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 Script VF - 2X05 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb

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carine79
Inspectrice à N-Y
carine79

Série préférée : Lucifer

Script VF - 2X05 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Empty
MessageSujet: Script VF - 2X05 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 2X05 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeMer 22 Juil - 15:12

Finch : On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret : une Machine, qui vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je l’avais conçue pour prévenir des actes de terrorisme mais la Machine voit tout, tous les crimes impliquant des citoyens ordinaires. Le gouvernement juge ces crimes non pertinents, mais pas nous. Traqués par les autorités, nous travaillons dans l’ombre, jamais vous ne nous trouverez. Mais victime ou criminel, si votre numéro apparaît, nous vous trouverons.
 
Journaliste 1 : Le fauteuil de maire est à prendre. Le conseiller Ed Griffin a annoncé aujourd’hui qu’il se lançait dans la course.
Journaliste 2 : Un nouveau candidat au poste de maire, le procureur adjoint Landon Walker.
Homme 1 : C’est un nouveau bain de sang, Griffin et Walker sont au coude-à-coude.
Homme 2 : Ouais, mais ça ne va pas durer, il y a cette journaliste, Maxine Angelis qui affirme qu’un des financiers de Griffin a trafiqué les comptes.
 
SÉQUENCES – Vue du cielCaméra N17 heures 06 minutes 27 secondes ; 44ème rueCaméraPoste 1712 heures 11 minutes 15 secondes ; SectionCaméra 912 heures 11 minutes 17 secondes
La Machine a accès à la conversation entre Maxine Angelis et un homme.
Homme : (On frappe à la porte et quelqu’un entre ; via un micro.) Vous êtes qui, vous ?
EXTÉRIEUR – Sur un toit - Journée
Maxine Angelis : (Via un micro.) Je suis la personne qui n’a pas encore dit à votre femme que vous étiez dans une chambre d’hôtel en train d’attendre une prostituée. (Quelqu’un prend les deux en photos.)
 
INTÉRIEUR – Dans une chambre d’hôtelJournée
Maxine Angelis : Je n’ai pu avoir personne de votre bureau, monsieur Hicks (mettant son portable en mode enregistrement audio) alors j’ai décidé de m’adresser directement à vous. Maxine Angelis, du New York Journal.
Monsieur Hicks : (En se levant.) Ce genre d’attitude est à double tranchant, mademoiselle. Que penseront vos lecteurs quand ils découvriront que vous obtenez vos informations à coup de chantage.
Maxine Angelis : Que je fais très bien mon travail. Dans cinq jours, la ville de New York va élire son nouveau maire. Et votre financement illégal de la campagne de Griffin m’intéresse vraiment. Répondez-moi honnêtement et j’oublierai de mentionner les circonstances particulières de notre entretien. (Dépité, Hicks se rassoit.)
 
EXTÉRIEUR – Sur un toit - Journée
John prend les photos de l’entretien entre Hicks et Angelis.
Monsieur Hicks : (Via un micro.) Qu’est-ce que vous voulez savoir ?
Maxine Angelis : (Via un micro.) Vous avez récolté plus de 100 000 dollars pour la campagne de Griffin.
Reese : Je vois la raison pour laquelle elle est abonnée aux gros titres.
Finch : (Au téléphone.) Les journalistes…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch :(Il appose la photo de Maxine sur la vitre) tels que mademoiselle Angelis sont une espèce menacée. S’ils veulent survivre aux blogueurs, et à tous les médias sociaux en règle générale, (mettant une feuille sur la vitre) ils sont obligés de se montrer de plus en plus inventif pour obtenir des scoops.
 
EXTÉRIEUR – Sur un toit - Journée
Reese : (Entendant un drôle de bruit dans l’oreillette.) Finch, c’est quoi ces interférences ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : C’est rien, c’est rien, c’est moi qui a commis la pire des erreurs en achetant à Balou un de ces objets qui couinent. (Balou continue de s’amuser avec son jouet.)
 
EXTÉRIEUR – Sur un toit - Journée
Finch : (Au téléphone.) En six ans passés,…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : …au New York Journal, elle a publié des articles sur les criminels les plus dangereux de tout New York. Le cartel, Elias, la DRH, on peut dire qu’elle s’est fait des ennemis redoutables.
 
EXTÉRIEUR – Sur un toit - Journée
Reese : Alors, elle pourrait mourir à cause d’un article qu’elle a écrit.
Maxine Angelis : (Via un micro ; pendant qu’elle arrête son téléphone.) Parfait, j’ai tout ce qu’il me faut.
 
INTÉRIEUR – Dans une chambre d’hôtelJournée
Maxine Angelis : Merci du temps que vous m’avez accordée. Oh, et transmettez mes amitiés à votre femme. (Son téléphone se met à vibrer.)
Glen : Max…
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du New York JournalJournée
Glen : …tu disais que des tas d’autres flics devaient bosser pour la DRH, tu avais raison…
 
INTÉRIEUR – Dans une chambre d’hôtelJournée
Glen : …les fédéraux sont en train d’en interpeller des dizaines.
Maxine Angelis : C’est bon, j’arrive.
 
SÉQUENCES – 44ème rueCaméraPoste 1612 heures 33 minutes 42 secondes ; 1ère avenueCaméraPoste 22112 heures 35 minutes 18 secondes
Agent du FBI : (À un agent de police.) FBI, vous êtes en état d’arrestation.
Agent de police : Quoi ?
SÉQUENCES – Cruiser 27Caméra12 heures 40 minutes 13 secondes ; Cruiser 27Caméra12 heures 40 minutes 42 secondes
Agent du FBI : Vous, sortez de la voiture. (Les policiers sont sortis et les agents les menottent sur le capot de la voiture.) Vous avez le droit de garder le silence.
SÉQUENCE – EntréeCaméra 0213 heures 11 minutes 11 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée
Carter : (À Lionel, voyant que les agents du FBI amènent les membres de la DRH.) C’est eux qui interpellent mais je sais que c’est toi qui es derrière tout ça, joli travail, lieutenant.
Fusco : (À voix basse.) Évite de parler trop fort, tu veux, John ne m’aurait pas fait infiltrer la DRH si j’avais été clean. Content que les fédéraux ne me sont pas tombés dessus.
Carter : Allons, la journée ne fait que commencer. (Se dirigeant vers Donnelly.) Eh bien, c’est un grand jour pour vous, agent Donnelly.
Donnelly : Merci Carter, mais soyez tranquille, je n’ai pas oublié l’homme au costume. Nous l’arrêterons dès que cette affaire sera bouclée.
Carter : Elle a déjà bien l’air bouclée, vous avez arrêté plus de 70 policiers, vous devriez vous réjouir. (Voyant le regard de Donnelly.) Oh, il manque le big boss, c’est ça ? Le chef de la DRH ? Vous avez un flic dans le collimateur ?
Donnelly : Je ne suis pas sûr que ça en soit un. Je suis sur une piste et si jamais elle est payante, je connaitrais bientôt le nom de celui qui est aux commandes.
Kane : Carter, tu veux un conseil : laisse tomber cette affaire. La DRH a baisé je ne sais pas combien de truands, elle était liée à toutes les mafias du coin. Tous ces gens voudront la peau du grand chef. Alors, le flic qui va le serrer, va devoir se l’allumer entre les balles. (Il s’en va.)
Carter : (À Lionel.) Moi, ça me donne encore plus envie de l’arrêter, c’est bizarre non ?
Fusco : Venant de toi, non.
 
SÉQUENCE – Parking PoliceCaméra 0313 heures 13 minutes 19 secondes
Fusco : (Au téléphone.) Salut mon grand, c’est papa.
 
