carine79 Control
Série préférée : Lucifer
| Sujet: Résumé détaillé - 2X19 - Crédit : carine79 Dim 25 Oct - 8:56 | |
| Deux hommes parlent d’un employé venant d’une société Rylatech, tué dans un accident mais qu’une cadre de l’entreprise commence à s’interroger sur celui-ci et n’en restera pas là. Un des deux hommes demande de la neutraliser. | |
| Dans la prison de Rykers, Carl et Harold jouent à une partie d’échecs. Harold voit Carl retirer ses deux pions et lui dit que c’est une stratégie intéressante, qu’il s’explique. Il essaie de tirer profit d’un désavantage. Harold a l’impression qu’ils ne parlent pas d’échecs. Il a retiré le tour et le cavalier, deux pièces importantes comme l’assistante du procureur et le lieutenant Szymanski. Leur mort a profité à son pire ennemi, Peter Yogorov. Carl trouve ça excellent. Harold est suffisamment renseigné pour savoir que certains de ses associés ont été transférés ailleurs. Carl prend trois pions d’Harold et les pose sur l’échiquier. Contre qui joue-t-il ? Les Russes ? La DRH ? Un fantôme. Ça ne change pas grand-chose qu’il connaît ou non son adversaire. Carl dit qu’il ne faut pas croire qu’il soit déjà hors jeu. Il a plus d’un tour dans son sac. Il quitte la pièce. Le téléphone de la pièce se met à sonner et la Machine donne un nouveau numéro à Harold. |
John se trouve dans sa voiture à espionner une maison au loin parce qu’il utilise ses jumelles. Il lit le titre d’un article parlant de Cole. Son téléphone se met à sonner et c’est Harold. Il lui dit qu’il le manque déjà alors que ce n’est pas un appel de courtoisie. Ils ont un nouveau numéro. John veut rentrer mais Harold refuse car il doit s’occuper d’un ancien numéro qu’il s’occupe. Il doit poursuivre sa mission. De qui s’agit-il ? Il s’agit de Monica Jacobs, directrice du service stratégie et système de Rylatech, une des meilleures sociétés de gestion de réseau d’Amérique. Ils ne badinent pas avec la sécurité, les badges des employés sont équipés de puce de radio et d’identification. Comment approcher Monica Jacobs ? Il a trouvé une assez bonne couverture. Il regarde des articles sur Jacobs. Elle est partout aussi dans des magazines que sur Internet. Pas mal pour une fille d’une petite ville de l’Indiana. Un univers de premier de la classe et ça ne paraît pas trop dangereux. Jacobs a un poste clé dans une entreprise à un milliard de dollars où l’espionnage est monnaie courante. La menace peut venir de partout. Monica Jacobs s’approche de son assistant Jerome Eckert et lui demande si c’est une grosse journée. Oui, elle est éreintante. Tovo à dix heures, New Technologies à onze. Le fleuriste a appelé et a dit qu’il n’a pas la bonne adresse pour la famille Lee. Il doit laisser tomber ? Non, elle va s’en charger. Elle arrive près d’Harold et voit sa tablette et demande si c’est un processeur Centra-6. Il répond positivement alors qu’elle a pensé qu’il sort le semestre suivant. Son traitement des variables est aussi rapide qu’ils le disent ? Pour Harold, c’est un énorme progrès, ça a boosté l’autonomie, et l’efficacité… Elle le coupe et dit qu’elle le sait. Ceux qui trouvent les tablettes hexa-cor surdimensionnées ne connaissent rien à l’architecture CPU, Harold est d’accord avec ça. Elle est ravie de faire sa connaissance et qu'elle envie les gens de son service. |
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| Ross Haskell, un des employés de la société Rylatech parle d’une proposition de solution réseau qui parle d’elle-même. Lest routeurs et les Switch de Rylatech sont fiables à 99,16%. Sur la base de tests indépendants menés conjointement sur trois de leurs cinq principaux concurrents. Leur firmware se met à jour automatiquement. Un homme lui dit ironiquement comme ceux de la concurrence. Même chez Censatek, qui a de bien meilleure pâtisserie. Il demande son nom et il dit se nommer Ross Haskell, du service recherche et développement. L’homme dit que le vice-président n’est pas venu pour entendre des statistiques. Pourquoi doit-il utiliser leurs produits ? Monica lui dit qu’ils le font déjà. Elle explique que la société a passé les quinze dernières années à construire la colonne vertébrale d’Internet. Et leurs derniers composants seront la référence des quinze prochaines années. Même le ministère de la Défense leur fait confiance pour acheminées leurs données. Maintenant, s’ils veulent une raison, elle évoque Martin Baxter, le PDG de Rylatech d’où elle met sa main sur son épaule. Il a fait naître Rylatech dans le garage de ses parents et l’a conduit jusque là. Et cette détermination ? Ils l’ont tous. Ils prennent leur travail à cœur. Ou alors, ils ont Censatek, une société connue pour offrir des pots-de-vin aux conseillers réseaux de ses clients ainsi que d’excellentes pâtisseries. Les deux hommes présents se regardent. Dans les bureaux, Baxter veut savoir comment elle a su pour l’histoire de pots-de-vin chez Censatek. Elle lui dit qu’elle a des espions partout. Baxter lui dit que si elle cherche à quitter le navire pour aller chez des concurrents, qu’il la laisse tenter de la retenir. Il ne peut pas imaginer ce que la société ferait sans elle. Ils s'en vont. |
