carine79 Control
Série préférée : Lucifer
| Sujet: Résumé détaillé - 2X12 Dim 25 Oct - 8:35 | |
| Des images de caméra de vidéosurveillance apparaissent montrant le fil des événements concernant l’arrestation de l’homme en costume donc John. La Machine le considère comme un atout compromis. D’autres images montrent la tentative de libération de John par Joss et Harold. Donnelly demande à Joss si elle veut toujours arrêter l’homme au costume. Elle le souhaite. John dit à Harold qu’il est trop tard en cassant son téléphone. Un chef du SWAT dit qu’il y a un problème car l’homme au costume il y en a quatre comme lui. Donnelly veut les embarquer tous. Ils ont les traces ADN relevées à New Rochelle, le sang trouvé dans la voiture calcinée et grâce à Joss des empreintes digitales. Cette fois, ils le tiennent. Harold ne veut pas qu’elle prenne le moindre risque pour faire… Elle a décidé de supprimer les empreintes du serveur. Il ne reste plus que l’échantillon ADN. Des images sur John et les trois autres entrants dans la prison pour aller dans leur cellule. Joss demande ce qui se passe, elle a cru que les preuves ont blanchi ces hommes. Tout est trop propre, il ne peut plus faire confiance qu’à une seule personne : elle. Il sait qu’elle a été experte en interrogatoire en Irak. Il veut qu’elle mette ses compétences militaires à leur service. Il faut qu'elle commence par John. |
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| Donnelly regarde sur un ordinateur John en train d’être interrogé par Joss. John est en détention en tant que combattant illégal, conformément aux dispositions de l’AUMF, le NDAA et le Patriot Act. La durée de sa détention est indéfinie et il ne peut pas avoir recours à un avocat que lorsque sa véritable identité sera établie. Donnelly s’approche de la vitre et regarde John et Joss. Et ils auront la preuve qu’il n’est pas une menace pour la sécurité nationale. Alors, s'il tient un jour à sortir d'ici, il ferait bien de répondre aux questions. |
Dans la bibliothèque, Harold ouvre la grille et Balou court vers lui pensant qu’il s’agit de John. Harold appelle Lionel. Ce dernier demande si c’est Superman, donc John. Harold a bien peur que non. Qu’est-ce qu’il se passe ? Carter devrait être rentrée de Rikers, à l’heure qu’il est, personne ne répond à ses coups de fil. Ils sont très occupés en ce moment. Balou semble triste de ne pas voir son maître. Il n’y a qu’Harold. Ils sont débordés mais Lionel s’ennuie. Il y a bien quelque chose qu’il peut faire. Harold a les plans de la prison sous le bras. Pour l’instant, il a besoin de lui pour tout autre chose. Il lui envoie le nom et l’adresse d’une jeune femme à Brooklyn. Elle est sur le point de se retrouver dans une très mauvaise situation. S’il comprend bien, John est sur le gril et il le charge d’une mission débile sur… Il voit des images d’un jeune mannequin qui s’appelle Karolina Kurková. Il l'a bien reçu. |
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| Dans une salle d’interrogatoire, Devin Clark est interrogé. Il dirige une petite entreprise. Il est dans la banque pour faire un emprunt pour sa société. Il a entendu un grand boom et ce qui semble être des coups de feu. Il a tout de suite pensé que la banque se fait braquer, il a couru vers la sortie et tout à coup, il s’est retrouvé menotté. Tout ça n’explique pas sa présence au sous sol de la banque. Il a fait que son travail, il a inspecté le bâtiment. Il fait partie d’un groupe immobilier, ils ont l’intention d’investir dans cet immeuble. Joss demande comment il s’appelle. Vincent Holt. Un avocat. Et en dépit de toute la stratégie constitutionnelle derrière laquelle vous pensez nous protéger, quand ils auront fini, ses avocats se feront un malin plaisir de leur enfoncer toute cette histoire à travers la gorge. Joss parle à John. Ils l’observent. Maintenant plus le temps passe, plus il paraît coupable. Alors, il faut commencer par le nom. John Warren comme c’est écrit sur son permis. Il veut bien leur dire ce qu’il a fait dans la banque le lundi matin. Donnelly en profite pour regarde le dossier de John Warren sur l’ordinateur sur la base de données du FBI. John a eu des clients à voir, il est conseiller en investissement. Il a entendu l’explosion, il a vu une épaisse fumée qui vient de l’escalier. Il est un ancien militaire alors il est descendu pour voir s’il peut aider. Il a entendu des coups de feu et puis tout à coup sa brigade d’intervention l’a plaqué au sol et ils l’ont menotté avant qu’il ait pu s’expliquer. Il montre ses menottes avant de baisser ses mains. Depuis, ils le traitent comme s’il est une sorte de terroriste. Il ne sait pas ce qu’on lui reproche, il ne sait pas qui ils croient qu’il est mais il a vraiment besoin de retourner à sa vie. Et s’il ne peut pas avoir un avocat, alors elle est son seul espoir. Il veut juste rentrer chez lui. |
