carine79 Control
Série préférée : Lucifer
| Sujet: Résumé détaillé - 1X19 - Crédit : carine79 Sam 24 Oct - 17:55 | |
| Personnes d'intérêt : Gianni Moretti Jr., Luciano Grifoni, Vittorio Zambrano, Caparelli, Basile ( victimes) L'épisode commence par une réplique d'Elias, qui se demande ce qu'il serait devenu si sa mère n'avait pas été tuée. Paraît-il, on change lorsqu'on perd un parent, surtout si celui-ci est assassiné. Joss Carter amène son fils à l'école. A son regard, elle pense que c'est pour une interrogation de maths ; en réalité, c'est une bande de "petit-bourgeois" qui se moque de lui parce qu'il est boursier. Sa mère veut leur identité, mais il ne souhaite pas qu'elle s'en occupe, ce n'est plus un enfant. Il lui dit aussi qu'il rentrera en métro, il le fait parce qu'elle a trop de travail. Elle lui propose un dîner thaï et ça lui convient, Taylor s'en va. Elle reçoit un appel d'une certaine Lablanca du SID, qui lui demande si elle veut entendre une bonne nouvelle. A moins que cela soit des congés payés à Hawaï, mais c'est presque aussi bien. En fait, cela concerne les comptes appartenant à Carl Elias, liés à une société d'investissement. Lorsque Carter signale leur existence, ils sont crédités de 4 millions de dollars, mais depuis le matin, plus rien, il les a vidés. Elle se dépêche d'arriver au bureau.
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| A la bibliothèque, Harold fait une réflexion à John sur son retard. Il lui dit qu'il a pris un cours de yoga. Celui-ci espère qu'il est bien connecté à son "chi", car une grosse journée l'attend. En effet, la Machine sort cinq numéros, parrains des cinq familles : Caparelli, Zambrano, Grifoni, Basile et Gianni Moretti Junior (le fils de Moretti, qui prend la relève lorsque celui-ci est en prison). A moins qu'ils décident de s'entre-tuer, c'est plutôt quelqu'un qui veut s'attaquer à eux. John réplique que peu d'hommes sont fous de s'en prendre aux dirigeants de la Cosa Nostra. Harold dit qu'a priori, une seule personne : Elias. Il enlève son père, s'il tue les chefs il aura le contrôle sur toute la mafia. John veut bien qu'ils fassent le ménage entre eux. Harold rétorque que même si à la CIA, il apprend à avoir une souplesse morale, il pense que leur niveau d'exigence doit être supérieur. De toute façon, faut absolument éviter des dommages collatéraux.
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Donc, il faut faire du baby-sitting pour les cinq criminels les plus puissants de New York. Mais comment les approcher ? Ils se réunissent, une fois par mois, au Convenant Club à Brooklyn. Pas de caméras, pas de téléphones portables n'y sont autorisé dans la salle de réunion. Pour les espionner, cela va être un problème voire un même un défi pour Finch. Pendant que John prend des photos des parrains, Harold, se faisant passer un pour un technicien, fait ce qu'il explique. En effet, lorsqu'un incendie se déclare, les pompiers peuvent communiquer avec les gens à l'intérieur, via un système sonorisé. Donc, il inverse la polarité, des haut-parleurs pour les transformer en micro. Cela fonctionne car John entend, désormais, leur conversation et le félicite.
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| Caparelli explique que, même que ceux de la Sécurité Intérieure, ne savent pas empocher un pot-de-vin. Donc, la marchandise est réduise de moitié, alors qu'est-ce qu'ils en font ? Zambrano plaisante, en disant qu'ils ont qu'à couper un peu plus, et si les clients se plaignent, ils écrivent un mot et l'insèrent dans la boîte à suggestions. Sur ce, Gianni Moretti Jr pense qu'ils peuvent plaisanter, mais que le business continue comme s'il ne se passe rien. Ils sont tous désolés pour ce qui arrive à son père, mais celui-ci suppose qu'il est déjà mort, quelles représailles engagées contre Carl Elias ? Caparelli le corrige en disant son demi-frère et que son père s'est mis, tout seul, dans cette galère. En plus, il a eu un fils illégitime et a la mauvaise idée de tuer sa mère.
