Matsya Nyaya est une expression en sanskrit, signifiant littéralement "le syllogisme du poisson", décrivant comment les petits poissons se font manger par les grands. Titre français : Dans le dos Flashbacks : John Reese, Kara Stanton, Mark Snow et Alicia Corwin Pitch : Reese revêt l'uniforme et part travailler dans le fourgon blindé avec un convoyeur de fonds dont le numéro est sorti, tandis que Carter accepte de retravailler avec Reese et Finch...
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N° épisode : 020 Scénariste : Ray Utarnachitt Réalisateur : Kevin Bray Acteur(s) récurrent(s) : Michael Kelly (Mark Snow), Elizabeth Marvel (Alicia Corwin), Michael Mulheren (Artie Lynch), Susan Misner (Jessica Arndt), Annie Parisse (Kara Stanton), Darien Sills-Evans (Tyrell Evans), Sean McCarthy (Lee Fusco) Acteur(s) invité(s) : Pablo Schreiber (Tommy Clay), Lenny Venito (Murray Langston), Virginia Kull (Ashley)
26 avril 2012 sur CBS (12,73 millions de téléspectateurs) 23 octobre 2012 sur La Une ( ? téléspectateurs) 27 février 2013 sur V (? téléspectateurs) 17 avril 2013 sur TF1 (6,07 millions de téléspectateurs)
Résumé complet : carine79
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Personne d'intérêt : Tommy Clay (coupable)
Jocelyn Carter évoque avec John que c'est la même discussion, sans confiance pas de relation saine et durable. Où cela les mène ? John estime que cela doit être réciproque. Elle fait confiance à John et Harold (dont elle ne connaît rien d'eux) ; mais c'est sur la mission qu'elle doute. Joss ne sait pas à qui se fier au sein de la police. Elle est même persuadée que l'homme, assis en face d'elle est un pourri. John ironise qu'il promet de le garder à l'œil. Elle souhaite en savoir davantage, avoir autant d'éléments qu'eux. Toutes les informations sur chaque affaire. John est d'accord et lui dit de régler une affaire ensemble.
Il lui montre la photo d'un homme, qui se trouve être dans le bar avec une femme. Carter pense que c'est sa copine ; problème, ce n'est pas elle. Celle-ci arrive, énervée, lui dit qu'il va le payer et tire, ce qui provoque la panique, mais elle se fait arrêtée par Joss. Cette dernière pense qu'ils sont censés la résoudre en commun. En effet, John fait en sorte qu'elle arrête le tireur, et lui, d'éviter que son ami infidèle ne soit pas blessé. Cela fonctionne plutôt bien. C'est à ce moment-là qu'Harold lui annonce un nouveau numéro, demande également si le précédent est terminé par John et le lieutenant. A l'instant même.
Lionel amène un homme, menotté, en salle d'interrogatoire, celui ne comprenant pas pourquoi il a été bouclé. Il coupe l'alimentation de la caméra. Lynch arrive et demande au suspect où se trouve l'argent qu'il doit à la DRH. Mais celui-ci ne veut pas s'associer avec les flics, il ne marche qu'avec la mafia. Il lui dit que cette époque est révolue, que c'est son groupe qui récupère le business. En le menaçant, il lui repose la question. N'ayant pas le choix, il accepte mais il faut qu'il montre l'endroit. Le capitaine s'en va en disant à Lionel d'aller le chercher avec lui.
Harold dit à John que, vu ce que Carter dit dans le bar, elle surveille Lionel. Et demande s'il n'est pas judicieux, maintenant, de lui révéler qu'il infiltre la DRH à leur demande. John refuse, malgré ce discours sur la confiance, mais c'est mieux pour leur sécurité. Moins il y a de personnes au courant pour lui, moins il est en danger. Harold demande s'il s'inquiète pour ce dernier. Il essaie de sauvegarder un atout. Quel est le nouveau numéro ? C'est Tommy Clay, vit dans le Queens, marié depuis 10 ans avec son épouse Joyce ainsi qu'un fils de 9 ans. Pas de casier, paye ses impôts et va à l'Eglise le dimanche sauf pendant la saison de football. C'est apparemment quelqu'un d'ordinaire. D'où vient la menace alors ? Harold ne lui a peut-être pas dit son métier : il travaille chez Grayling, une société de transport de fonds, donc convoyeur ; John est sous les ordres de Clay, qui va le former et il commence ce jour.
L'équipe se compose d'un chauffeur, Murray Langston, 20 ans d'ancienneté ; d'un messager, Tommy, c'est lui qui a le poste le plus dangereux. Il doit quitter le fourgon, récupérer ou livrer le chargement ; enfin, un garde, c'est-à-dire, John. Si le numéro de Clay est sorti, c'est qu'ils vont être braqués. 73% des attaques de convois de fonds se font pendant que le messager est hors du fourgon. S'il y a braquage, cela sûrement à ce moment-là. John se trouve à son poste lorsqu'il pose une caméra afin de lire les plaques minéralogiques. Harold précise que le lien GSM est établi, le lecteur va scanner toutes les plaques à sa portée. Ils vont savoir si une personne suit le fourgon en préparation d'un braquage.
Tommy lui explique que l'inconnu réside dans les objets transportés. John demande si ce n'est pas sur le manifeste. Il lui rétorque que pas forcément, le client les annonce parfois pas ; il lui demande si c'est bien John son prénom. Alors, il faut se dire qu'ils sont constamment en danger. John trouve que c'est une bonne façon de voir les choses. Et Tommy dit à Murray qu'il est philosophe et réfléchit, il obtient comme réponse que John a sûrement des idées très profondes. Il ne faut pas s'endormir sur ses lauriers. Lorsqu'ils sont arrêtés pour un chargement, John prévient Harold que ces hommes ne sont pas préparés en cas d'attaque. Leur gilet pare-balles mal serrés, leurs chargeurs pas rangés. Il faut identifier la menace. Ce dernier lui dit qu'il vérifie toutes les plaques pour savoir s'ils sont suivis. Tommy revient avec le chargement et lui dit que John sait ce qu'il fait ; il lui demande également s'il l'a manqué, et celui-ci rétorque qu'il n'a pas idée. Il faut continuer à ouvrir l'œil.