Dans les locaux de la police, Carter demande à Terney s’il enquête sur le meurtre de Szymanski et de l’assistante du procureur. Elle veut savoir s’il a des pistes. Il répond qu’il n’a rien de concret. Elle lui demande s’il a parlé à l’homme proche du maire, soit Alonzo Quinn, qui a été blessé dans l’affaire. Il lui dit que le tireur est masqué et qu’il s’est enfui par la porte de service. Elle lui dit de le tenir au courant. Terney n’y manquera pas. Le téléphone de Joss qui sonne et c’est Harold qui lui dit qu’il est navré pour la mort de Szymanski et qu’elle a été un de ses proches amis. Joss est très touchée. Il veut savoir s’il peut faire quelque chose. Elle lui dira plus tard lorsqu’elle voit arriver Cal Beecher. Elle continue de travailler sans se soucier de lui. Il sait qu’elle ne veut plus lui parler mais pour Szymanski. Elle le coupe et lui dit qu’il n’y a plus rien à dire désormais. À moins qu’il est une information à lui révéler, comme le nom de son indic. Il insiste mais elle a été claire. Elle se lève et va vers un autre endroit du poste où elle croise Lionel qui lui demande comment ça va. Elle dit que Cal a un tuyau par rapport à l’argent sale de Szymanski. Elle prouve que ce n’est pas son argent et il se fait assassiner. Il faut qu’elle sache si Beecher est dans le coup. Lionel va voir de qu'il peut trouver. Il s'en va. |
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| Harold demande si John a établi le contact avec sa cible. Il répond par la négative. Il veut savoir s’il continue à surveiller la sienne. Harold dit qu’il sait où se trouve chacun des employés grâce à la puce intégrée dans les badges. John veut savoir s’il a pu identifier la menace. Jusqu’ici, rien d’autre que des risques liés au surmenage et à la consommation de poisson cru. Monica Jacobs est dévouée, passionnée, techniquement brillante. Il a certainement un faible pour ce numéro. Il peut reconnaître des qualités chez un être humain sans être… Il coupe car il voit Monica quitter son bureau. Pendant ce temps, John entend du bruit dans la forêt et prépare son arme. Monica regarde dans la section « recherche et développement » dans une pièce où se trouvent des ordinateurs. Elle a l’air de chercher quelque chose, ce que constate Harold qui l’a suivie. John demande de quel genre. Il ne sait pas car il n’arrive pas à voir mais on voit Monica ouvrir un ordinateur et récupérer des documents qu’elle met sur une clé USB. Harold est obligé de se cacher car un garde fait sa ronde. Un homme parle au talkie-walkie en disant que dans l’escalier de service, tout est en ordre. Monica est obligée de se baisser. Le gardien ne trouve rien d’anormal et c’est à ce moment-là que Monica s’en va des archives et qu’Harold sort de sa cachette. Il ne comprend pas pourquoi Jacobs, qui occupe de hautes fonctions dans l’entreprise, se glisse-t-elle en douce dans la salle des archives pour y télécharger des données ? John sait qu’Harold apprécie cette femme. Mais s’il a appris quelque chose à la CIA, c’est que l’espion le plus efficace est celui qu’il n’aurait jamais soupçonné. Une confiance aveugle. Harold demande John mais il dit qu’il le rappellera car Sameen est juste derrière lui. Il met les mains en l’air et elle prend son arme alors qu’elle pointe la sienne vers lui. Il se retourne. La Machine les reconnaît car Sameen a un carré bleu et John un carré jaune autour d'eux. |
John pense qu’elle le trouverait là et qu’il est venu lui rendre visite. Les filatures sont souvent ennuyeuses. C’est parce qu’elle lui a tiré dessus qu’il est venu la voir ou parce qu’elle l’a abandonné dans un cimetière. Il est très tenace, mais pas très perspicace. Elle baisse son arme. Il parle d’Evan et Marlene Cole les parents du coéquipier de Shaw récemment décédé. Le gouvernement a décrit Cole comme un ennemi de l’intérieur. Il a pensé qu’elle veuille rétablir les faits. Qu’est-ce qu’il le fait croire ? C’est ce qu’il aurait fait. Contrôle a fait tuer leur fils. Ils sont allés jusqu’à salir sa mémoire. Même la CIA ne ferait pas preuve d’autant de bassesse. Elle nettoiera toutes les preuves et lui rendrait les honneurs. Ses anciens employeurs l’ont tué car il connaissait la vérité. Rien ne les empêchera de tuer son père et sa mère également mais Shaw en est consciente. C’est pour cela qu’elle est ici et non chez eux. S’il veut prendre l’air, le faire loin de Sameen. Un jour un ami lui a dit que, dans ce métier, on travaille dans l’ombre. Mais ça ne veut pas dire qu'il faille rester seul. |
