carine79 Control
Série préférée : Lucifer
| Sujet: Résumé détaillé - 2X22 - Crédit : carine79 Dim 25 Oct - 9:04 | |
| 2010 - Jour 3191 Harold arrive à la bibliothèque en béquille et s’approche de son poste de travail. Il parle à la Machine en lui disant qu’elle le sait. | |
John continue de regarder la position où se trouve Harold. Sameen demande à qui il peut bien parler, à une bonne fée. Le groupe qui lui fournit les renseignements, elle l’appelle Research, pour son ex-patron, c’est Aurores Boréales. Ils ont dit à Shaw que les gens n’existent pas. Ce n’est pas tout à fait vrai, disons qu’au lieu d’être un groupe, c’est une chose, une Machine. Une intelligence artificielle. John voit les lunettes d’Harold au sol et elles sont brisées. Le traceur GPS, peut-être qu’Harold ne veut pas être retrouvé. John demande à la Machine la position d’Harold. Sameen regarde vers la caméra, ne comprenant pas. Elle voit tout et elle ne veut pas lui dire la seule chose qu’il souhaite savoir. Sameen lui dit qu’elle l’a sorti de prison mais elle le prévient, elle ne viendra pas le chercher à l’asile. Il demande une voiture. La Machine lui dit « voiture à neuf heures ». Ils y vont. |
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| Dans les locaux de la police, l’agent des affaires internes redemande à Joss le cours des événements. Ce n’est pas une histoire, c’est ce qui s’est passé, l’homme a fait irruption, il est armé et elle a ouvert le feu et elle l’a tué. Elle ne sait pas ce qu’est devenue l’arme du suspect. Ça n’arrange pas ses affaires et l’agent éteint le dictaphone. Ils reprennent dans vingt minutes. Joss hoche la tête, comprenant qu'elle s'est faite piégée. |
Donc Root veut accéder à la Machine ? Elle dit qu’elle veut la libérer. Pour ça, il faudrait déjà la trouver. Un message arrive sur son téléphone. La Machine lui dit « Attention ». Elle lui donne un numéro non pertinent qui est le 000-07-9185. John dit que cette affaire n’a rien à voir avec Finch. Il demande à Sameen de la suivre et veut savoir où est la voiture. Elle se gare et un homme en sort. Un autre message arrive. La probabilité de violence est très élevée et que c’est imminent. Ils doivent faire un détour. Quelqu’un a besoin d’aide. Ils n’essayent plus d’empêcher l’apocalypse ? Elle aime les défis, ils sont les gentils héros, ça veut dire qu'ils sont sur tous les fronts. |
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| Un homme se trouve attaché et les yeux bandés dans un hangar. Deux hommes russes parlent mais John et Sameen leur tirent dessus. Il demande à l’homme de ne pas bouger, la police va arriver, l’homme acquiesce. Sameen prend des armes et John un sac. Ils ont fini et s’en vont. Des policiers se trouvent dans la rue, Sameen et John devant trouver une solution de rechange. Il faut une voiture et une issue de secours, c’est urgent. D’après la Machine c’est derrière cette porte. Shaw espère que ce n’est pas une berline familiale. Non, mais c’est une Ferrari ce qui ravit Sameen. Elle lui redonne l’arme et John se demande pourquoi il reçoit ça. Pour lui donner une contenance pendant qu’elle sera au volant. Ils se mettent à rouler. |
2010 Dans une cellule, trois hommes s’y trouvent. Hersh, un interprète et un prisonnier arabe. Hersh veut connaître le plan. L’homme souhaite tuer des gens mais pas de chance, ils l’ont eu avant. Ça n’a plus d’importance alors autant lui parler. Il veut avoir des informations sur le ferry. | |
| 2013 Hersh et plusieurs hommes arrivent dans une pièce où se trouve le conseiller spécial, bâillonné. Hersh enlève la cravate et le conseiller spécial dit qu’ils en ont mis du temps. À quoi ça sert qu’il ait une balise GPS. Hersh enlève les liens et dit que Contrôle a estimé que le problème Decima est prioritaire. En plus, ils ont une situation à régler avec des agents déloyaux comme son ancienne assistante de direction, c’est-à-dire Root. Ils redoutent que le projet Aurores Boréales soit compromis. Il montre la photo de Root et dit qu’il se pourrait qu’elle ait accès à tout. C’est une très mauvaise nouvelle. Ils vont à Contingence n° 1. Pas de téléphone et éviter toutes les caméras. Hersh casse son téléphone en deux. La Machine a perdu le signal et elle recherche son administrateur. |