INTÉRIEUR – Dans le parking du commissariat de policeJournée
Fusco : (Au téléphone.) Je vais aller te chercher à  l’école, tu te rappelles alors ne prend pas le bus et réfléchit au film que tu veux aller voir. OK, à plus tard. (Il raccroche le téléphone et se rend dans la voiture. Simmons se trouve derrière lui sur le siège passager.)
Simmons : (Préparant son arme.) Salut, Lionel.
Fusco : Écoute Simmons, je te jure…
Simmons : Épargne-moi le ramassis de conneries que tu t’apprêtais à débiter. Je t’ai vu. Quand le FBI a fait sa descente, je t’ai vu filer un coup de main au mec en costard. Je me suis même devenu à me demander si t’avais pas tout balancé pour qu’on tombe. Jamais tu serais aussi stupide, hein ?
Fusco : Non.
Simmons : Tu as raison, parce que la DRH est peut-être KO mais elle n’est pas morte. Mon patron fait appel à ses relations pour sauver le sommet de la pyramide.
Fusco : Je ne vois pas pourquoi vous avez besoin de moi, alors ?
Simmons : Parce que le FBI continue de fouiner. D’après nos infos, ils seraient sur une piste de quoi nous faire tous plonger. Moi, mon boss et probablement toi.
Fusco : Ils savent quoi au juste ?
Simmons : Ah, ça c’est à toi de me le dire. Ta coéquipière fait copain-copain avec Donnelly. Tu vas faire en sorte de savoir ce que cherchent les fédéraux et tu vas le faire disparaître.
Fusco : Et si je refuse ?
Simmons : Alors, on se reverra en taule. D’après toi, comment ton gosse réagirait quand il apprendra ce que tu as fait. Tu crois que ton ex te laissera le voir après ça. C’est autant dans ton intérêt que dans le notre d’enterrer cette affaire. Alors, c’est qui ton ami dans les moments difficiles ? Ta coéquipière, la première de la classe ou moi ? (Il active le cran de sûreté.) Rends-nous ce dernier service, Lionel, après si tu veux arrêter, tu seras libre. (Simmons s’en va et claque la porte.)
 
SÉQUENCES – ToitCaméra N20 heures 01 minutes 12 secondes ; Angle de la 50ème et de la 2èmeNord-Ouest­Caméra 0323 heures 47 minutes 56 secondes ; TraficCaméra 2904 heures 12 minutes 00 seconde ; East RiverCaméra 278 heures 10 minutes 01 seconde ; EntréeCaméra 29 heures 51 minutes 16 secondes
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Un homme semble faire la tête en voyant un article du New York Journal sur les fonds illégaux de la campagne de Griffin.
Maxine Angelis : (Arrivant vers l’homme.) Qu’est-ce qu’il vous arrive, Quinn ? Qu’est-ce qui vous a fait sortir de votre QG de campagne ? (Ils se mettent à marcher.)
Alonzo Quinn : Les hurlements de mon patron. On peut dire que vous m’avez pourri ma journée.
Maxine Angelis : (Surveillée par John.) Quand on accepte d’être le directeur de campagne d’un escroc comme Griffin, il faut s’attendre à passer des moments difficiles. (Ils s’arrêtent.) Désolée.
Alonzo Quinn : Je m’en remettrai. Les politiciens vont et viennent mais nous, nous serons toujours là, pas vrai ? Juste entre nous, ce n’est pas l’année de Griffin. Walker est en tête et je ne trouverai rien sur lui pour sauver ma peau.
Maxine Angelis : Oh, plus ils ont l’air sain vue de l’extérieur plus ils sont pourris à l’intérieur, vous le savez bien.
Alonzo Quinn : Je suis venu vous mettre en garde, c’est tout. Griffin veut voir votre tête au bout d’une pique.
Maxine Angelis : Eh bien, dites-lui de prendre un ticket. (Elle s’en va ainsi que Quinn mais John les surveille de loin.)
Reese : Vous avez entendu Finch ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Accolant l’article sur Griffin sur la vitre.) Edward Griffin, notre nouveau suspect mais je doute que ce soit le dernier. (Entendant Balou jouer avec l’objet qui couine.) Oh, pitié, Balou. (Il se tourne et voit Balou relever la tête. Il lance une balle vers l’entrée.) Allez, tiens, va chercher. (Balou ne bouge pas.) Je devrais bientôt avoir accès au site de stockage cloud qu’utilise notre journaliste. (S’asseyant à son poste de travail.) Il ne me restera plus qu’à passer en revue tous les dossiers sur lesquels elle travaille pour déterminer qui d’autre peut vouloir la tuer.
 
SÉQUENCE – BoxCaméra 1211 heures 37 minutes 32 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Journée
Maxine Angelis : Non, Glen, on ne le tient pas notre sujet.
Glen : Comment ça on ne le tient pas ? Soixante-quinze policiers arrêtés, si ça ce n’est pas énorme.
 
SÉQUENCE – BoxCaméra 1711 heures 37 minutes 41 secondes
Maxine Angelis : (Via un micro.) Le sujet ce n’est pas qui ils ont arrêtés mais qui leur a échappés…
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Journée
Maxine Angelis : (Entrant dans son bureau avec Glen.) …le vrai chef. Le FBI sait très bien qu’ils n’ont pas eu le big boss. (S’asseyant.) Alors, ils embarquent tout le monde et n’importe qui en se disant que plus grand est le filet, plus il y a de chances qu’il soit dedans.
Glen : Tu veux écrire sur le boss de la DRH. D’accord, je veux le nom du type et je veux des éléments à l’appui.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleJournée
John est toujours en train de la surveiller avec son appareil photo.
Glen : (Via un micro.) On n’imprimera rien avant.
Reese : Donc, elle veut trouver le chef de l’organisation.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Reese : (Au téléphone.) On devrait peut-être surveiller Simmons.
Finch : (Apposant la photo de Simmons sur la vitre.) En fait, d’après l’analyse que j’ai faite des documents fournis par le lieutenant Fusco, j’ai tendance à croire que Simmons n’est rien d’autre qu’un lieutenant haut gradé. (Il met un point d’interrogation au-dessus de la photo de Simmons.)
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleJournée
Reese : D’accord, alors mais qui est le chef ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Le téléphone de Maxine se met à sonner et parvient à l’ordinateur d’Harold.
Finch : Quelqu’un essaie de joindre la journaliste. Numéro masqué, pas d’identité.
Maxine Angelis : Maxine Angelis.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleJournée
Homme : (Au téléphone.) Je ne peux pas vous dire qui je suis, mais j’ai des informations qui vous intéresseront.
Maxine Angelis : D’accord, des infos sur quoi ?
Homme : (Au téléphone.) Du grand patron de la DRH. Je connais son nom.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Maxine Angelis : Allez-y, je vous écoute.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Homme : (Au téléphone.) Le cerveau de la DRH est Christopher Zambrano. On l’arrête ce soir.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Maxine Angelis : Vous êtes ?
Homme : (Au téléphone.) Un ami.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Harold cherche des articles sur Christopher Zambrano et son père.
Finch : Christopher Zambrano, fils du défunt parrain de la Mafia. (Il regarde un article sur l’association de Zambrano avec des images d’un carrousel.) Impossible que vous l’ayez oublié. Mais contrairement à son père, Christopher semble…
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleJournée
Finch : (Au téléphone.)… n’être mêlé à aucune affaire louche.
Reese : (Toujours l’appareil photo à la main.) Ce qui permet d’assurer plus facilement la liaison entre la Mafia et la police.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Il dirige une société d’import-export. Oh, couverture idéale pour les activités de contrebande auxquelles…
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleJournée
Finch : (Au téléphone ; pendant que John surveille toujours Maxine dans son bureau.) s’est livrée la DRH. (Voyant que John regarde Maxine en train d’appeler.) Mademoiselle Angelis appelle un de ses contacts au FBI.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Willis Clark : (Sortant de sa voiture.) Agent Clark.
Maxine Angelis : Willis.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Maxine Angelis : C’est Maxine Angelis. Vous vous rappelez la fois où je n’ai rien publié alors que vous dirigiez une opération de saisie…
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Maxine Angelis : (Au téléphone)… de meth et que vous vous étiez trompé de maison.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Maxine Angelis : Vous ne saviez pas comment me remercier. Et bien, je crois que j’ai trouvé un moyen.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Willis Clark : Vous voulez quoi, Maxine ?
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Maxine Angelis : Qu’est-ce que vous savez de l’enquête sur la…
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Maxine Angelis : (Au téléphone.)…DRH ? Je viens d’avoir une info comme quoi ce serait…
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Maxine Angelis :…Christopher Zambrano qui chapeauterait toute l’organisation.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Willis Clark : OK. Ça doit vraiment rester strictement…
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Willis Clark : …confidentiel. Mais, euh, oui je sais qu’il est dans le collimateur concernant la DRH.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Willis Clark : Quand Donnelly remplissait les demandes de mise en examen, j’ai entendu le nom de Zambrano revenir très souvent.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Maxine Angelis : Très bien, je vous remercie Willis. Je ne vous citerai pas cette fois non plus. (Elle raccroche.)
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Elle a vraiment l’air de tenir quelque chose.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleJournée
Finch : (Au téléphone.) Il vaudrait mieux se renseigner sur Zambrano.
Reese : (La regardant avec son appareil photo.) J’ai bien peur qu’elle nous prenne de vitesse. (Il quitte sa position.)
 