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| Harold voit le clavier d’une employée recouvert de café et constate que ce n’est évidemment pas un virus mais le mochachino. Il regarde vers le bureau de Monica et vers Jerome. Il remarque qu’elle s’en va et que Jerome est en train de discuter. Il prend un ordinateur portable et va vers le bureau de Monica pour récupérer la clé et voir ce qu’elle contient. Mais il en est empêché par Jerome qui arrive au même moment et prétexte un souci de sécurité sur le poste informatique et met la mise à jour. Cela a déjà été fait il y a huit jours mais d’autres menaces sont apparues sur le réseau dont il faut se prémunir. Et qu’elles sont ces menaces précisément ? Il s’agit d’un rootkit en mode noyau qui s’attaque aux via des applets infectés, inutile que d’expliquer les conséquences désastreuses pour l’entreprise s’il n’installe pas très vite la mise à jour. Il dit que c'est fait et il s'en va avec l'ordinateur. |
Lionel arrive dans les toilettes et engage la conversation avec Cal. Il lui demande à quoi il joue et il répond que le distributeur est vide. Lionel parle de l’indic qui lui a donné le tuyau sur l’argent sale de Szymanski. Ce sont des billets marqués, les fédéraux les ayant placé dans une bodega appartenant à Elias. Et alors ? Les stups ont fait une descente mais aucune trace des billets. Le fric a été volé soit par les hommes d’Elias, soit par des flics véreux. Dans tous les cas, ça craint. Cal se tourne et lui demande s’il insinue qu’il est mêlé à ça. Lionel veut juste dire que Szymanski a été piégé. Et son silence l’incite à croire qu’il y est mêlé. Il sourit et lui dit qu’il a des copains là où a travaillé Lionel avant d’être muté. Il a entendu parler de son équipe, deux en prison, un porté disparu et il ose de le traiter de ripou. Lionel veut que les choses soient claire, il doit rester à l’écart de Carter, sinon… Ils se regardent et Terney arrive demandant ce qu’il se passe et Lionel dit bonne question et s’en va. |
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| Monica imprime des documents sur Justin Lee, l’homme assassiné, mais Jerome, son assistant, veut le faire mais elle s’en charge. Elle met les documents dans une enveloppe, Harold espionne la conversation en faisant semblant de téléphoner. Jerome demande s’il va lui chercher à déjeuner. Elle refuse car elle a un rendez-vous non inscrit sur l’agenda, rendez-vous de dernière minute. |
Harold demande où se trouve John qui est en route. Ce dernier demande s’il en sait plus sur le numéro. Monica Jacobs est sur le point de livrer des données confidentielles. Ross Haskell arrive près de Monica et Harold a peut-être tort. Qu’est-ce qu’il y a de si urgent pour qu’il doit annuler son déjeuner ? C’est Justin Lee, un des ingénieurs de son service, qui est mort dans un accident, il y a un peu plus de huit jours, c’est très triste. Monica a découvert quelque chose d’inquiétant. Elle a fait envoyer des fleurs à ses parents mais le fleuriste a dit qu’il n’y a personne à cette adresse. Les gens bougent, changent d’adresse. Elle a vérifié, les parents n’ont jamais vécu à l’adresse indiquée. Et ce n’est pas tout, tout ce qui se rapport à Lee est faux, ses coordonnées, ses références professionnelles. Elle croit qu’il a fait de l’espionnage. Mais pour le compte de qui ? Sûrement l’un de leurs concurrents. C’est pour ça qu’elle n’a pas voulu lui en parler au bureau. Et surtout, il y a tout ce qui se trouve sur la clé USB dont elle s’est servie la veille. Elle a trouvé l’ordinateur de Lee. Elle a copié les fichiers dont plusieurs emails cryptés envoyés le jour avant la mort de Lee. Elle n’a pas réussi à les ouvrir. Ross demande à qui elle en a parlé. Elle répond rien qu’à lui, vu qu’il a travaillé dans son service, elle a voulu le prévenir et a bien fait. Il va étudier la question. Ils en parleront ensemble au patron et la remercie. Harold veut voir ce qu’il y a dans cette clé, donc il doit entrer dans le bureau de Monica. John a une meilleure idée, il bouscule Ross et récupère la clé puis la donne à Harold qui se trouve sur un banc, dont John est ravi de le retrouver. |
