
Gianni Moretti : Ouais. Vous êtes qui ?
Szymanski : Lieutenant Szymanski.
Gianni Moretti : Encore un flic. Il faut que je reste ici ?
Carter : Vous êtes un homme libre, Gianni, vous avez le droit de sortir d’ici et de vous prendre une balle quand vous voulez, ou alors vous pouvez rester et nous aider à arrêter Elias avant qu’il ne vous tue.
Carter quitte l’appartement, ferme la porte et s’en va rejoindre John, qui attendait à l’extérieur.
EXTÉRIEUR – Près de l’appartement de Moretti - Soirée
Reese : Un parrain sous protection. Comment vont réagir vos supérieurs ?
Carter : Ils sont déjà au courant. Elias ne contrôle pas toute la police de New York, pas encore. Il reste de bons éléments, comme le lieutenant Szymanski, des gens qui veulent arrêter Elias et qui pensent qu’avec Moretti, on peut y arriver. Quoiqu’il en soit, merci.
Reese : De rien.
Carter : Soyez sage, OK. (Elle s’en va en souriant.)
Reese : Alors, Finch, est-ce que ça va ?
Finch : (Au téléphone.) Oh.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldSoirée
Finch : On fait aller. Et vous, avec Moretti ?
Reese : (Au téléphone.) Elias avait prévu une petite fête pour sa sortie de prison.
 
EXTÉRIEUR – Près de l’appartement de Moretti - Soirée
Reese : On s’est incrusté.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldSoirée
Reese : (Au téléphone.) Et pour l’autre numéro, ça se passe comment ?
 
EXTÉRIEUR – Près de l’appartement de Moretti - Soirée
Reese : (N’obtenant pas de réponse.) Vous avez perdu votre langue ?
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldSoirée
Finch : J’ai bien peur d’avoir fait quelque chose d’inconsidéré.
Reese : Qu’est-ce que vous entendez par là ?
Leila Smith se trouve dans la voiture d’Harold.
 
SÉQUENCE – Sud-EstCaméra 097 heures 48 minutes 15 secondes
Reese : (Voyant Leila, au sol, en train de s’amuser avec une cravate.) C’est une de vos cravates ? J’espère qu’elle a eu autre chose à manger que vos vieux vêtements.
Finch : Ce qu’elle préfère, c’est de la bouillie poulet-pruneaux. (Il nettoie ses lunettes.)
Reese : Ça existe ça ? Ça n’a pas l’air appétissant. Mais pourquoi quelqu’un voudrait tuer cette enfant.
Finch : Je ne crois pas qu’on ait à faire à un projet de meurtre. À mon avis, si ces individus avaient réussi à la kidnapper, ils l’auraient fait sortir clandestinement du pays pour la déposer dans un orphelinat. Quelque part où les bébés sont très nombreux et l’état civil peu rigoureux.
Reese : Mais pourquoi voudraient-ils s’en débarrasser ?
Finch : Leila est peut-être la preuve d’une liaison ou un obstacle pour quelqu’un qui convoite un gros héritage. Toutefois, j’ignore qui est derrière tout ça. Mais, étant donné que je n’ai pas fermé l’œil de la nuit, (il regarde vers Leila qui mord dans la cravate) j’ai vérifié les comptes de la clinique. Ils ont reçu un don important de 50 000 dollars, à peu près au moment de la naissance de l’enfant et depuis, ils reçoivent à chaque mois 10 000 dollars.
Reese : Qui est le donateur ?
Finch : Anonyme, bien sûr. J’ai envoyé un mail très sévère à la clinique en imitant le style et l’en-tête du fisc, je les menace de leur retirer le statut d’œuvre caritative s’ils ne me communiquent pas le numéro fiscal du donateur, on verra bien si ça fonctionne. (Voyant la photo de Leila sur son écran.) Oh, l’alerte enlèvement a été lancé.
Reese : (Lisant ce qu’il y a sur l’écran.) « Bébé kidnappé hier soir à la clinique Saint-Raymond. Le suspect est un homme de petite taille, aux cheveux ternes, portant de grosses lunettes. » Ma foi, ce n’est pas très flatteur mais c’est quand même mieux que le portrait robot.
Finch : Pas étonnant qu’ils ne retrouvent jamais personne avec ces trucs-là.
Reese : Vous que croyez que Carter pourrait demander à être chargé de l’enquête ?
Finch : Je vais voir avec elle. Ça vous laissera le temps de bien profiter de Leila.
 
INTÉRIEUR – Dans un magasinJournée
Joss va à la rencontre d’Harold qui achète des couches.
Finch : Bonjour lieutenant. Monsieur Moretti vous a dit quelque chose sur Elias ?
Carter : Pas encore, mais on y travaille. (Voyant toutes les courses dans le caddie.) Vous achetez tout ça pour qui ?
Finch : (À voix basse.) C’est pour ça que je voulais vous voir. Un bébé a disparu d’une clinique de Washington Heights hier soir.
Carter : Disparu ? Il a été enlevé par un type avec une drôle… (Comprenant qu’il s’agit d’Harold.) Non, vous n’avez pas fait ça ?
Finch : Elle était sur le point de se faire kidnapper.
Carter : C’est pour ça que vous l’avez enlevée ? Vous savez que l’alerte enlèvement a été déclenché.
Finch : Oui, c’est justement pour ça que nous avons besoin de votre aide.
Carter : (À voix basse.) Vous êtes malade ? Je devrai vous arrêter. (Voyant Harold prendre des petits pots.) Où est le bébé exactement ?
Finch : Leila est en sécurité. Elle est avec John.
Carter : (En chuchotant.) Avec John, John ! Vous lui avez confié le bébé.
Finch : (En chuchotant.) Je sais bien que ce n’est pas l’idéal. Alors, plus vite on élucidera cette affaire, mieux ce sera.
Carter : Que voulez-vous que je fasse ? À part bien sûr ne pas vous arrêter.
Finch : Aller à la clinique, tâchez de trouver des renseignements sur les parents.
Carter : Je crois savoir que Leila a été abandonnée, la clinique n’aura sans doute rien sur les parents.
Finch : Je crois qu’ils en savent plus qu’ils ne l’admettent. Parlez à l’infirmière Abbot, il me semble qu’elle aimait beaucoup Leila.
Caissière : (En souriant.) Félicitations, c’est votre premier ?
Harold regarde la caissière de manière étonnée.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée
Lionel sort un gâteau d’une boîte et commence à le manger. Simmons en profite pour s’approcher de lui.
Simmons : (De manière discrète.) Alors, c’est comme ça que tu gardes les joues rondes.
Fusco : (En mangeant.) Pourquoi, tu es jaloux ?
Simmons : Tu es au courant que Moretti est introuvable depuis qu’il est sorti de prison ? Tout ce que les collègues ont trouvé, c’est cinq cadavres.
Fusco : Quelle tristesse ces règlements de comptes.
Simmons : (Pendant que Lionel boit son gobelet.) Sauf que ce n’était pas un règlement de comptes. Ta coéquipière était dans le coup.
Fusco : Carter ?
Simmons : Elle et deux types du genre cow-boy auraient pris des initiatives d’ordre privé. Ils ont caché Moretti, on veut savoir où.
Fusco : La DRH doit le savoir ? Vous avez des indics un peu partout.
Simmons : Tu es justement l’un d’eux, Fusco. Trouve où elle a caché Moretti. (Il s’en va pendant que Lionel continue de boire son gobelet.)
 