Root et Harold se trouvent dans un parc. Elle dit que la Machine la renseigne sur tout le monde, sur leurs secrets. Elle commence à comprendre pourquoi il a une mauvaise opinion de l’espèce humaine. Un vélo passe devant eux et elle dit de faire attention. Quelle impolitesse. C’est la première fois qu’elle voit clair et lui, il est aveugle. Elle demande à la Machine des lunettes pour Harold. Elle sait sûrement quels verres lui conviennent. La Machine dit « lunettes à trois heures ». Root prend des lunettes dans un sac et les mets sur le nez d’Harold. Ça lui va ? Il ne sait pas où ils vont. Il le sait, ils vont rejoindre la Machine. |
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| Joss attend toujours dans la salle d’interrogatoire. Terney vient avec une tasse dans la main qu’il lui donne. Il lui demande si elle tient le coup. Il la réconforte. Il a fait sa déposition et c’est tout ce qu’il peut faire, l’arme n’a pas été retrouvée. Elle devrait contacter son délégué syndical. Elle ne veut pas. Elle sait qui a récupéré l’arme. Elle a reconnu un des flics en uniforme sur la scène du crime. Ils l’ont interrogé sur l’affaire de la DRH mais ils ne l’ont pas gardé. Elle va envoyer Lionel bavardé un peu avec lui. Terney lui dit que c’est toujours le même problème avec elle. Elle n’a jamais su se tenir à carreau et fermer sa grande gueule. Elle a toujours été sympa avec lui, entre eux, tuer des femmes il n’aime pas ça. Mais si elle continue de creuser, ils la mettront au fond du trou comme son petit ami. Et si elle entraîne son ordure de coéquipier, ils lui passeront la corde autour du cou à lui aussi. Et peut-être même à son fils. Alors, qui est-ce qui va bien être gentille pour une fois ? Attendre sagement que les choses se tassent. Elle accepte. Et bien voilà. Son téléphone se met à sonner et Joss écoute la conversation avec l’appairage de son téléphone. Il discute avec son patron pour lui dire qu’elle ne posera plus de problèmes. Maintenant, il faut supprimer le bras droit d’Elias et ils pourront enfin s’occuper de lui. Il fait jouer certaines relations. Transfert de prison le soir même. Elle semble trouver une solution pour protéger Carl. |
À la bibliothèque, Sameen demande où est Balou. Provisoirement chez un certain Leon. Elle l’aime bien le chien ? Sans lui, elle serait partie depuis longtemps. Qu’est-ce qu’ils font là ? D’après la Machine, c’est là qu’ils trouveront la réponse. C’est quoi la question ? Où se trouve la Machine ? Elle ne peut pas leur dire ? Harold l’a programmée pour qu’elle ne le fasse pas, par précaution. Sans vouloir le vexer, peut-être qu’Harold veut garder le contrôle de la Machine pour lui tout seul. Si Harold a quelque chose à voir avec le virus, John est sûr qu’il a ses raisons. Le bon côté des choses, c’est que la Machine ne dira pas à Root où elle se trouve. La prochaine que Sameen voit cette femme, elle l’a vise en plein cœur et elle la descend. Il reçoit un message de la Machine « Ghost Alpha Kilo ». C’est quoi ? Un livre. Il attrape le livre « le fantôme dans la machine ». Il le feuillette et voit une image d’Harold avec Nathan. « Au tout début ». Il a travaillé avec Harold ? Ils ont créé la Machine ensemble. Sameen voit qu’il y a quelque chose derrière l’étagère. Ils bougent les livres, prennent une partie de l’étagère et ouvrent la porte où se trouve un coffre-fort. Une idée de la combinaison ? Il reçoit un nouveau message disant « 24 02 05 ». Ils ouvrent le coffre et John récupère des photographies. Qui sont ces gens ? Il n’en sait rien. Des