carine79 Control
Série préférée : Lucifer
| Sujet: Résumé détaillé - 2X13 Dim 25 Oct - 8:38 | |
| Les événements se poursuivent avec l’accident de voiture dont a été victime Donnelly suivi de sa mort jusqu’à la capture de John par Klara Stanton. | |
| Un téléphone se met à sonner. Joss tente de se relever mais elle souffre, s’apercevant du sang qui coule sur sa joue. Il y a trois appels manqués sur le téléphone. Il y a un message disant que Joss doit répondre à l’appel. Elle tente de le prendre et y arrive. Harold lui demande si elle l’entend. Ils sont tombés sur une embuscade. Stanton a tué Donnelly et enlevé John. Est-ce qu’elle est blessée ? Non mais elle est menottée à la voiture. Qu’elle essaye de garder son calme. Il faut trouver les clés. Il faut qu’il attende. Elle fouille dans la veste de Donnelly et trouve les clés mais elle est nerveuse. Il faut se calmer. Elle arrive à enlever les menottes et à s’extirper de la voiture. Harold demande à Joss si quelqu’un l’a vue avec John et l’agent Donnelly. Elle ne croit pas. Alors, il faut partir. Elle est sur la scène de crime, elle n’a pas le droit de partir. Il comprend mais les choses vont réellement se compliquer si elle reste. Il pianote les chiffres du numéro de sécurité sociale. Il faut qu’il écoute, la femme qui a tendu l’embuscade, elle croit que c’est son ancienne partenaire. Du temps de la CIA, la femme que Snow croit morte. La photo de Klara apparaît sur l’écran. Elle l’appelle. Il le sait, il est au courant. Maintenant, il faut qu’elle parte et vite. Elle se met à courir. Il regarde la photo et dit à Klara ce qu'elle cherche pour lui-même. |
Dans un bus, John se réveille avec Klara Stanton en face de lui et Mark Snow à ses côtés. Il est le bienvenu parmi eux. Il croit qu’elle est morte mais elle n’a jamais été douée pour ça. Enfin, lui non plus. En revanche, pour ce qui est de leur ami, qui les a envoyés s’entretuer, elle croit qu’il fera un excellent cadavre. John remarque que sous sa chemise se trouve un gilet d’explosifs que Mark a aussi. Bienvenue à la fête. Elle connaît ce regard. C’est celui qu’il a juste avant de mettre la pagaille. Elle enclenche le processus du téléphone pour mettre à feu le gilet. Il ne tient peut-être pas à la vie mais il y a assez de plastique attaché à son gilet pour causer beaucoup de malheur autour de lui. Elle sait qu’il va chercher un moyen de désamorcer le gilet, elle arrête le processus du téléphone, alors qu’il n’oublie pas qu’ils sont tous les deux en numéro abrégé. Si elle peut dire ce qu’ils font là. Elle a eu envie de les réunir tous les trois pour une dernière petite mission de terrain, en souvenir du bon vieux temps. Il ne l’a jamais connue aussi sentimentale. Elle l’admet et lui donne une oreillette. Lui et Mark vont devoir faire quelques courses pour elle. Elle arrache une feuille et la donne à Mark. Il faut faire ce qu’elle demande quand elle le demande et ils resteront en un seul morceau. Elle donne un sac à John avec des armes et des bombes lacrymogènes. C’est quoi la vraie histoire ? Elle appuie sur le bouton pour le prochain arrêt. C’est l’histoire d’un monde nouveau qui voit revenir trois petits espions morts. C’est l’histoire de la vie après la mort. Et de comment ils vont négocier leur place dedans. Elle quitte sa place et est prêt à sortir. |
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| Joss remet difficilement son chemisier car elle est blessée au bras. Son téléphone se met à sonner et répond à l’appel et répond doucement. C’est Lionel qui lui dit qu’elle ne décroche plus son portable. Elle ne sait pas où il est. Qu’est-ce qu’il y a ? Il se trouve sur les lieux de l’accident et lui dit qu’un agent du FBI a été pris pour cible le matin même. Il se trouve que c’est Donnelly et il est mort. C’est arrivé comment ? C’est ce que les fédéraux tentent de savoir. Ils veulent la voir. Il sait pourquoi ? Parce qu’ils bossent sur une affaire ensemble. C'est bon, elle arrive. |
