SÉQUENCE – Trafic sur Queensborough – Caméra 13S – 13 heures 57 minutes 05 secondes
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Fermin Ordoñez – Journée
Fermin conduit toujours et se trouve sur un pont.
SÉQUENCE – Trafic sur Queensborough – Caméra 28H – 13 heures 57 minutes 23 secondes
Reese : (Hors cadre.) Ils prennent le pont en direction du Queens.
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Fermin Ordoñez – Journée
Irina Kapp : Continuez tout droit et prenez à droite sur Vernon.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Journée
Reese : (Suivant toujours le taxi.) J’ai un mauvais pressentiment, Finch.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Irina Kapp : (Via l’ordinateur.) Tournez là.
Finch : Qu’est-ce qu’elle vient faire dans un endroit pareil.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Journée
Le taxi tourne vers une impasse.
SÉQUENCE – Sur le chemin – Caméra 02 – 13 heures 58 minutes 34 secondes*
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Journée
Le taxi continue son chemin.
Reese : Ils sont dans une voie à sens unique.
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Fermin Ordoñez – Journée
Irina Kapp : (L’arrêtant à mi-chemin.) Là, ça ira.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Reese : (Au téléphone.) Ils se sont arrêtés à mi-chemin.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Journée
Reese : Elle a fait en sorte de l’isoler.
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Fermin Ordoñez – Journée
Fermin Ordoñez : 11 dollars 50 s’il vous plaît.
Irina Kapp : (Lui montrant un billet de 100 dollars puis elle le retire.) D’abord, une ou deux questions.
Fermin Ordoñez : Je ne comprends pas.
Irina Kapp : Un de mes amis est monté avec vous hier soir. (Lui faisant montrer son portable avec la photo de Pushkov.) Vous le reconnaissez ?
Fermin Ordoñez : (Se tournant vers la femme.) Je vois beaucoup de monde tous les jours.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Journée
Irina Kapp : (Au téléphone ; pendant que John écoute la conversation.) Pushkov, vous l’avez eu comme client.
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Fermin Ordoñez – Journée
Irina Kapp : Est-ce qu’il aurait oublié quelque chose ? Je vous déconseille de mentir.
Fermin Ordoñez : Je vous explique, je dois rendre le taxi après mon service, si un client a oublié quelque chose, je ne l’ai pas trouvé.
Irina Kapp : (Au téléphone, elle parle en estonien.) Venez faire le nettoyage. (Elle lui donne le billet de 100 dollars puis s’en va. John en profite pour monter dans la voiture.)
Fermin Ordoñez : (Voyant monter John.) Désolé, je ne prends pas de client.
Reese : Peut-être mais vous allez quand même m’emmener.
Fermin Ordoñez : Écoutez, j’ai une journée pas terrible alors, ça vous dérange de sortir de la voiture.
Reese : J’ai peur que votre journée ne s’arrange pas vraiment, Fermin.
Fermin Ordoñez : (Voyant l’arme de John qui la prépare.) Eh, je ne veux pas de problèmes, moi.
Reese : Oui, malheureusement, je doute qu’on nous demande notre avis à vous et moi. Écoutez-moi bien, on va se retrouver coincé entre deux voitures et quatre et six tireurs. (Deux voitures se mettent en position de chaque côté de la rue.) Je veux que vous fonciez plein gaz en visant l’aile arrière de leur voiture, vous m’avez compris ? Je crois que c’est le bon moment. (Deux hommes pointent leur arme vers la voiture et se mettent à tirer.) Maintenant, Fermin.
Fermin fonce mais ils sont pris pour cible par deux autres tireurs, John riposte à son tour. La voiture percute l’arrière de l’autre véhicule et s’en va.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : Monsieur Reese, vous n’avez rien ?
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Fermin Ordoñez – Journée
Reese : Tout va bien, Finch, mais je crois que la vraie menace nous a repérés.
SÉQUENCES – Escaliers Sud – Caméra 2 – 14 heures 01 minute 33 secondes ; Queensborough Bridge – Poste 31 – 14 heures 01 minute 36 secondes
Fermin Ordoñez : Ça veut dire quoi ce cirque ?
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Journée
Fermin Ordoñez : (Arrêté à côté de son véhicule.) Et c’était qui ces malades ?
Finch : (Au téléphone.) Monsieur Reese, j’ai réécouté…
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : (Écoutant l’enregistrement.)…l’appel de la blonde avant qu’elle ne sorte du taxi. Je suis loin d’être affirmatif mais je dirais que c’est de l’estonien.
Reese : (Au téléphone.) Mafia estonienne.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Journée
Reese : Ouais, je reconnais la méthode. Ils vous coincent et ils tirent.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Reese : (Au téléphone.) J’y ai déjà eu droit une fois en Russie.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Journée
Reese : Mais là pour eux, ça s’est mal terminé. (Prenant un câble.) J’ai débranché le GPS, ça évite qu’ils y accèdent pour vous localiser.
Fermin Ordoñez : Mais vous êtes qui vous ?