gens qu’ils ont aidés, des personnes qu’ils ont… Il coupe la phrase car il voit la photo de Jessica. Il l’a connaît ? Oui. Quelqu’un de proche ? Elle est en vie ? Non. Ils récupèrent une carte des États-Unis. Ce n’est pas l’écriture d’Harold. Ingram a dû vouloir retrouver la Machine aussi après qu’ils l’ont donnée au gouvernement. Yucca Mountain, Nevada, Hanford, Washington, Commanche Peak, Texas. Il a limité ses recherches à ces trois endroits. Il sait ce qu’ils ont en commun ? Ils sont tous des sites de haute sécurité. Pour le stockage de combustibles nucléaires. Quand Root l’a torturée, elle lui a posée des questions sur un certain Daniel Aquino, ingénieur en nucléaire. Il doit avoir un lien avec le site où la Machine est entreposée. Qu’est-ce que Root veut savoir ? Le nom de celui qui a engagé cet ingénieur. Et comment est-ce qu'il s'appelle ? |
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| Lawrence Szilard. Root et Harold s’approche de l’homme et elle lui dit que ça fait si longtemps qu’elle rêve de le rencontrer. Elle a des questions à lui poser. Lawrence ne comprend pas et Harold semble pas très à l'aise. |
2010 Harold arrive dans la bibliothèque alors que Nathan semble ranger des photos sur un tableau. Qu’est-ce que veut Harold ? Nathan n’est pas venu au bureau depuis plusieurs jours, il ne répond pas à ses appels. Il démissionne. Harold sait qu’il a cherché après la Machine et que s’il essaie de la retrouver pour accéder aux numéros non pertinents. Ça ne marchera pas, il le sait, Harold l’a verrouillée et Nathan n’a pas ses talents d’ingénieur mais il a un avantage sur lui, il est le visage de l’IFT et quand il invite un journaliste à discuter autour d’un café, il accepte. Qu’est-ce qu’il va faire ? Il va révéler ce qu’ils ont fait, ce qu’ils ont créé. Il ne peut pas faire ça. Nathan commence à s’énerver. Pourquoi ? Parce que le gouvernement détruira la Machine pour l’intérêt général. Il en a assez de tout ça. Ça va beaucoup plus loin que çà désormais. Il a mené son enquête, il croit que le gouvernement supprime des gens. Les ingénieurs engagés par Corwin pour remonter la Machine après son transport, il y a eu des accidents, des disparitions. Le chef du projet du nom de Lawrence Szilard a disparu le mois dernier. Il est devenu complètement parano. Alicia ne donnera jamais l’ordre de le tuer. Ça échappe peut-être à son contrôle. Ils ont donné au gouvernement le pouvoir suprême. S’ils apprennent qu’il a contacté un journaliste, ils ne prendront aucun risque. Ils le tueront ainsi que de tous ceux qui pourraient être au courant du projet. Harold n’a confiance en personne, ni en Nathan ni en la Machine Est-ce que sa fiancée sait au moins comment il s’appelle ? Harold attend le bon moment. Il espère le convaincre de ne pas faire ça. Il veut l’accès à la liste non pertinente et le faire avec lui. Imaginer vraiment tous les deux en train d’essayer de sauver ces gens un par un. Il y a en ce moment un numéro dans un ordinateur. Il sera effacé à minuit mais peut-être, peut-être qu’ils peuvent sauver une vie. Ces numéros ne regardent pas Harold, ce qu’il veut sauver Nathan. Il donne rendez-vous au ferry de Liberty Island, le lendemain à huit heures. Il est temps de donner leur version de l’histoire. Il aimera qu’il vienne. Il s'en va en laissant Harold. |
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| Root dit que c’est le moment d’avoir une conversation. Szilard demande comment elle l’a retrouvé. Disons qu’une amie l’a aidée. Qui est-elle ? Qu’est-ce qu’elle veut ? Des informations sur Aurores Boréales. Il ne voit pas ce qu’elle veut parler, il n’a rien à dire. Il s’en va mais Root le rattrape en lui montrant son portable. Sa fille Christine, il la croit en sécurité à Los Angeles, ce serait très embêtant que des gens d’Aurores Boréales la retrouve. Elle lui montre la photo de sa fille. Harold intervient en disant que c’est inutile. Il connait le début de l’histoire. Il a été engagé par une femme, Alicia Corwin. Elle a été assassinée l’an dernier. Root dit que c’est une affreuse tragédie. Tous les collègues de Szilard sur ce projet sont morts dans des circonstances suspectes au cours des vingt-quatre derniers mois. Pour autant qu’il le sache, il est le seul encore en vie. Et le seul qui puisse encore leur parler du projet Aurores Boréales. |