Leurs amis communs ont-ils contacté Joss ? Pourquoi ? Le génie a demandé à la chercher d’urgence le soir précédent. Il parle de John et d’elle-même. Il voit Joss tourner la tête, il ne voit pas sa boucle d’oreille droite et il lui fait savoir. L’agent Moss s’approche de Joss. Il veut lui parler. Il lui demande quand elle a vu l’agent Donnelly pour la dernière fois. C’est à la prison de Rikers. Est-ce qu’elle l’a trouvé préoccupé, soucieux, perturbé ? Non et elle demande pourquoi. C’est cette affaire, l’homme au costume. Donnelly y a passé un bon bout de temps. Il a semblé persuadé que ce type a des appuis au sein du gouvernement. Ça ne lui dit rien. Ses supérieurs ont commencé à se demander si ça ne vire pas à la paranoïa. Ils regardent vers Donnelly qui se trouve dans un sac mortuaire. S’il n’est pas en train de s’égarer. Elle en pense quoi ? Elle pense que Donnelly est un bon agent. Pendant qu’un scientifique referme le sac mortuaire sur lui. Moss remercie Joss de son aide. Il la recontactera bientôt. Les scientifiques mettent Donnelly dans un véhicule pendant que Joss essaie de retrouver sa boucle dans ce qu’il reste de la voiture. Lionel demande des nouvelles. Elle est surprise et elle se relève. Il lui montre la boucle, elle est sûre ? Elle lui prend des mains. Il veut des explications. Elle n’est pas sûre de pouvoir. Mais elle sait à qui demander. |
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| Harold a rejoint Joss et Lionel pour lui montrer un dossier. Le dossier professionnel de Klara Stanton, ses différentes identités, lieux de résidences, ses données bancaires et son acte de décès. Malheureusement, la partie la plus importante est celle sur laquelle ils en savent le moins. Celle après sa mort officielle. Snow la connaît aussi. Quand elle l’a rattrapé après le cambriolage de la société de technologie, il a parlé d’une femme et qu’il a dit qu’elle a préparé un coup énorme. Qu’est-ce qu’il peut bien chercher dans cette société ? Il y a volé un disque dur. Il faudra dire tout ce qui est noté sur le rapport de police à propos de ce disque. S’ils veulent aider John, ils doivent découvrir ce qu’elle prépare et aussi pour le compte de qui. La dernière fois qu’elle a vu Mark, il était sanglé dans un gilet d’explosifs. Où que soit John, il faut lui venir en aide et vite. |
John et Mark se trouvent devant une porte et John demande qui ils vont voir. Il n’a pas à se préoccuper. Ils viennent juste prendre un colis. John frappe à la porte. Des coups de feu se font entendre. Ils sont prêts à utiliser leurs armes mais John fait montrer qu’il ne vaut mieux pas. Des tirs de coups de feu se font entendre mais il s’agit d’un jeu vidéo. Un homme prénommé Petar leur demande d’entrer. Ils sont quoi, des flics pourris ? Les Fédéraux ? Ou le FBI ? Mark veut la marchandise. C’est prêt. Petar met un disque dur dans une boîte. Formaté selon les spécifications fournies par leurs bosses. Il ne voit pas souvent cette qualité de matos gouvernementale. Leur boss doit avoir des moyens, de gros moyens. Mark veut le disque dur. Entre temps, le prix a grimpé. 50 000 de plus. Klara veut qu’il leur dise de faire une contre-proposition. Briser la nuque. John croit qu’ils ont eu leur argent. John et Mark ont entendu son prix. Klara veut qu’il le tue mais refuse. Petar dit que dans ce cas, il croit qu’il va le garder et peut-être voir se qu’il peut en tirer. Les téléphones des gilets d’explosifs de John et Mark s’activent par Klara. Petar recule de surprise. Ils sont sur le point de s’entretuer lorsque Klara tire sur les deux hommes. John et Mark pointent leurs armes vers eux et s’approchent de la fenêtre. Ils doivent prendre le disque dur et ils doivent évacuer. Et pour John, dernier avertissement. |