Reese : Juste un type qui cherchait un taxi. La fille blonde, elle a parlé d’un homme que vous avez pris en charge la nuit dernière, Pushkov. Qu’est-ce qu’il est devenu ?
Fermin Ordoñez : (S’énervant.) Je ne suis qu’un chauffeur de taxi, moi, je ne le connais pas votre Pushkov.
Ils se mettent à marcher à travers la rue.
Reese : Vous allez me mentir à moi aussi comme vous avez menti à cette femme ? Pourtant, là il y a une énorme différence. C’est moi qui suis le seul à pouvoir vous aider.
Fermin Ordoñez : Pourquoi vous voulez m’aider ?
Reese : Vous êtes peut-être un gars honnête qui a juste commis une erreur. Mais il faut vous demander si votre vie n’est pas plus importante que ce qui a été laissé dans votre taxi.
Fermin Ordoñez : (S’arrêtant de marcher.) OK. J’ai pris ce type en charge à l’aéroport. On a tourné pendant un bout de temps. Il passait des coups de fil en russe, il avait l’air nerveux.
Reese : Vous comprenez le russe.
Fermin Ordoñez : Un peu. Mon grand-père parlait russe quand j’étais gosse à Cuba. Le mec avait l’air de vendre quelque chose. Il parlait d’accès direct et de, de voyageurs. Je ne sais pas ce que ça voulait dire.
Reese : La blonde a dit qu’il avait laissé quelque chose dans le taxi. C’était quoi ? Je ne suis pas flic, Fermin, mais si vous voulez que je vous aide, il va falloir me dire ce que c’était.
Fermin Ordoñez : Un ordinateur portable. Glissé sous le siège, il a dû oublier qu’il était là.
Reese : Et vous en avez fait quoi ?
Fermin Ordoñez : Je l’ai vendu à un ami, j’avais besoin de fric. Je ne fais jamais ça mais là, je trimbale ce type toute la journée et lui, il me plante sur la course, je ne sais pas, on compte faire quoi maintenant
Reese : Finch, vous êtes là ?
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : Comme toujours, monsieur Reese. On dirait que Pushkov s’apprêtait plus ou moins à vendre le portable aux Estoniens mais il quitte le taxi sans le prendre ?
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Journée
Reese : Il savait que ce serait dangereux. Il voulait négocier un prix supérieur.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : De toute évidence, les Estoniens n’étaient pas d’humeur à la négociation. Qu’est-ce que peut bien contenir ce portable ?
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Journée
Fermin Ordoñez : (De retour à son taxi.) À qui vous parlez ?
Reese : À mon associé. (À Harold.) Les Estoniens s’en fichent qu’il l’ait ou non le portable. Ils veulent l’éliminer parce qu’il est au courant.
Fermin Ordoñez : Tout cela à cause d’un ordi ?
Reese : Ou plutôt ce qu’il y a dedans. Et le récupérer est peut-être le seul moyen de vous garder en vie. Allons voir l’ami à qui vous l’avez vendu.
SÉQUENCE – ONRMP 17 – Caméra 03 – 14 heures 04 minutes 03 secondes ; Côté porte – Caméra 01 – 14 heures 32 minutes 13 secondes
INTÉRIEUR – Dans le magasin d’Aziz Mansoor – Journée
Fermin et John entrent dans le magasin mais il n’y a personne. Ce dernier a une arme dans la main et la met en position pour se protéger. Dans l’arrière-boutique, la pièce est saccagée et l’homme est au sol, mort.
Reese : Finch, on dirait que les Estoniens sont passés avant nous.
Fermin Ordoñez : Aziz.
Reese : (Prenant quelque chose.) Je suis désolé.
Fermin Ordoñez : Je lui ai vendu le portable. C’est à cause de moi.
Reese : Le portable est encore là ?
Fermin Ordoñez : Je ne pense pas, non. Il m’a dit ce matin qu’il avait trouvé un acheteur, il m’a donné ma part.
John met une clé USB dans la tour de l’ordinateur.
Finch : (Au téléphone.) Aziz Mansoor l’a vendu avant d’être assassiné par les Estoniens.
Reese : Ils ont retourné la boutique pour le retrouver. Comment ils ont atterri ici ?
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : Le portable était peut-être équipé d’une balise qui s’active dès qu’on l’allume. Quiconque a le code d’accès de la balise localise aussitôt l’ordinateur.
INTÉRIEUR – Dans le magasin d’Aziz Mansoor – Journée
Reese : Ils sont bien décidés à éliminer tous ceux qui s’en sont approchés.
Finch : (Au téléphone.) Je viens d’accéder au compte de messagerie de Aziz.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : Je vois qu’il a vendu le portable sur Internet. Le pseudo de l’acheteur est Démon8.
INTÉRIEUR – Dans le magasin d’Aziz Mansoor – Journée
Reese : Et on peut remonter jusqu’à lui ?
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : Si Démon8 découvre ce qu’il contient, il va sûrement tenter de le revendre, au quel cas, il va se rendre sur des réseaux invisibles, sur des sites de vente anonyme ou des forums spécialisés dans le marché noir. Je vais tacher de le retrouver…
INTÉRIEUR – Dans le magasin d’Aziz Mansoor – Journée
Finch : (Au téléphone.)…et de lui proposer de le rencontrer.
