Oh mon Dieu, que c'était BON!
C'est rare de prendre un tel pied devant une série, et je suis tellement contente de savoir dès maintenant qu'il y aura une troisième saison à la rentrée. Et que POI déchire niveau audiences. Ca, c'est du tout bon!
On reprend quasi là où on en était restés et nom d'un chien, que ces 48 heures ont parues longues! Le "clic" d'avant-hier, c'était de la tortuuuuuuuure!
Ah ah, ils ont voulu nous faire croire que Cindy allait mourir, mais je ne suis point si naïve! J'attendais juste de savoir ce qu'allait trouver Harold pour le réparer, et ça a été du Harold tout craché: débouler incognito voir un médecin sur qui il s'est renseigné et mettre un gros paquet de fric sur la table d'opération. Est-ce qu'il a réussi à apprendre l'histoire du médecin dans la voiture sur le chemin de l'hôpital, où est-ce qu'il avait déjà fait ses recherches avant parce qu'on ne sait jamais?
Si ça se trouve, c'est la Machine qui lui fournit des infos en temps réel.
Bref, les deux croisés s'installant dans un immeuble pour espionner leurs voisins, Cindy en fauteuil roulant, Finch obligé d'aller sur le terrain et un POI qui n'en finit plus de laisser planer le doute ("Je m'appelle Trask. Je vous l'ai pas déjà dit, ça...?"), c'était une super combinaison.
Et les répliques cultes de s'enchainer. Epuisant.
Elles ont déjà presque toutes été citées. Mais franchement, les boys qui inversent leurs rôles, c'était une super idée. Harold est vraiment pas habitué, et John a eu un aperçu de ce que ça fait de flipper pour son partenaire... Il finit par lui fabriquer une petite clé passe partout pour pouvoir se réfugier où il veut, ce qui était déjà adorable, mais le plus succulent c'est quand même le moment où il essaie de lui apprendre la technique des doigts dans les yeux. On aurait dit un père qui explique à son enfant où taper si un méchant monsieur veut l'attraper dans la rue. (Enfin mon père nous faisait ça, je ne sais pas pour le vôtre.)
En plus un épisode avec des flashbacks de Finch, c'est toujours un épisode qui vaut le coup. Alors primo: je veux les mêmes stylos espions que Finch. Ca fait plusieurs fois qu'on les voit, et il faut absolument que je sache comment m'en procurer.
Deuxio, arrête de courir dans tous tes flashbacks, Harold, tu me fais mal au coeur. Dans les bureaux, dans les parcs, sur des tapis roulants... tu trouves toujours un prétexte! Ceci doit cesser.
Et tertio, honnêtement, je n'ai pratiquement rien écouté du reste, j'étais trop occupée à me rouler par terre tant je trouve Brett Cullen et Michael Emerson classes. Leurs voix, leurs tronches... non, ils sont géniaux ces deux-là. :bounce:
Pour finir, c'est un épisode a marquer d'une pierre blanche puisque je n'ai pas eu envie de mettre des paires de baffes à Carter Joss. Déjà, j'ai décidé de reporter toute ma haine sur l'agent Snow, ce sera beaucoup plus productif. Et ensuite, elle a limite assuré dans cet épisode. Elle s'est fait rouler une fois, on ne l'y reprendra plus.
Certes, les agents de la CIA sont si peu discrets que ça en devient comique ("C'est un bel immeuble. Vous sortez combien de temps?") mais quand même, j'ai presque été amusée par ses magouilles pour les éviter. Elle utilise l'ordinateur de Fusco (qui devrait mieux cacher son mot de passe, il 'ma arraché un piaulement ahuri), elle pique la carte sim d'un suspect, elle réquisitionne le pardessus d'un gars... Non, apparemment en rentrant du parking hier soir, elle s'est arrêtée à la supérette et elle s'est acheté quelques neurones.
Tout ça pour suivre la piste de Burdett, qui finit par la contacter lui-même. (Ca fait bien flipper quand une cabine téléphonique se met à sonner toute seule, sans raison, hein Joss?) Ah, le regard qu'il lui lance quand elle s'assoit en face de lui! Je peux vous dire que si ces yeux là pouvaient tuer, Carter aurait été éparpillée façon Duplo. Mais bon, il l'a fait quand même rentrer dans la Team.
Muhahahahaha, ça devient de plus en plus intéressant!
PS: J'voulais faire court. Raté.