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| 2010
Alicia évoque un membre du Pentagone qui a vendu à une entreprise chinoise un ordinateur portable. Ils doivent récupérer l’ordinateur. Où est-ce qu’ils doivent aller ? À Ordos, une cité industrielle au milieu de la Chine. Klara s’en va. Mark dit à John une fois le paquet sécurisé, il devra remercier l’agent Stanton. Elle est passée à l’ennemie. Il veut que John tue sa coéquipière. Klara demande à Mark s’il les accompagne dans leur escapade asiatique. Cette mission requiert seulement un binôme. Pour une raison simple, en quelques mois, ils se sont aperçus que l’agent Reese est passé à l’ennemi. En tant que coéquipière… Elle doit l’éliminer. Ils font le ménage eux-mêmes. Elle fera ce qu’il faut. À Ordos, Klara lance des bâtons fluorescents. Il est temps de s’en aller. John est sur le point de tuer Klara mais y renonce. Il demande de l’écouter. Après s’être retournée pour tirer sur John. Elle est désolée mais ils lui ont dit qu’il est passé à l’ennemi. Il a reçu les mêmes ordres qu’elle. Il s’enfuit, Klara reste et l’hélicoptère survole la zone guidé par les bâtons. Un homme dit feu vert pour l’engagement. Le missile s’abat sur le bâtiment alors que John court à travers pour rejoindre la forêt. Klara, blessée, se réveille entouré par des Chinois, dont l’un est sur le point de la tuer. Dans un hôpital de fortune, une infirmière se trouve à côté de Klara en train de la soigner. De son lit, elle aperçoit un homme d’un certain âge. C’est John Greer qui lui dit qu’elle est réveillée. Où est-ce qu’elle est ? Elle est dans l’au-delà. Elle ne lui dira rien. Surtout pas, il faut qu’elle se repose et puis il sait déjà comment elle s’appelle. En fait, il sait pratiquement tout d’elle, d’où elle vient, pour qui elle travaille, ce qui l’a conduite dans le lit. L’information est son fond de commerce. Voilà ce que le gouvernement l’a envoyé chercher. Il lui montre l’ordinateur. Le gouvernement tient à le voir détruit qu’il est même prêt à la tuer par la même occasion. Il demande si elle sait ce que c’est. La réponse à ce qu’il estime être une question intéressante. Quelle est cette question ? Elle n’en a rien à faire. En rigolant, il dit qu’il en est certain. C’est pour ça qu’ils vont s’entendre. Il range l'ordinateur et lui sourit. |
2012
Dans un restaurant, Klara dit à John qu’à sa place, elle mangera. Pendant qu’il est encore temps. Alors que Mark mange, John dit qu’il n’a pas faim. Mark était pareil au début. Et elle aussi quand elle s’est réveillée à demi-morte dans un hôpital de Dongsheng. Quand la situation leur échappe complètement, ils tentent de se battre par n’importe quel moyen dérisoire. Comme refuser de manger. Mais bon, finalement, ils acceptent son sort. Elle regarde vers Mark. Et ils commandent un hamburger. John n’est pas aussi affamé que ça. Et qu’elle ne s’en fasse pas, le jour où il décidera de se battre, elle le verra. Elle demande ce qui lui fait rire. Mark dit qu’ils sont des produits périmés. Se faire entretuer est efficace mais il y a aussi une forme de poésie. Alors pourquoi le missile de croisière ? Il faillait qu’ils soient sûr. Et il est satisfait du résultat ? Un homme dit qu’il faut y retourner et s’en va. Ça va être à John et Mark. Les deux hommes au comptoir, il faut les suivre. Ils commencent à les suivre. Il faut voler leur voiture. John a l’impression qu’ils ne vont pas être d’accord. Il va falloir les convaincre. Sauf s’ils préfèrent qu’elle s’en occupe d’eux. Mark s’approche des deux hommes et leur demande s’ils ont l’heure. Les deux hommes se retournent et se font frapper dessus par John et Mark, ce dernier étranglant l’un d’eux mais il est stoppé par John. Il demande de s’arrêter et le fait reculer. Il