SÉQUENCES – Vue du cielCaméra 3111 heures 45 minutes 07 secondes ; Dock 4CCaméra 613 heures 51 minutes 43 secondes ; Dock 4CCaméra 1015 heures 03 minutes 10 secondes
EXTÉRIEUR – Sur un dockJournée
Zambrano est avec plusieurs hommes lorsque Maxine Angelis les interrompt.
Maxine Angelis : Monsieur Zambrano. Maxine Angelis, je suis du New York Journal.
Christopher Zambrano : Ravi de vous rencontrer, sortez de mon dock.
John, se trouvant à quelques mètres d’Angelis et Zambrano, appaire le téléphone de Christopher Zambrano.
Maxine Angelis : (Via un micro.) Pourquoi, vous avez des choses à cacher ?
Reese : J’ai les yeux et les oreilles rivé sur Zambrano.
Christopher Zambrano : (Via un micro.) Vous pouvez fouiller, vous ne trouverez que des meubles d’importation et un manège d’enfant que je viens d’acheter pour une œuvre de charité. (Les hommes sortent les chevaux du carrousel.) On en parle ça dans les journaux ? Non. Parce que je m’appelle Zambrano, je suis forcément de la Mafia.
Maxine Angelis : Non, moi je crois que vous dirigez la DRH.
Christopher Zambrano : Hmm, c’est quoi cette histoire ? Qui vous a dit ça ?
Maxine Angelis : Je crois que vous savez très bien de quoi je parle. (Cherchant une photo sur son portable.) Avez-vous eu récemment la visite de l’agent Donnelly. (Elle montre la photo de Donnelly à Zambrano.)
Christopher Zambrano : Première fois que je le vois.
Maxine Angelis : C’est curieux, le gardien vous a vu ensemble ici. Vous avez eu une altercation. Le fils d’un ancien parrain qui a une boîte d’import-export qui se fait cuisiner par l’agent du FBI qui enquête sur la DRH. Si vous n’avez rien à voir là-dedans, comment vous…
Christopher Zambrano : (La coupant, il s’énerve.) Vous allez la fermer. Je ne suis au courant de rien, vous entendez. Et si vous continuez avec vos questions, il se pourrait que quelqu’un ait des ennuis.
Reese : (Entendant la conversation, il active son oreillette.) Je n’aime pas la tournure que ça prend, j’y vais.
Finch : (Au téléphone ; essayant d’empêcher John de continuer.) Vous ne pouvez pas.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Maxine Angelis se passionne pour un autre…
 
EXTÉRIEUR – Sur un dockJournée
Finch : (Au téléphone.)… sujet. Elle épluche des rapports de police…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : …elle interroge des témoins, (regardant une photo de John) elle est à la recherche d’un mystérieux homme en costume. C’est-à-dire vous.
 
EXTÉRIEUR – Sur un dockJournée
Finch : (Au téléphone.) Nous sommes deux fugitifs qui piratent des informations…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch :…issu d’un système gouvernemental de surveillance, il y a une chose à éviter, c’est de la…
 
EXTÉRIEUR – Sur un dockJournée
Finch : (Au téléphone.)…publicité. Vous allez devoir la protéger mais en évitant de lui fournir davantage de preuves sur l’existence de l’homme en costume.
Maxine Angelis : (Via un micro.) Si vous êtes aussi honnête que vous le dites, pourquoi…
Christopher Zambrano : (La coupant.) Je vous interdis de publier.
Maxine Angelis : Monsieur Zambrano.
Christopher Zambrano : Vous n’écrirez rien.
Maxine Angelis : Une journaliste agressée par le chef présumé de la DRH, vous croyez que ce titre vous rendra innocent aux yeux des gens ?
 
SÉQUENCE – Dock 4CCaméra 815 heures 05 minutes 02 secondes
Christopher Zambrano : (En partant.) Teddy, raccompagne cette emmerdeuse…
 
EXTÉRIEUR – Sur un dockJournée
Christopher Zambrano :…jusqu’à la sortie.
Reese : (Voyant Maxine partir.) D’accord, Finch, mais comment voulez-vous que je sauve une femme qui veut mettre ma photo en première page ?
 
SÉQUENCES – TraficCaméra 17416 heures 02 minutes 13 secondes ; Sud-EstCaméra 1216 heures 19 minutes 05 secondes
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Pendant qu’il appose une photo sur la vitre.) Je sais bien que la situation est délicate mais nous devons continuer à la protéger. Rien dans l’empreinte numérique de Zambrano ne laisse supposer qu’il est le chef de la DRH. (Balou continue de jouer avec son jouet.) Mais d’autres criminels ont déjà réussi à nous berner. (Le voyant nettoyer son arme.) Dites donc, vous ne pouvez pas faire ça ailleurs, j’apprécierai.
Reese : J’ai essayé dans le parc mais on m’a regardé bizarrement.
Finch : Bon, admettons que Zambrano soit bien le chef de la DRH, s’il craint que Maxine Angelis écrive un article révélant son identité, il va sûrement chercher à la faire abattre.
Reese : (Regardant dans la lunette de son arme.) Et j’aurai du mal à le stopper sans que notre protégée me voie à l’œuvre.
Finch : Et si vous sortez de l’ombre pour voler à son secours, qu’est-ce qu’il arrivera alors, elle saura aussitôt que vous êtes l’homme en costume. Et il faudrait pouvoir inventer un moyen de vous cacher en pleine lumière, alors en attendant, je crois que des renforts seraient appréciables.
 
SÉQUENCE – BB DMNDCaméra 517 heures 02 minutes 16 secondes ; E LawnCaméra 14  - 17 heures 02 minutes 19 secondes
Carter : Maxine Angelis.
 
EXTÉRIEUR – Dans un parcJournée
Carter : (Regardant la photo de Maxine.) Ah, j’en ai entendu parler. Elle est sur toutes les grosses affaires. Comment vous comptez-vous y prendre avec une journaliste ? Je croyais que Finch et vous étiez obsédés par l’anonymat.
Reese : Je garderai mes distances. (À Lionel.) Je t’ai envoyé une photo, celle de Chris Zambrano. (Lionel voit la photo et l’enlève, ne voyant que son fils en fond d’écran.) Maxine Angelis pense qu’il dirige la DRH.
Carter : Alors, il est aussi pourri que son père.
Reese : (Voyant le regard fuyant de Lionel.) Quelque chose qui ne va pas, Fusco ?
Fusco : Hein, c’est rien, j’ai dû manger quelque chose qui ne passe pas.
Carter : Ce qui est sûr, c’est que pour être à la tête de la DRH, il ne faut pas être brouillon. Si Zambrano compte abattre votre journaliste, il le fera de manière invisible. Jamais on ne pourra faire le lien avec lui.
Reese : Fusco, ça remonte à quand la dernière fois que tu as vu Simmons ?
Fusco : Hmm. C’est la fois où je l’ai canardé pour te couvrir.
Reese : Trouve-le, file-le. Et si jamais il te cause des problèmes, je m’en occuperai.
Carter : Je vais parler à Donnelly, je lui demanderai qui d’autre à la DRH n’a pas encore été arrêté. Et si jamais votre amie journaliste avait quelques problèmes avant qu’on ait trouvé le tireur…
Reese : Eh bien, j’imagine que j’aurais à appeler la police. (Il s’en va.)
 