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Mais Moretti n'est pas du tout d'accord avec ce qu'il dit. Zambrano s'en fiche qu'il a une dent contre son demi-frère, mais celui-ci est un joueur ; de plus, il amène de l'argent. Moretti s'énerve parce qu'ils travaillent avec un homme qui les vole ouvertement, s'attaque à leur territoire. Ce n'est que du business, pas de place pour les sentiments et pensent que, s'ils sont avec lui, ils deviendront plus riches. En les écoutants, Harold et John savent bien qu'Elias ne sera pas d'accord pour partager le gâteau. Donc, il faut prévenir les parrains et informer le lieutenant Carter. Cela va être compliqué, dans la mesure où elle refuse de leur parler, depuis l'enlèvement de Moretti. Peut-être qu'avec des excuses... Sur ces paroles, John l'appelle mais celle-ci l'ignore.
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| Joss demande pour quelle raison Elias retire l'argent. Ne le sachant pas, Lablanca informe qu'il distribue à mille bénéficiaires. Carter demande si elle a des noms à communiquer, mais ce n'est pas simple. Evidemment, ce n'est jamais évident avec lui. Il fait soit des retraits en espèces, soit par virement bancaire. Il y a des pistes, mais il faut un mandat, donc cela peut prendre deux semaines. Qu'est-ce qui peut bien acheter ? Carter explique que Carl Elias n'est pas matérialiste, il achète des gens, ceux-là tuent pour l'argent. De toute façon, des flics et des politiciens pour qu'ils détournent le regard (elle vise Lionel Fusco qui, entendant la conversation et la voyant, tourne la tête). Si son hypothèse est bonne, il s'en est offert un grand nombre.
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Dans une cave à vin, Carl Elias apporte une assiette à son père, qui attaché, est assis sur un lit. Son fils lui dit qu'il va devoir manger avec les mains, car il a le souvenir que Gianni Moretti sait plutôt bien manier le couteau. En plus, à une certaine époque, il a le surnom de "La Lame". Elias ne comprend sa génération et tous ses surnoms ridicules. Ils passaient leur temps à se laisser aller. Mais certains essaient de rentrer dans la légalité, comme son fils légitime. Moretti lui demande pourquoi il ne le tue pas tout de suite. En fait, Carl veut qu'il regarde ce qu'il est en train de faire, c'est-à-dire, faire ce que son père n'a pas eu le cran, unifier les familles et en prendre le contrôle. Ce qui vaut cette réflexion de ce dernier que c'est ambitieux pour un moins-que-rien. Est-ce qu'ils voudront le suivre dans cette mascarade ? Il lui répond qu'ils n'auront pas le choix. De toute manière, il ne sait pas partager, sa mère aurait pu lui apprendre, mais personne ne lui en a donné l'occasion. |
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| Lionel se plaint qu'il a du retard avec 45 minutes d'embouteillages et qu'en plus, il a un travail. Simmons lui dit que c'est la DRH son vrai boulot. Il veut des informations sur l'homme qui sème la pagaille, il porte un costume et sa spécialité, c'est de tirer dans les genoux. Lionel pense que de l'histoire ancienne sauf pour les fédéraux, qui montent une équipe à sa recherche. Donc, la DRH veut être au courant de l'avancement avant qu'ils le retrouvent. Il veut savoir s'ils souhaitent l'engager, le policer dit qu'il pose trop de questions mais que Lionel est curieux de nature. Ils font un travail pour Elias mais c'est juste pour servir leurs intérêts, donc ils sont avec lui. Dès qu'il aura terminé, vaut qu'il se tienne à l'écart quelques jours.