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| Dans un autre endroit de la ville, Cal rencontre son parrain Alonzo Quinn. Il demande des nouvelles de son épaule et Alonzo dit que ça s’améliore de jour en jour. Il paraît préoccuper au téléphone et c’est le cas car des questions ont été soulevées à propos de l’enquête sur Szymanski. Comme le tuyau qu’on lui a donné sur les billets marqués. Et il a répondu rien du tout. Alonzo ne veut pas que son nom apparaisse alors Cal n’a rien dit. Mais il se pose pas mal de questions. D’où vient le tuyau ? D’une source fiable. Pourquoi est-ce si important ? Il en va de la réputation d’un collègue décédé, c’est important. Avec la fonction qu’il exerce, on lui soumet constamment des informations et ce qui poussent les gens à venir le voir, c’est qu’avec lui, leurs secrets seront bien gardés. Cal semble hésiter alors Alonzo lui dit la vérité. Que c’est un des hommes d’Elias qui a donné l’information. Les temps sont durs pour eux depuis qu’il est en prison. Cet homme-là en a eu assez de voir Szymanski s’enrichir alors qu’il raclait les fonds de tiroir. Maintenant, il aurait pu donner cette information à n’importe qui mais il veut que son filleul soit félicité pour ça. Il imagine que celui qui l’a questionné aimerait être à sa place. Il ne faut pas se laisser intimider, c’est clair ? Il lui dit que ça l’ai et il le remercie. Ils serrent dans les bras. Simmons arrive près d’Alonzo et lui demande s’il risque d’être un problème. Il espère que non. |
John dit que Monica n’a pas fait d’espionnage. Elle traque un espion. La menace peut venir des gens qui ont employé Lee comme espion. Le lieutenant Carter va se renseigner sur sa mort. Harold remarque que le téléphone de Monica se synchronise et que ce n’est pas elle qui le fait. Alors qui peut bien le faire ? Bonne question. Quelqu’un ajoute des contacts, des rendez-vous, des coups de fil qu’elle n’a jamais passés, quelque chose n’est pas normal. Monica va à son bureau et constate que quelqu’un range ses affaires dans un carton. Elle ne doit pas y entrer. Elle demande ce qu’il se passe et c’est la question que se pose Martin Baxter, le PDG. Mais s’il en croit ce qu’il voit, la réponse est claire. La sécurité a trouvé des travaux confidentiels et des documents sur son ordinateur. Monica dit à Ross qu’elle lui a dit que ces documents viennent de Lee. Ces documents sont en pièces jointes d’email qu’elle s’apprêtait à envoyer à leurs principaux concurrents. Appels, rendez-vous, elle a eu des contacts partout et avec n’importe qui. Ross en conclue que le véritable espion c’est elle. Il ne peut pas dire ça car Jerome, son assistant, connaît son emploi du temps. Il est gêné et dit qu’il aurait dû prévenir Ross. Elle est étrange depuis quelque temps, elle gère son agenda, a des rendez-vous privés. Il ne sait pas quoi dire et elle tente de se justifier mais n’obtient pas gain de cause. Elle doit suivre les agents de sécurité et elle comprend qu’il la met à la porte. Avec effet immédiat, assorti de poursuites judiciaires. Elle dit qu’elle a travaillé pour eux pendant dix ans. Elle pourra donc s’offrir un bon avocat. Un agent de la sécurité la raccompagne et elle tente de pouvoir s’expliquer. Harold annonce à John qu’elle vient tout juste d’être renvoyée de Rylatech. Quelqu’un tente de la réduire au silence et même de façon permanente. |
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| Harold demande des nouvelles de Monica Jacobs. Elle est en train d’attendre quelqu’un devant le bâtiment de Rylatech. Il pense qu’elle digère mal son licenciement. Harold a examiné tous les documents trouvés par Monica sur l’espion potentiel, Justin Lee. Elle a eu raison. Il a opéré sous une couverture remarquablement discrète et efficace. Comme son diplôme du MIT par exemple, avec un cachet très légèrement obsolète. Son acte de naissance dans le New Jersey, son dossier médical. Ceux qui ont mis ça au point, ce sont des pros. C’est pour cela qu’ils ont pu l’incriminer aussi vite lorsqu’elle a flairé quelque chose. Reste à savoir qui tire les ficelles. Si Harold peut décrypter les e-mails, ils en sauraient peut-être plus. Monica se cache et se met à suivre Jerome qui vient de sortir de Rylatech. Il lit un journal. |
Dans une pièce de la prison, Cal est venu voir Carl pour parler de l’affaire Szymanski. Il ne veut pas jouer avec lui. Cela tombe bien car Carl a déjà un joueur aussi doué que lui et il nuit à sa concentration. Dans ce cas, il sera bref. Pendant ce temps, Lionel est en train d’écouter la conversation. Il demande si Szymanski a roulé pour Carl, qui lui dit qu’il n’a pas choisi la meilleure des tactiques. Tout ce qu’il veut, c’est des réponses. Qu’il commence par les bonnes questions. À qui profitent l’arrestation et le meurtre de Szymanski ? Qui a pu mettre au point de tels actes sans éveiller les soupçons ? Et qui est au centre de toutes ces ficelles ? Il met le doigt sur le roi. Quelqu’un manipule dans l’ombre. Carl croit que Cal sait quelque chose sans être conscient, ce qui veut dire qu’il joue aux échecs contre lui-même sans s’en rendre compte. Cal demande si Carl a offert de l’argent à Szymanski. Ce qui est le cas mais Szymanski l’a jeté à la figure, il est honnête. Cal est manipulé par la DRH. Il est ravi de l’avoir rencontré. Il lui donne un conseil : de bien choisir son prochain coup s’il veut avoir une chance. Carl s’en va laissant Cal en train de réfléchir. |