Dans le bureau du conseiller spécial, la secrétaire donne un dossier au conseiller un document concernant l’arrestation et l’enquête sur l’homme en costume. Il date du 16 novembre 2012. Il lit ce qu’il y a sur la feuille. Il tirer le tiroir où se trouvent les papiers sur la mort d’Alicia Corwin. Il prend le portable et passe un appel. Il demande à Hersh où il en est au sujet de l’agent clandestin. Il poursuit. Il y a un nouveau joueur dans la partie et il veut en finir avec ça. Il faut trouver cet électron libre et qu’il s’arrange pour que l’homme disparaisse, c’est-à-dire John. Hersh s’en occupe mais il n’est pas facile à trouver. Pas selon le FBI. Ils pensent que c’est un des quatre suspects qu’ils détiennent à Rikers. Dans ce cas, il éliminera les quatre. Pendant que des policiers discutent avec une jeune femme, Hersh se met au milieu de la foule, prend son arme et se met à tirer en l’air. Les gens sur la terrasse prennent peur et s’en vont. Un policier lui demande de jeter son arme, ce qu’il fait. Il faut garder les mains en l’air. Le policier menotte Hersh. |
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| Dans la prison de Rikers, le directeur dit que Donnelly lui a annoncé que quelques heures alors que ça fait des jours. S’il continue à faire des entorses au règlement… Donnelly regarde les informations sur les quatre suspects et lui dit qu’il n’a fait aucune entorse au règlement, en revanche, depuis qu’il est là, il a relevé pas moins de quinze infractions grave à la réglementation concernant le traitement des prisonniers, alors avant de le menacer, il ferait bien de s’en préoccuper. Joss arrive dans la pièce. Elle lui dit qu’il faut leur enlever les menottes. Il lui dit que l’un de ces quatre suspects est un assassin hyper entraîné. Il faut qu’ils aient confiance en elle. Ils ont quatre histoires et quatre identités qui paraissent véridiques. Donc, soit l’un d’eux leur ment soit ils sont tous les quatre innocents. Si Donnelly a raison, l’homme qu’ils recherchent est soutenu par une puissante agence privée du renseignement avec des ressources comparables à celles de la CIA. Ces gens seraient capables de créer une couverture infaillible pour un de leurs agents. Il ne va pas laisser l’homme au costume lui échapper sous prétexte que ces papiers concordent. Il montre les photos des quatre suspects. Maintenant, Clark, Watts et Holt ne vivent pas dans l’État de New York. Il va vérifier leurs adresses et leurs professions. En revanche, monsieur Warren prétend travailler ici même, à Wall Street. S’ils vont s’assurer que cette adresse n’est pas juste un bureau vide. Il lui dire de venir. Elle est d’accord. Dans les couloirs de la prison, Joss envoie un message à Harold qui est : « On a un problème, on va au bureau de John Warren. » Son téléphone se met à vibrer et reçoit un autre message : « Et bien allez-y lieutenant. » |
Ils descendent de leurs véhicules et se rendent dans le bureau de John. Sur le bureau, il y a un hippocampe en décoration ainsi qu’une photo de John, des diplômes ainsi qu’un autre cadre. Donnelly s’occupe avec la secrétaire. Il demande si John travaille depuis longtemps. Ça fait au moins deux ans. Elle est dans son service depuis septembre dernier. Elle demande ce qu’il se passe. C’est quand la dernière fois qu’elle l’a vu. Ça fait des jours qu’il ne vient pas et qu’il n’appelle pas, elle se fait un sang d’encre. Il sait où il est ? Donnelly dit à un agent de vérifier son identité et celle de tout le monde. Cloner le disque dur, photographier tout et relever les empreintes. Les agents s’activent pour respecter les ordres de Donnelly. Joss en profite pour s’éloigner du bureau pour appeler Harold. Beau bureau, n’est-ce pas ? Quand Harold couvre quelqu’un il le borde de tous les côtés. Il scrute le plan de la prison. John Warren est la meilleure couverture de leur ami. Ils ne l’utilisent qu’en cas extrême. Il n’a pas d’identité plus élaborée et plus complète que celle-ci. Elle présente d’ailleurs des similitudes avec le véritable passé de John. Toutefois, John Warren reste une illusion, c’est l’empreinte forcément incomplète d’un homme qui n’existe pas. S’ils commettent la moindre erreur ou si Donnelly repère la moindre faille, leur travail et leur avenir seront sérieusement compromis. John n’est pas le seul à être en danger, Carter l’est aussi. Harold a l’air de motiver ses troupes. Les trois autres suspects croient toujours qu’ils sont en détention pour les meurtres qu’ils vont commettre. Mais dès qu’ils auront compris que Donnelly en a en fait après John, ils n’hésiteront pas à l’accabler. Elle pense que l’un d’eux porte le chapeau. Harold est content qu’ils soient sur la même longueur d’onde. Sur l’ordinateur se trouve les visages des trois autres hommes et il tente de trouver une correspondance pour leurs identités respectives. Il cherche à identifier les trois mercenaires. S’ils peuvent donner à Donnelly un nom et un passé militaire pour ne serait-ce que l’un d’entre eux, ils pourront libérer John. Sur un écran d’ordinateur se trouvent les plans de la prison. Au cas où ça ne suffirait pas, il prépare un plan d’invasion. En