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 Script VF - 2X04 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb

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AuteurMessage
carine79
Inspectrice à N-Y
carine79

Série préférée : Lucifer

Script VF - 2X04 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Empty
MessageSujet: Script VF - 2X04 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 2X04 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeMer 22 Juil - 14:25

Finch : On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret : une Machine, qui vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je l’avais conçue pour prévenir des actes de terrorisme mais la Machine voit tout, tous les crimes impliquant des citoyens ordinaires. Le gouvernement juge ces crimes non pertinents, mais pas nous. Traqués par les autorités, nous travaillons dans l’ombre, jamais vous ne nous trouverez. Mais victime ou criminel, si votre numéro apparaît, nous vous trouverons.
 
SÉQUENCES – Vue du cielCaméra 0220 heures 01 minute 16 secondes ; 2ème avenueCaméra 35520 heures 15 minutes 14 secondes ; Rue HoratioXCaméra 2020 heures 12 minutes 07 secondesAngle de la 55ème et de la 1èreCaméra 02 -  23 heures 26 minutes 19 secondesVue de la merCaméra A37800 heure 02 minutes 00 seconde - 12 heures 13 minutes 10 secondes
La Machine intercepte un entretien entre deux hommes.
Homme 1 : Autrefois, les gens comprenaient les choses comme le respect, la loyauté, l’honneur. Mais c’est fini tout ça.
Homme 2: Alors, qu’est-ce que tu veux faire ?
Homme 1 : Il n’y a qu’une seule chose à faire : s’en occuper.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
John est dans sa voiture et surveille un homme plutôt âgé ainsi que deux jeunes hommes.
Finch : (Au téléphone.) Vous avez repéré notre proie, monsieur Reese ?
Reese : (Il surveille avec son appareil photo.) En effet. L’endroit s’appelle « Chez Grand ».
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Bonne adresse.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
Reese : (Prenant des photos.) Vous connaissez ?
Finch : (Au téléphone.) Je n’y suis pas revenu…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : …depuis qu’ils ont rénové mais l’entrecôte du « Vieux Grand » était un régal.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
Reese : Donc, notre homme a des goûts de luxe, on dirait.
Finch : (Au téléphone.) En tout cas, pour celui pour qui il travaille, certainement.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : George Massey, il possède un certain nombre d’établissements en ville mais on le connaît surtout pour des activités moins reluisantes, (regardant des articles de journaux sur son ordinateur) comme par exemple prêts illégaux, blanchiment d’argent, racket.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
Reese : Content de savoir que la Mafia irlandaise est toujours bien en vie.
Finch : (Au téléphone.) Si la ville doit avoir des criminels organisés, autant qu’ils soient variés.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Massey dirige ses multiples affaires avec son fils, Eddie.$
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
Reese : Et notre gars ?
Finch : (Au téléphone.) Il s’appelle Riley Cavanaugh.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Regardant des recherches sur Internet.) Il n’a plus de famille et sa scolarité s’est achevée au collège. Le seul travail qui l’ait gardé quelque temps, consistait à conduire un camion pour les entreprises de Massey. D’ailleurs, il semble qu’il soit associé à Massey depuis quelques années.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
Reese : Associé pour faire quoi ?
Finch : (Au téléphone.) Le genre de choses qui attire la Machine.
Reese : (Retirant l’appareil photo.) J’y vais.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Il se passe quelque chose ?
Reese : (Au téléphone.) Oui…
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
Reese : …j’ai faim.
 
INTÉRIEUR – Dans le restaurant « Chez Grand » - Journée
Pendant que dans le restaurant, on s’active, John arrive et prend la carte. Il s’assoit à une table.
George Massey : Tu as parlé au propriétaire du nouveau bar de la 35ème ?
Eddie Massey : Pas encore, on va y passer aujourd’hui.
George Massey : Bien. Faites-moi savoir si j’ai besoin de m’impliquer.
John, attablé et regardant la carte, appaire le téléphone de Riley.
Annie Delaney : Eh bien, vous me prenez mon boulot.
Reese : Désolé, vous étiez occupée.
Annie Delaney : Un serveur va prendre votre commande sauf si vous lui piquez son boulot.
Reese : Non, j’ai déjà assez du votre. (Annie se met à rire.)
Patron : Tu vas comme tu veux, George ? Tu te régales ?
George Massey : Oh, ah, c’est extra. Je ne me rappelle même plus comment c’était avant.
Patron : Le quartier a changé, il faut savoir prendre le train en marche, comme on dit.
George Massey : (Pendant que John écoute la conversation.) Ouais, il y a des choses qui changent. Et d’autres non. Comme par exemple, toi et moi.
Patron : Je sais que je suis en retard, mais accorde-moi…
Eddie Massey : En retard ? Tu es plus qu’en retard.
Patron : Ça fait trois mois qu’on est pris à la gorge à cause des travaux, et les gens ne sortent plus dîner au restaurant comme avant.
George Massey : Ouais, je sais, je sais, ce que je veux dire, c’est que tu peux mettre tout le pognon que tu veux dans la déco, les tringles à rideaux, le papier peint tant que tu continues à me remplir les poches sans te faire prier. Compris ?
Patron : Ouais. Oui, je comprends.
George Massey : Bien. Parce que tu sais, la prochaine fois, ça ne sera sans doute pas moi qui passerai te voir.
Riley Cavanaugh : Ce sera moi. (Montrant son arme.) Et je ne viendrai pas pour déjeuner.
Reese : Le soi-disant associé est l’homme de main de Massey.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Vous voulez dire que ce monsieur est bien le numéro que nous cherchons ?
 
INTÉRIEUR – Dans le restaurant « Chez Grand » - Journée
George Massey : (Interpellant la serveuse qui a deux assiettes dans les mains.) Annie, attends un peu. Viens me voir. Hey, qu’est-ce qu’il se passe, tu ne dis plus bonjour maintenant.
Annie Delaney : Désolée George, je suis en plein rush.
George Massey : Tu sais, euh, j’ai beaucoup pensé à toi ces derniers temps.
Annie Delaney : Ah, c’est un compliment ou une menace ?
George Massey : Hmm. Allez, quoi, je veux juste savoir comment tu vas, tu sais ? Savoir si tu as fini par trouver quelqu’un pour te réchauffer la nuit dans ton lit. (Eddie se met à rire.)
Annie Delaney : Pourquoi, tu te portes volontaire ? Puisque ça, ça fout les jetons.
George Massey : Hmm. Hey, je suis un homme marié. Tu devrais me montrer plus de respect.
Annie Delaney : Et moi, je te rappelle que je suis la veuve de l’un de tes hommes. Alors, restons-en là, d’accord ?
George Massey : (La voyant partir.) Hey, (elle se tourne vers lui) ce qui est arrivé à Sean, c’est dramatique. Mais c’est lui qui s’est mis dans de sales affaires avec les Russes, pas moi.
Annie Delaney : Je croyais qu’il travaillait pour toi, George.
George Massey : Je n’étais pour rien dans les dettes qu’il avait. Il flambait tout au jeu et il en est mort. Il faut que tu apprennes à l’accepter, Annie.
Annie Delaney : Je l’accepte. Mais je me souviens aussi que Sean était adorable jusqu’au jour où il s’est mis à travailler pour toi. Alors, tout ce que je sais, c’est qu’il me manquera toujours. Je me demande à qui tu pourrais bien manquer quand tu mourras.
George Massey : (En la voyant partir.) Fais attention à toi, Annie. (Énervé, il jette sa serviette sur la table.) Sortons de ce restaurant de merde. (Il se lève.)
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Vous pouvez me dire qui est cette jeune inconsciente ?
 