répète de s’arrêter. Il est prêt à faire ce que Klara leur demande mais il est hors de question d’éliminer des civils. Il l’a bien reçu. Qu’est-ce qu’il suggère ? John ouvre le coffre et voit deux vestes marqués par les lettres ATF. Il dit qu’il est armé. Bureau des armes et explosifs. Klara dit qu’ils en font désormais partie. Qu’ils voient ça comme une réaffectation temporaire. Pendant que John désarme un homme et jette l’arme dans le coffre, le téléphone se met à sonner. Elle demande de répondre. Mais il faut faire attention, qu’il choisit bien ces mots ou personne ne pourra faire le tri entre ce qui reste de Mark et de ce qui reste de lui. L’interlocuteur demande à Baker d’intervenir au 780 Mercer Street. Il faut y aller avec Lewis. John est d’accord et il raccroche. Beau travail et ils doivent prendre les vestes et jeter les portables. Pendant que Mark fait les poches d'un homme, John en profite pour envoyer un message à Harold et donne le portable à Mark qui le met dans la benne. |
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| Balou pousse un grognement de désespoir. Harold lui dit qu’ils le retrouveront, il le promet. Son téléphone se met à sonner. Joss appelle pour lui dire qu’elle a les renseignements sur le disque dur volé chez Fujima. Il a été produit en petite série. Numéro de modèle DH-950. Harold le voit sur son ordinateur. Certifié par la NSA. Ce modèle a été fabriqué exclusivement au profit de l’armée et du gouvernement. Qu’est-ce que Stanton pourrait vouloir en faire ? Il dira peut-être qu’elle souhaite stocker un contenu ultra sensible. Harold reçoit un message. Ou dangereux. Il prévient Joss qu’il a eu un message provenant d’un numéro inconnu où il est écrit « UXO ». « UXO » ? C’est un terme militaire qui désigne les engins non explosés. Il en conclu que c’est John. Il a peut-être un gilet d’explosif. Il lui envoie le numéro. Il faut trouver de quel endroit ce message a été envoyé. Elle s'en charge. |
John et Mark arrivent en voiture et sortent munis de leurs gilets de l’ATF. John voit le véhicule de la police ainsi que des policiers dans le secteur. Il croit qu’il a une petite idée de ce qui les attend. Alerte à la bombe. C’est trop tentant. Qu’ils se servent de leur nouvelle couverture pour entrer. Puis les ascenseurs. Prendre le dernier à droite. Un policier fait partir une dame. Il voit également John et Mark arriver vers eux. Les démineurs ont la situation en main. Ils ont leurs propres ordres. C’est la procédure, le policier n’y peut rien. Il sait ce que 200 grammes de plastique peut faire comme dégâts au niveau matériel et humain. Il a ses ordres. Plus le policer les retient, plus ils ont de chance de le découvrir. Alors qu’ils se poussent de là. Le policier les laisse passer et vont monter dans le dernier ascenseur, comme indiqué par Klara. |
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Dans l’ascenseur, Mark met du produit sur la caméra pour qu’elle ne filme plus, pendant que John regarde sur le pavé numérique. Klara demande de monter au vingt-et-unième. Mais l’ascenseur s’arrête au vingtième. Le pavé tactile, elle donne le code 051573. Qu’est-ce qu’il y a là-haut ? Une installation de la Défense, classée niveau 5. Mark et John mettent un silencieux sur leurs armes. Malheureusement, les hommes qui la gardent ne vont pas quitter leur poste pour une vulgaire alerte à la bombe. Et ils ne vont sûrement pas apprécier les voir débarquer. John n’est pas content alors que Klara lui demande ça ça ne lui a pas manqué, les trois en mission. Ils sont face à quoi ? De l’avis de Klara, elle dira deux hommes de la Delta Force avec DM4 et entraînés à tirer dès que les portes s’ouvrent sans autorisation. John et Mark, arrivés au 21ème étage, tirent sur les gardes qui s’écroulent au sol. Ils mettent du ruban adhésif sur la bouche