John dit que Lawrence Szilard est à Central Park. C’est sans doute là qu’ils trouveront Finch. Un message d’un numéro non pertinent n° 000-22-7814. Encore un autre détour ? Il reçoit combien de ces numéros par jour ? Parfois aucun mais ce jour-là s’annonce chargé. Ils y vont, montent dans la voiture et partent en trombe. Un homme pointe son arme sur des mariés. Il lui a dit qu’elle serait à lui et à personne d’autre. Le mari tente de le calmer tandis que les témoins semblent paniqués. Elle l’entend, à personne d’autre. Il se prend une balle dans l’épaule par John arrivant en voiture, l’homme s’écroule. Il leur souhaite ses félicitations. Les gens sont surpris de les voir alors qu'ils se mettent à partir. |
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| Quelqu’un a demandé à Szilard de construire une structure, un édifice officiel mais secret avec de l’énergie pour cinquante mille personnes. Quand il a entendu ça, il a dit en plaisantant : « Vous voulez une centrale nucléaire ? ». Le lendemain, on lui passe commande d’une usine de retraitements des déchets nucléaires et il a eu des ingénieurs de l’Armée pour le seconder. Ensuite, les éléments ont commencé à arriver, camoufler en matériel radioactif afin d’échapper aux contrôles. Ils doivent se contenter de mettre chacune des pièces à sa place, seulement lui, il a besoin de comprendre. Il a jeté un œil aux données. La plupart est cryptée mais ce qu’il a vu, c’est comme un aperçu. Une Machine élégante, intuitive. Pratiquement vivant. Il demande à Root que la Machine est en train de lui parler en ce moment même. La Machine dit à Root « Bougez. Maintenant. Menaces. Multiples ». Elle lui dit de venir avec eux. Ils se mettent à marcher dans le parc et Root demande où se trouve le centre nucléaire. Elle ne va pas la détruire ? Elle veut la libérer. Ça le rassure. Szilard se prend une balle dans la poitrine par un sniper. Elle tente de connaître l’information mais il est trop tard. Hersh demande au sniper de tuer la femme. Elle veut une réponse mais l’homme tire sur elle mais la rate. Harold la prend par le bras et lui dit de partir vite. Root donne une direction. Ils se dirigent vers un autre endroit du parc. Ils l’ont assassiné. C’est leur seul espoir. Comment ils vont la trouver maintenant ? La Machine lui dit qu’il y a une menace imminente. Un bruit sourd se fait entendre et Root s’apprête à tirer vers deux hommes. En parlant d’Harold, elle ne veut pas qu’ils le touchent. Elle tire faisant fuir les passants qui se mettent à crier. Elle prend Harold par le bras et s’en vont. Pendant ce temps, John et Sameen arrivent à l’endroit où se trouve le corps de Szilard. Sameen demande si c’est Root qui a fait ça. Non, c’est un coup des anciens patrons de Sameen. Elle voit une mallette de Lawrence au sol. Elle le rejoint dans une minute. John se met à courir alors que Root et Harold arrivent vers un véhicule. Elle menace deux hommes. Elle demande de rester où il est. John appelle Harold qui monte à l’intérieur du véhicule. Ça suffit, il sait où elle est, il va l’emmener. Root se met à conduire le pick-up. Shaw dit à John qu'elle pense qu'Harold a retourné sa veste. |
2010 Hersh est toujours en train d’interroger le suspect. Le ferry, qu’il parle du ferry. Qu’est-ce qu’il compte faire ? Semtex. Du plastique. Chargé dans un fourgon, garé près du ferry de Liberty Island. Quel genre de détonateur ? Lui, le détonateur, c’est lui. Attentat suicide. Hersh se relève et tire sur le traducteur qui s’écroule, puis injecte un produit dans le cou d’Asif. | |