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Harold demande si c'est le meilleur moyen de s'approcher de Caparelli, car ils n'apprécient pas trop que quelqu'un vienne les déranger. Ils peuvent devenir très méchants. John rétorque qu'il n'a pas vraiment le choix qu'une approche directe, jusqu'à preuve du contraire, il n'a jamais fait de mal à des animaux. John les rejoint et leur dit qu'il a des informations sur Elias. Il a des projets mais ni Caparelli ni les autres n'en font parti. Il lui demande s'il est de la police. John n'y est pas, loin de là, que pour lui, il veut les laisser s'entretuer mais cela fait un peu désordre, sachant que leurs hommes ne peuvent pas les protéger. Donc il lui propose son aide s'il vient avec lui, mais celui-ci refuse. Ils partent dans leur véhicule. Lorsque John prévient Harold qu'il échoue dans sa mission, une explosion se fait entendre. Harold demande ce qui se passe et il lui explique qu'Elias l'a eu. Celui-ci a raison à propos des dommages collatéraux et l'homme de main d'Elias s'enfuit avec un 4X4. |
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| Carl Elias reçoit un appel de John, il se demande d'ailleurs quand il va le contacter. Il lui dit qu'il sait pour l'explosion espérant qu'il n'est pas blessé. Ce dernier veut qu'il arrête avant que d'autres personnes innocentes y laissent la vie. Carl le fait pour l'intérêt de la ville quitte à tuer. Il lui dit qu'ils ont plus de points communs qu'il ne veut l'admettre. Ils sont des tueurs et dans leur droit. John sauve des innocents comme Charlie Burton, mais qu'il lui laisse les vieux gangsters. Mais il sait que John ne va pas le laisser faire. Cela ne l'étonne pas et lui donne rendez-vous de l'autre côté. Après la conversation, Harold fait savoir qu'ils ont un autre souci : Jocelyn Carter. Mais comme elle ne veut plus les contacter, il lui explique qu'il a une vision, plutôt libérale, de l'utilisation du téléphone. Il l'a mis au courant qu'Elias prépare un coup. Donc, après la mort de Caparelli, elle contacte les autres parrains pour offrir sa protection. Mais elle n'est pas au courant qu'il veut les tuer en même temps, en plus, avec le soutien de la DRH. Il demande à Harold la position exacte de Carter, et maintenant.
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Le soir même, Joss donne des instructions et va chercher Basile pour l'emmener en lieu sûr, jusqu'au moment où Elias sera arrêté. Ils vont à sa rencontre et il demande quelles garanties pour qu'elle ne fasse pas partie des ripoux. Carter dit aucune mais que s'il a une autre solution, qu'il se gêne pas. Dans le cas contraire, qu'ils partent de là. Problème : plus de véhicules. Ils se sont faits piégés et Basile est tué. Une fusillade éclate, un homme s'approche d'eux mais il reçoit une balle de John. Celui-ci dit à Carter qu'elle fait mieux de répondre au téléphone.
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| John et Jocelyn se trouvent dans un bar. Elle lui dit que l'officier blessé va s'en sortir. Heureusement pour eux, il est arrivé à temps. Pour son information : le FBI a constitué une équipe pour lui, en son honneur, croit que ce dernier travaille pour Elias. John lui dit que sa vie est faite de malentendus. C'est à ce moment-là qu'Harold arrive et se doute bien que cela ne s'est pas bien passé. Elle ne sait plus à qui faire confiance.
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Il lui dit qu'elle peut leur faire confiance, elle le sait. Carter leur explique pour l'argent retiré ces dernières 48 heures. Ils peuvent savoir à quels intermédiaires va l'argent mais, pour avoir accès à la base de données, il faut un mandat. Faute de temps, cela sera compliqué. Harold lui dit qu'il a des techniques pour avoir ces informations. Dès qu'ils ont les identités des hommes d'Elias, ils peuvent remonter jusqu'à lui. Pour l'instant, il faut convaincre les autres parrains que s'ils veulent rester en vie, c'est de coopérer avec la police. Elle est prête à partir lorsque John lui donne des armes lourdes, au cas où il ne soit pas là. Et veut savoir d'où elles proviennent. (Il ne faut pas poser la question).