INTÉRIEUR – Dans le restaurant « Chez Grand » - Journée
Reese : C’est l’hôtesse. (La voyant près du meuble où sont posées les cartes.) Elle a du courage. George a été sacrément servi avec elle.
 
SÉQUENCES – WeatherCam 23 A13 heures 40 minutes 11 secondesSpring StreetCaméra 13414 heures 17 minutes 19 secondes ; EntréeCaméra A115 heures 01 minute 13 secondes
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyJournée
George, Eddie et Riley entrent dans le bar. Le barman met une boîte sur le comptoir alors que John entre à son tour. Eddie et Riley mettent leur portable dans la boîte.
George Massey : (Entrant dans une pièce.) Laissez-moi cinq minutes.
Reese : (Les voyant mettre leur téléphone et aller vers une autre pièce.) Ils sont prudents.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Reese : (Au téléphone ; pendant qu’Harold joue avec Balou.) Ils laissent leur téléphone au bar avant d’aller…
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyJournée
Reese : …parler affaire dans l’arrière-salle.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Il se lève et va à son poste de travail.) Parfait, ça peut nous servir. Si les téléphones sont proches les uns des autres, celui de Riley peut faire fonction d’hébergeur…
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyJournée
Finch : (Au téléphone ; pendant que le téléphone de Riley soit connecté à l’autre.)… pour nous permettre d’accéder aux autres.
Reese : On a quand même besoin d’entendre ce qu’ils disent.
Finch : (Au téléphone.) Qu’est-ce que vous suggérez ?
Reese : (Il prend un verre sur le bar et se met de l’eau sur lui.) Improvisation.
 
SÉQUENCE – CouloirCaméra B15 heures 03 minutes 4 secondes
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyJournée
George Massey : (Il sort de la pièce et est bousculé par John qui lui met un micro sur lui.) Euh, attention, tu as problème ou quoi ?
Reese : J’aime pas la façon dont tu me regardes. Donne-moi un verre et je laisse tomber.
George Massey : (À ses gardes du corps.) Flanqué-le dehors.
 
EXTÉRIEUR – Près du pub de George MasseyJournée
John est envoyé au sol par les deux hommes et se relève alors qu’ils restent devant la porte.
 
SÉQUENCE – EntréeCaméra A115 heures 14 minutes 16 secondes
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Ça a fonctionné, monsieur Reese ?
 
EXTÉRIEUR – Près du pub de George MasseyJournée
Reese : On va le savoir dans une minute. (Il s’en va.)
 
SÉQUENCE – 2ème avenueCaméra 47815 heures 14 minutes 21 secondes
INTÉRIEUR – Dans le bar de George MasseyDans l’arrière-salleJournée
George Massey entre dans la pièce, il enlève son manteau et le pose sur le porte-manteau.
George Massey : Cette histoire avec Annie…
Eddie Massey : Oublie ça, papa.
George Massey : Oublie ça ? Tu as entendu comment elle m’a parlé.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
George Massey : (Via un micro.) Elle a été jusqu’à pleurnicher sur son idiot de mari en public.
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyDans l’arrière-salleJournée
George Massey : Autrefois, les femmes avaient du respect. Hmm. Ça veut dire qu’elles savaient quand il fallait se taire.
Riley Cavanaugh : Peut-être que je devrais lui rendre visite ?
George Massey : (Se tournant vers Riley.) Pourquoi ? Tu as une manière particulière de la mettre au pas ?
Riley Cavanaugh : Ben, je pourrais lui dire de laisser tomber ?
George Massey : Parce que tu crois que c’est le genre de fille qui va laisser tomber ?
Eddie Massey : Tu sais, Riley peut se montrer très persuasif. (Il se met à rire.)
George Massey : D’accord. Occupe-toi d’elle, fais-le ce soir.
Riley Cavanaugh : D’accord.
George Massey : (S’asseyant sur une chaise.) Te contente pas de la faire taire. Je veux qu’elle disparaisse.
Riley Cavanaugh : Euh, je ne sais pas trop, patron.
George Massey : Tu sais pas ? (Il se tourne vers Riley.) Tu ne sais pas quoi ?
Riley Cavanaugh : Ben, c’est la veuve d’un des membres du clan. Question de morale.
George Massey : De morale ? À qui est cette morale qui tu préoccupes tant ? C’est la leur ou la mienne ?
Riley Cavanaugh : (Baissant la tête.) C’est la votre, patron. Je vais m’en occuper.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
George Massey : (Via un micro.) Bien, je compte sur toi. Prends Eddie avec toi.
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyDans l’arrière-salleJournée
George Massey : (Alors que son fils se lève.) Allez à la Perle. Laissez pas de trace.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
Reese : L’homme de main de Massey va s’en prendre à la fille du restaurant.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : À l’hôtesse, Annie ?
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnJournée
Reese : Elle vient de devenir sa prochaine cible. Et lui sera la mienne. (Il raccroche le téléphone.)
 