SÉQUENCE – 2nde avenuePoste 40312 heures 31 minutes 55 secondes ; Borden AvenuePoste 21012 heures 33 minutes 26 secondes
INTÉRIEUR – Dans la clinique Saint-RaymondJournée
Mary Abbot : Comme je l’ai dit à vos collègues, on ne sait rien sur les parents. Leila a été trouvée à la porte de la clinique.
Carter : Il n’y avait aucun objet sur elle ?
Adalian : Docteur Adalian et vous êtes ?
Carter : (Serrant la main d’Adalian.) Lieutenant Carter, unité spéciale.
Adalian : Lieutenant, comme vous l’a expliqué l’infirmière, nous ne savons pas d’où vient cette petite.
Carter : Vous avez dû garder quelque chose, je ne sais pas moi, un vêtement qu’elle portait, une couverture.
Mary Abbot : On a…
Adalian : (La coupant.) Non, la loi sur les abandons a été conçue pour protéger les enfants. Pas pour poursuivre les parents en justice. Ça, ce n’est pas notre travail. Merci. (Il s’en va.)
Mary Abbot : Désolée.
Carter : (La retenant.) Excusez-moi. (Elle lui donne sa carte.) Tout ce que je veux, c’est de retrouver Leila. Si quelque chose vous revient, appelez-moi. S’il vous plaît.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Changeant la couche de Leila.) On rabat ce côté et l’autre comme ceci. Voilà, efficace et simple.
Reese : Impressionnant. Ça sert d’avoir fait des études d’ingénieur.
Finch : (Regardant sur son écran car il a bipé.) Ah, excellent, les comptables de la clinique ont fini par fournir l’identité fiscale du donateur. (Pendant que John prend Leila.) Rien de tel qu’une bonne petite menace pour avoir des résultats. L’identité fiscale est celle de Petrosian Construction. (Affichant les résultats sur l’ordinateur pendant que John se trouve à côté de lui avec la petite dans les bras.) Une société qui appartient à Adnan Petrosian. Et si nous faisons un tour dans les marais de l’indiscrétion que sont les réseaux sociaux, on apprend que ce monsieur Adnan Petrosian est marié à une certaine Natalia depuis une bonne vingtaine d’années. Ils ont un fils, Bradley, qui étudie la finance, ici à l’université de New York.
Reese : (Il se penche avec la petite vers l’écran d’ordinateur, il se sert d’une peluche pour suivre les deux hommes qui se trouvent sur l’ordinateur.) Papa ou papa ?
Finch : Un peu de sérieux, monsieur Reese. Je veux que vous vous approchiez de cette famille. (John lui donne Leila.)
EXTÉRIEUR – Près de la maison des PetrosianJournée
John est en train de photographier la famille Petrosian sortant de leur maison. Bradley Petrosian met un sac dans le coffre de la voiture.
Reese : (Installant un micro sur une barre.) Finch, j’ai une vue sur la famille Petrosian. Et je pourrais bientôt les entendre.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibiothèqueJournée
Reese : (Au téléphone ; pendant qu’Harold donne le biberon à Leila.) Ces gens-là ont vraiment beaucoup d’argent.
 
EXTÉRIEUR – Près de la maison des PetrosianJournée
Reese : (Mettant une oreillette dans son oreille.) Vous fréquentez sûrement le même country club.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibiothèqueJournée
Finch : Bon, mais en dehors de ça, est-ce qu’ils ont l’air d’être à la recherche d’un bébé.
 
EXTÉRIEUR – Près de la maison des PetrosianJournée
Adnan Petrosian : (Via le micro.)…Qui a sali la réputation de notre famille, j’ai déjà dépensé une fortune pour te sortir du pétrain.
Bradley Petrosian : (Via le micro ; pendant que John continue de prendre des photos de la famille.) Je suis vraiment désolé de te mettre dans l’embarras, papa.
Adnan Petrosian : (Via le micro.) Je veux savoir, ça s’arrête là ou y aura-t-il encore d’autres surprises déplaisantes ?
Bradley Petrosian : (Via le micro.) Tout a été réglé, OK ?
Reese : On dirait que maman et papa couvrent une bêtise du fiston.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibiothèqueJournée
Finch : C’est pour qui le joli biberon ?
Reese : (Au téléphone.) Finch, vous m’écoutez ?
Finch : (Donnant le biberon.) C’est pour Leila.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Fusco : (Prenant le téléphone de Joss qui se met à sonner.) Lieutenant Fusco, j’écoute.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Mary AbottJournée
Mary Abbot : Je voudrais parler au lieutenant Carter, de l’unité spéciale.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Fusco : Carter bosse à la criminelle, pas à l’unité spéciale.
Carter : (Prenant le téléphone des mains de Lionel.) Ici Carter, que puis-je faire pour vous ?
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Mary AbottJournée
Mary Abbot : C’est Mary Abbot. Euh, dites, c’est vrai que vous êtes de la Criminelle ?
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : (Pendant que Lionel s’est assis à son bureau.) Oh ne faites pas attention à mon collègue, il est nouveau. Je vous écoute, Mary.
Mary Abbot : Leila avait bien quelque chose…
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Mary AbottJournée
Mary Abbot :… sur elle, un bracelet.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : Vous l’avez toujours ?
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Mary AbottJournée
Mary Abbot : Je l’ai donné au directeur, le docteur Adalian. Je lui ai demandé, il ne se rappelle pas.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : Comment était-il ?
Mary Abbot : Il était en argent.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Mary AbottJournée
Mary Abbot : Deux initiales étaient gravées dessus : C.C.
Carter : D’accord. Merci Mary.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : Je vous tiens au courant. (Elle raccroche et regarde vers Lionel.)
 