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| Joss prépare les armes et a demandé le renfort de Lionel, avec le gilet pare-balles et les munitions. C'est le seul flic en qui elle fait encore confiance.
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John demande qui est la personne observée. Harold explique qu'il a réussi à remonter les transactions financières, à partir des comptes d'Elias. L'homme qu'il suit fait parti des bénéficiaires. La liste de ses employés rassemble tous les plus grands criminels des Etats-Unis. John l'observe, mais quid pour lui. Apparemment, une famille ; Harold suppose la famille de l'un des parrains, d'autant plus qu'il n'a aucun scrupule à s'en prendre à leur entourage. Bonne théorie mais pas la cible. En effet, il a engagé ses hommes de mains pour épier les familles des membres de la DRH. Ce qui surprend Harold, car il ne comprend pas sa stratégie, puisqu'ils sont ses alliés. Ce qui fait dire à John qu'en tant de guerre, il faut savoir maîtriser ses alliés autant que ses ennemis. Harold émet l'idée qu'en cas de désobéissance, d'un de ses contacts de la police il a un moyen de pression. C'est ce que pense faire John.
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| Gianni Moretti Jr s'énerve car ils doivent l'écouter depuis le début, ils peuvent agir quand il est encore temps. C'est à ce moment-là que Carter et Fusco arrivent pour réitérer l'offre de protection, jusqu'à l'arrestation d'Elias. Mais Zambrano refuse toujours, mais qu'ils n'ont pas le choix car ils n'ont pas réussi à le maîtriser. Ils essaient de travailler avec lui mais il s'en prend à eux. Elle ne veut pas rester les bras croisés à regarder que, d'autres innocents soient pris au piège, alors qu'ils n'ont pas vu ce qu'ils ont sous le nez. Zambrano appelle son homme de main mais celui-ci ne répond pas. Elle ironise car leurs hommes les ont abandonnés. Mais ceux d'Elias ne sont pas très bien. Moretti Jr ne veut pas collaborer avec les policiers.
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Alors, s'ils ne veulent pas, elle va user de la force, quitte à les tuer, afin d'éviter qu'une autre voiture ne se fasse exploser, dans une rue avec beaucoup de monde. Lionel demande s'il faut des renforts ; pour Joss, c'est lui qu'il l'est. Lorsqu'elle sort avec les parrains, elle reçoit un appel mais l'arrête. Ils rentrent dans la voiture mais les hommes d'Elias sont là et leur tire dessus ; Lionel fonce. Le portable de Moretti Jr sonne et le donne à Joss ; en effet, c'est Harold qui l'appelle afin de donner les indications et l'adresse : 954 President Street, en même temps, le code d'entrée. Lorsqu'ils rentrent dans le domicile, Lionel demande à qui cela appartient, Carter lui répond que c'est à un ami. Ce qui vaut une réflexion de celui-ci, en disant qu'elle a de drôles de relations.
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| Pendant ce temps, Carl parle qu'il n'a peu de souvenirs de sa mère, il a 4 ans lorsqu'elle est tuée. Mais son père sait tout ça. Des images lui reviennent, de temps en temps, en particulier, la senteur d'un parfum, Shalimar. Avec nostalgie, il repense à ce qu'elle ressemble, mais c'est la vue du sang qui le hante. C'est à ce moment-là que Marconi expose le problème à Elias, qui lui dit qu'il faut faire appel à leurs amis de la police.