Pendant ce temps, Harold s'aperçoit qu'une plaque est scannée à trois reprises, donc quelqu'un les suit. C'est à ce moment-là que Murray annonce que des hommes armés se dirigent vers eux, à l'angle sud-est. Il lui demande de voir ce qu'il se passe et l'appelle à l'aide. Mais il ouvre la porte portant un masque sur la tête. John comprend que c'est une blague, il a même le droit d'être pris en photo par le chauffeur. Pointant son arme vers lui, Clay lui dit qu'il fasse attention car ce n'est pas un jouet. Paniqué, Harold veut savoir ce qu'il y a, mais John le rassure, c'est une mauvaise blague. Il ironise en disant que c'est très spirituel, mais la Machine ne donne pas de fausse alerte, le braquage aura bien lieu. Lorsque cela arrive, l'équipe va avoir de gros problèmes.
De retour à la bibliothèque, John demande des informations. Harold explique qu'il pirate les serveurs de la société afin d'avoir l'itinéraire du jour, dont la carte se trouve sur l'ordinateur. Cela permettra de savoir où l'attaque a plus de chances d'avoir lieu. Est-ce que le lieutenant Carter donne les renseignements sur la voiture qui les suit ? Harold dit qu'il n'en a pas eu. John reçoit un appel de Lionel et s'inquiète qu'il ne donne plus de nouvelles. En fait, il est un peu en galère avec Lynch, car la DRH a des problèmes financiers, depuis l'arrestation de Carl Elias. Donc, il rackette à coups de batte de base-ball, à croire qu'il n'a pas assez d'ennemis comme cela. John lui dit de continuer de creuser pour savoir qui est leur chef, avant de faire tomber toute la pyramide. Lionel se plaint, car au moins il est payé pour ses efforts. Et pour l'argent ? John ce qu'il l'intéresse, c'est la DRH, le reste il s'en moque c'est à Lionel de gérer. Lorsqu'il finit la communication, son fils rentre dans la voiture. Son père lui demande s'il souhaite acheter un nouvel équipement de base-ball, ce qui le met en joie.
Au commissariat, Joss explique que les images proviennent, étrangement, aux lecteurs automatiques de plaques. Elle demande à John s'il l'a pris sur sa voiture. Il lui dit que non, pas sur la sienne. Donc, elle fait la sourde oreille. Elle lui donne les informations sur la plaque : c'est un van, Chevrolet gris de 1995. Son propriétaire est un homme de 72 ans, retraité des transports publics. John s'étonne qu'un homme âgé puisse s'en prendre à un fourgon. C'est pour cela qu'elle creuse : son neveu, Frank Lowell, bénéficie d'une liberté conditionnelle depuis deux mois. La peine remonte à 2005 pour vol à main armé, avec son ami Mick Norton, libéré l'an passé. Elle lui envoie les photos sur son téléphone et lui dit qu'il a peut-être besoin d'aide, mais il a la situation bien en main.
John rentre dans un bar où il rejoint ses coéquipiers. Murray lui demande s'il dort bien, mais pas vraiment. Il rêve qu'il travaille avec deux clowns. Murray rétorque que c'est la faute de Tommy, il ne peut pas s'en empêcher. John demande si c'est sa femme. Ce qui vaut une réflexion de Murray, qu'elle est embêtante, c'est pour cela qu'il fête l'anniversaire de son divorce comme le nouvel An. Le travail est déjà assez stressant comme ça, donc hors de question de rentrer chez soi pour être avec une casse-pieds en plus. Pour lui, le mariage est une arnaque. Et John, avec un sourire narquois, voit rentrer Tommy. Celui-ci lui demande s'il est toujours partant. Et que Murray lâche la gym. Il plaisante en avouant faire un régime à base de pain perdu. Une serveuse, prénommée Ashley, arrive et veut savoir qui il est. Donc, il lui dit qu'il s'appelle John, surnommé le bleu, et c'est lui qui fait son apprentissage. Elle demande ce qu'il souhaite, celui-ci veut que son café, mais Tommy pense à quelque chose de transportable, comme un sandwich aux œufs (cela ne change jamais). Murray lui dit c'est parce qu'il ne sait pas lire le reste du menu. Voyant le joli bracelet d'Ashley, il veut savoir l'heureux condamné. Elle prétexte que cela lui est offert par sa grand-mère, qui a du goût. En plus, la serveuse met de la sauce piquante dans le sandwich de Tommy. Murray le taquine mais attention, c'est un homme marié. Il est temps de se mettre au travail.