des gardes. Des Delta Force qui font les vigiles. C’est quoi cet endroit ? Une planque pour transfuge de hauts rangs ? Un labo d’armes biologiques ? Un garde donne un coup de poing sur le visage de Mark. Il l’insulte. Il met l’arme près de la tête du garde mais John le menace aussi avec la sienne. Qu’est-ce qu’il a dit ? S’ils se détachent, ils les tuent direct. Ils ne font que leur boulot. Il ne connaît pas ces types. Mais s’il y a une personne qui mérite de mourir ici, il sait que c’est Mark. Ce dernier doit en conclure qu’il a changé. Il espère que sa bonne conscience ne va pas leur coûter la vie. Ça suffit. Le temps sera déterminant dans la prochaine étape. Et il se pourrait bien que le signal ne passe plus très bien dans les locaux. Ils mettent des liens aux mains des deux gardes. Alors, elle va devoir les motiver autrement. Les téléphones des gilets se mettent à charger et à enclencher un compte à rebours de quinze minutes à la fin desquels les gilets vont s'activer. |
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| 2011 Greer dit bonjour à Klara. Il s’apprête à demander à ce qu’ils lui mettent des chaînes américaines mais soudain, ça lui est revenu, qu’elle parle mandarin. Est-ce que ses chefs du ministère de la Sécurité de l’État n’ont pas des tâches plus importantes à leur confier ? Si elle croit qu’il travaille pour le gouvernement chinois, alors il doit vraiment changer de tailleur. Pour qui il travaille alors ? Elle a étudié les textes classiques à Annapolis. Elle se souvient des Titans, les anciens Dieux. Ils craignent tellement les nouveaux Dieux qui ne sont autre que leurs enfants, qu’ils les ont dévorés. Elle travaille pour les anciens Dieux, et ces Dieux l’ont trahie. Ils ont voulu la tuer parce qu’ils la craignent. Ils la craignent car au fond d’eux, ils pressentent ce qui arrivera. S’il ne travaille pas pour le gouvernement, pourquoi il est là ? Parce que son organisation, contrairement à la CIA, croit qu’elle pourra leur être utile au plus haut point. Travailler pour eux ? Elle se met à rire. S’il lui brise la nuque, est-ce qu’elle pourrait regarder la télévision tranquille ? Il se met à sourire. Non, elle ne travaillera jamais pour vous, pas pour de l’argent. Il lui a déjà dit que l’argent n’est pas sa force. Il peut lui offrir ce que ses anciens employeurs ne peuvent pas ou ne veulent pas lui donner. C’est-à-dire une réponse. Pour cela, elle a une seule chose à faire, poser la question. Son nom ? Le nom du responsable. Ils ne parlent pas de son ancien chef, Mark Snow. Il a une idée assez claire de ce qu’elle a prévu pour lui. Il parle de celui qui est derrière, le vrai responsable, celui ou celle qui a vendu l’ordinateur portable. En échange il veut quoi ? Elle se rappelle comment Kronos le Titan a été tué ? Avant qu’il n’ait eu le temps de dévorer le dernier de ses enfants, il parle de Zeus, ce dernier a pris un énorme galet qu’il a glissé dans ses langes et il a regardé son père mourir d’étouffement. |
2012
Passant dans le couloir, Mark met du produit pour brouiller la caméra. John est en position. John et Mark enlèvent leurs vestes et rentrent dans une pièce. Leur première cible est la console de sécurité. Il faut couper les caméras, les systèmes et effacer les deux dernières heures sur les sauvegardes, d’autres instructions suivront. John et Mark sont entrés dans une pièce, vont vers le centre de contrôle, assomment les deux agents de sécurité et coupent les caméras de vidéosurveillance. Ils y sont. Oui mais où ? C’est ça la question. Klara leur dit qu’ils cherchent un technicien avec un très haut niveau d’habilitation. Il faut essayer dans la chambre thermo-contrôlé sur laquelle il est écrit « Recherche appliquée ». Ils passent devant une pièce où des hommes sont en train de se parler. |