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Harold informe John que Lionel et Carter sont en sécurité dans l'une de ses propriétés, avec les parrains encore en vie. En même temps, il pirate le téléphone de l'intermédiaire d'Elias. Il demande comment elle réussi à les convaincre, en réalité, elle les kidnappe. Avec une remarque d'Harold car il a une certaine influence sur elle. Lorsqu'il le remercier, celui-ci lui dit qu'il ne doit pas le prendre pour un compliment. John pense qu'Elias n'en restera pas là Il n'y a pas signe de lui, mais il repère une douzaine de ses hommes. Ils seront prêts à s'attaquer, aux membres des familles des flics corrompus, si les événements ne vont pas dans le bon sens. Harold précise que seuls Lionel et Joss sont au courant où sont les parrains. John s'inquiète car il demande à ce dernier, si un des hommes pistés, n'est pas devant le lycée Marbury, à Brooklyn. Lorsqu'il vérifie, il demande pourquoi. La raison, c'est que le fils de Carter va à l'école. Il chercher les coordonnés de Taylor, voyant un policier qui lui dit que sa mère a un accident, et l'amène à l'hôpital. Harold le prévient qu'il faut attendre à l'intérieur du lycée avec un professeur, quelqu'un vient le chercher. Mais il est sous la menace de Marconi, qui tire sur un des membres de la sécurité et John, arrivé un peu après.
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| Dans la propriété d'Harold, Lionel demande combien de temps ils resteront là. Carter lui répond jusqu'au moment où les parrains ne risquent plus rien. Il rétorque comme étant de la mafia, ils ne seront jamais en sécurité. C'est à ce moment-là que des véhicules arrivent avec les hommes d'Elias. Mais comment ont-ils retrouvé la planque ? Et John appelle Joss pour lui dire quelque chose et surtout qu'il fera tout pour qu'il lui arrive rien. Mais ne comprenant pas, elle demande ce qu'il se passe, a également un autre appel.
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C'est le portable de son fils, en réalité, Carl lui dit qu'elle a un gentil garçon. Celle-ci le menace de le tuer s'il lui arrive quoi que ce soit mais la balle est dans son camp. Il lui dit qu'elle n'a pas de renforts, en qui faire confiance, elle rétorque qu'elle ne peut pas les livrer, autant les tuer de ses propres mains. Carl pense que c'est une excellente solution. Mais pourquoi vouloir à ce point les voir morts, tout le monde sait qu'il est le plus puissant. Elle ne se rend pas compte des démons qu'elle protège. Il lui explique les méfaits dont sont coupables les parrains, à commencer par Zambrano : il fait fortune en vendant de l'héroïne à des lycéens ; Grifoni : vend des armes aux plus offrants ; Gianni Moretti Jr : trafic de drogue et traite de jeunes filles. Voilà les gens qu'elle protège. Elle demande que ce soit mieux sous son contrôle. Il dirige une entreprise efficace, sans conflit interne, ni guerre pour des territoires. Il représente, selon lui, l'avenir du crime organisé. Elle lui répond qu'il est symbole de corruption et de faiblesse puis refuse. |
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| Elle reprend la conversation avec John, lui dit qu'elle fait face à un dilemme : son fils contre les parrains. Mais il lui dit qu'elle n'à pas à prendre de décisions ; c'est lui qui ramène son fils à n'importe quel prix. Il ne laisse personne faire du mal à Taylor et lui donne sa parole. John demande à Harold l'endroit où se trouve le fils de Carter. Celui-ci rétorque qu'il prend un peu d'avance car le seul moyen de le localiser est de pactiser avec le diable. John prend peur et espère que ce n'est pas avec Elias. Sauf que ce n'est pas le seul ange déchu de leur carnet d'adresses.
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De retour à la propriété, Lionel demande si tout va bien, mais elle lui dit qu'ils ont son fils. Lorsqu'il demande s'il faut des renforts, elle lui explique que les hommes en bas sont de la brigade des mœurs, donc, là pour aider Elias pas pour eux. Que faire ? Il n'y a rien de mieux à faire que d'attendre, lui conseille de faire le tour pour s'assurer que tout est fermé. Zambrano lui dit qu'elle doit prendre le volant, pas Lionel qui, selon lui n'est pas très doué. Elle rétorque que ce n'est pas de sa faute, mais est-elle si sûre de ça ? Il a le vague souvenir que ce dernier fait parti des ripoux, mais il en est certain. Il se souvient que Lionel fait équipe avec le lieutenant Stills, disparu plusieurs mois plus tôt. Ces flics touchaient à tous les trafics de la ville, étaient tous de mèche et tranquille. Ils peuvent graisser la patte de personnes haut placées. Racket en tous genres : dealer de quartier, les "maquereaux", tout ce qu'ils trouvent mais aussi tuent. Lorsqu'elle entend ce que dit Zambrano, elle jette un regard méfiant vers Lionel qui téléphone. Ils sont interrompus par Elias qui est à la porte. Il est venu en personne discuter et si elle est prête à choisir le bon côté. Mais ils sont dubitatifs, ne sachant que faire.