Dans le fourgon, Tommy demande ce qu'il fait comme autre activité, s'il travaille dans la sécurité. Dans un supermarché, avec un costume noir. Il répond ici et là et que c'est à peu près cela. Mais là c'est différent. Est-ce qu'ils se sont déjà faits braqués ? Une fois, deux hommes armés, lorsque Tommy et son collègue chargent un distributeur de billets, les attaquent mais en voulant jouer les héros, il se prend deux balles dans le gilet. Ils se sont enfuis. Deux côtes cassées et une bosse, c'est tout comme prime. En général, c'est calme et éviter le mal des transports.Pendant ce temps, Harold explique qu'il enregistre la plaque d'immatriculation du van. En cas d'alerte, le lecteur l'avertira de sa présence. Il récupère l'itinéraire du jour dans la base de données de la société. 1er arrêt : OneState Bank ; récupérations des déclarations de revenus des employés. 2ème arrêt : société HelioGem ; ce ne sont que des pierres de basse qualité, destinée à l'industrie. 3ème arrêt : Regan, équipement médical ; société fabriquant, entre autres, des pacemakers. Pour John, c'est du matériel qui a de la valeur, mais pas évident à emmener. Il prévient Murray qu'ils reviennent. En réalité, Harold constate sur la feuille de livraison qu'il s'agit d'un matériau brut destiné à fabriquer des pacemakers. En faisant des recherches, il s'aperçoit que c'est du platine qui vaut 1 600 dollars l'once, soit environ 50 000 le kilo. Il y a 25 kilos. Il prévient que ce qu'il transporte vaut 1,250 000 dollars. C'est sûrement cela qu'ils visent.
John étant aux aguets, Tommy lui demande de se détendre et utilise son portable. Il frappe à la porte pour que Murray puisse partir. Harold ne comprenant ce qui se passe, il est sûr qu'ils doivent se faire braquer à cet endroit-là. D'autant plus que le dernier arrêt est une épicerie de luxe ; rien comparé à ce qu'ils ont. Lorsqu'il dit cela, une explosion se fait entendre. Leur fourgon est attaqué, ce qui réveille John, choqué après ce qu'il vient de se passer. Il dit à Tommy de rester tranquille et défonce la porte arrière. Il fait le tour et tire sur les assaillants, dont l'un détient Murray en otage. Mais il se fait tirer dessus et s'effondre. Tommy, qui détient le platine, blesse John et, plus grièvement, Murray. Il part avec ses complices.
Harold essaie de reprendre contact avec John qui se trouve à l'hôpital. Celui-ci voit Murray mourir, il s'en va mais il est aidé par Joss Carter. Elle lui met une couverture et l'emmène, lorsqu'un policier se trouve hors de leur champ de vision. John, sauvé par son gilet, n'a qu'une déchirure de la peau et quelques ecchymoses, il peut s'estimer heureux. Il s'en veut car il n'est pas censé sauver Tommy, seulement le neutraliser. Carter explique que, dans la plupart des cas, le convoyeur laisse la porte ouverte et touche sa part. Mais là, le type qui tire sur ses collègues, il faut qu'il prépare bien sa sortie. Et dire qu'il a une famille. Elle demande que ses collègues fassent une perquisition à son domicile et amener son épouse afin de l'interroger. Pour Joss, il y a forcément quelqu'un derrière ce braquage. Et John pense qu'il a besoin d'un receleur car le platine ne se vend pas tout seul. Le portable de Carter sonne.
C'est Harold qui demande des nouvelles. Elle lui dit qu'il est à côté d'elle et met le haut-parleur. Harold explique qu'il localise son téléphone à l'hôpital mais n'imagine pas que cela se passe ainsi. Et John lui fait savoir que tout va bien, son cœur bat toujours. Il les informe qu'il regarde les images prises par la caméra cachée dans le fourgon. Clay a un autre téléphone et envoie un message juste avant l'attaque, sûrement pour donner le signal. John veut absolument le retrouver avant qu'il ne fasse d'autres victimes.
Lionel regarde son fils jouer du hockey, lorsque Lynch vient à sa rencontre. Il se rappelle qu'il joue dans ce parc lorsqu'il est enfant. A se bagarrer, jouer des poings. Ironiquement, Lionel lui demande s'il l'a été. Sur ce, Lynch vient chercher l'aide de Fusco pour prendre un colis à Brooklyn. Il donne les détails en temps utile. Il le menace en lui disant qu'il n'a pas le droit à l'erreur.
Dans une salle d'interrogatoire, le lieutenant Carter demande à Madame Clay où est son mari. Elle ne le sait pas car il ne l'appelle pas de la journée. Joss rétorque qu'il est pas mal occupé. Il braque son fourgon, tire sur deux hommes mais elle s'étonne qu'il ne donne pas des nouvelles à son épouse. Celle-ci considère son mari comme un homme honnête, n'entend pas dire qu'il vole quoi que ce soit. En est-elle sûre ? Carter présente une boîte, retrouvée dans un des placards, qui contient un bracelet en diamants, comme par hasard, faisant parti d'un chargement transporté par Tommy, deux jours plus tôt. Mais elle n'est pas au courant, car il ne lui offre pas.
Après l'interrogatoire, elle informe Harold qu'il a une maîtresse, donc s'ils savent son identité, ils peuvent remonter jusqu'à lui. Mais celui-ci prend de l'avance sur elle. Il est au bar où travaille Ashley. A la bibliothèque, lorsque John demande des nouvelles de la fille, Harold, piratant son téléphone, voit un numéro dans son journal d'appels revenant régulièrement depuis une heure. Il n'y a pas de nom d'abonné. C'est certainement un téléphone jetable, peut-être traçable. Il envoie à Tommy un message, avec une photo engageante d'Ashley prise depuis le portable, peut-être mordra-t-il à l'hameçon. Dès qu'il l'ouvre, un logiciel espion type Cheval de Troie va communiquer instantanément ses coordonnées GPS.
Harold réussi à localiser le portable du convoyeur. Il consulte ses messages depuis le Royce Motel. Donc, John s'y rend avec une arme et une lampe de poche, rentre dans une chambre mais celle-ci est vide ; l'oiseau s'est envolé avec le platine, tuant préalablement ses complices. Pour Harold, il ne veut laisser aucune trace.