tout cas, il faut faire vite et il doit demander à Lionel de l’aider. Harold l’appelle mais il semble occuper à éviter que Karolina Kurková ne lui donne du produit dans les yeux. Elle ne comprend pas qu’il est là pour l’aider. Elle lui parle en russe en jetant le sac sur son dos. Il tente de se justifier. Elle lui dit que c’est aussi pour la bande de potes, lui demandant pourquoi il la suit partout. Il ne peut toujours pas se justifier avec les coups de sac, lui demandant d’arrêter. Elle croit qu’il fait partie du gang des Arméniens. Mais qu’est-ce qui lui prend ? Il est flic, il veut juste l’aider. Il a la vue embrumée par le produit. Harold arrête la conversation et dit à Joss que Lionel ne peut pas car il est occupé, donc, on ne peut pas compter sur lui. Donnelly rejoint Joss et elle demande ce qu’il en pense. Tout ça lui paraît réel. Mais peut-être que c’est juste une organisation bien rodée. Quoi qu’il en soit, à partir de maintenant, il veut qu’elle porte une oreillette. Une oreillette sans fil connectée à son ordinateur. Il pourra lui souffler des questions et des informations pendant les interrogatoires. Ils feront un bon travail d’équipe. À eux deux, ils vont passer la vie de ces hommes au peigne fin. |
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| 2007 Dans une chambre à Prague en République Tchèque, un homme montre des plans de missile qu’il a pris sur les serveurs de Wright-Patterson. Tout ce qu’il faut, c’est une usine et les hommes présents auront leurs propres drones de combat dans moins de six mois. Les Chinois montrent une mallette pleine d’argent. Klara et John entrent dans la chambre en rigolant. John prétexte que le réceptionniste leur a donné la mauvaise clé. Les Chinois s’avancent lorsqu’ils se font tirer dessus par John. Elle demande à Dawson quel est le prix de la trahison. Elle lui tire dessus et s’écroule au sol. Elle se met à sourire. Leur expression sur leurs visages, elle aurait dû prendre son appareil photo. Est-ce qu’ils peuvent en finir et partir ? Elle dit à John que s’ils doivent faire équipe ensemble, il va falloir être plus rigolo. Elle tient la mallette contenant l’argent et l’ordinateur portable. C’est le premier triple homicide de John, il ne pense pas qu’il est censé faire des blagues. Ces gens sont leurs ennemis. Ce sont des combattants. Et oui, ils sont des tueurs, c’est leur métier. Et s'il veut bien faire son travail, il faut qu'il commence par l'aimer. |
2012 De retour à la prison de Rikers, Joss interroge de nouveau John et lui demande s’il a déjà tué quelqu’un. Et elle ? Elle a peur que ce petit jeu ne l’aide pas beaucoup. Qu’il réponde plutôt aux questions. Donnelly lui dit que c’est bien. Il faut le garder sur la défensive. Il faut lui dire tout et répète s’il a déjà tué quelqu’un. Oui, à l’armée en 1995. Il a été en Bosnie avec l’IFOR pour maintenir la paix. Ils ont été en patrouille près de Kladanj. Au milieu de la nuit, il a quitté la route pour couper à travers bois. Et il est tombé sur un milicien serbe qui transporte un sac de mines. Son AK est pointé sur lui. Il s’est enrayé. C’est grâce à ça que John est encore là. Il a profité de sa surprise pour lui sauter dessus. Ils se sont battus à terre à mains nues. Il lui a brisé les cervicales. Et il n’aime pas vraiment de parler de ça. Donnelly demande d’insister, le sujet le rend nerveux. Il est resté combien de temps dans l’armée ? De 1995 à 2001, il a été sergent dans les chenilles d’acier. Il a quitté l’armée juste avant le 11 septembre. Presque sept ans en tout c’est long. Son père a fait toute sa carrière dans l’armée. C’est quoi son prénom ? Il faut qu’elle laisse tomber son père, qu’elle parle du Serbe, il est vulnérable là-dessus. Alors, il a été élevé dans ce milieu. En quelque sorte, les parents de sa mère ont eu une ferme à Sumner dans l’État de Washington. Donnelly vérifie sur son ordinateur toutes les informations que lui donne John. Ce dernier y va avec elle quand son père est en mission. Il a quitté l’armée lorsqu’il a eu onze ans. Après ça, il s’est occupé de la ferme. John demande à Joss où elle a servi. Elle n’a pas tiqué sur les chenilles d’acier. Donnelly s’impatiente. Elle lui dit 4ème infanterie. Nombreuses missions en Irak et en Afghanistan. Qu’il lui laisse deviner. Quatre-vingt-dix-sept Echo. Elle a été interrogatrice. Donnelly ne semble pas comprendre la tournure de l’interrogatoire. Elle plaide coupable. Donnelly frappe plusieurs fois sur la vitre. Elle s’excuse et sort de la pièce. Il demande si l’oreillette ne fonctionne pas. Si mais elle veut avoir un rapport humain. C’est comme ça qu’ils obtiendront ce qu’ils veulent. Il préfère peut-être qu’elle le torture ? Non, bien sûr que non. De toute façon, tout ce qu’il dit concorde. En creusant loin, il ne croit pas qu’ils se fatiguent pour rien. Non, pour attraper cet homme, il creusera jusqu’en Chine. Il faut être tout aussi sévère avec les autres mais il faut faire vite. Des forces très puissantes ont déjà saboté cette enquête. Il faut qu'ils sachent qui est qui avant qu'il bloque toutes les failles. |