| 2013 Sameen a trouvé un bout de papier dans la mallette de Szilard. Un ticket de bagage pour un voyage à Portland dans l’Oregon, il y a quatre ans. Portland est l’aéroport le plus proche du centre nucléaire de Hanford dans l’État de Washington. C’est là que Szilard a travaillé, c’est le site d’Aurores Boréales. Donc, Root se dirige là-bas. John et Sameen arrêtent une voiture en plein milieu de la route. Une femme s’y trouve dedans. Sameen dit qu’ils sont de la police, la femme méfiante demande ce qu’il le prouve. Shaw sort son arme et tire plusieurs fois au sol faisant fuir la femme. |
Un homme s’apprête à partir pour rejoindre un aéroport direction Saint Barth. Il ouvre sa voiture mais Root arrive et pointe son arme contre la taille de l’homme. C’est sûrement une bonne saison pour aller aux Antilles, monsieur Chandler, mais son ami et elle ont besoin de son jet pour aller à Portland. L'homme semble chercher quelque chose dans sa voiture. | |
| Joss appelle John. Il demande de ces nouvelles. Elle a connu des jours meilleurs. Peu importe. Elle croit que la DRH et le clan des Yogorov va s’en prendre à Carl le soir même. Il lui a déjà tenté de la tuer, il a kidnappé son fils. Sa sécurité n’est pas une de ses priorités. Quelqu’un a tiré sur son lieutenant le matin même. La réaction de Carl a été de placer immédiatement des gardes du corps devant la porte de l’hôpital. Il est loyal. Des sirènes de voiture se mettent en route. Joss demande si ça va. Il faut qu’il la laisse et lui dit de faire attention à elle. À lui aussi autant que possible. Il n’a qu’à dire à sa Machine de leur tirer d’affaires ou, elle montre un fusil un côté d’elle, elle le laisse régler ça à sa façon. La Machine a entendu, issue de secours. Ils continuent de rouler de plus en plus vite. « Trois cents mètres à droite ». Il n’y a pas de sortie. « Deux cents mètres à droite ». Ils sont toujours poursuivis par la police. Deux cents mètres à droite. Où ça à droite ? Il faut lui faire confiance. « À cents mètres, tournez à droite ». Ça risque d’être violent. Elle se déporte vers la droite. La voiture se prend le muret et tombe en contrebas. Trois hommes sont en train de déjeuner voient la voiture qui fait une chute et se retrouve sur le toit. Un hélicoptère se trouvant à côté. Sameen arrive à s’extraire de son siège et jette l’arme au sol. Elle la reprend alors que John en sort aussi et s’avancent vers l’hélicoptère. Ils ont besoin de leur hélicoptère. Les hommes les regardent, incrédules. |
Dans un bois, Terney amène Carl, menotté et cagoulé, est accompagné de Peter Yogorov. Il l’enlève. Carl dit que c’est à ce genre de transfert qu’il s’agit. Peter dit qu’il a entendu une histoire à son sujet. Son père a voulu se débarrasser de lui, alors, il a chargé deux de ses hommes de l’emmener faire un tour dans les bois. Est-ce qu’il y a une morale ? Oui, on récolte ce que l’on sème. Non, lui, il ne le parle pas. Il est fidèle à ce qu’il est. Comme son ami Yogorov ici présent. Il a tué son père, il le tue, ce n’est que justice mais lui, il n’est qu’un misérable traître, un vers. Ils l’ont assez entendu. Il lui remet la cagoule sur la tête. Maintenant, il doit crever. Il est sur le point de tirer lorsque deux coups de feu se font entendre. Une femme s’approche de Turney qui la supplie car il a une famille. Il se prend un coup dans le visage et s’écroule. La femme amène Carl dans sa voiture et elle monte côté chauffeur. Elle enlève sa cagoule, il s’agit tout simplement de Joss. Il enlève sa cagoule, il voit la femme devant lui. Elle, le lieutenant Carter ? Dans quel monde vit-on ? Et maintenant, on va où ? Elle ne sait pas. |