SÉQUENCES – Trafic sur la 2ème avenueCaméra 39815 heures 20 minutes 22 secondes ; Vue de la merCaméra 22B17 heures 36 minutes 18 secondes ; Trafic FDRCaméra 2311 heure 02 minutes 08 secondes
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
La voiture d’Eddie roule tandis que John la suit.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnNuit
Finch : (Au téléphone.) Monsieur Reese, je suppose que je n’ai pas à vous rappeler…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch :… que les hommes que vous suivez sont dangereux.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnNuit
Reese : J’ai pris toutes les précautions nécessaires. Vous avez du nouveau sur Annie ?
Finch : (Au téléphone.) Oui, son nom complet…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch :…est Anne Delaney, (regardant les résultats de ses recherches sur l’ordinateur) née et élevée à Brooklyn. Elle est devenue veuve il y a neuf mois quand son mari, Sean Delaney, a été tué par balles à Brighton Beach. (Il regarde un article sur la mort de Delaney sur son écran.)
Reese : C’était un territoire russe à l’époque avant qu’Elias mette la main dessus.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnNuit
Reese : Pas l’endroit où il faut être quand on travaille pour George.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Reese : (Au téléphone.) Vous avez l’adresse de la fille ?
Finch : (Voyant une carte avec un point rouge clignotant.) C’est à la 39ème est au 1424. Vous allez dans cette direction.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
La voiture d’Eddie continue sa route suivie de près par John.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’EddieNuit
Eddie Massey : Comment tu comptes t’y prendre ?
Riley Cavanaugh : En silence.
Eddie Massey : Oui mais comment, le vieux ne veut pas de trace.
Riley Cavanaugh : Je m’en charge, toi tu surveilles les parages et tu m’aides à transporter le corps.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : Vous entendez ça, monsieur Reese ?
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnNuit
Reese : Ne vous en faites pas, je veillerai à ce qu’il ne l’approche pas. (Il a une arme à côté de lui ; un téléphone se met à sonner dans la voiture d’Eddie pendant qu’Harold l’entend aussi.) Quelqu’un appelle Riley.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : Non, c’est George qui appelle Eddie.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’EddieNuit
Eddie Massey : Ouais.
George Massey : (Au téléphone.) Ne dis rien, écoute-moi.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnNuit
George Massey : (Au téléphone ; pendant que John  écoute la conversation.) Avant de faire ce qui est prévu ce soir…
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyNuit
George Massey :… je veux que tu te charges de l’autre affaire dont on a parlé. Riley.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’EddieNuit
Eddie Massey : Ah ouais.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
George Massey : (Au téléphone ; pendant qu’Harold comprend que Riley est aussi en danger.) Tu l’as entendu aujourd’hui.
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyNuit
George Massey : Je lui ai donné une chance de se racheter. Il l’a pas saisie. Je ne peux plus lui faire confiance, alors il y passe.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnNuit
George Massey : (Au téléphone.) Et la fille après lui.
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyNuit
George Massey : (N’obtenant pas de réponse.) Tu vas pouvoir le faire ou est-ce que je dois m’en charger ?
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’EddieNuit
Eddie Massey : Non, non, ça ira.
George Massey : (Au téléphone.) Rappelle-moi quand ça sera fait. (Il raccroche et Eddie aussi.)
Riley Cavanaugh : Qu’est-ce qu’il y a ?
Eddie Massey : C’est le vieux, il s’inquiète, tu sais comment il est.
Riley Cavanaugh : (Se tournant vers Eddie.) Ouais, je sais.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Reese : (Au téléphone.) On a peut-être tout faux, Finch.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de JohnNuit
Reese : La victime pourrait bien être Riley, malheureusement, je crois que c’est trop tard.
Finch : (Au téléphone.) Trop tard ? Que voulez-vous dire ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
Dans la voiture d’Eddie, deux coups de feu se font entendre. La voiture percute une autre et celle de John s’arrête, éteignant ses feux.
Finch : (Au téléphone.) Qu’est-ce qu’il se passe ?
John tente de s’approcher de la voiture mais Riley, blessé, sort de celle d’Eddie. Il souffre et reprenant ses esprits, se met à appeler quelqu’un alors que John se cache derrière sa voiture.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : (Surpris en voyant qui est le destinataire de l’appel.) Monsieur Reese, il appelle Annie.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieNuit
Son téléphone se met à sonner et elle prend l’appel.
Annie Delaney : Allô ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
Riley Cavanaugh : C’est moi.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieNuit
Annie Delaney : (Se relevant.) Ça va ? Tu as l’air tendu.
Riley Cavanaugh : Ça va, écoute Annie…
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
Riley Cavanaugh : On a un gros souci. Euh George, il a compris pour toi et moi.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieNuit
Annie Delaney : Quoi, tu en es sûr ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Riley Cavanaugh : (Au téléphone.) Ouais, j’en suis sûr.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
Riley Cavanaugh : Il a fallu que je tue Eddie.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieNuit
Annie Delaney : Oh, mon Dieu.
Riley Cavanaugh : Annie, on va s’en sortir.
Annie Delaney : (Bouleversée.) Tu viens de tuer le fils de George, comment tu…
Riley Cavanaugh : (La coupant.) Écoute-moi chérie,...
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
Riley Cavanaugh : … va te réfugier dans notre endroit secret et restes-y. Je règle un truc vite fait et j’arrive.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieNuit
Riley Cavanaugh : D’accord ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
Riley Cavanaugh : Annie…
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieNuit
Annie Delaney : D’accord.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
Riley Cavanaugh : Ah, je t’aime.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieNuit
Annie Delaney : Moi aussi, je t’aime.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
Après avoir coupé la communication avec Annie, Riley jette son téléphone au loin.
Finch : (Au téléphone ; pendant que John regarde la scène.) Est-ce que j’ai bien entendu ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : Notre caïd est amoureux de la femme qu’il était censé tuer ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNuit
Reese : Ouais, ce qui veut dire qu’on a désormais deux personnes à protéger. (Il se dirige vers la voiture pendant qu’Harold regarde les photos de Riley et d’Annie, comprenant que la situation se complique.)
 
SÉQUENCES – Air traficCaméra 14 C6 heures 01 minute 46 secondes ; Sud-EstCaméra 076 heures 03 minutes 20 secondes
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Monsieur Reese, est-ce que Riley a rejoint Annie ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Reese : (Suivant Riley.) Pas encore.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Il devrait y avoir un autre moyen de la localiser.
Reese : (Au téléphone.) Peut-être.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Reese : Mais George va s’en prendre aux deux.
Finch : (Au téléphone.) Oui, mais Annie est la victime innocente dans cette équation.
Reese : Vous voulez dire qu’on devrait protéger Annie et pas Riley ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Je dis qu’elle et vous ne devriez pas vous mettre en danger pour un homme comme lui, c’est un tueur, monsieur Reese.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Reese : J’en étais un moi aussi, Finch.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Il y a une certaine différence à faire.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Reese : Pas autant que vous ne croyez.
Finch : (Au téléphone.) C’est un homme pourchassé…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch :… pour qui le temps presse.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Finch : (Au téléphone.) Et George ne va pas être le seul à ses trousses.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : La police aussi va chercher qui a tué Eddie.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Reese : Il est temps de mettre nos deux lieutenants au travail. (Il s’en va alors qu’il est en train de toujours suivre Riley.)
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss Carter - Matinée
Le téléphone se met à sonner et Carter a un gobelet dans la main.
Carter : Carter.
Reese : (Au téléphone.) Bonjour lieutenant.
Carter : Non, pas avant que j’ai pris mon premier café.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Reese : Emportez-le avec vous.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss Carter - Matinée
Carter : Pour aller où ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Reese : Je vous envoie l’adresse.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss Carter - Matinée
Carter : Et pourquoi, qu’est-ce qu’il y a ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Riley se cache lorsqu’il voit deux hommes sortir de chez lui. John en fait autant mais derrière un mur.
Reese : Un mort. (Il raccroche et Joss en fait autant en se mettant à souffler.) Finch, les hommes de George sont déjà devant chez Riley. (Ce dernier tente de savoir s’ils sont partis.) Il doit savoir pour Eddie.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Donc, ils sont aussi à la recherche d’Annie.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Reese : J’aimerai être vraiment sûr qu’elle n’est pas chez elle.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Reese : (Au téléphone ; comprenant que ça peut être difficile pour Harold.) Si vous voulez…
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Reese : …je demande à Fusco.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Non, c’est inutile. J’y vais. Je vous appelle quand j’y suis.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Riley se décide à quitter les lieux par pendant que John se met à le suivre.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : (Voyant Balou qui semble être content de sortir.) C’est rien, ça va aller. (Il commence à mettre son manteau.)
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Szymanski : Accélérez les recherches sur l’immatriculation. S’ils sont dans le fichier, on devrait être fixé.
Joss descend de sa voiture et passe sous le bandeau jaune pour rejoindre Szymanski.
Carter : Lieutenant Szymanski. Content de voir que tu es de retour des affaires.
Szymanski : Hah, ouais j’ai pensé mourir mais j’ai réalisé que je n’avais pas de quoi payer mon enterrement. Qu’est-ce que tu fais là ?
Carter : Il parait qu’il y a un mort ?
Szymanski : Tu es déjà au courant ?
Carter : On perd pas de temps à la Criminelle, il s’agit de quoi ?
Szymanski : Un accident de voiture, le mort c’est Eddie Massey.
Carter : (Soupirant.) Ah, ça craint. Son père n’est pas commode. Eddie a bu un verre de trop ?
Szymanski : Il était dans un état second, oui, mais pas dû à l’alcool. Balle à pointé vidée, deux sur le côté, à bout portant. (Joss regarde l’état des blessures d’Eddie.)
Carter : Mais son arme est toujours dans son étui, le tireur a dû le prendre par surprise, son passager ?
Szymanski : Sans doute. L’airbag s’est déclenché, ce truc-là ne se déclenche que s’il y a un passager. Et en l’occurrence, celui-ci avait un calibre 38.
Carter : Et bien, si le tireur était assis là, je suppose qu’Eddie le connaissait. (Voyant le téléphone d’Eddie, elle prend.) Voyons ce qu’on a ici. Il a reçu un appel d’un numéro masqué tôt ce matin et ensuite plusieurs appels manqués.
Szymanski : (Se grattant la tête.) Quelqu’un le cherche.
Carter : C’est sûrement son père.
Szymanski : Ouais. (Ils continuent de regarder le corps d’Eddie.)