John entend du bruit, pensant que c'est Tommy, sauf que c'est Lionel. Celui-ci pense tirer, car selon lui, cela lui facilite la vie. John demande si ce n'est pas le stresse qui le gagne, surtout, que fait-il ici. C'est Lynch qui l'envoie reprendre le magot et un certain Clay. Ce qui intrigue John. Evidemment, la DRH est mêlée au braquage. Comme elle choisi ses tireurs, il est simplement venu chercher leur part. Mais pas de chance, Tommy se trouve dans la nature avec le butin. Si Lionel ne ramène pas le platine, ils penseront que c'est lui qui l'a pris. Autrement dit, il est cuit. Il s'énerve contre John car c'est à cause de lui s'il infiltre la DRH et donc a besoin d'aide. Ce dernier lui dit qu'il va le retrouver, donc Lionel peut partir. Mais qu'est-ce qu'il va bien leur dire ? John rétorque qu'il est très doué pour mentir, c'est pour cela qu'il l'a choisi. Et Lionel quitte la chambre. John demande à Harold s'il l'entend. Comme toujours, il est présent mais ne sait pas où est Tommy, car celui-ci détruit son téléphone une fois parti du motel. Il ne réussit pas à récupérer des informations, sauf que le terme "Ashley" lui sert de mot de passe. Donc, c'est la serveuse qui est sa maîtresse. Ils sont amoureux car, grâce au relevé de carte bancaire, elle achète pour plus de 5 000 dollars de valises de luxe. John pense qu'ils vont s'enfuir ; il va retrouver Ashley pendant qu'Harold s'occupe de Tommy. Mais mérite-t-il leur protection, demande Harold, sentant la fatigue, s'étire les bras. John ne veut pas le protéger, car il lui tire dans le dos et assassine son collègue de sang-froid.
Lynch s'étonne d'apprendre que le convoyeur part avec le platine, tuant deux de leurs hommes. Peut-être la chance du débutant. Le capitaine se demande si Fusco n'est pas un peu gourmand, il veut peut-être jouer au malin. Mais celui-ci lui dit qu'il fait mieux d'aller regarder à l'hôtel. Il y a deux morts et les mallettes sont vides. Tout le monde peut croire qu'il est rusé, mais le problème, c'est qu'il y a toujours plus rusé que soi. Lionel préfère qu'ils arrêtent de se chamailler, d'aller chercher ce type avant qu'il s'envole pour toujours avec l'argent. En admettant qu'il ne souhaite pas le devancer, il y a peu d'endroits où il peut ranger le platine. Lionel propose de se partager la liste, mais Lynch refuse car il veut l'avoir à l'œil.
Lorsqu'Ashley sort de son travail, elle rentre dans sa voiture. Lorsqu'elle s'installe, John lui dit bonsoir. Elle prend peur et lui demande de sortir. Mais il regrette de ne pas accepter. L'ayant reconnu, elle ne sait pas ce qu'il veut. Celui-ci lui parle du bracelet et lui fait comprendre, que ce n'est pas un cadeau de sa grand-mère. Il connaît l'identité du donateur, souhaite savoir où il est. Mais elle ne le sait pas, lui explique qu'il devait l'attendre au snack, mais il n'est pas venu. Soit il lui est arrivé quelque chose, soit il est parti sans elle. Et cette dernière se met à pleurer. Quel est le plan ? Il souhaite qu'ils partent loin de tout ça, vivre sur une plage au Mexique, elle gobe son histoire. John ironise en disant qu'elle a ses valises de luxe pour se consoler et s'en va.
John explique que Tommy réussit à escroquer tout le monde, maintenant, il fait le grand nettoyage. Du nouveau ? Clay utilise le même mot de passe pour tout. Et achète des portables jetables de l'opérateur SymTel. Celui-ci attribue ses lignes par groupes consécutifs. Harold rédige un script avec comme mot de passe "Ashley" dans tous les nouveaux numéros et trouve sa nouvelle ligne. Avec un message vocal qu'il fait écouter à John. Tommy parle sûrement à l'homme qui achète le butin, il date de trois-quarts d'heure. Ils se donnent rendez-vous à l’Arturo Boxing Club. John s'y rend tout de suite, pendant qu'Harold donne l'adresse à Carter. Il peut le neutraliser et elle peut l'arrêter.
C'est ce qu'il fait mais cette dernière a de la visite. C’est la CIA, donc ils doivent faire sans elle. Snow et son acolyte, qui se présente sous le nom d'Evans, viennent, d'abord prendre de ses nouvelles, surtout évoquer sa discussion avec le FBI et de John Reese. Mark Snow considère que le FBI n'est pas très fiable pour les affaires de sécurité nationale. Il ne faut rien dire à Donnelly sur leur ami commun. Pourquoi ? La CIA a-t-elle peur de se faire devancée par l'autre agence ? C'est peut-être sur ce qu'il peut dire. Snow la menace en disant que l'étau se resserre. John sait se cacher, mais eux sont capables de trouver. Si cela se produit, il est plus prudent d'être dans le bon camp. Il réitère son ordre de ne rien dire et s'en vont. Donc Harold, écoutant toute la conversation, transmet le message à John.
Donc, il arrive à la salle de boxe et voit Tommy, voulant savoir qui est là. John le trouve et il lui donne un coup de poing dans la figure. Un combat s'engage et lui dit que le premier c'est pour l'avoir tiré dans le dos, maintenant, pour avoir tué Murray. Le tenant par la gorge, il demande où est le platine. Mais il ne dit pas, John rétorque qu'il ne s'en sort pas comme ça car il ne sait pas à quelles personnes il a à faire. Tommy se croît plus malin que les autres. John lui explique qu'il est honnête, avec femme et enfant, pas d'antécédents et là, il gâche tout. Pourquoi ? Il se justifie en disant qu'il passe les dix dernières années à risquer sa vie pour protéger l'argent des autres, lui est en difficulté. Pour John, le monde a une dette envers lui. Pour Tommy, ce n'est pas vrai, il l'a compris même avec du temps. Il comprend autre chose : à force de transporter l'argent, dans la vie il faut savoir se servir, alors il prend ce qu'il lui revient. Mais John ne le laisse pas faire. Il souhaite faire cavalier seul, avec tous ses problèmes, il reste seul jusqu'à la mort. Malheureusement, il n'est pas si seul que ça. En effet, Ashley est derrière John avec une arme. Elle lui demande si tout va bien, juste à le sortir des griffes de John.