SÉQUENCE – Sud-EstCaméra 12 14 heures 27 minutes 17 secondes
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Voilà lieutenant, j’ai trouvé une C.C. employée de maison chez les Petrosian, Carrie Crosswell. (Pendant que John regarde Leila en train de dormir.) Mais elle a 58 ans, un peu vieux pour un flirt.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Finch : (Au téléphone ; alors qu’on voit sur un écran la photo de Leila, lié à l’alerte enlèvement.) Je suis en train de vérifier la liste des employés…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch :…de Petrosian Construction.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : (S’énervant.) Vous piratez leur entreprise ?
Finch : (Au téléphone.) Pirater, quel vilain mot. Ah, nous avons deux autres C.C…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Regardant les résultats de ses recherches sur l’ordinateur.)…Chad Colombo, soudeur de 40 ans mais on est à la recherche d’une femme, et Claudia Cruz, 20 ans, réceptionniste au siège social.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : (Faisant une recherche sur son ordinateur.) Claudia Cruz, je regarde.
Finch : (Au téléphone.) Son contrat chez Petrosian a pris fin…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : …il y a huit mois, juste quand sa grossesse aurai commencé à se voir.
Reese : Donnez-moi son adresse, je vais aller lui parler.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : (Voyant le dossier sur l’ordinateur.) Sûrement pas, elle est morte. Son nom apparaît dans un dossier de la criminelle. Elle est morte dans l’incendie de son appartement, il y a quatre jours. L’enquête a conclu à un accident.
John et Harold comprennent qu’il est trop tard.
 
SÉQUENCES – Caméra du parcBanque15 heures 5 minutes 28 secondes ; Caméra du parcTrottoir D15 heures 5 minutes 36 secondes
Femme 1 : (Voyant John avec Leila tenue devant lui.) Oh, qu’elle est mignonne.
Femme 2 : Oh, elle est adorable.
Femme 1 : Oh, chérie.
Femme 2 : Oh, quel beau sourire. Merci, au revoir.
Carter : (Voyant John et Harold arriver.) Vous l’avez amenée avec vous. Tous les flics de New York sont à sa recherche.
Reese : Je lui apprends à sortir incognito et elle est très douée.
Carter : C’est un vrai petit ange. Seulement, je vous préviens John, s’il lui arrive quoi que ce soit…
Finch : On essaie d’empêcher qu’il lui arrive quoi que ce soit. Elle était dans une clinique qui reçoit des dons des Petrosian, sa mère travaillait dans l’entreprise Petrosian et il est très probable que son père soit l’un des Petrosian.
Reese : Mais pourquoi la maman est-elle morte ?
Carter : Peut-être avait-elle accepté de la faire adopter avant de changer d’avis et de décider de la garder.
Finch : Bien sûr, ça aurait tout révéler. Un test ADN et voilà le père obliger de subvenir aux besoins du bébé. La famille aurait été perdante.
Carter : Le mobile du meurtre.
Reese : Ils liquident la mère, font disparaître le bébé, le problème est résolu.
Finch : Il faut qu’on sache si la mort de Claudia était vraiment un accident.
Carter : J’ai fait une copie des rapports d’autopsie et des lieux du crime. Je veux les soumettre à l’expertise d’une personne de confiance chez les pompiers.
Finch : Je vais rendre visite aux parents de Claudia. John va suivre Bradley Petrosian.
Reese : Après avoir nourri Leila.
Carter : (À Leila.) Au revoir, ma puce.

_________________
"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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Script VF - 1X17 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Empty
MessageSujet: Re: Script VF - 1X17 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 1X17 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeDim 19 Juil - 14:18

SÉQUENCES – ToitCaméra 215 heures 57 minutes 27 secondes ; 2ème étageBalconNord- 15 heures 57 minutes 50 secondes
INTÉRIEUR – Dans l’appartement des parents de Claudia CruzJournée
Finch : (En serrant la main de Cruz.) Madame Cruz, Lucas Bennet du service social et familiale.
Sammy Cruz : Il est ici à propos de Claudia.
Finch : Toutes mes condoléances.
Veda Cruz : C’est à quel sujet ?
Finch : Et bien, on a appris que, que… (regardant la photo de Claudia.) Enfin, on a su par un voisin de Claudia, qui a souhaité de rester anonyme, qu’elle était enceinte.
Sammy Cruz : (S’énervant.) Mais non, c’est faux. Enfin, qui est-ce qui vous a dit ça.
Finch : On ne sait pas, monsieur Cruz. La source est anonyme. Il faut qu’on enquête. (Madame Cruz lui fait signe de s’assoir.) Merci.
Veda : (S’asseyant sur le canapé aux côtés de son mari.) Claudia n’était pas enceinte. Je suis sa mère, on était très proches l’une de l’autre.
Finch : Quand avait-elle emménagé dans son appartement ?
Sammy Cruz : Il y a environ neuf mois, pourquoi ?
Finch : À peu près au moment où elle a cessé de travailler pour Petrosian Construction. Vous l’avez vu pendant cette période ?
Sammy Cruz : Pas pendant quelques mois, non. Elle avait l’air un peu gêné quand on parlait de venir la voir.
Finch : Avait-elle un bracelet en argent ?
Veda Cruz : Oui, avec ses initiales dessus. Ma mère le lui avait offert quand elle était bébé. Monsieur, s’il vous plaît, dites-le nous, est-ce que c’est vrai, est-ce qu’elle a eu un bébé ?
Finch : Nous pensons que c’est possible.
Les parents sont excités d’apprendre la nouvelle.
Veda Cruz : Ah, mais où est-il, est-ce qu’on peut le voir ?
Finch : Je peux organiser une entrevue sur terrain neutre mais il faut que ça reste confidentiel.
Sammy Cruz : Oui, bien sûr.
Finch : Qu’est-ce que vous pouvez me dire d’autre sur votre fille ? Avait-elle une liaison par exemple ?
Veda Cruz : (En se levant.) Elle a laissé des papiers ici environ un mois avant sa mort. (Harold se lève.) On a trouvé ça. (Elle donne une photo à Harold.) Je crois que c’est le fils de monsieur Petrosian, Bradley.
 