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| Harold vient voir Simmons, qui ne sait pas à qui il a à faire, demande s'il peut lui accorder quelques minutes. L'agent lui demande qui il est ou il doit l'arrêter. D'un sourire narquois, Harold veut lui parler de son organisation : la DRH. Il remarque, que ces jours-ci, elle perçoit une somme conséquente en échange d'une non-intervention dans les affaires, pour le moins douteuses, d'un certain Elias. Simmons lui demande comment il est arrivé à cette conclusion. Il rétorque qu'il est observateur, voit des choses que d'autres ignorent. Il semble que des informations à propos d'Elias soit négligé. Mais l'agent en doute, car il a aussi le sens de l'observation. Il croit qu'Elias fait en sorte que tout redevienne comme avant ; une main de fer sur les rênes du crime organisé, mais aussi d'autres intentions. Sur ce, Harold lui tend une enveloppe que Simmons ouvre : c'est une liasse de photographies. Harold explique qu'Elias fait surveiller les membres de la DRH ainsi que de leur famille. Ils pactisent avec le diable. Il est prêt à tout pour atteindre son but, quitte à enlever des enfants, même celui du lieutenant Carter. Mais évidemment, Simmons n'est pas au courant. Il lui fait bien comprendre qu'il se met en danger en le prévenant, que l'agent est en danger, ainsi que sa famille, en collaborant avec Elias. Mais il ne comprend pas, alors Harold lui dit que l'homme qui suit sa famille est un ex-détenu condamné pour viol et assassinat. Celui-ci a un œil sur lui et sa famille, une fois l'objectif atteint, a-t-il encore besoin de lui ? demande Harold, avec une menace à peine voilée. Simmons lui dit que rien ne prouve qu'Harold ne travaille pas pour lui. Risque-t-il la vie de sa famille en pariant là-dessus ? Sa requête ? Il veut connaître l'endroit où se trouve Taylor Carter et que la DRH doit cesser la coopération avec Elias immédiatement.
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Retour à la propriété, Elias ne veut pas attendre mais Carter veut qu'il relâche son fils, il n'y est pour rien dans tout ça. Il lui dit que c'est un garçon tout à fait charmant et veut qu'il en ressorte indemne. Mais elle doit accepter qu'elle n'a pas de soutien, elle est seule. Il demande de commencer à couper la porte et regarde ses cicatrices sur les mains.
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| John et Harold arrivent au repaire d'Elias où est retenu Taylor. Et demande quel est le plan. En fait, il n'y en a pas car il veut tenter une approche directe. Harold regrette de ne pas être utile sur le terrain, prend une arme en demandant comment s'en servir. Tenter une diversion ou quelque chose d'autre. Mais John lui dit de laisser, il peut être le conducteur tout va bien se passer. Surtout, il le connaît et déteste qu'une personne s'en prenne à un enfant. John frappe à la porte, un homme regarde à travers et se fait tirer dans les genoux. Les autres, entendant le bruit, se tiennent prêt pendant que ce dernier rentre après avoir mitraillé la serrure. Une fusillade s'engage entre lui et Marconi, tire sur un gars. Et Gianni Moretti se protège comme il peut. John arrive vers Moretti et Taylor lorsque Marconi lui tombe dessus, un combat commence et John l'envoie au sol, prend une arme. Il riposte à un tir d'un des hommes d'Elias pendant que "Scarface" s'enfuit. John demande à Taylor si tout va bien mais celui-ci veut savoir qui sait. Il se présente et lui dit que c'est sa mère qui l'envoie. Pendant ce temps, Moretti veut savoir s'il est là pour le tuer ou le sauver ; coup de chance, c'est pour le sauver.