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| Harold reçoit un appel et c’est John. Il est dans un labo du Département de la Défense. Harold a eu son message. Il faut lui dire ce qu’elle attend de lui. Ils volent quelque chose, c’est ce qu’il pense. Harold pense qu’elle va voler une cyberarme. John demande ce qu’il y a là-dedans. Mais Kevin ne veut pas répondre. S’il veut qu’ils s’en sortent, il falloir lui faire confiance. Des éléments de guerre technologiques, des virus, des vers, des malwares à usage militaire destinés à infecter et détruire des réseaux informatiques ennemis. C’est pour ça que les machines ne sont pas connectées. Aucune des données qui se trouvent ici ne doit pouvoir sortir. Il se peut que ce qui intéresse Klara, soit un projet dont le nom de code est Sygnus. C’est quoi Sygnus ? C’est un nouveau super virus. Entre de mauvaises mains, il pourrait endommager d’énormes réseaux civils ou encore leur propre système de défense, ou même anéantir complètement Internet. Autrement dit, il pourrait servir à couper la Machine. John ne laissera pas faire. Il demande à Harold de ne pas approcher le bâtiment. Qu’est-ce qu’il compte faire ? John raccroche le combiné, coupant la communication. Ils peuvent effacer tout le contenu des lecteurs ? Il n’y a qu’un seul moyen c’est de créer une faille de sécurité dans le système. Pour se protéger, il va écraser toutes les disques. John va vers les serveurs et enlève un lecteur. Mark, devant un ordinateur, regarde le compte à rebours défiler mais également sur l’écran, une détection de brèche de sécurité qui écrase tout ce qu’il y a dessus. Mark demande ce qu’il fait. Il détruit Sygnus avant qu’elle ne mette la main dessus. À quoi il joue ? Ça va leur coûter la vie à tous les deux. Ils verront. Mark demande de remettre ce lecteur en place. Il ne veut pas. Mark court vers John et une bagarre éclate entre les deux hommes. Jusqu’à ce que John coince Mark dans un coin mais ce dernier se fait mal. Les gilets se mettent en route puis s’arrêtent. Klara les a arrêtés. Ça suffit. Elle a su qu’il désobéira aux ordres. Comme à Ordos. Il s’est dégonflé. Elle arrive trop tard, il a écrasé les disques. Sur l’ordinateur, un message montre que l’écrasement est complet. |
Dans une autre pièce, Kevin, Klara, John et Mark ils y entrent. Elle n’a pas eu l’intention de voler quoi que ce soit. Ces petits chercheurs ont au moins un train de retard. Elle se tourne vers Kevin alors qu’elle commence le processus pour insérer le virus. Sans vouloir le vexer. Si elle est là, c’est plutôt pour donner. John demande où est-ce qu’ils sont. C’est ici qu’ils surveillent les réseaux sécurisés du gouvernement pour contrer les cyberattaques. Depuis cette salle, elle peut accéder… absolument à tout. Sur l’écran d’ordinateur, un bip se fait entendre et un message que le chargement a été initié. Qu’est-ce qu’elle a fait ? Son travail, tout simplement. Elle se trouve près de l’ordinateur. Il sait ce qu’elle ressent, il a été à Ordos. Le chargement est complété. C’est vrai qu’ils les ont trompés. Trahis. Mais ils ont survécu. Elle peut encore oublier. Il n’est pas trop tard. Elle peut mettre fin à tout ça. Elle soupire et dit que c’est bien son intention. Elle appuie sur un bouton et les gilets s’arment avec un compte à rebours de cinq minutes. Elle a été sincère tout à l’heure, ça l’a vraiment manquée. Mais c’est aussi vrai ce qu’ils disent, ils ne revivent pas son passé. Elle leur dit adieu. Elle ferme la porte de l’extérieur et tire sur l’écran d’empreintes qui se brise, elle s’en va. |