SÉQUENCE – E LawnCaméra 817 heures 04 minutes 03 secondes ; Passage cloutéCaméra17 heures 35 minutes 01 seconde ; BoxCaméra 1018 heures 03 minutes 26 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Journée
Edward Griffin : (Via la télévision.) Bien que je n’ai connaissance d’aucune malversation, les fonds en question seront reversés à des œuvres caritatives.
Journaliste : (Via la télévision.) C’était la déclaration d’Ed Griffin suite aux accusations du New York Journal. Landon Walker se trouve dans nos studios. Monsieur Walker, votre réaction.
Landon Walker : (Via la télévision ; pendant que les journalistes présents prennent des notes.) Dissimuler des preuves, ça n’a jamais fait disparaître le crime. C’est ce que n’a pas compris mon adversaire.
Glen : (À Maxine.) Regarde ce que tu as provoqué.
Landon Walker : (Via la télévision.) Mais je suis élu, je promets que de redonner à cette ville le sens de l’honnêteté.
Journaliste : (Via la télévision.) Nous quittons la politique pour nous intéresser à la météo.
Maxine Angelis : (Montrant un dossier avec l’article à Glen.) Je tiens notre homme, le chef de la DRH, c’est Christopher Zambrano.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleJournée
Glen : (Via un micro ; pendant que John les scrute avec son appareil photo.) Le fils de l’ancien parrain ? Tu t’appuies sur quoi ?
Maxine Angelis : (Via un micro.) Quatre sources différentes.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Maxine Angelis : Un informateur anonyme, un gardien sur les docks, un agent du FBI qui connaît bien le dossier et Zambrano en personne.
Glen : Tu as eu ses aveux ?
Maxine Angelis : S’il avait été innocent, il ne m’aurait pas hurlé dessus. Je sais que Donnelly a déjà fait la demande de mise en examen.
Glen : On balance d’abord l’info sur le site et ensuite, on attend qu’il l’arrête et on imprime.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleJournée
John baisse son appareil photo, voyant Glen partir. Il comprend qu’elle a un scoop.)
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Maxine écrit l’article et le fait diffuser sur Internet.
 
SÉQUENCE – Sud-EstCaméra 1218 heures 41 minutes 34 secondes
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Voyant l’article sur son ordinateur.) Ça y est, l’info est lâchée. Mais mademoiselle Angelis n’est pas tirée d’affaire pour autant.
 
SÉQUENCE – Côté porteCaméra 118 heures 51 minutes 25 secondes
Finch : (Via un micro.) Zambrano peut bien la faire exécuter par pure vengeance.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Finch : (Au téléphone ; pendant que John suit Maxine.) Elle ne sera tranquille que quand il aura été coffré.
Reese : Impossible de la protéger à cette distance. Il faut que je me rapproche d’elle.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Mais c’est prévu.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Finch : (Au téléphone.) Il semble que le travail de Maxine ne la prive d’occasions…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : …de rencontrer des hommes bien. Alors, elle a fini par s’inscrire à contrecœur à un site de rencontre…
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Finch : (Au téléphone.)… qui connaît un grand succès. Je me suis permis...
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : (Affichant les profils de Maxine et de John avec comme pseudo GirlFriday1213 et MrAnderson212.) …d’utiliser l’algorithme de concordance à rebours pour créer le profil de ce qui, selon elle, est l’homme idéal. Elle est très sensible à l’amour que vous avez pour les chiens.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : Une seconde, vous voulez m’arrangez un rencart ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueJournée
Finch : Ce soir, 20 heures. Vous avez tchaté avec elle toute la journée. (Il écrit un message en se faisant passer pour John.)
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Reese : (Il se met à marcher alors que Maxine sourit.) Finch, qu’est-ce que je viens de lui dire là ? (À la bibliothèque, Harold se met à sourire.)
 
SÉQUENCE – Sécurité du pont20319 heures 47 minutes 40 secondes ; EntréeCaméra A19 heures 55 minutes 20 secondes ; TrottoirCaméra N19 heures 58 minutes 32 secondes
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
John arrive avec un gros bolide et se gare.
Finch : (Au téléphone.) Les nouveaux boutons de manchette je comprends, mais était-ce vraiment nécessaire d’acheter une voiture de sport à 100 000 dollars ?
Reese : (Donnant les clés à un gardien.) Détendez-vous, Finch, la voiture, je l’ai volée.
Maxine Angelis : Jolie voiture, j’espère que ce n’est pas pour compenser autre chose.
 
SÉQUENCE – Entrée principaleCaméra 220 heures 00 minute 12 secondes
Finch : (Via un micro.) Rappelez-vous, vous vous appelez John Anderson…
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : …Vice-président de Jensen Actuaire.
 
SÉQUENCE – Zone assise ACaméra 320 heures 00 minute 25 secondes
Finch : (Via un micro.) Vous aimez promener votre chien.
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Finch : (Au téléphone.) Faire du kayak et vous êtes fan d’Hitchcock.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : Oh, Maxine a un faible pour les intellos, ce qui est bien pratique, ça nous permet de joliment masquer votre identité. (En mangeant.) Est-ce que vous portez les lunettes que je vous ai trouvées.
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Serveuse : Voilà votre table.
Reese : Bien sûr.
Serveuse : Bonne soirée.
Reese : (Faisant assoir Maxine, il se met à son tour à table.) J’ai, euh, téléphoné avant pour commander une bouteille. Vous aimez le champagne j’espère.
Maxine Angelis : Non, vous avez oublié, on a plaisanté là-dessus pendant nos échanges. (À un serveur.) Excusez-moi, je pourrai avoir un Manhattan, s’il vous plaît ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : Je vous ai envoyé des notes, vous ne les avez pas lues ?
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Maxine Angelis : (Pendant que John se met à rire.) Dites-moi, John, je me suis toujours demandée en quoi consiste exactement le travail d’un actuaire ?
Reese : Eh bien, la plupart du temps, à essayer de rester éveillé.
Finch : (Au téléphone.) Mauvaise réponse,
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : …monsieur Reese.
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Finch : (Au téléphone.) Cette femme se passionne pour son travail…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : …elle cherche un compagnon qui partage ce sentiment. Bon, il est grand temps de renvoyer des renforts.

_________________
"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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Série préférée : Lucifer

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MessageSujet: Re: Script VF - 2X05 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 2X05 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeMer 22 Juil - 15:13

INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Zoe Morgan : (Arrivant à la table de John et Maxine.) John ? Comment ça va ?
Reese : (Se levant.) Heu, Zoe.
Zoe Morgan : (À l’oreille.) Vous voulez me rendre jalouse ?
Reese : Finch vous tenez en réserve ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : Psychologie sociale. Selon une étude les femmes sont davantage attirées par des hommes…
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Finch : (Au téléphone.) qui sont appréciées d’autres jolies femmes.
Reese : Euh, Maxine, voici Zoe, une amie.
Maxine Angelis : Et comment vous vous êtes connus, tous les deux ?
Zoe Morgan : Oh, nous avons passé deux très longues nuits ensemble l’année dernière. Ça m’a fait plaisir de te revoir, John. (Elle s’en va en faisant une tape sur les fesses de John.)
Maxine Angelis : (Pendant que John se rassoit.) Vous êtes sorti avec Zoe Morgan ? (Il acquiesce.) Tous les journalistes de la ville donneraient n’importe quoi pour interviewer cette femme.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : C’est scientifique. La psychologie sociale repose…
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Finch : (Au téléphone.) en fait sur l’idée d’interaction entre leur processus... (John désactive l’oreillette.)
Reese : Alors, parlez-moi de votre travail. Quel est le sujet le plus passionnant sur lequel vous êtes en ce moment ?
Maxine Angelis : Oh, vous allez dire que je suis bizarre. OK, voilà, il y a un bruit qui court à propos d’un homme. La police l’a surnommé « l’homme en costume ». Personne n’a vu son visage.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Maxine Angelis : (Au téléphone.) On ne connais pas son nom et je ne suis même pas …
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Maxine Angelis : …sûre qu’il existe. Mais on le dirait sorti d’une BD comme un super héros. Une personne a des problèmes, subitement, il apparaît, toujours au bon moment. On n’a aucune idée de qui il est mais ce qui est sûr c’est qu’il a sauvé des tas de vies. Et qu’il a tiré dans les genoux de pas mal de mondes.
Reese : (En souriant.) Ça a l’air d’un type formidable et une belle légende urbaine.
Maxine Angelis : Oui, possible mais s’il existe vraiment, comptez sur moi pour mettre cet homme en première page de tous les journaux et magazines que peut compter ce pays.
Reese : (Mettant ses lunettes, il regarde la carte.) Et si vous me parliez de Christopher Zambrano. Je suis allé sur votre site. Vous ne craignez rien d’écrire sur un homme tel que lui avec des dangers que ça implique ?
Maxine Angelis : Ce sont les risques du métier.
Reese : N’empêche, un week-end hors de New York ne pourrait pas faire de mal. Histoire de laisser passer l’ouragan.
Maxine Angelis : Gentil de vous inquiéter, John. Et votre offre de m’enlever pour le week-end était vraiment bien tourné. Mais non, cette vie, je l’ai choisie. Je cherche ce qui est nécessaire de dire aux gens, ce que veulent faire à tout prix les puissants et je fais en sorte que tout le monde l’apprenne. Cela mérite bien de prendre quelques risques. À une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Maxine Angelis : (Via un micro.)…révolutionnaire.
Finch : (Entendant la conversation.) George Orwell.
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Maxine Angelis : (Pendant que son téléphone se met à vibrer.) Oh, je suis désolée, je dois prendre cet appel.
Reese : Allez-y. (Il prend son portable qui s’est mis lui aussi à sonner.)
Maxine Angelis : Glen, Glen, Glen, s’il te plaît, calme-toi, calme-toi.
Reese : Là, je suis un peu pris.
Carter : (Au téléphone.) On a un souci.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée
Carter : Je viens de raccrocher avec Donnelly et… le papier que Maxine Angelis a écrit sur lequel Zambrano serait le chef de la DRH…
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Carter : (Au téléphone.)…et bien tout est faux.
Maxine Angelis : (Contrariée.) Oh, c’est pas vrai, d’accord, oh, c’est pas vrai.
Reese : Zambrano n’est pas le chef.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée
Carter : Ni le chef ni un suspect.
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Carter : (Au téléphone.) Mais avec ce qu’elle a écrit, Zambrano…
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterSoirée
Carter :… se retrouve dans la ligne de mire. Il n’y a pas un truand…
 