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| La Machine va de New York au centre nucléaire d’Hanford sur le site 12X. Des hommes en combinaison se trouvent dans un couloir, faisant leur travail tout en se protégeant. Une alarme se met en route alors que les caméras de vidéosurveillance sont désactivées. Panne sur l’enceinte numéro quatre. Il passe en mode de commande auxiliaire. Tout le monde évacue, tout de suite. Harold et Root sont dans un couloir et passent devant tout le monde. Les techniciens les voient passer éberlués mais ne bougent pas. Root se trouve devant la porte de la centrale nucléaire et demande le code d’accès mais le compte à rebours des vingt-quatre heures est terminé. On dirait que leur joli carrosse s’est transformé en citrouille. Peu importe, ils ont réussi. Un homme en combinaison de sécurité ouvre la porte et voit Root et Harold. Il demande ce qu’ils font ici, ils doivent partir tout de suite. Ils n’on rien à… Root le coupe en menaçant de son arme. Elle veut qu’il ouvre la porte. Elle est folle, ils vont tous mourir. Non, seulement lui. Le technicien tape un code sur le pavé numérique et la porte s’ouvre. Elle lui demande de venir, ils vont enfin rencontrer Dieu. Qu’elle ne se fasse pas d’illusions. Ils rentrent dans le sas et la porte se referme. Root ouvre l’autre porte et entre dans la pièce. Un homme les voit arriver et leur dit qu’ils n’ont rien à faire là. Il se lève et s’approche de Root mais préfère s’arrêter. Pendant ce temps, elle regarde la pièce et il n’y a plus rien. Elle est suivie par Harold. Elle demande où est-ce qu’elle est. Il est navré. Elle dit vouloir la libérer la Machine, il l’a déjà fait. Elle est sur le point de pleurer. Où est-ce qu’elle est ? Il faut lui parler. Elle se tourne vers Harold, l’air énervé. Il l’a mentie, jamais elle ne l’aurait cru, jamais elle ne l’aurai cru ça de lui. Harold semble soulager par la situation. Il l’appelle « mademoiselle Groves ». Elle s’appelle Root, est-ce que c’est claire ? Elle est sur le point de tirer sur Harold mais elle se prend une balle dans l’épaule et tombe au sol. Elle pousse un petit cri de souffrance. Il se retourne mais il s’agit de Sameen et John. Elle continue de braquer son arme vers Root et s’avance vers elle. John demande si ça va. C’est ce qu’il attend ? C'est ce qu'il espère. |
2010 Des hommes sont en train de discuter de Nathan Ingram qui est une personnalité, que ce ne sera pas facile de le faire disparaître. Il semble que la solution soit toute trouvée. Harold arrive près du ferry, un homme fait une annonce à la radio. Le prochain départ pour Liberty Island dans dix minutes. Les passagers munis d’un titre de transport sont priés… Hersh réveille Asif. Il lui dit félicitations, il va accomplir sa mission. Asif se réveille les mains attachées au volant et quand il se retourne, des bonbonnes de gaz ainsi que des barils d’essence s’y trouvent pour tout faire exploser. Hersh ouvre la porte et s’en va. Pendant que Hersh s’en va après avoir quitté Asif, Nathan attend près de la file d’attente. Il semble chercher Harold et le voit derrière les gens. Il a su qu’il viendrait. Il est temps d’affronter la tempête. Harold sourit mais une explosion se fait entendre et il bouge son cou alors que Nathan se met à crier. |
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| 2013 L’alarme continue de retentir, Harold regarde toujours devant lui alors que Sameen amène l’homme devant un mur et lui tourne la tête. Elle le menace avec son arme. S’il se retourne, il meurt. Elle rejoint Harold et John pendant que ce dernier met un bandage sur l’épaule de Root, apathique. Donc, ce n’est pas Harold qui a fait ça. Il n’aurait pas pu, il s’est interdit l’accès. La Machine a été conçue pour accepter des modifications de son programme uniquement en réponse à une attaque. Il sait que tôt ou tard quelqu’un essaierai de prendre le contrôle. Mais il ne sait pas qui. Il a donc prévu qu’en cas d’attaque, on utilise son propre code. Il a caché un virus dans un virus ? Harold acquiesce. Il a réalisé que les