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| Toujours dans la prison, Hersh se fait fouiller par les agents pénitenciers. L’agent lui demande de se retourner alors qu’il est déshabillé. Il faut lever les bras, ouvrir la bouche et tirer la langue, ce qu’il fait. |
Joss demande à Holt s’il n’a jamais servi dans l’armée. Il dit que non. Donnelly lui souffle dans quel collège où est-il allé. Elle lui pose la question et Holt dit à Pullman dans l’Illinois. Collège Rober Goddard. Elle demande à un autre suspect son nom. Et c’est Devin Clark. La ville où il est né et c’est à Akron. Il travaille pour qui ? Clark ne sait pas de quoi elle parle. |
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| Hersh traverse les couloirs en compagnie d’autres détenus pour entrer dans une cellule. |
Joss demande à John son adresse qui est le 713, 66ème Est, appartement 5B. Son deuxième prénom ? Benjamin. Sa date de naissance ? Sa ville natale ? Son numéro de sécu ? Watts répond le 27-11-74. Vincent Holt parle de Sarasota, Floride pour sa ville natale. Et Devin Clark donne le numéro 4-9-8-0-0 pour le numéro de sécurité sociale. John répond 3-1-4-5. Joss demande quel est son MOS. Watts répond qu’il n’a jamais été militaire. Alors, comment il peut savoir ce qu’est un MOS. Maintenant quel est son vrai nom ? Donnelly entre dans la pièce et dit que c’est Brian Kelly, un ex-Navy SEAL, les agents peuvent lui dire ses droits. L’agent lui demande de se lever et qu’il a le droit de garder le silence. Tout ce qu’il dira pourra être utilisé contre lui. Alors c’est l’homme au costume ? Malheureusement non, pendant qu’il a commis un meurtre à New Rochelle, Kelly a été en Irak. Maintenant qu’ils l’ont identifié, l’exception pour sécurité de la Nation ne s’applique plus. Il enlève la photo de Kelly. Alors un de moins, il en reste trois. Le directeur arrive dans la pièce. Il est treize heures, c'est l'heure de l'exercice |
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| Les détenus sont par groupes dans la cour en train de faire de l’exercice. Hersh surveille tous les détenus pour trouver l’homme au costume. John entre dans la cour et Hersh l’aperçoit. Byron, l’homme faisant partie du groupe à la Fraternité aryenne arrive près de John. Il lui dit que c’est l’homme qui lui a volé son chien. Qu’il soit honnête, Balou voulait le quitter. C’est aussi à cause de lui qu’il est en cabane. Il veut frapper John mais un homme l’en empêche qui demande s’il y a un problème. Non, en tout cas, ça peut attendre. Il y a quelqu’un qui veut voir John. Tous les deux s’approchent d’une table où des détenus commencent à partir et où s’est assis Carl Elias. Il le salue. |
2009 Dans un bar à Paris, Klara demande deux coupes de champagne, le serveur leur sert les deux coupes. John voit un couple d’amoureux et demande ce qu’ils font. Quelle importance, les ordres sont les ordres. Il n’est pas sûr que c’est bien la cible c’est tout. Ils ont l’air tellement amoureux. Ils le sont peut-être. Ou peut-être qu’ils sont meilleurs que lui au jeu de la couverture amoureuse. Embrasser une fille de temps en temps ça ne lui ferait pas de mal. Elle voit qu’il n’y a plus personne autour des amoureux. Enfin seuls, au boulot, c’est l’heure. Ils posent leur coupe de champagne. Klara prend son arme et tire sur la caméra de vidéosurveillance. Hors cadre, des tirs se font entendre ce qui suppose qu'ils ont tué le couple d'amoureux. |
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| 2012 Dans la prison, Carl dit à John que son passé a fini par le rattraper. Il est avec lui dans un coin hors champ des caméras. Malgré les circonstances, ça fait plaisir de le revoir. Qu’il se détende et qu’il vienne là. C’est un angle mort, les caméras ne les voient pas. Ils ne vont pas laisser Donnelly espionner leurs retrouvailles. Il est au courant de leur chasse à l’homme au costume. C’est dommage qu’ils n’aient pas trouvé un meilleur nom que celui-là. Carl va-t-il le dénoncer ? Contre qui jouera-t-il s’il perd Harold ? Carl en a beaucoup voulu à John, la vérité, c’est qu’il restera toujours l’homme qui lui a sauvé la vie. Il veut qu’il le considère comme un ami et quand ses amis ont des ennuis, il le connaît, il faut qu’il les aide. Pour commencer, ne pas le protéger. Donnelly a cru un moment qu’il a travaillé pour lui. Eh bien, ce n’est pas faute de lui avoir proposé. John regarde vers Hersh. Carl voit ce type. Il faut le tuer ? Il ne croit pas que ce serait aussi facile. Il sent qu’il est un peu comme lui. Il peut l’aider ? Il faut envoyer une photo de lui à Harold. S’il y a un nouveau joueur dans la partie, il veut savoir à qui il a affaire. Enfin, ils travaillent ensemble. C’est très exaltant. John et Carl s'éloignent l'un de l'autre alors qu'un garde reste près de John. |