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| Harold demande des nouvelles de l’enquête sur Justin Lee. Joss dit que c’est la raison de son appel. Sa Berline est équipée d’une boîte noire qui n’a enregistré aucun impact avec un autre véhicule. Pas de défaillance du côté des freins ou de l’ordinateur de bord. Un simple accident apparemment. Elle a cherché à avoir des empreintes de Lee pour voir si elles sont dans leur fichier. Mais ça n’a rien donné car le corps a disparu, donc pas d’empreintes. Harold est surpris. Elle a mis trois quarts d’heure pour fouiller la morgue. Quelqu’un y est allé, a récupéré le corps de Lee et a disparu sans laisser de traces. Harold réfléchi. |
Alonzo Quinn présume à Simmons qu’il n’est pas porteur de bonnes nouvelles. Cal tente de chercher la vérité. Un des hommes de la DRH l’a vu à Rykers avec Elias. La discussion avec Alonzo n’a sans doute pas suffi. C’est bien dommage. Peut-être qu’une promotion loin de New York puisse se faire. Un bon petit travail de bureau. Alonzo l’a prévenu des dangers du métier de policier. Simmons comprend qu’il doit se débarrasser de Cal. Ils s’en vont chacun dans leur direction. |
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| Jerome est en train de parler en chinois en disant que comme Monica a été virée, leur opération n’est plus en danger. Mais elle vient par derrière. Il lui demande ce qu’elle fait ici. Elle cherche à savoir ce qu’il s’est passé la veille, pourquoi il a dit ces choses. Il en conclu qu’elle l’a suivi, il demande de la lâcher. Elle ne veut pas tant qu’il ne lui aura pas répondu. Il la bouscule et lui dit qu’il n’est plus obligé de lui répondre. John intervient et le plaque contre la voiture. Il doit être gentil et il faut répondre à la dame mais pas en mandarin. Jerome lui dit qu’ils perdent leur temps, ils sont trop nombreux. Un sniper se trouvant sur le toit d’en face se met à tirer sur eux et ils doivent se protéger. Il touche Jerome. Monica demande qu’il est et comme ils sont toujours sous les feux de l’ennemi, lui dit qu’il est une cible facile. Il tire sur le sniper et s’engouffre dans la voiture. Ils tentent de se protéger et John veut faire démarrer la voiture. Harold lui parle des emails de Lee. Il s’agit de messages, des rapports adressés à son père, à un fonctionnaire du parti communiste chinois. Où il veut en venir ? Lee n’a pas espionné pour une entreprise, c’est pour son pays qu’il a détourné des données. Ils sont désormais en conflit avec la République populaire de Chine. Monica demande où est-ce que John l’emmène. Il lui dit dans un endroit sûr. Harold conseille à John de l’emmener dans leur nouveau refuge. Il quitte sa position. Harold lui dit qu’il va le rejoindre dès que… il termine pas sa phrase car Sameen est arrivée dans la bibliothèque. Elle lui dit que ce n’est pas agréable de se sentir traqué. |
Harold demande pourquoi elle est là. Elle lui dit qu’il a voulu qu’elle le trouve. Sinon, il ne lui aurait pas laissé son numéro de téléphone. Elle se met à caresser Balou qui retourne à sa place en gémissant. Il a pensé qu’elle se contenterait d’appeler. Une visite, ce n’est pas plus mal en fin de compte. Elle regarde tous les documents qui se trouvent sur la vitre. Son offre tient toujours. Elle lui demande si elle a besoin d’un hobby et qu’est-ce que ça pourrait être. Traîner dans une ancienne bibliothèque avec son chien de garde antipathique, à savoir John et Balou. C’est moins reluisant que de sauver le monde, il lui accorde mais ils ont de bons moments malgré tout. C’est quoi son but ? C’est ça son hobby ? Diriger un centre d’hébergement pour assassins à la retraite ? Il déteste que le talent soit gâché. C’est une attitude dangereusement candide. Il peut l’assurer, c’est la première à ne lui avoir jamais dit ça. Il voit qu’elle ne porte pas d’arme. Elle met l’article sur Michael Cole sur le bureau. Son titre est : « le suspect de la milice lié à la CIA ». C’est un article intéressant. Une histoire d’un agent de la CIA tombé pour le service de la patrie au cours d’une mission secrète. Il aurait découvert un complot terroriste de l’intérieur. La CIA se refuse bien sûr à tout commentaire mais le journaliste a reçu des documents confidentiels. Des fuites provenant de Langley. Harold a lu cette histoire, que c’est triste. Il semble que cet homme soit mort en héros. Shaw lui dit qu’ils savent tous les deux que Cole n’a pas travaillé pour la