SÉQUENCE – 1ère avenuePoste 57816 heures 40 minutes 25 secondes
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Bradley Petrosian marche dans la rue, suivi par John.
Finch : (Au téléphone.) Du nouveau, monsieur Reese ?
Reese : Bradley Petrosian est un étudiant sérieux. Il n’a téléphoné à personne, il n’a eu aucun contact avec des individus paraissant suspects. (John voit Bradley Petrosian rentrer dans un bar.)
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : On est en train de faire fausse route ?
Reese : Peut-être.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : (Voyant un homme entrer dans le bar.) Attendez, il rend visite à quelqu’un. (Voyant Bradley et l’homme s’embrasser.) Finch, vous aviez raison, on fait fausse route.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Pourquoi ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : (Il les regarde en train de rigoler.) Je ne crois pas que Bradley Petrosian ait eu une liaison avec Claudia Cruz.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Insistant.) Pourquoi.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : (Gêné.) Disons qu’il a des goûts différents.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Commençant à comprendre.) Alors, il faut s’intéresser au père, Adnan.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Je vais le surveiller. Notre bébé, ça va ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Oh, elle est… (Il se retourne et ne voit plus le bébé.) Il faut que vous reveniez.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement de Claudia CruzJournée
Joss et son ami chez les pompiers inspectent les décombres de l’appartement.
Pompier : Ça paraît logique, beaucoup de bougies. Les rideaux ont pris feu. Est-ce qu’on sait pourquoi elle n’a pas fui ?
Carter : Il y avait des traces d’alcool dans son sang.
Pompier : Donc, elle avait bu, elle s’est endormie. (Il éclaire l’endroit où se trouve un détecteur.) Voyons ce détecteur de fumée.
Carter : D’après le chef des pompiers, la pile était naze.
Pompier : Ce n’est pas un problème de pile, c’est le câblage. Regardez, c’est le fil de cuivre à l’intérieur de la gaine en plastique, il a été retiré. Pas de connexion, pas d’alarme. Une pile défectueuse, ça serait un accident, mais ça. Vous avez des photos de l’autopsie ?
Carter : Ouais. (Ouvrant le dossier pour permettre au pompier de voir.) D’après le légiste, c’est la chaleur qui a provoqué les fissures, pas un choc.
Pompier : Ouais, avec la chaleur, il arrive que les crânes se fissurent. (Éclairant une photo du crâne.) Les craquelures courent le long des lignes de soudure du crâne. (Montrant une partie du crâne.) Il n’y a pas de ligne de soudure naturelle à cet endroit. Donc…
Carter : Cette fissure est due à un choc.
Pompier : Oui.
Carter : Elle était inconsciente quand le feu s’est déclaré. Mais avec quoi l’a-t-on frappé ?
Pompier : L’os est fêlé, pas percé, ni brisé. Quelque chose d’assez rond.
Carter : (Prenant une lampe des décombres.) Quelque chose comme ça ?
Pompier : Ça se pourrait. Nettoyez la suie qu’il y a dessus et vous aurez peut-être de la chance. La chaleur grave parfois les empreintes dans le métal. Ça peut vous donner celle du tueur.
 