INTÉRIEUR – Dans un restaurantSoirée
Carter : (Au téléphone.) …que la DRH a arnaqué, pas un cartel avec qui il travaillait, qui ne va pas vouloir sa peau.
Reese : Maxine n’a rien à craindre, c’est Zambrano la cible. Il faut le retrouver pendant qu’il est encore temps. (Il raccroche.)
Glen : (Au téléphone.) Tu t’es plantée, Maxine. Le FBI est en route, ils veulent te parler.
Maxine Angelis : OK, Glen, ce n’est pas moi le problème. Où est Zambrano, il ne lui ait rien arrivé ?
Glen : (Au téléphone.) Il ne répond pas sur son portable, personne ne sait où il est.
Reese : Urgence professionnelle, je vous rappelle.
Maxine Angelis : Je ne sais pas quelle est l’urgence, mais c’est sûrement moins grave que la mienne. À cause de moi, Zambrano risque de mourir. Il faut que vous m’emmeniez, je dois aller le voir.
 
EXTÉRIEUR – Sur les docksSoirée
La voiture de John se gare près de l’entrée des docks.
Maxine Angelis : Restez là, attendez-moi.
Finch : (Au téléphone ; pendant que Maxine passe par le grillage.) Vous n’êtes pas loin de lui, Zambrano se trouve à 300 mètres ouest-nord-ouest.
Reese : (Voyant arriver un véhicule du FBI en face de lui.) Alors, le FBI a dû oublier de le localiser.
 
SÉQUENCE – Zone 16Caméra 220 heures 40 minutes 40 secondes
Maxine Angelis : Monsieur Zambrano ?
EXTÉRIEUR – Sur les docksSoirée
Maxine Angelis : Monsieur Zambrano ? (Passant à côté de deux bâtiments.) Christopher !
SÉQUENCE – Zone 16Caméra 520 heures 41 minutes 56 secondes
Deux hommes s’approchent de Maxine mais ils sont surpris par John qui leur tombe dessus.
EXTÉRIEUR – Sur les docksSoirée
Une bagarre éclate entre les trois hommes.
Reese : (À un des deux hommes à qui l’étrangle au cou.) Où est Zambrano ?
Maxine Angelis : À l’aide !
John arrive à se débarrasser de l’homme et de lui prendre son arme.
Reese : (Voyant Maxine à côté de Zambrano, mort.) Finch, on arrive trop tard.
 
SÉQUENCE – Zone 2Caméra 120 heures 42 minutes 27 secondes
La Machine reconnaît son atout puisqu’un carré jaune se trouve autour de la tête de John.
 
SÉQUENCE – EntréeCaméra 0122 heures 19 minutes 06 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeSoirée
Maxine se trouve au commissariat, choquée et abattue.
Carter : Alors, mademoiselle Angelis et monsieur Anderson, c’est bien ça ?
Reese : Appelez-moi John.
Carter : Tout ce que je veux, c’est votre déposition. C’est vous qui avez découvert monsieur Zambrano ?
Maxine Angelis : On lui avait tiré…
 
SÉQUENCE – Box 0322 heures 20 minutes 11 secondes
Maxine Angelis : …dessus, il ne respirait…
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeSoirée
Maxine Angelis :…plus. Tout est de ma faute. Euh, désolée. Je… Juste une minute.
Carter : Ouais, évidemment. (Elle s’éloigne et John la rejoint.) Vous êtes sorti avec elle ? C’est comme ça que vous restez à distance ?
Reese : C’est, c’est compliqué. Les tueurs étaient là, je les ai mis KO. Pour moi, ils sont du cartel des Torreros.
Carter : C’est une des nombreuses organisations qui voulaient la tête du boss de la DRH, sauf que ce n’était pas lui.
Reese : (Voyant Lionel passer à côté d’eux.) Écoutez, c’est tout sauf l’endroit idéal pour moi mais je ne peux pas la laisser seule. Est-ce que je peux l’emmener ?
Carter : Ouais.
Reese : Venez, elle a dit qu’on pouvait y aller.
Maxine Angelis : Ah, vous parlez d’une première soirée.
Donnelly : Mademoiselle Angelis, agent spécial Donnelly, FBI. Vous allez devoir répondre à quelques questions.
 
SÉQUENCE – Salle d’interrogatoire C0222 heures 25 minutes 20 secondes
Maxine Angelis : Ah le gardien à l’entrée des docks a dit…
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeSalle d’interrogatoireSoirée
Maxine Angelis :…que vous vous étiez accroché avec Zambrano et un agent que j’ai eu au téléphone m’a confirmée…
Donnelly : L’agent Clark n’était au courant de rien et je n’ai aucune envie de vous écouter, tenter de justifier ce que vous avez fait. Tout ce que je veux, c’est le nom de la personne qui vous a dit en premier que Zambrano dirigeait la DRH.
Maxine Angelis : J’ai eu un coup de téléphone. Un informateur anonyme. C’était un homme, le numéro était masqué. (Regardant dans des feuilles que lui montre Donnelly.) 11 heures 41, oui c’est ça. (Donnelly l’entoure et le donne à un agent à l’extérieur.) Mais si ce n’était pas lui le chef, pourquoi alors est-ce…
Donnelly : Est-ce que vous vous rendez seulement compte de la gravité de votre erreur ? Zambrano n’a jamais été le chef de la DRH. Il était le témoin qui pouvait le permettre de le faire tomber. Le père de Zambrano représentait la Mafia auprès de la DRH. Il consignait tout, dans un registre. Avec toutes les sommes perçues par les hommes de la DRH. Tout le monde, y compris leur chef. À la mort de son père, Chris Zambrano est tombé sur le registre. Mais lui, il était différent, c’était quelqu’un de bien, un homme sans tâche. Quand il a compris ce qu’il avait entre les mains, il nous a appelés.
Maxine Angelis : Vous auriez dû le protéger. Pourquoi ?
Donnelly : Pourquoi on s’est accroché d’après vous ? J’ai essayé de le convaincre justement. Mais avec des personnes telles que vous qui l’ont toujours pris pour un criminel, Zambrano a eu peur qu’on le croit impliquer nous aussi. Il ne voulait remettre le registre qu’une fois son immunité garantie. Les papiers sont arrivés ce soir. Maintenant si vous avez le malheur de publier un seul mot de tout ça, je vous fais aussitôt boucler pour obstruction. (La porte s’ouvre et un agent tend un papier à Donnelly qui regarde ce qu’il y a dessus.) Eh bien, votre informateur vous a appelé depuis un téléphone jetable. (Jetant la feuille vers Maxine.) Le moyen de communication préféré des criminels. Pas moyen de remonter jusqu’à eux, félicitations mademoiselle Angelis, vous avez été manipulée vraisemblablement par le vrai chef.
Donnelly quitte la pièce laissant Maxine Angelis, très peinée. Carter et Fusco regardent à travers une vitre dans une autre pièce. Lorsque Joss quitte la pièce, Lionel voit Simmons au loin en train de le surveiller puis s’en va.
 