CIA. Donc, elle en est venue à la théorie que quelqu’un a réussi à pirater une des agences de renseignements les plus puissantes du monde, et créé de toutes pièces un employé qui jusqu’à la veille, n’a eu aucune existence. Tout ça lui semble un peu tirer par les cheveux. Elle ne dit rien mais voit la photo de Root. Elle dit que c’est sa copine et que la conversation a été écourtée. C’est dommage car elles semblent avoir des points communs. Elle qu’il parle d’elle. Ses relations avec elle sont plutôt compliquées. Qu’est-ce qu’elle veut savoir ? Elle prend un bout de papier accroché sur le tableau et lui dit qu’elle a trouvé un hobby. Elle s’en va en caressant Balou. Ce dernier se fait rouspéter par Harold. |
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| Monica dit que Lee a été espion pour la Chine. Elle a peut-être une idée sur ce qui pousse la Chine à s’intéresser à Rylatech. Ils ont des brevets d’invention qui les placent à la pointe de l’industrie. C’est peut-être ça qu’ils veulent les voler ? Ou bien les saboter. Lee a pu modifier le fruit de ses recherches pour que ça ne fonctionne plus. Et Jerome ? Il est sans doute là pour la surveiller. Il a été son assistant pendant plus de deux ans et maintenant il est mort. Ils vont faire en sorte de la protéger. Mais qui « ils ». Harold entre dans la pièce et elle le voit, surprise. Il a voulu venir plus tôt mais une de leur connaissance est arrivée à l’improviste pour dire à quel elle a apprécié sa conversation avec John l’autre soir. Monica conclu que Harold n’est pas du service informatique. Pas au sens conventionnel. Peut-être qu’il faut laisser cette question de côté et s’intéresser à celui ou ceux qui cherchent à la tuer. Il est persuadé que monsieur Lee a eu d’autres complices que son assistant, pour placer quelqu’un dans un service aussi sécurisé que le recherche et le développement, il fallait l’appui d’un dirigeant, un chef de service. C’est Ross qui le dirige, c’est le seul à qui elle a parlé de Lee. Il faut prévenir la police, le FBI. C’est ce qu’ils attendent d’elle. Pendant qu’elle sera interrogée, ses adversaires auront le champ libre pour détruire les preuves qui peuvent peser contre eux ou la disculper. Sauf s’ils s’en emparent avant eux. Il se met à la table et tente d’entrer dans la base de données de Rylatech mais échoue. Elle demande s’il a essayé l’interface web. C’est le cas mais il bute sur les paramètres ou sur le portmapper RPC. Elle demande sa permission et il accepte. Elle dit que l’interface, cela a été un de ses bébés. Elle a conçu une nouvelle interface, désactivé le portmapper. Harold propose authentification secondaire. Mise en place pour les accès FTP et SMNP. John se sent un peu seul. Elle a tout fait pour que ce soit impossible de pirater l’entreprise et la voilà transformer en pirate. Dix ans de sa vie, ses nuits, ses week-ends. Combien d’offres a-t-elle refusé ? Une loyauté est rare de nos jours. La vérité, c’est qu’elle n’a pas voulu travailler ailleurs. Ces gens ne sont pas seulement ses collègues, c’est aussi une famille. Maintenant, ils croient qu’elle les a trahis. Le regard que le PDG lui a lancé. Harold lui dit qu’elle n’a pas encore dit son dernier mot, pas encore. S’il arrive à franchir ce pare-feu, ils devraient pouvoir trouver le réseau caché que la bande d’espions utilisent. L’ordinateur se met à brouiller et ils sont piratés. Ils ont réussi à craqué le mot de passe protégeant la batterie du portable et détourné le disque dur. Harold et Monica doivent se reculer car le portable se met à brûler. John demande ce qu’il se passe et Harold dit qu’ils ont désactivé le microcontrôleur qui régule la charge de la batterie. Les espions ont sûrement le contrôle du réseau. Et maintenant ? Si Harold n’arrive pas à franchir le pare-feu, il ne sait pas. Il faudrait se passer de l’ordinateur pour accéder directement au serveur. Mais ça implique de retourner dans les locaux de Rylatech. Ils n’ont qu’à la suivre mais ce serait trop risqué, vu que les employés connaissent son visage. Harold demande si elle a toujours le badge électronique. C’est le cas mais il est désactivé. Et puis le mouchard indiquerait sa position aux agents de sécurité. Harold en est conscient. |