SÉQUENCE – Sud-EstCaméra 12 - 18 heures 49 minutes 42 secondes
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Reese : (S’énervant contre Harold.) Comment vous avez pu la laisser sortir ?
Finch : (S’approchant de la fenêtre.) Je n’y suis pour rien, elle a renversé le mur de livres et elle est partie.
Reese : Elle ne sait pas marcher, Finch.
Finch : (Paniquant.) Oh, mon Dieu. Je ne me le pardonnerai jamais.
Reese : (Entendant du bruit, il la voit avec une grenade dans les mains.) Donne-moi ça, Leila. S’il te plaît, ma chérie, donne-moi ça.
Finch : Vous l’avez trouvée ? (Voyant Leila avec la grenade.) Oh, mon Dieu, c’est une grenade.
Reese : S’il te plaît. (Il lui prend la grenade des mains.) C’est juste une grenade lacrymogène.
Finch : Ça reste une grenade. (Prenant Leila dans ses bras.) Tout va bien, tout va bien ma chérie, viens.
John s’en va rejoindre Harold en posant la grenade sur une étagère.
Finch : Je vous l’avais dit de ranger votre arsenal.
Reese : Oui, et j’allais le faire.
Finch : Quand ? Vous attendiez qu’on soit tous morts ? Vous savez ce que pense des armes. Ça ne peut pas continuer comme ça, il faut que l’un de nous reste ici à surveiller.
Reese : Euh, c’est vous qui l’avez enlevée.
Finch : Merci beaucoup de me le rappeler. (Il donne Leila à John pour pouvoir enfiler le protège-bébé sur lui.) Je vais l’amener chez ses grands-parents. Ils veilleront sur elle pendant qu’on neutralisera la menace. (John met Leila dans le protège-bébé.)
Reese : Finch, les méchants ont eu Claudia.
Finch : Allez.
Reese : Ils risquent de vouloir s’en prendre aussi à Sammy et à Veda.
Finch : C’est bien pourquoi je leur ai indiqué un endroit sûr où s’installer quelque temps.
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureaux de Joss Carter et Lionel FuscoJournée
Joss Carter arrive avec un sac où se trouve la pièce à conviction, la lampe retrouvée chez Claudia. Lionel s’en aperçoit.
Fusco : Tu bosses sur une affaire sans moi ?
Carter : Une histoire de mort accidentelle qui pourrait bien être un homicide.
Fusco : Qui est-ce ?
Carter : Une certaine Claudia Cruz. Je viens d’aller sur les lieux. J’ai peut-être trouvé l’arme du crime. (Son téléphone se met à sonner, elle semble pressée.) Szymanski, je me suis désolée, je me suis laissée déborder, je te rejoins le plus vite possible. (Elle raccroche.)
Fusco : Tu as besoin d’aide ?
Carter : Tu pourrais déposer ça au labo pour moi ? Dis-leur que c’est urgent.
Fusco : Ouais, d’accord.
Carter : (Donnant les sacs à Lionel.) Merci.
Fusco : Ce sera tout ? Szymanski, il est bien de l’anti-gang ? (N’obtenant pas de réponse.) Tu sais que tu peux compter sur moi.
Carter : (Regardant autour d’elle pour voir s’il n’y a personne et parle à voix basse.) Szymanski m’a invitée à sortir. Tu peux bien garder ça pour toi, s’il te plaît ?
Fusco : Je vais essayer. Allez, file, je vais descendre confier tes trucs au labo.
Carter : Merci Lionel, je te revaudrai ça.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldSoirée
La voiture d’Harold arrive à l’endroit où se trouve les Cruz.
Reese : (Se tournant vers Harold.) Je vais voir si la voie est libre.
John descend de la voiture et se dirige vers l’appartement. Il entend du bruit, prépare son arme et entre. Malheureusement, un homme, qui a séquestré les Cruz, tire vers John. Celui-ci riposte et arrive à attraper l’homme. Une bagarre éclate entre les deux hommes. L’homme tire une dernière fois et s’enfuit. John va à l’extérieur mais trop tard, la voiture des malfaiteurs est déjà en route. Il commence à courir vers Harold qui est au sol.
Reese : Finch. (Il s’aperçoit que Leila n’est plus dans la voiture, elle a été kidnappée.)
 
SÉQUENCE – Vue du cielCaméra C19 heures 32 minutes 29 secondes
INTÉRIEUR – Dans l’appartement temporaire des CruzSoirée
Finch : (Voyant arriver John, il se fait soigner par Veda Cruz car il a une blessure à la tête.) Vous avez du nouveau ?
Reese : (Montrant un objet.) Il y avait un traqueur GPS sur leur voiture.
Finch : Ce n’est pas de votre faute, désolé, vous êtes toujours en danger, il faut qu’on vous conduise ailleurs, prenez vos affaires. (Ils s’exécutent.)
Reese : (Voyant Harold choqué.) Si on ne récupère pas Leila ce soir, ils vont la faire sortir du pays et ce sera fichu.
Finch : Qui étaient ces hommes, d’après vous ?
Reese : (Montrant un médaillon.) Des Albanais ou des Croates. Ils appartiennent sans doute à un groupe mafieux de l’Europe de l’Est.
Finch : Vous comptez faire quoi ?
Reese : (L’air déterminé.) Tout ce qu’il faudra. (Il s’en va.)
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement de MorettiSoirée
Gianni Moretti : (Ouvrant une bouteille.) Alors, comment ce fait-il que je ne que vous ou Szymanski ? (Se servant un verre.) Si Elias est réellement un gros bonnet, pourquoi est-ce qu’il n’y a pas d’avantage de policiers ?
Carter : Vous avez la mémoire courte, Gianni. Elias vient juste d’essayer de vous tuer. Plus il y aura de flics ici, plus il aura de chances de vous trouver. Alors, aidez-nous à le coincer, c’est dans votre intérêt. (Son téléphone se met à sonner.) Carter.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeSoirée
Kane : Eh, Carter, je reviens du labo. Ils avaient des résultats pour toi sur l’arme du crime sur l’affaire Claudia Cruz.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement de MorettiSoirée
Carter : Ils ont quelque chose ?
Policier : (Au téléphone.) Ouais, ils ont une correspondance.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeSoirée
Policier : Ton tueur était dans notre fichier informatique à cause d’une vieille histoire de violence au volant.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement de MorettiSoirée
Carter : Tu as son nom ?
 
SÉQUENCES – Salle de séjourCaméra 221 heures 14 minutes 39 secondes ; Salle de séjourCaméra 221 heures 14 minutes 41 secondes
INTÉRIEUR – Dans la maison des PetrosianDans la salle de séjourSoirée
John brise la porte-fenêtre de la maison des Petrosian et s’approche d’Adnan Petrosian. Les deux sont paniqués.
Adnan Petrosian : Qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous… (Il est pris à la gorge par John qui le plaque contre le mur de la cheminée.)
Natalia Petrosian : Sécurité !
Reese : Où est-elle ?
Adnan Petrosian : Qui ça ? Qu’est-ce que…
Un agent de la sécurité arrive et John envoie un objet vers celui-ci et une bagarre se met à éclater.
Reese : (Montrant le médaillon, il reprend à la gorge Adnan Petrosian.) Celui qui a perdu ça a kidnappé Leila. Dites-moi où il l’a emmenée ?
Adnan Petrosian : Je n’en sais rien, je vous jure que je n’en sais rien.
Reese : Vous aviez une liaison avec Claudia Cruz, n’est-ce pas ?
Adnan Petrosian : D’accord, c’est vrai.
Reese : Vous l’avez fait tuer, vous avez fait enlever le bébé.
Adnan Petrosian : Non, jamais je ne ferai de telles choses.
Natalia Petrosian : Qu’est-ce que vous allez faire, vous allez le torturer ?
Il fait tomber Petrosian au sol car son téléphone se met à sonner.
Natalia Petrosian : Vous avez déclenché l’alarme, la police sera là dans cinq minutes.
Le message que John a reçu est « Les empreintes de l’épouse sont sur l’arme du crime. ».
Reese : Non, je ne vais pas le torturer. Parce que ce sont vos empreintes qui sont sur l’arme qui a tué Claudia.
Adnan Petrosian : Chérie, qu’est-ce que tu as fait ?
Natalia Petrosian : Oh, je t’en prie.
Reese : Qui a engagé les ravisseurs de Leila ? C’est vous ?
Natalia Petrosian : Oui.
Reese : Appelez-les.
Natalia Petrosian : Je ne peux pas, le numéro n’est plus en service.
Reese : Comment vous l’aviez eu ?
Natalia Petrosian : Par ma famille, en Europe. J’ai appelé, j’ai eu quelqu’un à qui j’ai expliqué le problème. Une fois que j’ai eu payé, il a dit que le numéro ne serait plus en service. Je ne pouvais plus l’appeler même pour lui dire de tout arrêter.
Reese : (Montrant le médaillon.) Et sa mission, c’était de faire passer la mort de Claudia pour un accident et de se débarrasser du bébé ?
Adnan Petrosian : Comment tu as pu faire ça ?
Natalia Petrosian : Il fallait bien réparer tes bêtises. Et il n’y a rien que vous puissiez faire, c’est trop tard.
John quitte la maison des Petrosian.
 