Harold qui suit tous les événements, prévient Lionel qu'il faut aider John, car il a des ennuis. Prétextant ne pas pouvoir lui parler, il raccroche. Lynch demande qui le contacte, il lui dit que c'est juste son ex-épouse.
Dans le club de boxe, John est attaché par Tommy, qui veut savoir quels sont ces gens qui leur tombent dessus. Mais Ashley souhaite savoir où est le patine, qui est en fait dessous le ring. John résume : Ashley est le cerveau, Tommy l'exécutant. Il croit qu'ils sont associés, elle l'a bien convaincu qu'il mérite mieux que ce qu'il a, qu'il est temps de se prendre en main. Ashley lui demande de ne pas l'écouter. John comprend que Clay se fait piéger et lui dit qu'il est navré. Pourquoi ? Parce que c'est la loi de la jungle. Il doit le deviner plus tôt. Il ne sait pas s'il a à faire à un criminel ou une victime, mais là, ce sont les deux. Tommy se fait tirer dessus par Ashley.
Et maintenant ? Elle ne pense tout de même pas partir d'ici et à elle la belle vie. Mais ce sont des gens dangereux. Lui demandant de se taire, il lui explique qu'elle a ce qu'ils veulent et font tout pour le récupérer. C'est difficile de tuer quelqu'un une première fois, même en y réfléchissant et se préparant psychologiquement, la deuxième est plus difficile encore. Elle souhaite le tuer, mais n'y arrive pas et s'enfuit avec le butin.
Sauf qu'elle est stoppée par Lynch, la tuant. Lionel vérifie si tout y est, mais le capitaine doute, se rendant compte qu'il dit la vérité. Ce dernier se trouve nez-à-nez avec John, qu'il surnomme "l'ange-gardien de Carter". Il sait qu'ils vont se croiser un jour où l'autre et le frappe plusieurs fois au visage. Lionel l'incite à le laisser tranquille et de partir. Lynch lui dit qu'il a raison, il veut juste s'amuser un peu, mais pense le tuer. C'est sans compter sur l'intervention de Lionel qui lui tire une balle dans le dos. Harold souhaite savoir si tout va bien et John lui dit qu'il va avoir besoin de son coffre. Ce n'est pas la peine, car le lieutenant utilise l'arme d'Ashley. Officiellement, c'est une opération de Lynch qui tourne mal. John sait que Lionel commence à être doué à ce jeu-là. Ce dernier rétorque qu'il l'est toujours, c'est pour cela que John le choisit.
John et Harold sont à la bibliothèque. Celui-ci se demande si, dans le cas présent, ils servent à quelque chose. Simplement, le meurtre de Murray n'est pas impuni, c'est déjà cela. Clay n'a aucune chance. Le problème lorsque quelqu'un joue les méchants, il y a toujours une personne plus vilaine que soit.
La Machine détecte un appel de Snow, qui pense trouver la cachette de John. Un informateur de Corée du Nord leur apprend qu'un groupe dissident aide un agent de la CIA blessé à s'enfuir d'une ville chinoise proche d'Ordos, en mai 2010. Pour Evans, c'est sûrement lui. Ils remontent à un compte situé aux îles Caïmans. Quelqu'un accède à celui-ci deux jours plus tôt, depuis une banque en face de l'hôtel Royal Manhattan. Snow veut qu'il le rejoigne. Rentrant dans une chambre, ils font le tour, lorsqu'ils découvrent des vêtements féminins. Une personne tire mortellement sur Evans ; entendant le bruit, Snow va voir mais reçoit une balle dans le genou. Il regarde le tireur mais il s'est fait avoir ce n'est pas John, c'est le retour de Kara Stanton. Elle lui demande de s'asseoir, ils ont des choses à se dire.
Flashbacks :
2010 : John Reese et Kara Stanton sont sur le site secret de Tétouan, au Maroc pour la mission Fort Rouge. Il assiste à un interrogatoire musclé, menée par sa coéquipière. En regardant son portable, il éteint l'écran, change la carte SIM et écoute un message. C'est Jessica qui ne sait pas s'il les écoute sur ce numéro. Elle éprouve le besoin de parler. Il l'appelle. Elle essaie de se souvenir de la dernière fois qu'ils se sont parlé. John veut savoir si cela va bien avec Peter. Prête à pleurer, elle dit qu'ils vont bien, juste discuter avec un ami, mais il n'est pas dupe. Il lui demande de parler. Elle évoque le moment de l'aéroport, il a raison lorsqu'il dit qu'en fin de compte, on se retrouve seul. Elle veut raccrocher et dit au revoir, mais il va venir la chercher, il va être présent dans 24 heures, simplement l'attendre et va venir. Il éteint son téléphone.