SÉQUENCE – Jetée 15Caméra 36 heures 03 minutes 29 secondes ; Sud-EstCaméra 156 heures 03 minutes 53 secondes
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Reese : (Qui se trouve auprès d’Harold, devant la vitre.) Alors, Maxine n’était pas la victime, c’était elle l’auteur du crime.
Finch : Malgré elle, c’était involontaire mais elle est quand même responsable, indirectement. Le chef de la DRH a réussi à éliminer le seul homme qui pouvait le faire tomber et dans le même temps, à briser la carrière d’une journaliste un peu trop gênante.
Reese : On va trouver le nom de ce salopard et on va le faire payer.
Finch : Je vais aller fouiller dans l’empreinte numérique de Zambrano, peut-être que je vais trouver où il a caché le registre où figure le nom du grand patron.
Reese : Je vais voir ce que notre flic infiltré peut faire de son côté. (Téléphonant à Lionel.) Fusco, il faut que tu ailles parler à Simmons.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de FuscoMatinée
Reese : (Au téléphone.) Tâche de savoir s’il connaît le numéro un de la DRH.
Fusco : Si c’était le cas, on l’aurait chopé l’autre fois avec le reste de l’organisation.
Reese : (Au téléphone.) Demande-lui quand même.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Reese : Et rappelle-moi s’il y a du nouveau.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de FuscoMatinée
Fusco : OK, patron. (Il raccroche et range son téléphone. Il voit des résultats sur Zambrano et note son adresse.) Alors Zambrano, où tu l’as planqué ton registre ?
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Matinée
Maxine arrive à son bureau la tête des mauvais jours, sachant qu’elle a commis une grave erreur. Ses collègues la regardent bizarrement. Son téléphone se met à sonner.
Maxine Angelis : Maxine Angelis.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Alonzo Quinn : Max ? C’est Quinn, comment ça va ?
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Matinée
Maxine Angelis : Je crois que la journée va être dure.
Alonzo Quinn : (Au téléphone.) Ouais.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Alonzo Quinn : On va se servir de cette histoire pour vous discréditer.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Matinée
Alonzo Quinn : (Au téléphone.) Tout ce que vous avez pu écrire sur Griffin, c’est mort.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Alonzo Quinn : On va vous passer à la moulinette, je suis désolé.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Matinée
Maxine Angelis : Vous êtes vraiment un ami, Quinn.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Alonzo raccroche le téléphone et le range.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine Angelis - Matinée
Maxine rumine dans son bureau lorsqu’elle interpelle son rédacteur en chef.
Maxine Angelis : Glen, qu’est-ce que je peux faire ?
Glen : Je crois qu’on a fait ce qu’il fallait, on passe les élections en deuxième page pour laisser la place à notre rétractation pour Zambrano.
Maxine Angelis : Je peux la rédiger, si tu veux.
Glen : Désolé, mais tu n’écriras plus rien tant qu’on n’a pas vu notre juriste.
Maxine retourne la tête vers son bureau, dépitée.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleMatinée
Finch : (Au téléphone ; pendant que John la scrute avec son appareil photo.) L’avenir professionnel de Maxine Angelis a beau être compromis…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : … elle poursuit quand même son investigation. (Voyant un appel sur son ordinateur.) Elle essaie de joindre le téléphone jetable.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleMatinée
Femme : Votre boîte vocale n’a pas encore été personnalisée, veuillez laisser un message.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine Angelis - Matinée
Maxine Angelis : (Au téléphone.) Je ne sais pas à qui je parle mais je sais ce que vous avez fait et aussi trouver votre nom.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleMatinée
Maxine Angelis : (Au téléphone.) Et quand je le connaîtrai…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Maxine Angelis : (Au téléphone.) je vous promets que vous finirez en première page du journal…
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine Angelis - Matinée
Maxine Angelis :… avec une paire de menottes.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Elle est à la recherche du registre.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleMatinée
Reese : Il faut que je la dissuade avant qu’elle s’attire de gros ennuis. (Il appelle Maxine.)
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine Angelis - Matinée
Le téléphone de Maxine se met à vibrer.
Maxine Angelis : Allô ?
Reese : Maxine, c’est John.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un immeubleMatinée
Reese : Je me suis dit qu’on pourrait boire un verre.
 
SÉQUENCES – Angle de la 50ème et de la 2èmeCaméra 0320 heures 09 minutes 10 secondes ; Près des tablesCaméra A20 heures 11 minutes 25 secondes
Maxine Angelis : (Hors cadre.) Je ne m’attendais pas à votre coup de fil.
INTÉRIEUR – Dans un barSoirée
Maxine Angelis : C’est rare qu’il y ait une deuxième soirée quand la première finie avec un cadavre.
Reese : Je pensais à vous, à ce que vous deviez traverser. Je suis là si vous avez besoin.
Maxine Angelis : Puisque vous en parlez, j’ai ce dossier, j’aurais besoin de votre analyse d’un point de vue comptable. (Elle lui ouvre le dossier.) C’est tout ce que j’ai pu trouver sur Zambrano, idée de trouver à quel endroit Zambrano aurait…
Reese : (Posant le dossier sur le comptoir.) Maxine, je pense que vous devriez confier ce dossier aux autorités compétentes.
Maxine Angelis : J’ai fait passer le scoop avant la recherche de la vérité. Et mon arrogance a coûté la vie à un homme. Je sais que c’est fini, je ne pourrai rien y changer, mais ce que je peux faire, c’est démasquer le salopard qui tire les ficelles. Merci pour la bière.
 
SÉQUENCE – BarCaméra C20 heures 12 minutes 55 secondes
Maxine s’en va et sort à l’extérieur du bar.
EXTÉRIEUR – Près du barSoirée
Reese : (Courant après Maxine.) Maxine, Maxine, je sais ce que vous ressentez, ne pas pouvoir revenir en arrière. Je ne peux pas vous empêcher de souffrir ou de vouloir vous racheter, mais sachez que vous n’êtes pas seule. (Voyant un point vert sur le chemisier de Maxine.) Baissez-vous ! (Pendant que deux hommes tirent, ils se cachent derrière une voiture, John tentant de protéger au mieux Maxine.) Finch, je crois que le grand patron a bien eu son message.
 
SÉQUENCE – EntréeSécurité 320 heures 13 minutes 42 secondes
La Machine reconnaît deux menaces car deux hommes ont deux carrés aux bords rouges autour d’eux.
EXTÉRIEUR – Près du barSoirée
 Les hommes continent de tirer dans la voiture où se trouvent derrière Maxine et John.
Maxine Angelis : Donnez-moi vos clés. (Pendant qu’elle monte dans la voiture, les hommes continuant de tirer, John en profite pour prendre son arme et tirer sur les ennemis qui tentent de se protéger.
Reese : Finch, je l’emmène chez moi. (La voiture quitte sa place.)
 