_________________
"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieJournée
Harold arrive à s’introduire dans l’appartement d’Annie.
Finch : Annie est déjà partie.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : (Suivant toujours de loin Riley.) Rien n’indique où elle peut se trouver ? (N’obtenant pas de réponse.) Finch.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieJournée
Finch : Je cherche, je cherche. (Il voit une photo d’Annie sur le côté du frigidaire.)
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : (Se cachant au coin de la rue pour ne pas être vu par Riley.) Vous trouvez ?
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieJournée
Harold ouvre un ordinateur et voit un fond d’écran de Manhattan.
Finch : (Faisant afficher des fenêtres sur l’ordinateur.) Rien pour l’instant, s’ils ont un lieu de rendez-vous secret, il est bien caché. (Voyant l’image du fond d’écran.) Oui, bien sûr.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Attention à ne pas vous faire surprendre.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’AnnieJournée
Finch : (Fermant l’ordinateur.) Mais je n’y tiens pas du tout. (Il prend le portable avec lui.) Vous avez contacté nos lieutenants ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Ils sont tous les deux sur l’affaire. (Il s’en va.)
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyJournée
George Massey : Tiens, le lieutenant Szymanski.
Szymanski : (Présentant Joss.) George, voici le lieutenant Carter.
George Massey : J’ai entendu parler de l’incident qui vous ait arrivé il y a quelque temps. On a eu très peur de vous perdre, lieutenant.
Szymanski : George, j’ai une mauvaise nouvelle à t’annoncer. Eddie est mort.
George Massey : Je sais, oui.
Carter : (Se mettant à sourire.) Vous ne paraissez pas tellement contrarié.
George Massey : Dans ce genre de circonstances, chacun gère son chagrin à sa façon.
Carter : Hmm. Et comment gérez-vous le votre ?
George Massey : Trouvez-moi l’assassin et vous verrez.
Szymanski : George, c’était quand la dernière fois que tu as vu Eddie ?
George Massey : Hier, on est allé déjeuner puis on est entré.
Szymanski : Tu as une idée de ce qu’il faisait dehors hier soir, avec qui il était.
George Massey : Non, je n’en sais rien.
Carter : Il a reçu un appel peu avant l’accident, est-ce que c’était vous ?
George Massey : Vous n’avez pas un peu mieux à faire que de m’interroger, comme par exemple retrouver qui a tué mon fils.
Carter : (Regardant derrière elle.) Où sont vos troupes ?
George Massey : Quelles troupes ?
Carter : Étant donné que votre fils a été abattu, probablement par un gang rival, je m’attendais davantage de protection.
George Massey : Je sais veiller sur moi-même.
Carter : J’en suis certaine. Ou alors, vous savez qui est le tireur et vos hommes sont déjà à ses trousses.
George Massey : Rassurez-vous lieutenant, si je trouve la personne responsable du meurtre de mon fils, vous n’en saurez rien.
Massey, Carter et Szymanski se regardent et le téléphone de ce dernier se met à sonner. Les deux lieutenants s’en vont. Joss passe devant Lionel qui la scrute du regard.
Fusco : (Échangeant son verre contre celui de son voisin.) Allez, joyeux Noël.
Homme : Dieu vous bénisse. (Il boit le verre.)
George Massey : Préviens tout le monde, ils finiront par se pointer et quand ils le feront, je veux le savoir.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Finch : (Au téléphone.) Monsieur Reese, j’ai peut-être trouvé quelque chose.
Reese : Tant mieux, parce que j’ai peut-être bien perdu quelque chose.
Finch : (Au téléphone.) Annie a pris…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : …bien soin de dissimuler les indices au sujet de l’endroit secret où elle retrouvait Riley mais je pense en tenir un. Le fond d’écran de son ordinateur portable est une vue de la City d’après une photo qu’elle a faite.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : D’accord.
Finch : (Au téléphone.) En mesurant l’alignement et la taille relative des principaux bâtiments sur la photo…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : …j’ai réussi à déterminer les coordonnées de l’endroit où se tenait la photographe. Un point qui se situe à environ quinze mètres au-dessus du niveau de la mer.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Bien, mais vos pratiques vaudous nous donnent-t-elles une adresse ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : 460, Eckford Street et c’est de la trigonométrie.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Et pourquoi pensez-vous qu’il y a un rapport avec Riley ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Parce que (il fait des recherches sur son ordinateur.) Eckford Street est le quartier de son enfance. Ses racines sont là-bas.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Il l’a emmenée chez lui.
Finch : (Au téléphone.) Et c’est à quatre rues de là où vous êtes.
 