Il est 23 heures 14. Mark Snow demande ce que donne l'interrogatoire. Kara Stanton dit qu'il progresse, il commence à s'effondrer. De toute façon, cela n'a plus d'importance, ils partent le soir même pour une nouvelle mission. En Chine. John ne veut pas car il doit s'absenter pour raison personnelle. Mark rétorque qu'il n'a pas de famille, que c'est une situation très urgente. Lorsqu'il souhaite quelqu'un d'autre pour prendre sa place, Alicia Corwin dit qu'ils n'ont pas le temps à ça. Elle explique qu'ils doivent sécuriser un objet dont ils n'ont plus le contrôle. C'est la top-priorité. Est-ce clair ? Stanton acquiesce et résume la situation. Mais que chercher ? Elle évoque Stuxnet, un virus informatique créé afin de saboter le programme nucléaire iranien. C'est un objet similaire. Stanton pense que celui-là vise les Chinois, ce que confirme Corwin. Elle fait savoir qu'un membre du Pentagone vend un ordinateur à une entreprise chinoise, contenant le code source du virus. Ils peuvent l'utiliser afin d'immuniser leur équipement ou le modifier pour le retourner contre les infrastructures nucléaires américaines. Quoi qu'il en soit, il faut absolument récupérer l'ordinateur.
Mais pour ça, il faut aller à Ordos, une cité industrielle au milieu de la Chine, bâti pour un million de personnes mais depuis que l'entreprise est fermée, c'est une ville fantôme. Ils prennent un avion jusqu'à Pékin, couverture diplomatique pendant deux semaines pour se renseigner et ensuite agir. Le portable doit être manipulé très prudemment. Aucun téléphone ni appareils connectés doivent se trouver dans son champ direct. Sinon, le logiciel peut profiter de tous les chemins d'accès ouverts. Compris ? Après avoir donné les ordres, elle s'en va. Lorsque Mark leur dit d'y aller, il stoppe John pour l'informer qu'une fois le colis en sécurité, il faut "remercier" l'agent Stanton. Il demande s'il doit tuer sa coéquipière. En effet, ils interceptent des communications entre elle et un homme (dont il montre une photo). C'est un intermédiaire du Hezbollah. De gros virements sont effectués sur un compte offshore. Elle est donc passée à l'ennemi. En tant que coéquipier, il doit le voir. C'est à lui de faire le ménage. Dès que cela est fait, sa demande de congés va être acceptée. Une fois Snow parti, il essaie de recontacter Jessica, mais c'est sa boîte vocale.
2010 Ordos 7 heures 43. Une voix se fait entendre que le groupe Alpha est sur place. Ils ont leurs instructions, eux les leurs. Il les préviendra lorsque cela est fait. Un groupe d'hommes armés amène John et Kara au point de rendez-vous. L'un d'eux explique que leur chemin se sépare. Ils ne doivent pas avoir beaucoup de résistance. Dernière chose, il leur prend également leurs appareils de communications, ce sont les ordres ; ils obéissent. John demande pour l'extraction. Ils utilisent des bâtons fluorescents pour se signaler, un hélicoptère les attend en zone d'atterrissage. Ils ont 72 heures, le groupe ne les attend pas et rentrent séparément. John et Kara marchent vers le site. Il pense que la grippe aviaire sert de prétexte pour mettre la zone sous quarantaine et effrayer la population. Elle répond que pour un simple virus informatique, toutes ces précautions. Elle n'est pas sûre qu'ils leur aient dit toute la vérité. Mais John lui dit qu'ils ne sont pas là pour poser des questions, c'est elle qui lui a appris, mais cette dernière pense qu'il ne l'écoute pas. Ils arrivent, arme à la main, vers un endroit où tout un groupe est mort, elle suppose qu'ils arrivent tard.
Ils s'approchent des hommes et se rendent compte que, ce n'est pas la grippe aviaire et ils ont été exécutés. Ce sont des ingénieurs informatiques, pas du tout préparés à se défendre. John bouge un homme et s'aperçoit qu'il est encore en vie, enfin, pas pour longtemps. Il parle en mandarin et souhaite quelque chose contre la douleur. Stanton, qui le parle également, demande ce qui se passe là. Il lui explique qu'"ils sont venus et l'ont pris", elle veut savoir ce qu'ils ont pris et répond, difficilement, "la Machine". John qui ne comprend rien à leur discussion, veut savoir ce qu'il dit. Après avoir tué l'ingénieur, elle prétexte qu'il veut quelque chose pour la douleur. Ils rentrent dans le bâtiment et voient d'autres corps. John dit que c'est du travail propre, rapide, effectué par un groupe de reconnaissance des forces spéciales ou alors des mercenaires. Ils arrivent dans un endroit sombre avec des câbles par terre ainsi que des imprimantes. Ils trouvent l'ordinateur qu'ils doivent prendre. John demande pourquoi autant de victimes si ce n'est que pour le laisser là. Kara pense qu'ils l'ont copié, modifié et le laisser là exprès. Il faut attendre la nuit tombée pour attendre l'hélicoptère pour l'extraction. En attendant, il faut se mettre en sécurité. De toute façon, ils ont peur de qui ? Ce ne sont que les seuls vivants dans la ville ?
Kara évoque, en mangeant, que cela fait des décennies que, des personnes travaillent sur les valeurs nutritives des rations de combat. John rétorque que c'est toujours aussi immonde. Mais dans peu de temps, tout cela est fini, qu'il faut tout de même se nourrir. Ce n'est pas à la nourriture que Stanton pense, elle parle des satellites remplaçant les équipes de surveillance, les drones remplacent les avions de chasse. John demande qu'ils n’aient plus de raison d'être, qu'une personne les remplace, qui appuie sur un bouton. Qu'est-ce qu'il en pense ? Quoi qu'il arrive, ils sont toujours là. Elle se pose la question sur la source de leurs renseignements. John croit qu'elle suit les ordres sans poser de questions mais elle ne dit que ce n'est jamais facile. Le soleil se couche, il faut partir.