SÉQUENCE – TrottoirCaméra 420 heures 14 minutes 00 seconde
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Harold semble rassuré mais le bruit du jouet de Balou le fait sursauter.
Finch : Oh, zut, c’est moi qui ai le chien.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement de JohnSoirée
Harold amène le chien dans l’appartement de John. Il détache Balou et lorsqu’il entend l’ascenseur, il trouve un endroit pour se cacher et jette le jouet vers Balou qui le prend dans sa gueule.
Reese : Hey.
Maxine Angelis : (Voyant Balou qui arrive droit sur elle.) Ah, oh, Balou est encore plus beau que sur les photos. (Balou se met devant la porte où se trouve son maître.) Et, il a l’air de beaucoup aimé ce placard.
Reese : Ses, ses biscuits sont dedans. Eh bien, encore une soirée intéressante. On devrait peut-être appeler la police, non ?
Maxine Angelis : Mais qui ? À qui ont peut se fier avec le chef de la DRH qui est toujours là. (Dans le placard, Harold regarde autour de lui où se trouvent des armes.)
Reese : (Hors cadre.) Vous savez qui a pu nous tirer dessus ?
Maxine Angelis : Non, mais si on cherche à me tuer, c’est forcément que je suis sur la bonne voie. (Regardant devant elle.) Ah, le travail est ennuyeux mais il a l’air de bien payer.
Reese : Je n’irai pas travailler demain. Je reste avec vous jusqu’à ce que tout soit fini.
Maxine Angelis : Vous êtes un type bien, John Anderson.
Reese : Et je dormirai sur le canapé.
Maxine Angelis : (En souriant.) Ce que je disais, un type bien. Et pour mes lentilles de contact ?
Reese : Oh, euh, c’est par là. (Maxine s’en va vers la salle de bain. John se met à souffler de soulagement et Harold en profite pour sortir de sa cachette.
Finch : Franchement, quand est-ce que vous allez vous servir de tout ça ? D’ailleurs, vous n’auriez pas dû la ramener ici. Il n’y a pas une couverture qui soit infaillible. Plus elle restera et plus elle vous interrogera.
Reese : (Amenant Harold vers la sortie.) Imaginez-vous toutes les questions qu’elle vous posera à vous si elle revient et qu’elle vous découvre ici.
Finch : Vous avez pu voir les visages de vos agresseurs ?
Reese : J’ai bien tenté mais je vous rappelle qu’ils étaient en train de me tirer dessus.
Finch : Je vais voir ce que je peux trouver sur les caméras du pub.
 
SÉQUENCE – ToitCaméra N - 6 heures 09 minutes 10 secondes
INTÉRIEUR – Dans le loft de JohnMatinée
Finch : (Au téléphone ; pendant que John fait des pancakes.) J’ai une piste, monsieur Reese, j’ai sorti des images des tireurs de la télésurveillance du pub.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Ensuite, j’ai trouvé un site de partage de photos avec un système de reconnaissance faciale supprimé à la suite d’un procès il y a un an. J’ai hacké le site…
 
INTÉRIEUR – Dans le loft de JohnMatinée
Finch : (Au téléphone.) … j’ai relancé la reconnaissance faciale et identifié les deux tireurs. (John a la photo sur son portable.)
Reese : Hmm, c’est le FBI.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Des ex du FBI. (Regardant un article sur l’ordinateur.) Agents Boggle et Pitt.
 
INTÉRIEUR – Dans le loft de JohnMatinée
Finch : (Au téléphone.) Retraite anticipée depuis un an.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Mais s’ils sont toujours en contact avec le bureau, ce sont eux qui ont dû parler du registre de Zambrano au patron de la DRH.
Reese : Je sais que vous ne voulez pas que je grille ma couverture…
 
INTÉRIEUR – Dans le loft de JohnMatinée
Reese : …mais Maxine doit savoir à qui elle a à faire et je dois aussi assurer sa protection.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Détendez-vous, John, je lui ai adressée…
 
INTÉRIEUR – Dans le loft de JohnMatinée
Finch : (Au téléphone.)… un SMS contenant la même information, anonymement, cela va de soit.
Maxine Angelis : (Elle arrive avec son portable à la main, lisant le SMS.) John, je dois voir une de vos amies.
 
INTÉRIEUR – Dans un barJournée
Zoe Morgan : (Elle avance les photos vers John et Maxine.) Leonard Pitt et Craig Bogle. Poussés vers la sortie pour harcèlement et poursuites abusives. Ils auraient été achetés, d’après ce qu’on dit.
 
SÉQUENCE – Zone assise 417 heures 11 minutes 36 secondes
Zoe Morgan : Ils se servaient de leur plaque pour rendre des services…
INTÉRIEUR – Dans un barJournée
Zoe Morgan : …à leur vrai employeur.
Maxine Angelis : L’homme qui a tué Zambrano, celui qui m’a appelée d’un portable jetable, le grand patron. Dites-moi qui sait.
Zoe Morgan : Désolée, mais moi aussi  il y a des choses que j’ignore. Vous savez qui sont les grands utilisateurs de portables jetables ? Les criminels, cela va de soit, mais aussi les QG de campagne. Anonyme, impossible à localiser et pas cher. Si jamais quelqu’un se fait prendre en train de faire des coups tordus, ça peut le tirer d’affaire.
Homme : (À la télévision.) Son attitude est déplorable. Qui peut avoir envie de voir un tel homme présider à la destinée de notre ville ? Landon Walker est le seul candidat responsable, le seul digne d’accéder au poste de Maire.
Maxine Angelis : Zambrano est assassiné parce qu’il connaît le nom du chef de la DRH et ça cinq jours avant les élections. Est-ce que vous êtes en train de me dire qu’un des candidats est le grand patron ?
Zoe Morgan : J’émets une opinion, rien de plus. Personnellement, j’évite les politiciens, généralement ils n’ont aucun vrai pouvoir. J’ai été ravie de vous rencontrer mais je ne vous ai jamais rencontrée. (Maxine hoche de la tête en guise d’acquiescement, et Zoe s'en va.) Soyez sage, John.
 
SÉQUENCE - Caméra du Pont A1418 heures 14 minutes 26 secondesParcCaméra 219 heures 05 minutes 28 secondesWeatherCamNJ51019 heures 35 minutes 22 secondes
INTÉRIEUR - Dans le loft de JohnSoirée
Maxine Angelis : (Au téléphone.) Oui, tout à fait, merci infiniment. (À John qui arrive.)  Un des anciens adversaires de Griffin vient de me confirmer que Bogle et Pitt l'avaient harcelé durant la campagne. Si Griffin a déjà fait appel à eux, ils bossent sûrement toujours pour lui.
Reese : Vous avez de quoi l'épingler en première page ? (Il sert du vin blanc à Maxine et à lui-même.)
Maxine Angelis : Non, je ne referais plus jamais cette erreur-là. Je ne publierai rien avant d'avoir le registre entre les mains. Il n'y a plus qu'à découvrir à quel endroit Zambrano l'a caché. (Ayant le verre de vin que lui donne John.) Très habile votre façon d'obtenir un troisième rendez-vous.
Reese : Je le vois davantage comme une troisième tentative de premier rendez-vous. (Ils se mettent à boire leur verre.)
Maxine Angelis : Une minute. (Regardant le site internet de l'association de Zambrano.)  Zambrano a dit que tout le monde croyait qu'il était de la Mafia et que jamais on ne s'intessait à ses œuvres de charité. (Voyant John sortir de la nourriture.) Si Zambrano cherchait un endroit où cacher le registre, peut-être qu'il l'a mis là où personne n'aurait l'idée d'aller regarder. (Un zoom est mis sur les chevaux du carrousel de Zambrano.)
SÉQUENCES – ToitCaméra 320 heures 38 minutes 00 seconde ; CarrouselSécurité 920 heures 49 minutes 29 secondes ; CarrouselSécurité 221 heures 03 minutes 23 secondes
EXTÉRIEUR – Près du Carrousel de ZambranoSoirée
Maxine arrive devant la porte du carrousel mais celle-ci est fermée à clé.
Maxine Angelis : Est-ce qu’il y aurait un pied de biche dans votre jolie voiture ? (Elle utilise sa lampe de poche pour voir qu’il y a peut-être une ouverture derrière une grille. John arrive à l’ouvrir.)
Reese : Maxine, c’était ouvert.
 
SÉQUENCE – CarrouselSécurité 421 heures 04 minutes 7 secondes
INTÉRIEUR – Dans le carrousel de ZambranoSoirée
John, avec sa lampe torche, regarde autour de lui et voit les chevaux.
Maxine Angelis : On commence par les chevaux, ils sont arrivés hier.
Maxine et John regardent sur les chevaux. Ce dernier tape sur le bois pour voir si ça sonne creux. Il en trouve un et tire le pied du cheval vers lui et découvre le registre.
Reese : Je crois que j’ai trouvé. (Il prend le registre et le donne à Maxine.)
Maxine Angelis : (En souriant.) Le fameux registre. Vous voulez connaître le nom du grand chef ?
Craig Bogle : Merci, Maxine. Le patron le cherchait partout ce truc-là.
John et Maxine sont encerclés par Bogle et Pitt.
 