gens à qui Nathan et lui ont confié la Machine sont de mauvaises personnes, que la seule façon de la protéger, est de lui apprendre l’autodéfense. Il n’a pas voulu l’impliquer dans cette affaire parce qu’il a eu l’espoir que s’il doit ne jamais revenir, il continuerait à œuvrer pour leur cause. L’alarme s’éteint brusquement, ils se retournent vers la porte. Sameen n’aime pas ça. Il faut s’en aller. Harold dit qu’il faut emmener Root. S’il la laisse là, ils la tueront. Il relève Root qui semble toujours aussi apathique et lui met son manteau. Voulant partir avec John et Sameen, ils se trouvent nez-à-nez avec Hersh qui arrive avec un autre homme. Tout le monde braque son arme vers les uns et les autres. Hersh aurait dû mieux tuer Sameen. Le conseiller spécial arrive dans la pièce et constate qu’elle est vide. Il sait que c’est un problème mineur comparé à l’effroyable catastrophe qu’il constate ici mais sa trahison le surprend beaucoup. Vu la situation, elle le trouve culotté de dire ça. Qu’est-ce qu’il veut ? Il veut discuter avec leur nouvel ami. Il a toujours su qu’il y a eu quelqu’un derrière Ingram, comparable à un trou noir, invisible mais très puissant. Il faut lui dire où il a transporté la Machine. Elle est partie toute seule. Mais qui la contrôle ? Pour l’instant, elle se gère elle-même. Les numéros vont continuer à leur parvenir ? C’est la Machine qui le décidera. Si elle cesse de les fournir, leur pays sera sans défense. Non, il sera moins défendu, c’est tout. Ils savent tous les deux que le véritable enjeu va bien au-delà de la simple question de la défense du pays. Vraiment ? Son but avec cette Machine est d’aider à protéger la population, ce qu’ils font très bien d’ailleurs. Qu’il ne soit pas têtu, il faut les aider à la retrouver ou la reconstruire, leurs conditions seront les siens. Il a sa parole. C’est ce qu’il a dit à Nathan et ils l’ont tué. Il faut s’en aller. Il commence à partir avec Root que John et Sameen protège. Il se met à quitter la pièce alors que Hersh les laisse passer. Le conseiller spécial demande à Sameen si elle est sûre de choisir le bon camp. Vraiment ? Ils lui ont menti aussi. Elle se met à courir avec John qui garde son arme braquée. Ils quittent le couloir de la centrale et Root semble toujours apathique. |
2010 Dans un hôpital de fortune, Harold est sur un lit et reprend connaissance. Il voit quelqu’un utiliser une lampe torche dans les yeux de Nathan et le moniteur bipe. Il met ses mains derrière son cou et regarde une de ses mains qui se trouve ensanglantée. Il appelle Nathan en criant. Un médecin s’approche de lui. Il ne faut pas qu’il bouge, il y a eu un accident. Harold veut retrouver son ami. Elle lui demande de rester allongé calmement. Il est blessé au cou et aux lombaires. Un infirmier la demande. Le médecin lui dit de ne pas bouger, elle revient. Harold met sa main derrière son cou et tente de regarder sur sa gauche où se trouve un lit avec Nathan. Le médecin dit que c’est fini et annonce l’heure du décès. Une infirmière met le drap sur le corps de Nathan. Harold voit son meilleur ami mourir sous ses yeux. Un urgentiste déplace le lit. Un homme appelle quelqu’un pour dire que c’est réglé. Ils vont voir s’il a parlé à quelqu’un et si c’est le cas, ils s’en occupent. Il raccroche. Harold met sa main derrière son cou et arrive à se relever. Il s’assoit sur le lit, se lève difficilement et prend une canne posée sur un autre lit. Il se relève et prêt à partir, se cache derrière un paravent, sa blessure au cou continue de saigner, car sa fiancée Grace, arrive au même moment. Elle demande Harold. Elle voit tout le monde qui a dans la pièce et se dirige au milieu, Harold tente de la voir derrière le paravent. Elle crie Harold. Elle demande à un urgentiste comment elle peut trouver son fiancé qui semble pour elle être sur le ferry. Il regrette toutes les personnes qu’ils ont repêchés sont