Elle range ses affaires et se lève pendant que John la regarde, il prépare son arme. En mettant par terre les bâtons fluorescents, Kara dit qu'il est temps de s'en aller. Il pointe vers l'arme vers elle mais se ravise. Il veut lui parler mais Kara lui tire dessus. Elle est désolé, ce n'est pas contre lui. Ils lui disent qu'il passe à l'ennemi, elle doit faire le nettoyage, en tant que coéquipière. Mais il se met à rire, évidemment, ils reçoivent le même ordre. Ceux qui les envoient à Ordos, ne veulent pas qu'ils s'en sortent vivant avec l'ordinateur. Ils s'assurent qu'eux, le paquet et toutes les personnes en contact soient hors circuit. En jetant les bâtons, en réalité, elle indique leur position. Se retournant, il en profite pour s'enfuir. L'hélicoptère est là, mais pas pour les récupérer, ils verrouillent la cible et font exploser le bâtiment. John, blessé, se met hors d'atteinte du champ de tir, se retourne pensant qu'elle est tuée.
Citations :
Corwin : Nous devons sécuriser un bien dont nous avons perdu le contrôle. C'est notre top priorité. Est-ce que c'est clair ? [...] Vous avez entendu parler de Stuxnet ? [...] Créé par nos services afin de neutraliser le programme nucléaire iranien. Le bien dont nous parlons est de type similaire. [...] Nous pensons que quelqu'un du Pentagone a vendu à une entreprise chinoise un ordinateur portable contenant des codes sources du virus. Il se peut qu'ils étudient les codes afin d'imuniser leur équipement. Tout comme ils peuvent les modifier pour retourner ensuite le virus contre notre propre structure nucléaire. Dans les deux cas, nous devons récupérer l'ordinateur. [...] Le portable doit être manié avec une extrême prudence. Aucuns téléphones ni appareils connectés ne doit se trouver dans son environnement direct. Sinon, le logiciel pourrait profiter de tous les chemins d'accès ouvert. Reçu ?
Corwin : We've lost control of a certain item. Securing it is the highest priority. Do you understand? [...] Are you familiar with Stuxnet? [...] Built by us to disable the Iranian nuclear program. The package you're looking for is similar. We believe someone inside the Pentagon sold a secure laptop. containing some of the source code to a Chinese firm. They may be studying the code to inoculate their devices. Or they may be modifying the code to target the U.S. nuclear infrastructure. Either way, we need the laptop returned. [...] The laptop has to be handled with extreme caution. So no phones. No network devices of any kind. The software will explolt any open communication channel. Understood?
Snow : Dernière chose. Une fois le paquet sécurisé, vous remercierez l'agent Stanton. Nous avons intercepté des communications entre elle et cet homme. Un intermédiaire du Hezbollah. De gros virements ont été effectués sur des comptes off-shore. Elle est passée à l'ennemi. En tant que coéquipier, vous auriez dû le voir. Ca va être à vous de faire le ménage, vous le savez. Faites ce qu'il faut et vous aurez votre congé. C'est compris ?
Snow : One more thing. After you've secured the package, you're to retire Agent Stanton. We've intercepted unauthorized communications between her and this man. A go between for Hezbollah. Large deposits into an offshore account. She's been compromised. As her partner, you should have noticed. Clean up our own mess, Reese. You know that. You get this done, you can have all the leave you need. You understand?
Reese : Alors, si je comprends bien, Ashley est le cerveau et toi tu es l'exécutant. Elle t'a convaincu que tu méritais bien mieux que ce que tu avais ? Qu'il était temps de prendre ta vie en main ? Je suis navré. La loi de la jungle. Comment je ne l'ai pas deviné plus tôt ? Je ne le sais jamais à l'avance si j'ai affaire à la victime ou au meurtrier, mais cette fois je crois bien que tu es les deux.
Reese : Ashley's the brains, and you're the muscle. She convinced you it was time to make your move, didn't she? She said you deserve more from life. I'm so sorry. The law of the fishes. I should have seen it coming. The people I help. I never know if they're gonna be the victim or the perp, but I think this time you're both.
Musique de l'épisode : 40:15 Unkle - Lonely Soul - Écouter ici Scène : Fin de l'épisode.
Je viens de le terminer. J'avais tout juste le temps de commencer le suivant mais j'ai pas envie de devoir partir dans la précipitation juste après !
Alors celui-là, il est excellent. 1) j'ai pas vu arriver Tommy. J'ai été surprise. Par contre j'ai pas trop cru aux larmes d'Ashley... quand Reese est sorti de la voiture, je me suis dit qu'il était un peu trop confiant. 2) Lionel. Lionnnneellllll ! 3) Cara <-> Snow <-> Reese et... la Machine ! La totale !!!! Quel sac de nœuds mais que c'est enthousiasmant ! 4) et puis Finchounet qui s'inquiète pour Reese, c'est toujours bon à prendre...
Mais la Machine ? En Chine ?
SpacyM Ombre et Lumière
Série préférée : Selon mon humeur .. Fringe, Légion, ...
AH oui le petit chinois à qui Cara donne "quelque chose pour la douleur" erm erm ... l'appelle comme cela.
Et Cara vivante.. oui, disons qu'elle est aussi morte que Reese quoi ^^ Et même si ses intentions ne sont pas claires, rien que pour avoir flingué Snow elle a déjà ma sympathie
Ben oui le Chinois l'appelle comme ça, c'est pas rien !
Et en plus, ça rend Reese blanc comme neige concernant Cara... mouahahahahahah... j'ai déjà dit que le côté "bien pensant" de la série m'agaçait un peu ?
SpacyM Ombre et Lumière
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blanc comme neige? Oui et non.. il était quand même pas joli joli son travail peu importe qu'il ait flingué sa collègue ou pas. Et puis, il aurait pu discuter de cela avec elle, il était quand même en train d'hésiter à le faire quand elel a été plus rapide que lui.