SÉQUENCES – Sécurité du parking 412 heures 16 minutes 04 secondes ; ToitCaméra E12 heures 16 minutes 42 secondes
EXTÉRIEUR – Sur un toitJournée
Annie Delaney : Comment George la su ?
Riley Cavanaugh : Peu importe, allez viens, il faut que tu prennes un train qui t’emmènera le plus loin possible d’ici. (John arrive près d’un ange de mur pour les scruter.)
Annie Delaney : Moi.
Riley Cavanaugh : Ouais.
Annie Delaney : Tu veux dire nous ? Il n’est pas question que je parte sans toi.
Riley Cavanaugh : Annie.
Annie Delaney : Tu as dit que tu voulais quitter New York. Qu’on se trouverait un endroit peinard à l’ouest et qu’on referait notre vie.
Riley Cavanaugh : Ils sont à ma recherche, chérie, c’est trop dangereux.
Annie Delaney : Je refuse de partir sans toi. Je ne peux pas.
Riley Cavanaugh : Si, tu peux le faire. Écoute, chérie, je vais juste…
Annie Delaney : Non, non, c’est à toi de m’écouter.
Riley Cavanaugh : Annie.
Annie Delaney : Après la mort de Sean, tu es venu au restaurant, tu m’as donné ton numéro et tu m’as dit de compter sur toi si j’avais besoin de quelque chose, tu te rappelles ?
Riley Cavanaugh : Ouais.
Annie Delaney : Et mon chauffe eau est tombé en panne, il a explosé il y avait de l’eau partout.
Riley Cavanaugh : Ouais, et tu m’as appelé.
Annie Delaney : À vrai dire, je n’y croyais pas trop quand tu m’as dit que tu allais venir. Et tu es venu. Tu n’as pas servi à grand-chose bien sûr, tu pataugeais dans la flotte, desserrant d’un côté et resserrant de l’autre. (Riley se met à sourire.) Et tu es venu. Tu as tenu ta promesse comme à chaque fois par la suite, tu as toujours été là. J’adore ça. Savoir que je peux compter sur toi et que tu es là, j’ai besoin de ça. Alors, voilà, je, je me fiche que tout le monde le sache et que ça soit dangereux mais je ne partirai nullement part sans toi, jamais. D’accord ? D’accord ?
Riley Cavanaugh : D’accord. On part ensemble.
Riley et Annie commencent à partir et John se cache. Riley va récupérer un sac dans une cachette derrière un grillage.
Annie Delaney : Il y a quoi là-dedans ?
Riley Cavanaugh : Des économies. (Il prend le sac.) Suffisamment pour aller où on veut. (Il regarde dedans mais il est vide.) Non, non, non, non, non, non. (Le téléphone, qui se trouve dans le sac, se met à sonner.
George Massey : (Au téléphone.) Tu ne t’attendais pas à ça ?
Riley Cavanaugh : George.
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyDans l’arrière-salleJournée
George Massey : Tu ne savais pas que je connaissais ta plaque, hein ? Ou le fait que tu avais une liaison avec la veuve de Sean ?
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitJournée
Riley Cavanaugh : Qu’est-ce que tu veux ?
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyDans l’arrière-salleJournée
George Massey : Je veux que tu me rendes mon fils.
Riley Cavanaugh : (Au téléphone.) Je suis désolé…
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitJournée
Riley Cavanaugh : …mais Eddie ne m’a pas laissé le choix.
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyDans l’arrière-salleJournée
George Massey : Eh bien, tu devrais pouvoir t’excuser directement auprès de lui dans un instant.
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitJournée
Des hommes armés font irruption sur le toit et commencent à tirer.
Riley Cavanaugh : (Protégeant Annie.) Couche-toi.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Monsieur Reese ?
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitJournée
Riley riposte avec son arme et en touche un. Un autre est également touché mais cette fois par John. Riley et Annie en profitent pour s’échapper pendant que John se bat contre un homme. Ils se mettent à descendre les escaliers quand il tente de les rejoindre.
SÉQUENCE – 6ème étageCaméra 312 heures 19 minutes 53 secondes
INTÉRIEUR – Dans les escaliers d’un immeubleJournée
Ils continuent à descendre suivi par John.
Reese : George et ses hommes leur ont tendu une embuscade. Riley et Annie ont pris la fuite.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Soyez très prudent, monsieur Reese.
 
INTÉRIEUR – Dans les escaliers d’un immeubleJournée
John continue de descendre mais Riley se trouve devant lui et n’a pas le temps d’esquiver qu’il se prend une balle dans le torse. Harold se lève comprenant que John est en danger. Heureusement, il avait un gilet pare-balles.
Reese : (Grommelant.) Merci pour le conseil, Finch.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Pendant qu’Harold s’inquiète pour John, ce dernier sort par la rue à la recherche d’Annie et de Riley mais évidemment, ils ont mis les voiles.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Monsieur Reese, est-ce que tout va bien ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Je devrais survivre.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Où sont passés Annie et Riley ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : (Tentant de chercher.) Je n’en sais trop rien.
 
SÉQUENCES – MTA Caméra 3659A13 heures 32 minutes 56 secondes ; CourCaméra 213 heures 33 minutes 27 secondes
Szymanski : (Pendant que des scientifiques transportent le corps d’Eddie.) Les empreintes relevées dans la voiture d’Eddie…
 
EXTÉRIEUR – Près de l’endroit de l’accidentJournée
Szymanski : …sont celles de Riley Cavanaugh, un des hommes de main de Massey. (Il montre la photo sur son portable.)
Carter : C’est pour ça que George ne paniquait pas, il savait qu’il était de son clan.
Szymanski : Une des locataires dit qu’elle a vu un homme correspondant à la description de Cavanaugh sortir du bâtiment avec une femme. C’est peut-être un otage.
Carter : On ne sait rien de plus sur lui ?
Szymanski : Il est soupçonné d’avoir participé à trois règlements de compte ces deux dernières années, c’est un tueur de sang-froid. (Le téléphone se met à sonner.) Il faut qu’on le retrouve et qu’on l’arrête. (Quittant Carter, il répond à l’appel.) Szymanski. Ouais, entendu, d’accord.
 
SÉQUENCE – 2ème avenueCaméra 47813 heures 37 minutes 30 secondes
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyJournée
Fusco : (Recevant un verre.) C’est ce qu’il me fallait.
Deux hommes mettent leur portable dans un carton.
SÉQUENCE – Zone du barCaméra 313 heures 38 minutes 09 secondes
Fusco : (Échangeant son verre contre celui de son voisin.) Joyeux anniversaire.
Homme : Comment vous le savez ?
 
SÉQUENCE – Sud-EstCaméra 1013 heures 40 minutes 10 secondes
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Vous revenez sur votre décision de protéger Riley ?
Reese : Non, je me disais que je devrais changer de chemise.
Finch : Il vous a tiré dessus, John.
Reese : Ce n’était pas personnel.
Finch : On devrait peut-être s’attacher avant tout à les retrouver. (Son téléphone se met à sonner, il prend l’appel.) Oui lieutenant.
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyJournée
Fusco : Votre copain, le grand brun ténébreux, a vraiment fait enragé Massey.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Ce qui veut dire ?
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyJournée
Fusco : Ce qui veut dire qu’il a mis une prime sur les fugitifs.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Reese : Combien ?
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de George MasseyJournée
Fusco : Un million.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Tenez-moi au courant. (Harold et Lionel raccrochent.) Si ce que dit le lieutenant Fusco est vrai, Annie et Riley vont avoir tous les mercenaires de la ville à leurs trousses.
Reese : George n’a pas assez d’envergure pour rameuter les tueurs à gage. Il a besoin d’une aide extérieure.
Finch : Et à qui pourrait-il donc s’adresser pour obtenir ce genre de coup de main ?
Reese : Voyez ce que vous pouvez faire. (Harold s’en va en prenant son sac.) George a pris l’argent que Riley gardait pour refaire sa vie. Sans cet argent, Annie et lui n’iront pas loin. Je crois savoir où les trouver.
 