SÉQUENCES – Vue du cielCaméra E21 heures 14 minutes 04 secondes ; CarrouselSécurité 221 heures 14 minutes 53 secondes*
INTÉRIEUR – Dans le carrousel de ZambranoSoirée
John se fait frapper par Pitt. John ne se défend pas pour éviter d’être démasqué.
Finch : (Au téléphone.) J’ai prévenu le lieutenant Carter, les renforts arrivent monsieur Reese.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : Je sais que ça va à l’encontre de votre nature mais si vous intervenez, Maxine saura aussitôt qui vous êtes, attendez les secours aussi longtemps que possible.
 
INTÉRIEUR – Dans le carrousel de ZambranoSoirée
Reese : (À voix basse.) Je tâcherai de ne pas l’oublier. (Il se fait encore frapper.)
Craig Bogle : (En souriant.) Ah, franchement, vous avez fait un boulot remarquable. D’abord Zambrano, maintenant le registre, et en plus vous avez amené votre copain. (Pitt prend du sang avec un coton-tige sur le visage de John et le met sur les doigts de Maxine.) On va balancer vos deux corps dans votre appartement et on fera croire à une querelle entre amants qui a viré au meurtre et au suicide.
Maxine Angelis : Vous croyez que si je meurs, la police ne trouvera pas vos noms parmi mes notes, agent Bogle ? À moins que ce ne soit monsieur Bogle, maintenant. (Pitt qui met du papier au sol.) Vous allez commettre un double meurtre pour me faire taire. Mais quand on vous coincera, est-ce que vous croyez que votre chef hésitera un instant à vous descendre pour effacer toutes traces ? C’est qui au fait votre chef ? On devrait peut-être regarder dans le registre. (Elle se prend un coup de poing dans le visage. John tente d’intervenir mais il est plaqué par Pitt.) Ça veut dire « sans commentaire » ? (John se prend un autre coup de poing et tombe au sol alors que Joss arrive.)
Carter : Police ! Jetez vos armes.
Craig Bogle : FBI, on est en mission officielle.
Carter : (Pointant son arme avec Lionel à ses côtés.) Mademoiselle Angelis est témoin dans une affaire criminelle. Jetez vos armes !
Craig Bogle : Tu as entendu des sirènes, toi. (Pitt fait non de la tête.) Deux lieutenants qui déboulent comme ça, sans renforts. Vous non plus vous n’êtes pas en mission officielle.
Il tire le premier et les deux lieutenants tentent de se protéger mais des coups de feu retentissent de part en part. John se relève et met en route le carrousel. Bogle, déséquilibré, fait tomber le registre. Maxine arrive à le récupérer et regarde dans le registre le nom présumé du patron de la DRH.)
Maxine Angelis : (Pendant que les échanges de coups de feu continuent.) Griffin, où est Griffin ?
John prend un objet et tape contre Pitt, une bagarre se déclenchant entre les deux hommes.
Maxine Angelis : (Voyant le nom, elle est surprise.) Walker ?
John continue de frapper contre Pitt et l’envoie contre un cheval. Il tombe au sol pendant que Bogle tente de trouver les autres. Maxine a pris son portable et envoie une photo avec le titre : « Walker est à la tête de la DRH ». Bogle est prêt à tirer sur Maxine mais il est stoppé par John qui lui tire une balle dans l’épaule. Maxine regarde qui lui a sauvé la vie alors que le carrousel continue de tourner.
Carter : (Au téléphone alors qu’elle a arrêté Pitt.) Lieutenant Carter, envoyez une ambulance. Suspect en détention, blessure par balle.
Reese : (Comme si de rien n’était.) Qu’est-ce que j’ai manqué ?
Maxine Angelis : Vous pourrez tout lire dans le journal de demain.
Fusco : Je dois le récupérer, c’est une pièce à conviction. (Après l’avoir eu entre les mains.) Merci.
 
EXTÉRIEUR – Près du carrouselSoirée
Lionel  regarde dans le registre et tente de trouver son nom ainsi que de celui de Simmons. Il trouve les pages et les arrache, les mettant dans la poche intérieure de sa veste.
 
SÉQUENCES – Vue du cielVers le sud6 heures 07 minutes 21 secondes ; OuestCaméra 3057 heures 03 minutes 04 secondes ; WeatherCam AH287 heures 14 minutes 22 secondes
EXTÉRIEUR – Près du QG de campagne de Landon WalkerMatinée
Landon Walker : Après ça, on a le gala pour la collecte de fonds, mais il faut que j’y sois à 15 heures. Vous arrangez ça. C’est bon, merci. (Une voiture du FBI arrive et Donnelly en sort.)
Donnelly : Landon Walker, je vous arrête pour corruption et extorsion en bande organisée. (Alors qu’un agent plaque Walker sur la voiture.) Vous pouvez garder le silence…
Landon Walker : Whoo, whoo.
Donnelly : …tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous devant la cour. (L’agent met les menottes à Walker.)
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux du « New York Journal » - Bureau de Maxine AngelisJournée
Pendant qu’elle écrit un article, Maxine reçoit de Glen le journal où se trouve l’article qu’elle a fait sur Walker et la DRH.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeLe parkingJournée
Fusco : Voilà, (montrant le papier à Simmons) tu es hors d’atteinte. Le boss est en taule. (Simmons voit qu’il y a bien son nom sur le papier.) C’est bon, on est quitte.
Simmons : (En souriant.) Une fois que tu as signé, il n’y a aucun moyen d’en sortir.
Fusco : Tu veux que je t’aide encore, alors ne me parle plus de mon gosse.
Simmons : Ce n’est pas moi qui suis dangereux pour lui. C’est toi. (Il quitte la voiture de Lionel et s’en va.)
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Reese : (Sorti avec Maxine.) Pas de coups de feu, pas de cadavre, alors c’est à ça que ressemble un rendez-vous normal avec vous.
Maxine Angelis : Agréable, non ? C’est malheureusement la dernière fois qu’on se voit. Vous me plaisez, John. Même beaucoup, je dois dire. Mais je suis mariée à mon travail et pour être franche, je crois aussi que vous n’avez pas encore tiré un trait sur Zoe Morgan. (Elle embrasse John.) Au revoir.
Reese : (Voyant Maxine partir.) Fini de pourchasser votre homme en costume, alors ?
Maxine Angelis : Vous l’avez dit, c’est une légende urbaine. Vu la semaine que je viens de passer, si ce type avait réellement existé, je crois que j’aurais fait sa connaissance. (Elle s’en va.)
Finch : (Au téléphone.) Monsieur Reese, ce n’est peut-être pas fini.
Reese : Vous êtes parano, Finch.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : Parano ou pas, (faisant couiner un objet, il le jette) je doute que nous ayons le vrai responsable.
Reese : (Au téléphone.) Walker…
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Reese :…avait des raisons de vouloir tuer Zambrano. Il touchait de l’argent de la DRH.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : Oui, et nous savons qu’il a engagé Pitt et Bogle pour tuer Maxine mais c’est ça qui me dérange justement. Celui qui dirige la DRH est un vrai génie, pas du genre à engager deux agents débarqués du FBI pour descendre une journaliste.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Finch : (Au téléphone.) Je ne suis pas sûr que Walker est l’ingéniosité…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Finch : …ni les relations pour concevoir une organisation aussi complexe que celle-là.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Reese : D’accord. Alors, si Walker n’est pas le chef de la DRH, qui est-ce ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueSoirée
Harold regarde la photo de Simmons avec le point d’interrogation dessus, se demandant aussi qui est le chef.
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementSoirée
Griffin : (À la télévision.) Les New-Yorkais se sont exprimés et c’est une grande fierté pour moi d’être votre prochain maire.
Simmons : (Versant de l’alcool dans deux verres.) Alors, comme ça vous arrosiez aussi Walker. Vous aviez couvert vos arrières. C’était bien joué. Rappelez-moi de ne jamais vous doubler, patron.
Alonzo Quinn : C’est pour ça que je n’ai jamais voulu faire partie de ce qui peuvent. (Recevant un verre de Simmons.) L’argent ne compte pas quand on a le vrai pouvoir. Les politiciens vont et viennent mais nous, nous serons toujours là. (Il claque le verre contre celui de Simmons, trinquent et boivent.)

_________________
"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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