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Continuant à détruire la porte, Carl donne une dernière chance à Joss : soit les parrains soit son fils innocent. Mais elle ne veut pas céder au chantage, prend une arme et lui dit qu'ils ne passeront pas. Elle n'est pas aussi seule qu'il le croit. La destruction de la porte se poursuit. Lionel prévient que les membres de la DRH s'en vont et que les parrains soient maintenus au fond de la salle. Mais Zambrano lui pique son arme de la poche arrière et donne l'ordre au lieutenant Carter d'ouvrir la porte.
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| Ce qui provoque la colère de Gianni Moretti Jr, qui doit comprendre que c'est un plan pour amener Elias au clan, que c'est un traitre. Zambrano fait un marché avec Elias, il explique que lorsque les temps changent, il faut savoir s'adapter. Mais il est comme son père, il ne retient pas la leçon. Et Carter demande à ce qu'il jette son arme ; il ne veut pas car il veut sortir d'abord. Elle doit livrer les parrains comme Elias le demande, mais rétorque que ce n'est pas quelqu'un de corrompue. Mais pas comme Lionel et Zambrano explique que dans moins de 30 secondes, l'homme qui rentre dans la pièce a le contrôle sur la ville. Il a l'instinct de survie, il va savoir choisir le bon camp ou être tuer avec Carter. Lorsqu'ils finissent avec la porte, ils entendent des détonations. En l'ouvrant, ils sont sous la menace de Joss, qui demande à ce que ses hommes jettent leurs armes, n'espérant pas finir comme Zambrano, allongé sur le sol. |
Elle et lui font très bien leur travail, il préfère ne pas avoir un nouveau bain de sang. Elle rétorque que c'est comme ça, que tout s'arrête. C'est là qu'ils entendent les sirènes des véhicules de police, c'est Lionel qui les préviennent et elle doit lui faire confiance, tous les flics ne travaillent pas pour Elias. Celui-ci demande à ses hommes de déposer leurs armes. Lionel leur demande de se mettre par terre ; Carter arrête Elias en disant qu'elle doit consulter ses notes pour les chefs d'inculpations, mais en tête de liste, il y a meurtres et enlèvement. Il la prévient qu'elle n'empêchera pas l'inévitable de se produire. Il y a du changement, que ça lui plaise ou non. Moretti veut savoir où est son père, qu'il est un homme mort ; personne ne se souvient de lui. Joss reçoit un appel, pensant que c'est John ; en fait, c'est Taylor et lui demande si tout va bien. Il trouve impressionnant l'homme qu'elle envoie, qu'il est un dur à cuire. Lorsque Taylor demande qui est "l'homme avec des lunettes", elle rétorque qu'elle aime bien le savoir. Il veut savoir où elle est et répond qu'elle est en sécurité, qu'ils vont bientôt se retrouver. Tout est bien qui finit bien.
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| En effet, ils se retrouvent sous la pluie en se serrant dans les bras. Larme à l'œil, elle dit à John que cela fait du bien de savoir qu'il tient ses promesses. Il lui promet que Taylor ne lui arrive rien.
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Carl Elias subit les différentes étapes qui le mènent à la prison : prise d'empreintes, photo, confirmation de son identité. |
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| Gianni Moretti Jr est content de retrouver son père qui lui dit qu'ils rentrent à la maison. S'installant dans la voiture, ils entendent un portable, ce n'est pas celui de Moretti. Normal, il est dans la boîte à gants dans une enveloppe. C'est Carl qui l'appelle avant d'être enfermer dans sa cellule. Son père pense qu'il veut l'intimider mais celui-ci veut lui dire adieu, qu'il souhaite être présent. Ils comprennent que c'est la fin. En effet, un bruit sourd se fait entendre.Lorsque Marconi remonte la vitre, la voiture de Moretti est en feu. Après être rentré, il rend le portable.