Revisionnage avec TF1. Le n° du jour est pas mal, sans plus. L'histoire vaut surtout pour ce que ça nous dit des relations entre Finch et Reese...
Dans le précédent épisode Finch sermonnait Reese qui ne voulait pas sauver les mafieux et là c'est Reese qui veut poursuivre alors que Finch veut laisser tomber à cause des actions de Tommy. Bon pas parce qu'il veut le sauver, mais pour le livrer à la police (et un peu prendre sa revanche aussi quand même), mais quand même, c'est à noter, vu que d'habitude Finch est prêt à tout pour faire aboutir la mission.
Enfin le gros morceau de l'épisode, c'est quand même la mission à ORdos! Je n'avais pas remarqué la 1e fois, mais lorsque Kara et Reese arrivent sur place, ils sont filmés et suivis par un carré rouge. Quelqu'un avait vu? Devons-nous supposer que c'est la Machine qui avait conduit à l'ordre d'élimination?
Les flashbacks de cet épisodes amènent vraiment beaucoup de questions!
Il y a eu une hypothèse qui dit qu'en fait le narrateur c'est la Machine. Donc, il ne faut pas prendre les histoires de carrés comme un fait "réel" mais comme le moyen pour la Machine de communiquer avec nous, nous donnant son point de vue sur une situation. C'est pour ça qu'on peut trouver des cadres à diverses périodes mais aussi à divers endroits. Surtout qu'on est quand même en Chine, la Machine ne peut quand même pas espionner toute la planète. Finch n'aurait pas pu la programmer pour tout ça alors qu'on voyait déjà la quantité incroyable de fils qui pendouillait rien que pour New-York (suis à une remarque de Ingram dans je ne sais plus quel épisode)
Mon opinion à propos de ces carrés rouges (qui signifient une menace pour le système) , c'est que ce ne sont pas les yeux de notre machine, mais ceux de la réplique qu'on construisait à Ordos.
_________________ “I keep warning you. Doors and corners, kid. That's where they get you. Humans are too fucking stupid to listen.” J.Miller - the Expanse
Il y a eu une hypothèse qui dit qu'en fait le narrateur c'est la Machine. Donc, il ne faut pas prendre les histoires de carrés comme un fait "réel" mais comme le moyen pour la Machine de communiquer avec nous, nous donnant son point de vue sur une situation. C'est pour ça qu'on peut trouver des cadres à diverses périodes mais aussi à divers endroits. Surtout qu'on est quand même en Chine, la Machine ne peut quand même pas espionner toute la planète. Finch n'aurait pas pu la programmer pour tout ça alors qu'on voyait déjà la quantité incroyable de fils qui pendouillait rien que pour New-York (suis à une remarque de Ingram dans je ne sais plus quel épisode)
Hypothèse à laquelle je souscris depuis le début.... C'est une petite phrase toute simple qui me fait pencher en ce sens .
Spoiler:
Je crois que c'est Nathan qui dit à Finch : "tu as construit Dieu" ( ou quelque chose dans le style...) Et CA, pour moi, c'est pas anodin, comme indice !
_________________ Credo nos in fluctu eodem esse...
Mon opinion à propos de ces carrés rouges (qui signifient une menace pour le système) , c'est que ce ne sont pas les yeux de notre machine, mais ceux de la réplique qu'on construisait à Ordos.
Non, les carrés rouges ne sont pas une menace pour le système, les carrés rouges indiquent une attaque imminente contre un individu. La Machine a aussi mis un carré rouge sur Denton Weeks avec la mention "menace pour le système" mais des carrés rouge il y en a eu beaucoup d'autres et ca concernait la plupart du temps pour une attaque qui allait se produire sous peu. Par exemple : le type que Finch avait demandé à Carter de suivre dans un bar qui était ruiné et qui voulait s'attaquer au directeur d'une banque. Il avait un carré rouge au moment où il s'apprétait à attaquer. (enfin il me semble )
SpacyM Ombre et Lumière
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tu confonds le carré entièrement rouge avec le carré blanc à coins rouges. C'est celui-là qui indique une menace imminente.
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Il y a l'explication dans la section "timeline", en cas de trou de mémoire
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Mon opinion à propos de ces carrés rouges (qui signifient une menace pour le système) , c'est que ce ne sont pas les yeux de notre machine, mais ceux de la réplique qu'on construisait à Ordos.
C'est une bonne hypothèse
Par contre je pense que la Machine peut voir des vidéos chinoises si ça lui chante, vu qu'elle peut infiltrer les réseaux, je ne vois pas pourquoi elle s'arrêterait aux frontières si elle veut suivre quelqu'un...
Peut-être que Reese et Kara étaient une menace pour elle à cause de ce qu'ils allaient chercher? Ou parce qu'ils étaient sur le point de découvrir son existence? Parce qu'en suivant les derniers ordres de Snow et Corwin ils travaillaient contre elle?
Je me demande en fait ce que la Machine perçoit comme une menace, suite à l'épisode (je ne me souviens pas lequel par contre, désolée) où le carré de Nathan virait au rouge...
Nathan virant au rouge - 1x11 . Quand Harold vient d'expliquer à Nathan en détail comment la machine fonctionne. Du coup, elle considère que celui-ci en sait un peu trop sur elle, je suppose.
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ils venaient prendre le portable qui contient son programme de base, je dirais qu'elle peut voir çà comme une menace..
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Sujet: 
Mar 23 Oct - 12:39
26 avril 2012 sur CBS (12,73 millions de téléspectateurs)
23 octobre 2012 sur La Une ( ? téléspectateurs)
27 février 2013 sur V (? téléspectateurs)
17 avril 2013 sur TF1 (6,07 millions de téléspectateurs)
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