Lionel court avec Kurková pour l’emmener dans un poste de police à deux pas de leur position. Non, pas la police. D’accord, c’est quoi l’histoire, pourquoi ils veulent la tuer ? Il l’emmène dans un endroit tandis que son téléphone se met à sonner. Il est content d’avoir Harold, il a besoin de lui. À vrai dire, lui aussi. Il lui envoie une photo de l’homme qui est incarcéré avec John. Kurková voit arriver des Arméniens. Harold se demande s’il peut utiliser les moyens de la police pour identifier ce monsieur. Il reçoit la photo de Hersh. Ça c’est facile. C’est le type qui a fouiné partout quand Corwin a été tuée. Harold le remercie. Lionel demande un coup de main pour les Arméniens mais Harold coupe la communication. |
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| Joss demande à John s’il a des ennemis. Et bien, il n’est pas sûr que son collègue derrière le miroir l’aime beaucoup. Donnelly demande d’insister sur les détails, trouver les questions qui le dérangent. Pourquoi il a quitté l’armée. Le temps est venu. Oui mais ils ont vu beaucoup d’anciens soldats qui pensent comme lui réintégrer l’armée après le 11 septembre. Mais pas lui. Il arrive un moment où il reste soldat, il ne peut plus devenir autre chose. Alors il a arrêté, il a repris ses études à Washington pour son MBA. Et où il a travaillé après ses études ? Il y a eu Pacific Capital, Cambridge Securities, BPC. Donnelly rentre les données de John et trouve les résultats correspondants. Il a beaucoup bougé. Il croit qu’il a été un peu à la dérive. Il a changé tout le temps de ville, de boulot. Il a quasiment touché le fond à un moment donné. Et un jour, un type a donné un sens à sa vie. Un type super. Qui était-ce ? Son employeur actuel, Howard French. Donnelly demande qu’elle continue à le faire parler. Il lance une recherche sur ce Howard French. Harold arrive à entrer en contact avec Joss via l’oreillette. Elle est surprise de l’entendre. French s’en sortira très bien. Il a piraté le lien entre l’ordinateur de Donnelly et son oreillette mais il la rassure, elle est la seule à l’entendre. Que John raconte comment il a rencontré ce monsieur. Balou se lève et semble content d’entendre la voix de John. Il a trouvé son CV sur Internet et il l’a appelé pour qu’ils se voient. Balou fait des bruits de contentement. C’est là qu’il lui a dit qui il est et ce qu’il a fait. Il lui a demandé si ça lui intéresse. Donnelly fait une recherche sur Howard French et trouve un article ainsi qu‘une photo de John et Howard. Ils peuvent appeler Howard et l’interroger sur lui. John est sûr qu’il se demande où il est maintenant. Donnelly demande à Joss de sortir de là, qu’un des autres suspects est prêt à parler. Elle s'excuse et s'en va. |
Charles MacAvoy sait très bien ce qu’il se passe. Ils l’ont fait poireauter deux heures, s’ils n’ont pas eu le temps avec lui c’est qu’ils écoutent quelqu’un d’autre. Il ne laissera personne le balancer. Il ne s’appelle pas Devin Clark mais Charles MacAvoy, qu’ils lui accordent l’immunité et il dira tout ce qu’ils veulent savoir. Pour ça, il faut d’abord qu’elle sache ce qu’il a fait. Il faut commencer par lui dire ce qu’il a fait dans cette banque. Donnelly entre dans la pièce avec un dossier à la main et demande à MacAvoy s’il est allé à New Rochelle. Il répond non. Est-il ou a-t-il été un employé d’Ansible, de World Strath ou d’une autre agence privé de renseignements ? Elle s’éloigne avec Donnelly pour lui dire qu’il abat toutes les cartes. Stratégie du choc. Il faut qu’ils soient sûrs que c’est leur homme avant d’envisager un accord. Il demande à MacAvoy s’il est l’homme dont la police le surnomme l’homme au costume. Mais de quoi il parle ? Un de ceux avec qui on l’a arrêté est un agent secret très entraîné travaillant pour une société privée. Il faut lui dire qui est cet individu et ils concluent un accord. Donnelly sert la main de MacAvoy mais c’est à ce moment-là que l’alarme anti-incendie se met à retentir. C’est quoi cette alarme ? Un gardien dit que c’est l’alarme anti-incendie, il faut mettre tout le monde dehors. Donnelly ne veut pas car ils sont en plein interrogatoire. Harold s’excuse auprès de Joss pour l’interruption mais il a pensé que c’est le bon moment pour tester le fonctionnement de son accès à l’alarme incendie. Il faudrait qu’elle glisse le téléphone dans la poche de MacAvoy. Là, tout de suite. Elle descend les escaliers et glisse discrètement le téléphone dans la poche de pantalon. |
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| Dans la cour, le téléphone de Joss se met à sonner. MacAvoy ne comprend pas mais répond à l’appel, alors que parmi les détenus, une bagarre est en cours. Harold lui dit qu’il s’appelle Charles Bennett MacAvoy, sa femme et ses deux filles vivent dans une magnifique demeure dans les environs de Houston au Texas. Les résultats s’affichent sur l’ordinateur. Il n’a aucune difficulté à rembourser son emprunt de 4 200 dollars par mois étant donné qu’il a plus de 6 millions sur un compte aux Îles Caïmans. Il vide le compte. Enfin, plus maintenant car Harold vient de vider entièrement ce compte. Cet argent vient de ses activités illégales de mercenaires. Des crimes qu’il ne s’apprête certainement pas à révéler à l’agent Donnelly. MacAvoy est de plus en plus anxieux. Maintenant, la question est celle-ci : avec qui il préfère être aidé, le FBI ou lui ? Alors qu'il ne sait pas quoi faire, les détenus commencent à entrer maintenant que l'alarme a été arrêtée. |