INTÉRIEUR – Dans un barSoirée
Reese : (Mettant le médaillon dans un verre de bière.) Je veux savoir à qui ça appartient. (L’homme brise le verre mais est coincé sur le bar par John.) Il a kidnappé un enfant, un bébé. Et je veux savoir où il est.
Trois hommes, dont un muni d’un couteau, s’approchent de John pour l’attaquer.
Reese : (En souriant.) Vraiment ?
 
SÉQUENCES – Vue sur la merCaméraPoste 56222 heures 6 minutes 28 secondes
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Lionel FuscoSoirée
Lionel est en train de surveiller Joss dans l’appartement de Moretti. Avec ses jumelles, il l’aperçoit et comprend qu’il a trouvé ce qu’il cherchait.
 
INTÉRIEUR – Dans un barSoirée
John, après avoir mis à terre tous les hommes, ces derniers souffrent de douleurs.
Reese : (Menaçant l’homme avec une arme.) Une dernière fois, comment je fais pour le trouver.
Homme : Je ne sais pas.
Reese : (Enclenchant l’arme.) Je vais te tuer.
Homme : Vas-y, tue-moi, ça ne changera rien. Ton bébé est loin. Celui qui l’a enlevé l’a déjà refourgué, même lui ne pourrait rien te dire. Alors, vas-y, tire.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : (Regardant la photo de Leila avec John.) Alors, personne ne sait où elle est.
Reese : Pas tout à fait. Il y a quelqu’un qui sait tout ce qu’il se passe, il connait le milieu, les gangs, les syndicats.
Finch : (Comprenant de qui il veut parler.) Oh non, vous n’êtes pas sérieux.
Reese : Vous avez toujours son téléphone ?
Finch : Non, vous ne pouvez pas vous en servir.
Reese : Leila est entre les mains de types qui n’hésiteront pas à la tuer si les choses tournent mal.
Finch : Ça reste trop risqué.
Reese : (Prenant le portable.) Eh bien, je n’ai pas d’autre solution. Je suis obligé de prendre le risque. Je vais passer cet appel.
Finch : (S’approchant de John.) Et pourquoi il accepterait de vous rencontrer ?
Reese : (Le portable sur l’oreille.) Juste parce qu’il est curieux.
 
SÉQUENCES – Sécurité du pont244 heures 25 minutes 40 secondes ; Sécurité du pont204 heures 25 minutes 41 secondes
EXTÉRIEUR – Sur un terrain vagueNuit
Deux hommes amènent John, qui a une cagoule sur la tête, vers Elias.
Carl Elias : (Après qu’un homme ait enlevé la cagoule de John.) John, content de te revoir. Dis-moi tout, tu es brouillé avec ton patron, tu cherches un nouvel emploi.
Reese : Je cherche de l’aide.
Carl Elias : De l’aide ? Mais pourquoi je devrais t’aider ?
Reese : Je t’ai sauvé la vie.
Carl Elias : Ouais, ça c’est vrai. Mais d’un autre côté, tu as aussi saboté une petite réunion de famille que j’avais planifiée. C’était toi, pas vrai ? (N’obtenant aucune réponse.) Ton honnêteté te perdra. De quoi il s’agit ?
Reese : Quelqu’un a kidnappé un enfant, assassiné sa mère, tout comme Moretti a tué ta mère, volé ton enfance.
Carl Elias : Tout va bien, j’ai survécu.
Reese : Cette petite fille n’aura pas cette chance. Elle n’a que quelques mois. Un bébé. Je sais que ton intention est de diriger la ville, mais pour ça, il faut des règles. Et si tu laisses les gens s’attaquer aux enfants, alors, il n’y a plus de règles. Plus de vainqueur.
Carl Elias : (Se mettant à collaborer.) Qui est derrière le kidnapping ?
Reese : Un groupe d’Europe de l’Est. Ils ont été payés pour conduire le bébé hors des frontières. Et ils vont le faire cette nuit.
Carl Elias : Leur territoire ne s’étend pas au-delà de Jersey. Ils la remettront aux Mexicains. Ce sont les spécialistes de ce genre de choses.
Reese : Un rendez-vous comme celui-là, tu peux trouver où ça va se passer, et tu peux m’y emmener.
La voiture de Marconi s’arrête et dépose John dans un endroit inconnu.
Anthony Marconi : La rencontre a lieu au 1637 Camden, tu devrais y être à temps. (Lui donnant des objets.) Moi, je t’aurais descendu mais le patron a un petit faible pour toi. (Il s’en va.)
 