SÉQUENCE – AutorouteOuestPoste 40814 heures 13 minutes 55 secondes
INTÉRIEUR – Dans la voiture de John - Journée
Reese : (Le téléphone sonnant, il prend l’appel.) Bonjour Carter.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une pièceJournée
Carter : Riley Cavanaugh, c’est lui que vous protégez ?
Reese : (Au téléphone.) Parce qu’il protège une femme innocente.
Carter : Pourquoi vous ne me l’avez pas dit plus tôt ?
Reese : Parce que j’avais besoin…
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de John - Journée
Reese : … que vous interrogiez George Massey.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une pièceJournée
Carter : Pour le distraire, c’est ça ? (N’obtenant pas de réponse.) Parlez-moi de cette femme.
Reese : (Au téléphone.) Annie Delaney.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de John - Journée
Reese : Pour l’instant, Riley est sa meilleure protection.
Carter : (Au téléphone.) Oui.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une pièceJournée
Carter : Sauf que Szymanski aussi est à la recherche de Riley.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de John - Journée
Reese : C’est exactement pourquoi je veux que vous restiez avec lui, pour veiller à ce qu’il ne le trouve pas. (Il aperçoit Riley qui entre quelque part.)
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeDans une pièceJournée
Carter : (En colère.) Vous me demandez d’entraver une enquête pour meurtre. Il vous faut autre chose ?
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de John - Journée
Reese : Je vous rappelle Carter. (Il désactive son oreillette.)
 
INTÉRIEUR – Restaurant « Chez Grand » - Journée
Le patron du restaurant arrive avec Annie et Riley. Il va dans la caisse et prend l’argent qu’il y a à l’intérieur.
Patron : C’est tout ce que j’ai en caisse. Je vais à la banque si tu as besoin de plus.
Annie Delaney : Non, non, ça ira. Je te le rembourserai, je te promets.
Patron : Annie, des gens sont venus, des hommes de George, ils te cherchaient.
Annie Delaney : Tu, tu leur as dit quoi ?
Patron : La vérité, que je ne t’avais pas vue.
Annie Delaney : Je ne sais pas comment te remercier, pour tout ce que tu as fait pour moi.
Patron : (Regardant vers Riley qui s’impatiente.) Annie, tu es sûre que ça va aller ?
Annie Delaney : Ouais, je t’assure, ne t’en fais pas, et merci. (Elle l’embrasse sur la joue.)
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de John - Journée
Reese : (Voyant deux hommes sortir de la voiture et aller vers le restaurant.) Finch, il y a deux lascars qui cherchent à empocher la prime sur Riley et Annie. (John sort de sa voiture.)
 
INTÉRIEUR – Restaurant « Chez Grand » - Journée
Riley Cavanaugh : (Voyant les deux hommes arriver.) On fiche le camp !
Riley et Annie vont derrière le restaurant, suivis par les deux hommes. Ils arrivent à s’échapper et lorsque les deux hommes arrivent, ils trouvent John en plein milieu de leur chemin.
Reese : Ce n’est pas le bon chemin. (Il commence à se battre avec les deux hommes, qui se retrouvent au sol. John, éloignant l’arme des deux hommes, active son oreillette.) Finch, j’ai retrouvé Riley et Annie. Mais je ne suis pas le seul. Il dit quoi, notre vieil ami ?
Finch : (Au téléphone.) Je ne vais pas tarder à le savoir.
 
INTÉRIEUR – Dans une prisonRikers Island - Journée
Harold est dans le parloir en attendant Carl Elias.
Garde : Ouvrez la grille.
Carl Elias : (Aux gardes.) Vous pouvez nous laisser. (S’asseyant.) Bon, vous avez un très grand avantage sur moi, monsieur Crane, c’est ça ? Vous semblez savoir des choses sur moi alors que moi, je ne sais rien sur vous.
Finch : L’homme avec qui je travaille a sauvé la vie de quelqu’un qui vous est cher, Charlie Burton.
Carl Elias : (En souriant, il commence à comprendre.) Vous êtes le patron. Je vous remercie, oui, de m’avoir sauvé la vie et de m’avoir fait bénéficier d’un logement.
Finch : Vous n’êtes sans doute pas désœuvré, monsieur Elias. Je ne doute pas que le contrôle sur les entreprises criminelles de la ville soit resté intact.
Carl Elias : Non, un homme à qui on retire la moitié de ses biens, n’a plus vraiment de distractions. J’ai du temps pour lire, penser, jouer aux échecs, quoique vous savez, (il se retourne) trouver un adversaire digne de ce nom, ce n’est pas très facile ici. Alors, qu’est-ce qu’il vous amène ?
Finch : On a besoin d’aide à propos d’un homme dont la petite organisation n’est peut-être pas sous votre contrôle, pas encore. George Massey.
Carl Elias : J’ai appris pour son fils. C’est notre ami John qui a réglé son compte ?
Finch : Non, c’est un des hommes de Massey. Quelqu’un que nous essayons de protéger. Massey promet une prime d’un million de dollars à qui le descendra.
Carl Elias : Ah, quelle vulgarité. Les vieux clous comme Massey ne comprennent pas, il y a tellement plus à gagner à rester discrètement dans l’ombre, loin des feux de la rampe. C’est ce que font les patrons les plus dangereux.
Finch : Oui, on pense que Massey pourrait demander de l’aide à une personne de cet acabit. Et s’il vous contactez, nous aimerions vous convaincre de lui refuser votre assistance.
Carl Elias : Vous voulez que je mette un terme à la petite partie de chasse de Massey ? (Harold acquiesce de la tête.) J’imagine que je vous suis redevable du fait que vous m’ayez sauvé la vie. Toutefois… dans ce monde, chaque chose à un prix.
Finch : Je n’en suis pas surpris. Quel sera le votre ?
Carl Elias : Bien, comme je vous le disais, je n’ai aucun besoin matériel.
 
SÉQUENCES – ToitCaméra N315 heures 54 minutes 33 secondes ; ToitCaméra N215 heures 54 minutes 36 secondes
INTÉRIEUR – Dans le hall d’une gareJournée
Femme : Le train à destination de White Plains partira dans cinq minutes sur la voie 35.
Riley Cavanaugh : Je vais chercher les billets, d’accord.
Annie Delaney : Je viens avec toi.
Riley Cavanaugh : Non, non, (embrassant Annie) reste ici. (Il s’en va au guichet.)
Finch : (Au téléphone.) Monsieur Reese ?
Reese : (Activant son oreillette.) Je vous écoute.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Finch : Je crois que notre problème de chasseurs de primes est réglé.
 
INTÉRIEUR – Dans le hall d’une gareJournée
Reese : Vous avez convaincu Elias de nous aider ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Finch : Oui, grâce à lui, la prime de George est un fruit défendu.
 
INTÉRIEUR – Dans le hall d’une gareJournée
Finch : (Au téléphone ; pendant que Riley est au guichet.) Ceux qui voudront s’en emparer, s’en mordront les doigts.
John surveille Annie qui est assise sur un banc, attendant. C’est à ce moment-là qu’un homme intervient.
Reese : (Voyant l’homme.) On dirait que quelqu’un n’a pas eu le message. Il va essayer de récolter la prime.
L’homme est à côté d’Annie pendant que deux policiers passent. John le voit mais l’homme fait une diversion en brûlant un chariot grâce à une allumette, un tissu et de l’alcool. La panique s’empare du hall de gare.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Finch : J’entends crier, qu’est-ce qu’il se passe ?
 
INTÉRIEUR – Dans le hall d’une gareJournée
Reese : Un mercenaire en a après Riley.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Finch : Il l’a abattu ?
 
INTÉRIEUR – Dans le hall d’une gareJournée
Reese : Non, mais il a enlevé Annie. (John regarde vers Riley qui, au guichet, se tourne et ne voit plus Annie, il se met à courir pendant que la foule en fait de même.) Elle a disparu.
 