Hersh devient une menace car il a un carré à bords rouges autour de lui. Il profite que la porte soit ouverte pour s’en prendre à l’un des suspects. Kelly demande qui il est mais il se fait étrangler. | |
| Donnelly montre un document de son immunité totale. Il pose les photos de Kelly et de John. Il lui dit ce qu’il veut savoir et il l’aura. Après quelques hésitations, il choisit Kelly. Un agent du FBI entre dans la pièce et s’adresse à Donnelly discrètement en montrant un portable. Donnelly prend la feuille et la met à la poubelle. MacAvoy demande ce qu’il se passe. On l’a contacté ? Il voit le regard de MacAvoy, il comprend que c’est le cas et quitte la pièce laissant la porte ouverte. Joss fait du poing sur la table et s’en va. Qu’est-ce qu’il y a ? Donnelly montre la photo de Kelly mort. Il semble que Brian Kelly se soit pendu dans sa cellule. Entre ça, le coup de la fausse alerte incendie et le fait que MacAvoy a les mains moites alors qu’elles ont été sèches il y a vingt minutes, il n’a plus confiance en personne. Depuis le début, quelqu’un intervient en secret sur l’enquête. Alors si MacAvoy dit que c’est Holt, ça veut dire que c’est Warren. Alors que John apparaît sur l’écran, Joss comprend que l’étau se resserre. |
2009 Dans une chambre, Klara brûle une photo des deux amoureux qu’ils ont tués un peu plus tôt. John nettoie toutes les traces de leur passage. Le téléphone de Klara se met à biper, recevant un message. Elle a reçu des infos sur leur prochaine mission. Il peut prendre quelques jours de congés. Il va falloir attendre un peu. Avril à Paris, ça lui dirait ? Ça lui va mais Klara le plaque contre le mur. Il est temps qu’il se décide. Il veut être qui exactement ? Le Boy Scout ou le tueur parce qu’elle en a marre de travailler avec les deux. Personne ne l’a forcé, c’est lui qui a chois cette vie, qu’il ne l’oublie pas. Mais s’il ne se retrouve pas, s’il préfère être un type bien, faire un boulot normal, il suffit de le demander. Il se met à la plaquer contre le mur à son tour. Il adore ce boulot. Ils se mettent à s’embrasser. |
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| 2012 Donnelly demande à Joss d’entrer dans la salle et de briser John. Ce dernier ne lui a pas dit pourquoi il a quitté l’armée. John lui dit qu’elle ne lui a pas fait savoir si elle a tué quelqu’un. Donnelly demande qu’elle soit sur l’offensive, qu’il ne faut pas qu’il dirige l’interrogatoire. Harold lui dit de ne pas aller trop vite. Il peut créer des preuves pour presque tous les détails que John fournit mais ça prend du temps. Joss demande quand c’est son dernier séjour à l’étranger. Il a été au Mexique pour affaires en mai, du 3 au 5. Harold fabrique les preuves pour John, Donnelly trouve les informations sur son ordinateur. Est-ce qu’il est marié ? Non. Vécu avec quelqu’un peut-être ? Pourquoi ? Elle est intéressée ? Elle se met à sourire. Donnelly veut le nom d’une petite amie, de quelqu’un avec qui il a une liaison. Harold demande d’attendre un peu. C’est un peu compliqué de créer une personne toute entière, ça risque de prendre un moment. John demande combien de question il va devoir répondre. Joss prend son temps en lui disant qu’elle va répondre à l’une des questions qu’il a posée. Est-ce qu’elle a tué quelqu’un ? Oui, la première fois c’est la pire. Un raid en pleine nuit en Irak. Ils font voler une porte, elle a à peine dix-quinze minutes pour interroger un homme soupçonné de terrorisme avant que les insurgés se pointent. Mais cette nuit-là, quelqu’un oublie de contrôler une des chambres. Et tout à coup, elle voit un homme avec une arme alors elle lève la sienne et tire. Encore aujourd’hui, elle ne sait pas si c’est un terroriste ou juste un homme qui est là au mauvais moment. Harold en profite pour lui dire qu’il est prêt, c’est quand elle veut. Est-ce que John a déjà été amoureux ? Une fois. Alison West. Harold ajoute le nom de West et valide le profil. D’ailleurs, ça répond à une autre question. Donnelly fait des recherches et trouve les informations sur West. Quelle question ? Pourquoi il a quitté l’armée ? Au moment des attentats du 11 septembre, il a été avec Alison dans un hôtel près des chutes du Niagara. Il venait de démissionner de l’armée. Ils était assis tous les deux sur le lit à regarder les Tours s’effondrer. Et il a su qu’il fallait qu’il y retourne. Il a regardé Alison, elle n’a rien dit. Il a peut-être eu peur. Pendant ce temps, Harold regarde l’interrogatoire. Mais quand John l’a regardée, il a vu toute cette autre vie qu’il n’aurait pas s’il retourne dans l’armée. Alors il est resté. Que s’est-il passé ? Il a été un idiot. Il l’a laissée partir. Il l’a regretté sur le champ mais c’est trop tard. C’est fou à quel point les choix qu’ils font influent sur ce qu’ils deviennent. Ils prennent tel ou tel chemin, ils entendent une explosion dans une banque, ils essaient d’aider et tout à coup… Après toutes ces années, il se demande encore s’il s’était réengagé quand les Tours sont tombées, qui serait-il aujourd’hui ? |