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| Mark regarde son gilet pendant que John reprend le disque dur. Ce dernier demande à Kevin s’il peut ouvrir la porte. Non, par contre, il peut créer une surcharge d’alimentation de la pièce, ce qui provoquera une coupure d’urgence. Il le fait et une alarme se met à sonner. Mark tente d’ouvrir la porte mais ça ne marche pas. Toujours verrouillé. La batterie de secours a dû prendre le relais. John montre un boîtier. Elle est là. Ils tirent dessus, ce qui arrête l’alimentation de la pièce et ils se retrouvent dans le noir. Mark réessaye et la porte s’ouvre. Il voit Kevin qui veut sortir mais John lui dit de rester là. Ils se retrouvent dans le couloir d’entrée en prenant leurs vestes qu’ils ont eu. Ils ne pourront pas la rattraper. Il faut s’éloigner des civils. Ils peuvent accéder au toit mais il se retourne et il est frappé par Mark et tombe au sol. C’est encore son numéro de martyr. Il commence à être un peu usé. La CIA a une planque à deux rues de cet immeuble. C’est loin d’être gagné mais il n’a que ça. En attendant qu’il y arrive, il croit que l’agence voudra encore de lui. À leurs yeux, il n’est plus fiable. Pendant que Mark prend l’ascenseur. Il faut réfléchir, ce qui l’attend, c’est une cagoule noire et rien d’autre. Mark lui souhaite bonne chance. John voit la porte de l’ascenseur se fermer alors il tire dessus pour avoir Mark mais échoue. Pendant ce temps, des commencent à se faire entendre, c’est Joss et Lionel qui arrivent. Ils doivent partir tout de suite. Elle veut lui enlever ce gilet. Ils ne peuvent pas. Pendant que Lionel surveille les environs. Elle en a vu plein d’autres en Irak. John dit à Lionel de la faire sortir d’ici. Elle ne veut pas. Non, ils n’ont plus le temps. Elle ne peut pas se permettre. Elle prend John prend le bras, elle ne le laissera pas faire. John a raison, il faut qu’elle réfléchisse. Elle veut le lâcher. Elle ne peut pas, elle a un fils. Il y a d’autres solutions. Elle sait bien que non. Mais elle ferait la même chose à sa place. Alors que Joss lâche son bras. Il les remercie. Il monte les escaliers en allant vers le toit. Lionel dit à Joss de ne pas rester là. |
Une femme dit qu’il y a eu une alerte à la bombe. John arrive sur le toit et voit Harold. Ce dernier n’arrive pas trop tard. Mais John aurait dû s’en douter. Il lui a dit de rester loin de l’immeuble. C’est ce qui lui a fait comprendre comment il risque de finir. Il voit Harold s’approcher de lui. Il lui demande de ne pas approcher. Il met le disque dur au sol. Il doit trouver ce qu’il contient et stopper tout. Qu’il lui laisse au moins… Il voit John se retourner et le viser. Qu’est-ce qu’il va faire ? Il va l’abattre ? Son passé l’a finalement rattrapé. Et il n’a rien à faire là-dedans. Mais la situation présente le regarde et il ne le laissera pas tomber. Alors, il faut arrêter de perdre du temps. John baisse son arme et Harold va vers lui, déboutonne sa chemise et accède au téléphone. À quoi ils ont à faire ? Il a déjà désamorcé un gilet d’explosifs ? Pour être honnête jamais. Mais il pense en avoir saisi les principales caractéristiques. C’est plutôt encourageant. Il semble que le téléphone soit relié à un détonateur-condensateur, on appelle le téléphone, ce qui met en charge le condensateur qui une fois chargé, libère d’un coup le courant électrique, ce qui provoque le contact… Harold… C’est comme ça qu’il réfléchit. Est-ce qu’il peut arrêter le compte à rebour ? Il n’a pas accès à la batterie. Il va devoir hacké le code de verrouillage. Il prend son téléphone et commence à pirater le code. Il y arrivera ? Il a conçu des systèmes informatiques parmi les plus complexes qui n’aient jamais été créés. Il doit quand même être capable de déverrouiller un téléphone. Il existe un code de déverrouillage universel pour chaque appareil, en fonction du modèle et du numéro IMEI. Bien, pour ce téléphone, il n’y a que cinq combinaisons possibles. Ah, bonne nouvelle. Le problème, c’est qu’ils ont trois essais avant que le téléphone ne se verrouille définitivement. Moins bonne. À 1 minute 40, Harold essaie le numéro 5-8-76. Mais ça ne marche pas. Il regarde le visage d’Harold. Il doit comprendre que c’est raté. Des voitures de police se trouvent près de l’immeuble alors que Lionel et Joss regardent vers le toit. À 1 minute 11, Harold essaie le numéro 1-9-4-1. Ça ne fonctionne toujours pas. |