SÉQUENCE EN ACCÉLÉRÉE – CourCaméra 55 heures 52 minutes 51 secondes – 6 heures 12 minutes 18 secondes ; Cour de fretCaméra 36 heures 12 minutes 21 secondes ; Cour de fretCaméra 2 - 6 heures 18 minutes 36 secondes
EXTÉRIEUR – Dans un terrain vagueMatinée
Deux 4x4 arrivent. Dans une, deux hommes en sortent dont un qui porte Leila qui se trouve dans un sac. Deux Mexicains sont également sortis de leur voiture et tous les quatre se rapprochent. Mais une camionnette arrive sur le côté et les quatre hommes tirent dessus.
Homme : Il n’y a personne dedans. (Voyant furtivement John.) Par là. (Ils continuent à ouvrir le feu.)
Reese : (Qui a neutralisé deux hommes, il pointe son arme vers les deux rescapés.) Dernière chance. Posez vos armes et tirez vous. (Il tire en direction d’un homme.)
Mexicain : D’accord, ça marche, tout ce que tu veux, mec. (Il dépose son arme et prend son collègue par le bras et s’enfuit.) Viens.
Homme : (Pointant son arme vers John.) Arrête, j’ai le bébé. Tu entends, n’avance pas !
Reese : (Il pointe également son arme vers le kidnappeur.) Pose le sac au sol.
Homme : Non. Tu vas me tirer dessus.
Reese : (Pendant que la voiture des Mexicains s’en va.) Exact. (Il tire sur l’homme qui tombe à terre ainsi que le sac. Il prend ainsi Leila.) C’est fini, Leila. Tout va bien.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Reese : (Au téléphone ; pendant qu’Harold suit les événements.) Je suis là.
 
EXTÉRIEUR – Dans un terrain vagueMatinée
Reese : (Activant l’oreillette.) Finch, j’ai retrouvé Leila. Je la ramène. Elle va bien. Je fais vite. OK.
Anthony Marconi : (Pointant son arme sur la tempe de John.) Désolé, le patron a changé d’humeur.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : (Comprenant que quelque chose s’est passé.) John.
 
EXTÉRIEUR – Dans un terrain vagueMatinée
Les hommes qui ont fouillés John ont cassé son téléphone. À la bibliothèque, sur son écran d’ordinateur, Harold voit que la connexion a été perdue.
 
SÉQUENCES – Entrée du cheminCaméra 026 heures 44 minutes 22 secondes ; DépôtCaméra 66 heures 46 minutes 59 secondes
INTÉRIEUR – Dans un camion frigorifiqueMatinée
Reese : (Pendant que Marconi attache John à une barre.) Qu’est-ce que vous avez fait du bébé ?
À l’extérieur, Carl Elias tient le bébé dans ses bras.
Carl Elias : Elle est ici, John.
Reese : On avait un arrangement.
Carl Elias : Mais j’ai réalisé que tu pouvais faire quelque chose pour moi. Dis-moi où Moretti est caché.
Reese : Je n’en sais rien.
Carl Elias : (Donnant Leila à Anthony qui la dépose au sol.) C’est un camion frigorifique, (la petite est toujours en train de crier pendant qu’Elias met en route le froid) il va faire vite très froid là-dedans. Toi, tu arriveras à survivre quelques heures à mon avis, mais cette toute petite chose si fragile.
Reese : Elias.
Carl Elias : Tu n’as qu’à crier si tu changes d’avis. (Au sol du camion se trouve un baby phone.)
Reese : Ne fais pas ça. Elias. (Marconi ferme la porte du camion pendant que Leila pleure.) Elias !
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeMatinée
Lionel est en train d’utiliser le photocopieur lorsque Simmons arrive, un dossier ouvert à la main.)
Simmons : Du nouveau sur Carter ?
Fusco : (Pendant que Joss arrive.) Je l’ai suivie. J’ai appris quelque chose. (Elle lui fait un signe de la main.)
Simmons : Quoi, qu’est-ce que tu sais ?
Fusco : (Regardant Carter qui est à son bureau.) Elle, euh… elle aime la pizza. Surtout avec des poivrons.
Simmons : (Comprenant qu’il lui ment.) Je connais un cadavre qui porte ta signature. Je n’hésiterais pas à m’en servir. Trouve-nous où elle cache Moretti. (Il s’en va.)
 
SÉQUENCE EN ACCÉLÉRÉE – DépôtCaméra 127 heures 38 minutes 12 secondes – 7 heures 51 minutes 34 secondes
INTÉRIEUR – Dans le camion frigorifiqueMatinée
Pendant qu’il fait toujours aussi froid, la petite continue de pleurer.
Reese : Tiens bon, Leila, je t’en supplie. (Pendant que Leila tente de se lever, John essaie de faire bouger la barre d’où il est retenu. Il se met à crier.)
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans les bureaux de Joss Carter et de LionelMatinée
Carter : Eh, Fusco.
Fusco : Ouais.
Carter : On a le rapport du labo. Tu viens arrêter l’assassin de Claudia Cruz ?
Fusco : (Se levant.) Ouais, pourquoi pas.
Carter : (Pendant que son téléphone se met à sonner.) Une seconde, il faut que je réponde.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldMatinée
Carter : (Au téléphone.) Carter.
Finch : Lieutenant Carter. John a retrouvé le bébé mais j’ai perdu le contact.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans les bureaux de Joss Carter et de Lionel - Matinée
Carter : Vous l’avez perdu ? Et le bébé ?
Finch : (Au téléphone.) Dernière localisation…
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldMatinée
Finch : …1637 Camden à Brooklyn. Je vous en supplie, faites tous ce que vous pouvez.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans les bureaux de Joss Carter et de Lionel - Matinée
Carter : D’accord. (Elle raccroche puis se tourne vers Lionel.) Désolée Lionel, un empêchement. Madame Petrosian, elle est à vous. (Elle s’en va en courant.)
 
SÉQUENCES – Bateau de la police125BCaméra 18 heures 10 minutes 33 secondes ; ToitOuest8 heures 13 minutes 21 secondes ; DépôtCaméra 068 heures 16 minutes 55 secondes
INTÉRIEUR – Dans le camion frigorifiqueMatinée
John est assis, ayant de plus en plus froid. La petite s’est calmée mais est gelée. John tente de se relever pour retirer la barre, qui avec le froid, se détache. Leila s’est remise à pleurer pendant que John arrive à enlever ses mains de la barre. Il entoure Leila avec ses bras pour tenter de la réchauffer.
Reese : Viens là, viens mon petit cœur. C’est bon, ça va aller.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un entrepôtMatinée
Harold arrive avec sa voiture, en sort et voit les deux kidnappeurs allongés au sol avec le sac à côté de l’un d’eux. Il ne sait pas où chercher John.
 