SÉQUENCES – 2ème avenueCaméra 42716 heures 02 minutes 12 secondes ; Entrée estCaméra 0316 heures 03 minutes 15 secondes
La foule continue de courir dans la rue après la panique dans le hall de gare.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
John sort par une porte dérobée qui est devancé par une femme.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Monsieur Reese, où êtes-vous ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Je suis Riley, la police l’a repéré.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Rangeant ses affaires.) Mais vous avez dit qu’Annie avait été enlevée ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Exact.
Finch : (Au téléphone.) Alors, pourquoi…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : …vous vous occupez de Riley ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Finch : (Au téléphone ; pendant que John tente de retrouver Riley.) C’est un tueur.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Ce n’est rien de plus qu’un… mauvais code.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Un mauvais quoi ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Oubliez ça.
Reese : (Au téléphone.) Tout ce que Riley a fait…
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : …jusqu’ici c’est de protéger Annie. Le chasseur de primes va la livrer à George. Donc, Riley va vouloir la libérer.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Pendant que son téléphone se met à sonner, il répond à l’appel.) Oui, lieutenant.
 
INTÉRIEUR – Dans le pub de MasseyJournée
Fusco : Massey s’est mis en route.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Vous savez où il se dirige ?
Fusco : (Au téléphone.) Non, il a dû sortir par derrière.
Finch : D’accord, appelez-moi s’il revient.
 
SÉQUENCE – EntréeCaméra B16 heures 04 minutes 13 secondes
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Riley marche et est pris par surprise par John. Une longue bataille s’engage entre eux lorsque John arrive à contrôler Riley.
Riley Cavanaugh : (Blessé.) T’es qui toi ?
Reese : Je sais contre qui tu te défends.
Riley Cavanaugh : (Voulant continuer la bagarre.) Ah oui, raconte, je t’écoute.
Reese : Je sais que tu as tué Eddie pour sauver Annie. Je sais que tu la protèges depuis que son mari a été assassiné. Les Russes, c’est ça ?
Riley Cavanaugh : Ouais, exact.
Reese : C’est bizarre qu’ils l’aient tué alors qu’il leur devait beaucoup d’argent et qu’ils aient laissé son corps sur leur propre territoire, c’est très étrange. À moins que ce ne soit pas les Russes qui l’aient tué. C’était peut-être quelqu’un d’autre. Quelqu’un que ça arrangeait de les faire accuser. (Riley s’en prend de nouveau à John mais celui-ci le plaque contre un grillage.) Un professionnel. Un type comme toi.
Riley Cavanaugh : (John le tient par le cou.) Sean détournait du fric pour rembourser les Russes. Et George l’a su et il n’a pas apprécié.
Reese : George l’a fait descendre. Et qui l’a fait ? Toi bien sûr.
Riley Cavanaugh : (Après une pause où il s’est calmé.) Après ça, George m’a chargé de garder un œil sur Annie. Il en pincé pour elle. Il voulait être sûr qu’elle ne pose pas trop de questions.
Reese : Et là, tu es tombé amoureux d’elle, et George s’en ait rendu compte.
Riley Cavanaugh : Annie n’y est pour rien dans tout ça, elle veut juste quitter New York et refaire sa vie.
Reese : Mais tu ne lui as rien dit pour Sean. Tu crois vraiment que tu vas pouvoir y couper ?
Riley Cavanaugh : Non. Je sais que j’ai du sang sur les mains. Mais je sais aussi qu’elle est la meilleure chose qui ne me soit jamais arrivé. Et je ferais tout mon possible pour la sauver.
Reese : (Il se baisse et ramasse l’arme, la montrant à Riley.) Si tu fonces avec ça chez George sans enlever le cran de sûreté, tu seras mort avant de comprendre ce qui t’arrive. (Voyant une voiture de police passer pas loin d’eux.) Vite, il faut qu’on bouge.
 
SÉQUENCE – Passage clouté122Caméra 216 heures 09 minutes 11 secondes
EXTÉRIEUR – Dans la rue - Journée
John et Riley traversent la rue mais voient une voiture de police qui fait le tour.
Reese : Amène-toi. C’est une impasse. (Ils se cachent derrière une poubelle.)
Riley Cavanaugh : Et maintenant ?
Reese : On étudie les différentes options. (Il voit Riley prendre une arme, il en empêche.) Et tirer sur les flics n’en est pas une.
Riley Cavanaugh : Si tu as une meilleure idée, je t’écoute.
John passe un coup de téléphone.
 
EXTÉRIEUR – Près de la gareJournée
Carter : (Voyant que son téléphone s’est mis à sonner.) Excusez-moi. (Elle s’éloigne.) Carter.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rue - Journée
Reese : Quelles sont les nouvelles, lieutenant.
Carter : (Au téléphone.) Szymanski fait ratisser tout le quartier.
 
EXTÉRIEUR – Près de la gareJournée
Carter : À votre place, je tâcherai de me tenir sagement à l’écart.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rue - Journée
Reese : Ah oui, ben ça ne va pas être facile.
 
EXTÉRIEUR – Près de la gareJournée
Carter : Me dites pas que vous êtes avec lui ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rue - Journée
Reese : Si je ne le dis pas, j’aurais droit à un coup de main ?
Carter : (Au téléphone.) John, cet homme…
 
EXTÉRIEUR – Près de la gareJournée
Carter : …a tué Eddie Massey.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Il l’a fait pour sauver sa peau et celle d’une innocente.
Carter : (Pendant qu’une voiture de police arrive à côté d’eux.) Je suis sûre que le procureur prendra ça en considération.
Reese : Il ne s’agit pas d’aider Riley mais de sauver Annie. Écoutez, si j’ai tord, je viendrai moi-même vous le livrer. (Riley se tourne vers John, se demandant s’il est sérieux.
 
EXTÉRIEUR – Près de la gareJournée
Carter : (Soufflant mais se met quand même à l’aider.) J’ai le renseignement. Un de mes indics a vu Cavanaugh du côté de la 43ème.
Szymanski : Foncez.
Policier : En route. Le suspect a été aperçu près de la 43ème. (Szymanski va avec Carter.)
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Riley Cavanaugh : Tu as quelqu’un de la police dans la poche, c’est ça ?
Reese : Plutôt sur le dos, à vrai dire.
Policier : (À la radio.) À toutes les unités, suspect signalé sur la 43ème. (La voiture de police recule et s’en va, sirène en route.)
Reese : Allez, viens. (Activant son oreillette pour appeler Harold.) Finch, j’ai Riley, on part délivrer Annie.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Inutile d’aller au bar de George, elle n’y sera pas. Fusco a vu George quitter les lieux en vitesse.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Où est-ce que George a pu l’emmener ?
Riley Cavanaugh : À la Perle.
Reese : Où ça ?
Riley Cavanaugh : La Perle Emeraude, c’est une ancienne boîte de nuit. Elle a coulé mais il l’a gardée pour euh… pour d’autres occasions.
Reese : Comme faire disparaître des corps. (Riley acquiesce de la tête.) Tu connais cet endroit ?
Riley Cavanaugh : Ouais.
Reese : Alors, en route.
 