Joss sort de la salle d’interrogatoire et dit à Donnelly que ça fait des heures qu’ils sont là-dedans. Est-ce qu’ils ont quoi que ce soit qui prouve que Warren n’est pas celui qu’il dit être. Il y a un dernier test qu’il faut faire. Joss se met à souffler. | |
| John est sorti dans la cour pour la promenade. Byron l’a vu ainsi que Hersh. Joss demande à quoi consiste ce test au juste. Un de ses hommes a vu les Aryens chercher des noises à Warren dans la cour. S’ils laissent le champ libre à la nature, ils verront bien l’homme au costume dévoiler ses talents pour le combat. Le directeur qu’il est fou, il y aura une émeute. Il faut faire sortir les gardes de la cour. John a vu l’homme qui est avec Elias et lui fait signe de ne rien faire. Byron s’en prend à lui mais il ne se défend pas. John est tenu par un autre homme mais ne fait toujours rien. Un homme dit à l’un des agresseurs d’aller plus fort. Donnelly dit pour lui-même de se défendre. Joss semble de plus en plus inquiète en voyant les images. Byron continue de frapper John qui est désormais au sol. Hersh commence à venir vers eux. Étant sur le point de le tuer, il en est empêché par Carl en sifflant. Il arrête les frais. Il pense que ça suffit. Lui et Hersh se regardent mais se dernier a compris qui est l’homme en costume. Tous les détenus se dispersent. Un garde relève John et lui dit qu’ils s’en vont. Joss ne comprend pas le comportement de Donnelly. Qu’est-ce qu’il l’a transformé à ce point ? Il est un bon policier. Depuis le début de cette histoire, il n’a pas cessé de faire des entorses au règlement et ça, c’est pire que tout. Il a dépassé les bornes. Tout ce qu’il a à faire, en lui redonnant l’oreillette, c’est de regarder. Il est persuadé que le pays est sous la redoutable menace d’un ennemi invisible et il compte bien faire tout ce qui est en son pouvoir pour… Joss s’en va et demande à des agents de ramener Vincent Holt. |
Joss interroge de nouveau Vincent Holt et elle dit que ce n’est pas son vrai nom et qu’il n’est pas avocat. C’est un mercenaire, un ancien des Forces spéciales, la Delta s’en doute. C’est du moins ce que ses copains Kelly et MacAvoy leur ont dit. Ils ont été plutôt malins. Ils ont eu un accord. Mais comme il refuse d’être honnête avec elle, il risque de prendre très cher. Il dit qu’il s’appelle Wayne Packer, il veut voir un avocat. Elle ne le croit pas. Est-ce qu’il a une preuve que c’est son vrai nom ? Il répète qu’il veut voir un avocat. Pas tant qu’elle pense qu’il est une menace pour la sécurité nationale. Il doit répondre, quel est sa mission ici ? Kelly lui a dit que c’est lui qui a mis les explosifs dans la banque. Ce n’est pas eux. Donc il admet qu’il est avec eux donc elle le tient pour complicité. Son seul espoir, c’est de dénoncer son patron, alors pour qui il travaille. Il n’est pas un traître. Une réponse qui sous-entend qu’il y a bien un patron à dénoncer. Il lui dit de se faire foutre. Ça implique meurtre commandité, crime organisé et tout le reste. Elle s’énerve de plus en plus. Alors, il va lui dire qui est son patron ou elle déclare qu’il est l’homme au costume. Packer profite qu’elle soit penchée sur le bureau pour la prendre à la gorge. Des gardes viennent l’enlever mais il tente de se défendre et il est plaqué sur le bureau. Elle sort de la pièce et dit à Donnelly que c’est leur homme. Holt est une menace imminente car il a un carré à bords rouges. Un agent lui dit ses droits. Il a le droit de garder le silence, tout ce qu’il dira pourra être retenu contre lui. Il a droit à un avocat. |
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| John va chercher ses affaires et est sur le point de quitter la prison de Rikers. Il faut le faire sortir et ils ouvrent la grille. Pendant ce temps, Harold est prêt à se rendre dans la prison avec une arme. Il est fin prêt, il lui a même envoyé les détails de son plan pour l’évasion de John. Alors, tout ce qu’elle à faire… Ce n’est pas la peine, il est sorti. La situation est sous contrôle. À ce sujet, il lui doit un téléphone. John se trouve dans un couloir prêt à partir. |
John rejoint Joss sur une passerelle. Elle cherche quelqu’un ? Personne en particulier. Lionel ne tient pas à célébrer sa libération ? Harold lui a trouvé une occupation. | |
| Lionel et Karolina sont sous le feu des tirs des Arméniens. Ils se sont cachés derrière une voiture alors que cette dernière est criblée de balles. Ils continuent de tirer dans leur direction. Un seul d’entre eux va pouvoir s’en sortir. Dès que Lionel commence à tirer, elle doit courir et ne pas se retourner. Elle ne veut pas, il faut sauver sa vie. Il va falloir foncer. Il se met à crier en se mettant à tirer dans la direction des Arméniens. |