INTÉRIEUR – Dans le camion frigorifiqueMatinée
Il tente de réchauffer Leila et voit le baby phone, ne sachant pas quoi faire. Il se décide à parler à Carl.
Reese : Elias, Elias.
Carl Elias : (Via le baby phone.) Oui, John.
Reese : D’accord. Tu as gagné.
Carl Elias : (Via le baby phone.) On gagne tous les deux. Où est Moretti ?
Reese : J’ai quelle garantie que tu me libères ?
Carl Elias : (Via le baby phone.) Aucune.
Reese : (Il se résigne à donner l’adresse.) 1465 Jefferson. Dans le Queens.
Carl Elias : (Via le baby phone.) Merci, John. Tu as raison, je ferais jamais de mal à un enfant. Mais je savais bien que toi non plus. Au revoir John.
Reese : Elias. Elias !
Quelqu’un fait tomber la clé des menottes pour que John puisse se libérer. Ce dernier utilise la barre pour enlever l’attache de la porte du camion. Il prend Leila et court aussi vite vers un camion d’où il met en route le chauffage pour réchauffer la petite.
Reese : Respire, respire bébé. Allez, c’est fini, réchauffe-toi. (Il embrasse la main de Leila.) Allez, pleure. (Il roule avec le camion pendant qu’Harold arrive en même temps, tous les deux manquent de se faire percuter.
Reese : (Sortant du camion pendant qu’Harold sort aussi de la voiture.) Leila est dans le camion, j’ai besoin de votre voiture.
Finch : Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Reese : Elias s’en est mêlé.
Pendant que John s’en va avec la voiture, Harold monte dans le camion et voit Leila allonger sur le siège passager.)
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Joss CarterMatinée
Le téléphone de Joss se met à sonner.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldMatinée
Reese : Elias sait où est Moretti.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Joss CarterMatinée
Carter : Comment ça se fait ?
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldMatinée
Reese : Rendez-vous là-bas, je suis en route.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Joss CarterMatinée
Carter : (Elle téléphone à Szymanski.) Szymanski, on est grillé, emmenez Moretti ailleurs, tout de suite.
 
EXTÉRIEUR – Près de l’appartement de MorettiMatinée
Szymanski : (Tapant à la porte.) Gianni, c’est Szymanski. Gianni !
Gianni Moretti : (Ouvrant la porte.) Je voulais vous servir un verre, ça tombe bien.
Szymanski : Je ne crois pas, non. Carter dis qu’il faut qu’on bouge. (Entrant dans l’appartement.) Prenez vos affaires.
 
SÉQUENCES – Angle de la 42ème et de la 5èmeSud-OuestCaméra 038 heures 52 minutes 21 secondes ; Angle de la 42ème et de la 5èmeSud-EstCaméra 028 heures 52 minutes 22 secondes ; 47ème rueSignalCaméra 1409 heures 04 minutes 10 secondes ; WeatherCaméra 206A9 heures 05 minutes 25 secondes ; Sud-EstCaméra 109 heures 05 minutes 52 secondes
John passe devant des caméras de vidéosurveillance car un carré jaune entoure la voiture.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : (Portant Leila dans ses bras.) Vous y êtes, monsieur Reese ?
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement de MorettiMatinée
Reese : (Entrant dans l’appartement.) J’y suis, Carter aussi. (Voyant Szymanski blessé au sol pendant que Joss cherche une serviette pour arrêter l’hémorragie.) Oh, non.
Carter : Envoyez une ambulance au 1465 Jefferson dans le Queens. Officier par balle à l’abdomen, je répète, officier blessé.
Policier : Bien reçu, on vous envoie du secours.
Reese : Et Moretti ?
Carter : Ils l’ont emmené. Qui a mis Elias au courant ?
Reese : C’est moi. J’ai dû révéler la planque pour sauver le bébé.
Carter : Oh, John, pourquoi vous étiez en contact avec Elias ?
Reese : Je n’avais pas le choix, on avait perdu Leila.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Carter : (Au téléphone ; pendant qu’Harold écoute la conversation.) Vous dites que vous n’aviez pas le choix.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement de MorettiMatinée
Carter : Mais si, il y avait une solution, appeler la police. On est là pour ça. Je ne peux pas continuer plus longtemps. Je regrette. Vous et votre ami… Je suis désolée. (Pendant qu’Harold écoute la décision prise par Joss.) Filez, cet endroit va grouiller de monde. Allez-vous-en. (S’énervant.) Fichez le camp !
John s’en va pendant que Joss appuie sur la blessure de Szymanski. Harold comprend que la collaboration est compromise.
 
SÉQUENCE – TourAirspace 321 heures 15 minutes 54 secondes ; Beverly/OceanSud-OuestC21 heures 16 minutes 35 secondes
EXTÉRIEUR – Près de l’appartement des Cruz - Soirée
John et Harold descendent de la voiture, ce dernier tenant le siège où se trouve Leila pour la ramener chez ses grands-parents.
Reese : Au revoir, Leila.
Finch : (Donnant le siège où se trouve Leila à Sammy.) Tu seras bien sage.
Veda Cruz : Merci du fond du cœur.
Reese : (Voyant Harold revenir vers lui.) Ça doit être bien d’avoir un enfant. Des enfants. Vous croyez que ça arrivera un jour ? (Pendant qu’Harold se tourne vers l’appartement des Cruz.) Je suppose que non. (Voyant Veda prendre Leila dans ses bras.) Pas avec notre métier.
Finch : L’ennui avec les enfants, c’est qu’on ne sait jamais ce qu’ils vont devenir.
 
EXTÉRIEUR – Dans un terrain vagueSoirée
Marconi amène Gianni Moretti, qui a une cagoule sur la tête, devant son fils, Carl Elias.
Carl Elias : Salut, papa.

_________________
"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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