Des agents de sécurité connaissent la position de Monica Jacobs et vont la rejoindre. Ils tombent sur Balou qui se met à grogner. Harold lui demande en néerlandais de courir pour faire fuir les trois hommes qui se cachent dans une pièce. Balou tente de les rattraper, sans succès, il se trouve coincé devant la porte. Harold dit à John que la voie est libre et qu’ils doivent le prévenir quand ils seront à la salle des serveurs. Ils y sont et Harold demande un serveur de catalogue global. Monica donne la position du serveur. Il pose un émetteur sur un serveur. Harold doit avoir accès au serveur. Il est connecté et tente de trouver ce qu’il y a dans les serveurs. John, regardant vers les employés, demande comment ça se présente. Il détecte un volume très important hautement crypté utilisant une quantité suspecte de bande passante. Il faut qu’il se dépêche. Harold fait aussi vite que possible et il trouve quelque chose d’intéressant et John veut savoir quoi mais il n’en dit pas plus. Il a situé les utilisateurs mêlés à ces échanges cryptés, c’est-à-dire les espions. Il semble qu’ils ont largement sous-estimé l’ampleur de l’opération. Ça concerne plus de la moitié des cadres supérieurs de l’entreprise et tous les services. Les fichiers piratés et détournés proviennent apparemment tous d’un nombre incalculable de réseaux appartenant ou étant lié au gouvernement. Banques, armées, ce genre d’institutions. Des clients de Rylatech. Mais comment… Monica réfléchi et trouve la solution. Leurs routeurs et leur Switch. Ils les ont modifiés. Ils ont installé des accès dérobés. Ces espions ne visent pas Rylatech. Ils se servent de leur technologie pour espionner le pays tout entier. Monica demande qui sont ces gens en regardant tous les documents. Harold les prévient que leur manœuvre d’espionnage a été repéré et qu’ils doivent quitter les lieux. John est d’accord en voyant les personnes venir vers eux avec une arme à la main. Ils essaient de quitter les lieux mais des hommes commencent à leur tirer dessus. John riposte et Monica tente de se protéger. Il s’attaque à un autre homme présent tandis que Monica a peur. Ils se battent tandis qu’un troisième homme arrive et tire. John se sert de son agresseur comme bouclier humain avant de riposter sur l’homme. Harold demande si ça va. Pas trop mal mais ils ont des hommes à eux à l’intérieur du bâtiment. Ils communiquent via un réseau interne de SMS. Ils reçoivent les messages d’un seul endroit : le bureau de Ross Haskell. Monica montre l’endroit et Harold le prévient que Ross n’est pas sur la liste, ce n’est pas l’un des espions. John retourne le siège et voit Haskell avec du sang sur la tempe, mort d’une balle dans la tête. Monica est choquée alors que Baxter se trouve derrière John et demande de jeter son arme, ce qu’il fait et il se retourne vers lui. |
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| Monica semble triste d’apprendre que Martin est derrière tout ça. Ça l’étonne peut-être mais c’est pire que ça. Il est un meurtrier. Un traître vendu à la Chine. Il n’a fait que protéger ce qu’il a passé sa vie à construire. Comment il a pu faire ça. Il dit règle économique de base. Quand les bulles informatiques ont déferlé, ils ont failli couler. L’entreprise n’a valu qu’une bouchée de pain. Mais une opportunité s’est présentée. L’occasion de sauver l’entreprise en vendant son pays. Baxter demande qui est John. Peu importe, il a raison. C’est un fou, le monde a changé. Il n’y a plus de place pour des valeurs aussi dépassées que le patriotisme dans ce monde. Pour gérer une entreprise comme la leur, il faut toujours aller de l’avant, se tourner vers le futur. Parce qu’il faut se préparer pour la phase suivante. C’est quoi ? Vendre les renseignements au lieu de les protéger ? Les contrôler. Parce que celui qui contrôle l’information, contrôle aussi l’avenir. Qu’est-ce qu’il fait des grands principes que l’entreprise défend. Du rêve américain devenu réalité. Les gens aiment les histoires. Monica y a cru. Bien entendu, c’est pourquoi elle a été si compétente. Et c’est aussi pourquoi il n’a jamais pu lui dire la vérité. À Ross non plus. Une des malheureuses victimes d’une ancienne collègue récemment licenciée qui est entrée par effraction et l’a tué avant de retourner l’arme contre elle-même. Harold a alerté les autorités et envoyé les preuves au FBI. Le plan ne marchera pas, le FBI est en chemin. Le téléphone de Baxter se met à sonner et c’est John Greer qui l’appelle. Il parle d’un accord conclu entre eux. Le moment est venu et qu’ils subviendront aux besoins de sa famille. Il comprend et retourne l’arme contre lui, sous les yeux effrayés de Monica qui se cache. Harold demande ce qu’il se passe et John lui dit que tout va bien. Tout le monde est parti et John appelle Balou qui vient en courant. Harold reçoit un coup de téléphone d’une cabine publique. |
Joss demande s’ils n’auraient pas pu voir ça dans leur bureau mais pour ce qu’a à dire Lionel, non. Il lui fait un écouter un enregistrement de la conversation entre Cal et Elias. Beecher cherche à savoir qui a piégé Szymanski, il n’est pas dans le coup. Elle veut confier cet enregistrement aux affaires internes mais ce n’est pas une preuve légale, elle le sait. Elle sait que Cal est réglo, alors pour le reste, faire une croix dessus. Une croix dessus ? Elle demande s’il sait qui a tuyauté Cal. Il faut le lui demander. Mais attention, Beecher est peut-être en terrain miné, alors à sa place, il éviterait de le suivre. Il quitte la pièce. |