SÉQUENCE – Dock 147Caméra A21 heures 00 minute 29 secondes ; Trafic du pontCaméra 1221 heure 00 minute 44 secondes ; Côté porteCaméra 0221 heures 00 minute 46 secondes
INTÉRIEUR – Dans la discothèque « La Perle Emeraude » - Soirée
George Massey : (À l’homme présent alors qu’Annie est assise.) Et son petit ami, il est où ?
Homme : Je l’ai vu en train de courir vers la porte.
George Massey : C’est triste mais ça ne m’étonne pas. Ça ne fait rien, je finirai bien par lui régler son compte tôt ou tard.
Homme : Je peux empocher la prime, maintenant ?
George Massey : (Se tournant vers l’homme.) Le million, c’était pour les deux.
Homme : On divise par deux. À moins que tu ne trouves pas ça raisonnable.
George Massey : Tu as de la chance. Je suis de bonne humeur. Corey, donne-lui sa récompense.
 
EXTÉRIEUR – Devant la discothèque « La Perle Emeraude » - Soirée
Gardien : (Voyant arriver John et Riley.) Et où vous allez comme ça ?
Reese : J’apporte un cadeau à ton patron. Il paraît qu’il y a une grosse récompense.
 
INTÉRIEUR – Dans la discothèque « La Perle Emeraude » - Soirée
George Massey : Tu sais que rien de tout ça n’aurait dû arriver, n’est-ce pas ? Je voulais t’aider Annie. Et j’ai eu quoi, de la gratitude ? Non. Des insultes, des reproches pour Sean. Quoique pour dire la vérité, ma jolie, sur ce coup-là, tu n’avais pas tord. Tu vois, Sean n’était pas seulement un incorrigible flambeur, c’était un également un sale voleur. Je lui ai donné ce qu’il méritait.
Annie Delaney : Et vous traitez Riley de lâche.
George Massey : Riley. Ouais. Au fait, est-ce que Riley t’a avoué que… non, sûrement pas.
Annie Delaney : Avoué quoi ?
George Massey : Ce qui est réellement arrivé à Sean. (Se retournant derrière lui.)
Riley Cavanaugh : (Le menaçant avec une arme.) Laisse-la partir.
George Massey : Tiens, tiens, regardez ça.
Riley Cavanaugh : (Toujours aussi menaçant.) Si j’en vois un seul bouger, je te descends.
George Massey : Hey, content de te revoir mon petit. Ouais, grâce à toi, j’économise 500 000 dollars.
Riley Cavanaugh : Ça va Annie ? (Elle acquiesce de la tête même si elle a peur.)
Annie Delaney : Ouais.
George Massey : Mais oui, elle va bien, on avait une petite conversation tous les deux à propos de Sean.
Riley Cavanaugh : (Haussant le ton.) Laisse-la partir, George.
George Massey : (À l’homme qui a enlevé Annie.) Range ça.
Riley Cavanaugh : Il ne peut pas nous descendre tous les deux.
Reese : (Arrivant devant eux.) Il n’aura pas à le faire.
Un des hommes de Massey commence à pointer l’arme vers John, celui-ci riposte et un coup de feu retentit, blessant un homme. George essaie de se protéger alors que Riley emmène Annie derrière John. Des coups de feu retentissent de part en part et blessent les hommes de George.
Reese : (Rechargeant son arme.) Emmène Annie vers la cuisine, je vous couvre.
Riley Cavanaugh : Vas-y, tu es plus près. Fais-la sortir d’ici. (Pendant que John tire et blesse deux ennemis.) T’entend, occupe-toi d’elle. (Il continue à tirer et un homme utilise une arme automatique, Riley le touche.)
Reese : (À Annie, cachée.) Il faut qu’on bouge.
Annie : Non, je ne pars pas sans Riley.
Riley Cavanaugh : Annie, file. Fais ce que je te dis, va te mettre à l’abri, ça va aller. Je te rejoins dès que je peux. Allez.
Reese : Venez.
Riley couvre la sortie de John et Annie qui arrivent à s’échapper. Riley, continuant de tirer, touche un homme mais il est blessé à son tour et s’écroule.
George Massey : Je n’aurais jamais dû t’envoyer Eddie. J’aurais dû faire la besogne moi-même.
Riley Cavanaugh : C’est Annie, gardes-en. On ne manquera à personne toi et moi. (Il tire sur George qui s’écroule au sol tout comme lui.)
 
EXTÉRIEUR – « Près de la discothèque « La Perle Emeraude » - Soirée
La voiture d’Harold arrive et se gare devant la discothèque.
Finch : Où est Riley ?
Annie Delaney : (À John qui l’a fait monter dans la voiture.) On ne peut pas le laisser.
Reese : J’y retourne. Emmenez-la. (La voiture démarre en trombe.)
 
INTÉRIEUR – Dans la discothèque « La Perle Emeraude » - Soirée
Riley tente de se relever mais il est menacé par l’homme qui a enlevé Annie. Il pointe son arme vers Riley et un coup de feu retentit. C’est à ce moment-là que John entre, l’arme à la main pour se protéger, il voit Riley au sol et touche son cou pour sentir s’il est mort, ce qui est le cas. Il prend une feuille de papier qui était sur lui.
 
SÉQUENCES – Vue des airsCaméra 238A21 heures 07 minutes 03 secondes ; Rivière EstCaméra 147B7 heures 15 minutes 35 secondes
John et Annie se trouvent dans le hall de la gare. Il tient la valise d’Annie.
Reese : Annie.
 
INTÉRIEUR – Dans le hall de la gareMatinée
Reese : (Donnant un billet de train.) Riley avait ça sur lui.
Annie Delaney : Quoi, un seul ? Alors, il ne serait pas venu.
Reese : S’il était venu, vous n’auriez jamais eu l’esprit tranquille.
Annie Delaney : J’étais stupide de croire que je le ferais changer.
Reese : Vous l’avez fait. Grâce à vous, il s’est détourné de la seule vie qu’il connaissait. Pour devenir meilleur. Il disait que vous étiez ce qui lui était arrivé de mieux dans la vie.
Annie Delaney : (Se mettant à pleurer.) Merci.
Reese : (Donnant la valise.) Bonne chance. (Annie s’en va alors qu’Harold rejoint John.)
Finch : Où va-t-elle ?
Reese : Au Nouveau-Mexique.
Finch : Un vaste territoire.
Reese : Au fait, vous entendez quoi par « mauvais code » ?
Finch : Une erreur de conception. Le terme s’applique aux machines, pas aux humains. Nous, nous pouvons nous adapter, évoluer, changer.
Reese : Même les tueurs. (Commençant à partir avec Harold.) Alors, si vous me parliez de la contrepartie qu’Elias a exigée pour décourager les chasseurs de prime.
 
INTÉRIEUR – Dans une prisonJournée
Carl Elias et Harold Finch commencent une partie d’échecs. C’est Elias qui avance le premier pion et le match débute.
 
INTÉRIEUR – Dans une chambre d’hôtelJournée
L’homme qui a enlevé Annie prépare ses bagages dont un sac avec l’argent. Il range son arme et prend ses bagages pour partir. Il ouvre la porte et voit John.
Homme : Prend le pognon, si tu veux.
Reese : Je ne suis pas venu pour l’argent.

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"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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