là. Deux hommes semblent guetter le moindre mouvement suspect. Si elle ne le trouve pas, les effets personnels qu’ils ont récupérés sont là. Harold continue de regarder vers Grace, sa main toujours derrière son cou. Pendant ce temps, Grace regarde dans les affaires et voit le livre que lui a offert Harold pour ses fiançailles, elle voit à l’intérieur du livre et se met à pleurer. Il semble aussi triste qu’elle, ne sachant pas comment réagir. Il se décide quand même à quitter la pièce. Dans la bibliothèque, Harold s’approche difficilement de son bureau de travail. Il pose sa canne contre son bureau. Il dit à la Machine qu’elle le sait. Il tape sur son clavier pour récupérer les données des numéros de sécurité sociale non-pertinent. Une liste s’affiche et il surligne un numéro se terminant par 1860 et accède à l’identité de Nathan Ingram. Une photo apparaît puis toutes les données disparaissent car il est près de minuit et la Machine se réinitialise à 23 heures 59 minutes. Il est minuit et tout est effacé ce qui rend triste Harold. |
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| 2013 Le conseiller spécial demande comment elle a été déplacée. Exactement, selon ses instructions, étalement sur cinq semaines, un module à la fois, pour qu’elle ne soit jamais déconnectée. Conditionnement en container pour matériel radioactif expédié où, ça il n’en sait rien et il a pensé que c’est normal. Il n’a pas cherché à les joindre pour confirmation ? Si, il l’a fait et ils ont confirmé. Le téléphone du conseiller se met à sonner, il prend l’appel. C’est une femme qui appelle. Il lui dit qu’ils vont la trouver. Une chose aussi imposante ne passera pas inaperçue. Il est sûr que… Il écoute la réponse de sa cheffe. Il passe le téléphone à Hersh. Ce dernier doit tout verrouiller. Il tire sur les deux hommes qui se trouvent dans la pièce et est sur le point de tuer le conseiller spécial, qui lui dit qu’il doit faire ce qu’il a à faire. Il lui tire dessus et il s'écroule. |
Dans la rue, John demande à Harold s’ils recevront un jour un nouveau numéro. Il ne sait pas. Quoi qu’il en soit, il lui doit une explication et des excuses. Il y a trois ans, quand il a mis au point le code pour libérer la Machine, il n’a eu aucune idée de la tournure que prendraient les choses ou des conséquences inattendues que ça pourrait avoir. Il n’a jamais voulu faire de mal à qui que ce soit. Mais il a accepté l’idée que quelqu’un pourrait souffrir. Toutefois, il a peur que les événements qu’il a en somme provoqués aient pu avoir une influence considérable sur la vie de John. Sa vie a changé le jour où il a fait le choix de se taire dans un aéroport il y a sept ans. Il n’a rien à voir avec ça. Harold a perdu un ami et il a fait ce qu’il fallait. Ils se mettent à regarder vers une cabine téléphonique. Étant donné qu’ils ne reçoivent plus de numéro, il ne devrait pas continuer à lui payer aussi généreusement qu’il le fait. Il sait qu’il fait don de 90% de ce qu’il paie alors pourquoi ne pas continuer comme ça. Le téléphone se met à sonner, ce qui veut dire que les affaires reprennent. |
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| Hersh arrive près de la voiture de sa patronne. Il frappe à la vitre et elle la baisse après avoir fermé un dossier. Il lui dit que Research a pris contact avec eux il y a deux minutes. Un numéro. Elle demande de rassembler une équipe. Hersh se met à partir. |
Dans un hôpital, des patients et des soignants traversent un couloir tout comme Root qui ne semble plus avoir de but. Elle s’approche d’une cabine téléphonique qui se met à sonner et, hésitant quand même, elle prend tout de même l’appel. La Machine lui demande si elle l’entend. Root dit absolument. |
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_________________ "Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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