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Flashbacks : 1981, Carl Elias veut qu'ils meurent tous. Sa tutrice demande ce qui se passe. Il dit que ce sont ses camarades qui commencent, qu'ils le traitent de tous les noms. Madame Beecher l'a prévenue qu'il n'a pas rendu son travail trimestriel. Il répond que c'est stupide, car c'est sur son arbre généalogique. Il ne se voit pas comme un bâtard. Elle demande qui lui dit cela et l'aide à le remplir. Il demande avec quoi car il considère qu'il n'a pas de famille. Elle rétorque qu'elle est là ainsi que ses sœurs d'adoption. Il lui dit que sa mère n'est plus là. Peut-être faire des recherches, mettre des noms dans les cases. Et pourquoi pas son père, mais elle l'arrête. Celui-ci insiste, elle lui demande de faire une croix dessus. Il veut savoir si son père sait quelque chose sur la mort de sa mère. Elle lui explique qu'ils ont du sang royal dans les veines, qu'il doit mener sa propre barque, le comprend-il ?
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| 1991, Dans un restaurant avec Gianni Moretti, son père. Carl apporte les nouveaux CD piratés. Il veut aller en chercher d'autres mais Moretti veut lui parler. Il oblige à la fois son homme de main ainsi que son fils, (ce qui ne plaît pas vraiment à ce dernier) de partir. C'est grâce à leur famille que Carl est entré mais son père sait très peu de choses, mais par contre, il lui trouve quelque chose de familier, comme son nom Elias. C'est évidemment le nom de sa mère, Marlene. Ce qui fait dire à ce dernier que c'est une jolie femme, confirmé par Carl. Moretti sait que ce jour est là pour parler. Qu'est-ce qu'il fait là ? Qu'est-ce qu'il attend de lui ? En fait, Elias veut simplement un travail, être avec les meilleurs, apprendre le "métier". Il lui explique comment se fabrique un diamant. D'abord, ce ne sont que des fragments de carbone, noirs comme du charbon enfuit à des kilomètres sous terre. Ils sont sous pression à une température plus chaude que l'enfer pendant des milliards d'années, au moment où un volcan les propulse à la surface. C'est la meilleure façon de créer un diamant. Elias dit que c'est la première fois qu'il entend ça. Moretti lui apprend qu'il n'a pas connu son père, il survit. S'il est dans le clan, c'est qu'il comprend certaines choses. Donc, ils ont leur petit secret. Pour Moretti, c'est un gamin tenace, capable ; celui-ci essaie de l'être. Qu'il garde surtout la tête sur les épaules et il pourra faire sa place. Elias le remercie et partant, il est content qu'ils se rencontrent enfin.
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La même année, un véhicule s'engouffre dans la forêt, plusieurs en sortent, dont Carl Elias qui croit revoir Gianni Moretti. Comme les parrains règlent eux-mêmes leurs sales histoires, il ne voulait pas venir. Un des hommes parle que De Luca a eu pour mission de tuer la mère de Carl, maintenant il faut régler le compte de ce dernier. Mais il est énervé qu'il en pleure presque. L'un ironise que c'est les grandes eaux et que ce n'est pas la réunion qu'il attend. Il se rend compte qu'il s'est fait berner. Ils rétorquent que Moretti a déjà un fils idiot, qu'il n'en veut pas un deuxième. Carl, qui se met à sourire, leur dit qu'ils n'ont rien à craindre de lui, qu'il est faible et eux forts. En réalité, c'est tout l'inverse, ce sont eux les faibles. Qu'est-ce qu'ils sont : deux pauvres types jaloux, des menteurs, prêts à mentir l'un à l'autre. Il n'a pas besoin de ça. Il est fort car seul, c'est pour cette raison qu'il va tous les détruire. Et l'un d'eux veut l'étrangler avec un bout de fil de fer, mais il se défend et se blesse aux mains en le retenant. Il se retourne et c'est l'autre qui se prend un balle dans le dos. Avant qu'Elias le tue à son tour, à cinq reprises. Sous le choc, il s'enfuit.
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_________________ "Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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