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| Klara est une menace imminente car elle a un carré rouge autour de sa tête. Elle appelle John Greer et lui dit que c’est fait. Ce dernier regarde un écran d’ordinateur où se trouvent des lignes qui traversent tout le côté ouest des États-Unis et s’étendent. Il le voit, excellent travail. Ils prennent le relais. Elle veut ce qu’il a promis. La personne qui a vendu le portable pour lequel elle a fait ce malheureux voyage en Chine ou heureux voyage, tout dépend bien sûr du point de vue. Elle veut son nom. Il a peur en effet de n’avoir rien d’autre à offrir qu’un nom. Puisqu’ils parlent d’un individu qui n’a pas d’existence. Il n’apparaît sur aucune base de données. Peut-être qu’elle aura plus de chances dans ses recherches. Qui sait ? Elle écoute et écrit sur un carnet. |
Harold tente de trouver les bons numéros, il voit le regard de John. Qu’est-ce qu’il y a ? Il repense à une de ses phrases. Il a dit un jour que tôt ou tard, ça les conduirait probablement à la mort. Il préfère tard, après tout, c’est lui qui les a entraînés dans cette histoire. Il est sûr qu’il sera déjà mort si Harold n’est pas venu le chercher. Difficile de savoir. Pas si difficile, il faut choisir le gagnant. À près de 40 secondes, Harold tente les numéros 7-2-6 et est prêt à appuyer sur le zéro mais renonce. Il recommence la saisie en appuyant trois fois sur la touche étoile. Il regarde les numéros qui restent. |
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| Klara monte dans la voiture, pose son téléphone et le carnet sur le siège passager. Pendant ce temps, Joss et Lionel ont toujours les yeux rivés vers le toit. |
Toujours sur le toit, Harold, à 12 secondes, appuie sur les chiffres 3-0-9-5. À dix secondes, le téléphone se déverrouille. À huit secondes, il appuie sur le bouton annulé et le téléphone s’arrête à sept secondes. Harold souffle de soulagement. | |
| Dans la voiture, Klara entend le bruit du gilet qui s’arme. Elle regarde dans le rétroviseur et se retourne, voyant Mark. Elle a raison, à propos de sa mort, il va faire un excellent cadavre. Elle tente d’enlever le portable de Mark. |
Lionel dit que ça doit être un leurre. Ils entendent une explosion. John et Harold entendent aussi l’explosion ainsi que des alarmes des voitures environnantes. Joss et Lionel courent vers l’endroit où s’est produite l’explosion. La voiture n’est qu’un amas de tôles brûlés. Ils voient l’étendu des dégâts. John dit que Mark a finalement décidé de raccrocher | |
| Pendant qu’Harold est en train de taper sur son clavier d’ordinateur, la porte s’ouvre et Balou court vers John et commencent à s’amuser. Il le salue. Pendant que John rigole, Balou est aussi content de retrouver son maître. |
Le temps se met à reculer pour revenir au 17 novembre 2012 à 17 heures. Pendant que Greer lui parle, Klara monte dans sa voiture. Elle et Mark ont un carré rouge autour d’eux et la voiture se met à exploser après que Greer lui ait donné l’information. Il a peur en effet de n’avoir rien d’autre à offrir qu’un nom. Puisqu’il parle d’un individu qui n’a pas d’existence, il n’apparaît sur aucune base de données. Peut-être elle aura plus de chances dans ses recherches, qui sait. Parmi les décombres, un bout de papier se met à voler et sur celui-ci est noté le nom d’Harold Finch. |
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_________________ "Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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