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| Cal attend dans sa voiture pour pister un dealer. Il ira au bon moment. Un homme à côté de lui parle du dealer et qu’il ne parlera que s’il voit qu’il a de quoi payer. Dès que l’affaire sera conclue, il lui passera les menottes, il lui donne une liasse de billets et lui dit qu’il en gardera la moitié. L’homme s’en va et Cal reçoit un appel de Joss Carter. Elle a peur de le déranger mais il est sur une affaire. Dès qu’il aura fini, elle lui payera un coup. Il faut qu’ils discutent et il est d’accord. Il est sur Washington Heigts mais il peut passer la chercher après. Elle l’attendra là-bas. Une discussion s’est engagée entre l’homme et le dealer. Ce dernier prend l’argent et s’enfuit. Ils courent dans une ruelle et Cal part à leur poursuite. Les deux hommes entrent dans le bâtiment. Cal les suit et entre dans le bâtiment. Il parcourt des couloirs jusqu’à arriver à des escaliers. L’homme s’est caché et se montre. Cal demande ce qu’il fait. Un homme dit qu’il faut le laisser partir. Il pose la question de savoir à qui il parle et deux hommes se mettent à lui tirer dessus et il se cache derrière l’escalier. Il appelle des renforts. Il se met à tirer vers les deux hommes qui répliquent. Pendant ce temps, Joss reçoit un appel d’Harold, qui lui dit qu’il faut prévenir le lieutenant Beecher de toute urgence. Est-ce qu’il est là ? Non et elle demande pourquoi. C’est à ce moment-là que Lionel l’informe qu’il y a un policier en détresse à Washington Heights et c’est Cal. Elle se rend sur les lieux alors qu’il y a déjà des voitures de police. Elle entre dans un couloir et voit un homme au sol. Elle s’avance et découvre Cal couché sur des escaliers. John et Harold comprennent qu’il est trop tard. Lionel la fait sortir. |
Les journalistes évoquent l’effroyable découverte à la société Rylatech lorsque la police a trouvé les corps de Martin Baxter et de Ross Haskell. Suite aux rumeurs d’espionnage, l’action a chuté. En même temps, les produits de Rylatech et des sites gouvernementaux sont remplacés. L'enquête suit son cours. | |
| Pendant qu’ils ont lutté contre l’espionnage industriel, de mauvaises choses se sont passées dans leur entourage. Il évoque la mort de Cal dont un article se trouve dans le journal. Elias semble piégé dans un jeu qui devient de plus en plus dangereux. Il voit Monica et demande si ça va. Pas trop mal. Pour une femme qui voit l’entreprise à laquelle elle s’est dévouée pendant dix ans faire l’objet d’une enquête fédérale. Elle lui demande de l’appeler Monica car ils ont joué aux pirates ensemble. Qu’est-ce qu’elle va faire maintenant ? Elle a quelques propositions d’embauche mais celle qui l’intrigue le plus, vient d’une entreprise appelée IFT. Harold semble connaître son nom. Ils font des choses intéressantes dans l’architecture CPU, c’est pile ce qui lui fallait. Il lui souhaite plein de bonnes choses. Qu’elle prenne soin d’elle et à lui aussi. Elle s’en va. John lui dit qu’il va lui manquer. S’il a le temps, oui. Il veut désormais parler de quelque chose. La nuit de l’effraction chez Rylatech, il a reconnu quelques une des méthodes de chiffrements utilisés par les espions. Elles avaient une signature similaire au fameux virus implanté par Stanton. Il a réussi à déchiffrer le code du virus et il a appris deux choses. John est tout ouïe. Harold dit que la première chose, c’est qu’une partie des données volées est parvenue au gouvernement chinois. Il présume que c’est celle-ci qui a donné l’ordre final à Baxter de se suicider. Il a tenté d’en savoir plus mais il n’a trouvé qu’un seul nom : Decima Technologies. Et la deuxième chose ? Qui que ce soit Decima, il est persuadé que ce virus a été créé pour trouver et infecter une seule et unique cible : la Machine. Greer parle à quelqu’un qu’ils ont dû quitter précipitamment les locaux de Rylatech. Comme prévu, le pays se focalise sur l’implication de la Chine et non sur eux. Il a juste une préoccupation. La brèche ouverte sur le réseau crypté semble bien être l’œuvre d’un seul et unique individu. Il fera tout ce qui est en son pouvoir pour déterminer son identité et le rendre bien sûr non pertinent. L’objectif final est bien entendu toujours au programme. Il regarde son téléphone et il montre un compte à rebours de près de 541 heures avant la fin. |
_________________ "Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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