John tient à remercier Joss. Il n’aurait jamais pu traverser ça sans une amie à qui parler. Alors, il y a du vrai dans tout ça ? Donnelly arrive près d’eux et pointe son arme. Oh, sincèrement, il en doute. Il félicite Joss pour avoir attrapé l’homme au costume. Il faut poser leurs armes et mettre les mains en l’air. Elle dit que c’est fini. Elle dépose son arme au sol et John met les mains en l’air. Il demande si elle a ses menottes, ce qui est le cas, elle doit les mettre aux mains de son ami. Elle voit qu’ils l’auraient eu. Mais il a bien peur que ce soit sa dernière prise. Il lui a fait confiance. Elle a tout gâché en plus d’une carrière prometteuse. John se fait fouiller par Donnelly et dit que c’est de sa faute. Non, ce n’est pas lui mais elle. Maintenant, il va pouvoir découvrir qui il est exactement. Il les emmène dans un endroit inconnu. |
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| 2010 Au Maroc, Alicia Corwin parle qu’un membre du Pentagone a vendu à une entreprise chinoise un ordinateur portable contenant des codes sources du virus. Ils doivent récupérer l’ordinateur. Où est-ce qu’ils doivent aller ? À Ordos, une cité industrielle au milieu de la Chine. Une fois Corwin et Stanton parties, Mark parle à John pour lui dire qu’une fois le paquet sécurisé, il doit remercier l’agent Stanton. John revient vers Klara qui lui dit qu’il a de nouveau ce drôle de regard. Tout va bien ? Très bien. Quelque soit le souci, il faut le chasser. Elle ne veut pas de cet homme-là, elle veut le tueur. Ils sont désormais à Ordos où John s’apprête à tirer quand elle lance des bâtons fluorescents. Il ne le fait pas et baisse son arme. Il tente de lui dire quelque chose mais elle lui envoie deux balles dans l’abdomen. Quelque chose le fait rire, c’est parce qu’ils ont reçu le même ordre. Il quitte le bâtiment et le missile fait feu sur le bâtiment et explose. Il croit Klara morte. |
2012 Lionel et Karolina sont à l’extérieur et se mettent à s’embrasser. Elle le remercie pour tout. Elle le quitte alors qu’il est sous le charme. Elle demande de l’appeler. Le téléphone de Lionel se met à sonner et c’est Harold qui explique qu’il y a une urgence. Il lui envoie les coordonnées de Joss et ils doivent se retrouver là-bas. Un téléphone public se met à sonner, Harold l’ignore puis un deuxième sonne. Balou fait un petit bruit. Les téléphones n’arrêtent pas de sonner. Une caméra de vidéosurveillance scrute la scène et la Machine insiste pour qu’il réponde. Harold se décide enfin à prendre le combiné et la Machine lui donne toute une série de noms. |
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| Dans la voiture de Donnelly, Joss demande où est-ce qu’il l’emmène. Dans un lieu sûr, ensuite il contactera un ami à la justice pour savoir ce qu’il doit faire d’eux. Il fait cavalier seul et il n’a pas de renforts. Non, car il ne fait plus confiance en personne. Quand l’homme au costume ou plutôt John les a échappés pour la première fois, il a compris qu’il y a eu une taupe, un complice dans leurs rangs. Quand ses empreintes ont disparu et que les relevés ADN ont été changés, il a commencé à douter d’elle. Il reconnaît qu’elle a joué finement jusqu’à l’épisode de la cour. C’est là qu’il a vu dans ses yeux. Une profonde inquiétude. Comment l’a-t-il soudoyé ? Quel a été son prix ? Il n’y a rien eu de tout ça. Elle a aidé un ami, c’est tout. Il se met à ricaner. Ils se sont bien moqués d’elle. Elle a travaillé gratuitement pour une agence illégale. Il ne comprend pas, c’est un homme bien, ils aident beaucoup de gens. C’est ce qu’il lui a fait croire ? Qu’elle ouvre les yeux, son ami n’est plus ni moins qu’un tueur parfaitement entraîné. Ils ne font pas ce genre de travail par hasard, il a choisi cette vie. Il a choisi de devenir le monstre qu’il est. Et elle aussi a fait un choix. |
Harold prend trois livres correspondant au numéro qu’il a reçu et il fait une recherche avec le numéro de sécurité sociale. Il s’aperçoit que le nouveau numéro n’est autre que l’agent de Donnelly. Le téléphone de ce dernier se met à sonner. Il prévient l’agent Donnelly qu’il doit s’arrêter tout de suite. L'agent demande qui il est. Harold est l’associé de l’homme derrière lui. Il vient d’apprendre qu’il court un grand danger et il faut le croire, son information est sûre. La voiture se fait percuter par un camion et voltige dans les airs jusqu’à atterrir sur d’autres voitures sur le toit. John, Joss et Donnelly tentent de se remettre mais une femme arrive vers eux. Elle tire deux balles dans la tête de Donnelly. John regarde qui c’est et se rend compte que c’est son ancienne coéquipière Klara Stanton. Elle lui met une seringue contenant certainement du sédatif dans le cou. Elle lui demande s’il l’a manqué. Il s’évanouit. |
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_________________ "Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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