Fermin Ordoñez : Et pour Aziz ?
Reese : La police ne va pas tarder à arriver, ils retrouveront les coupables on ferait mieux de s’activer. (Montrant du doigt vers Fermin.) Parce que le prochain, c’est vous. (Ils quittent le magasin pendant que John récupère la clé.)
SÉQUENCE – Bureau 12 – Caméra 01 – 14 heures 34 minutes 50 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Bureau de Joss Carter – Journée
Carter : (Répondant au téléphone qui s’est mis à sonner.) Laissez-moi deviner, le chauffeur a avoué avoir tué le Russe dans le parc.
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Journée
Reese : Non, pas tout à fait. Vous voulez la bonne ou la mauvaise nouvelle ?
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Bureau de Joss Carter – Journée
Carter : La bonne.
Reese : (Au téléphone.) Pushkov a été assassiné par la Mafia estonienne.
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Journée
Reese : Ils cherchent un ordinateur portable qu’il a laissé dans notre taxi.
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Bureau de Joss Carter – Journée
Carter : C’est sûrement ce qui intéresse aussi les services secrets.
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Journée
Carter : (Au téléphone.) Pourquoi la Mafia tient temps à cet ordinateur ?
Reese : Je n’en sais rien mais ils tueront tous ceux qui auront le malheur de le toucher. Voyez si vous pouvez trouver une blonde, c’est elle qui tient les commandes.
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Bureau de Joss Carter – Journée
Carter : Je vais éplucher ce qu’on peut avoir sur la Mafia estonienne. OK, c’est quoi la mauvaise nouvelle ?
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Journée
Reese : Ils ont laissé un autre cadavre derrière eux, je vais vous envoyer l’adresse. (Il désactive son oreillette.)
Fermin Ordoñez : Je n’aurais jamais dû le prendre cet ordi. Je savais que c’était une erreur. Je peux faire n’importe quoi, ça se passe jamais comme je voudrais.
Reese : Comme le jour où vous avez décidé de faire appel à un passeur tel que Mendoza.
Fermin Ordoñez : Lui, c’était notre contact. Quand on s’est enfui, c’est lui qui s’occupait de tout. On jouait au baseball, il nous a fait venir à New York.
Reese : En échange de quoi, il touchait une com sur vos engagements.
Fermin Ordoñez : Il a dit que c’est comme ça que ça marchait. Il nous a promis la lune, jouer en équipe pro, venir vivre ici. Je me voyais déjà riche. Mais ce sport, ce, ce n’est qu’une illusion.
Reese : Et soudain, tout a été fini, après votre blessure.
Fermin Ordoñez : On ne joue pas, on ne gagne plus rien, on n’est plus personne.
Reese : Alors, Mendoza a dû trouver un autre moyen de vous soutirer de l’argent. Votre famille.
Fermin Ordoñez : Il devait nous aider seulement, maintenant il abuse, il n’en a rien à faire de nous. Franchement, il y a des jours je regrette d’avoir quitter Cuba.
Reese : Ça demandait du courage, de partir pour pouvoir offrir une vie meilleure à votre famille.
Fermin Ordoñez : On parle du rêve américain, c’est ça ? Un bon travail, avoir sa maison. Je serai prêt à renoncer à tout ça pour pouvoir enfin revoir ma famille, pour voir grandir mon gamin. Il ne sait même pas qui je suis de toute manière.
Reese : Je dois pouvoir vous aider à tout rattraper mais il va falloir me faire confiance.
Fermin Ordoñez : Est-ce que j’ai le choix ?
SÉQUENCES – 5ème avenue – Poste 183 – 14 heures 37 minutes 03 secondes ; Entrée – Caméra 03 – 14 heures 39 minutes 23 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Dans une pièce – Journée
Regina Vickers : Comment votre informateur a su que c’était les Estoniens qui avaient tué Pushkov ?
Carter : Ils sont à la recherche de l’ordinateur portable. Vous savez ce qu’il contient ?
Regina Vickers : Et vous, est-ce que vous le savez ?
Carter : Pas encore. Mais quelque chose me dit que ce qu’il y a dessus pourrait être gênant pour le gouvernement. Je me trompe ? Ce que je veux, c’est vous aider, c’est tout.
Regina Vickers : (En fermant la porte.) Vadim Pushkov était un hacker du genre solitaire. (Montrant le dossier.) Et un vrai petit génie. Nos services l’ont repéré il y a cinq ans. Il avait volé les numéros de plus de 100 000 cartes bancaires. (Joss regarde dans le dossier où la photo de Pushkov se trouve.) Quand on l’a vu réapparaître, il venait de pirater un poste de pilotage de drone dans le Nevada et de revendre le protocole de contrôle à un Pakistanais via Internet.
Carter : Alors, quand vous l’avez vu réapparaître sur votre radar, vous vous êtes dis que ce serait bien de le coincer avant qu’il est le temps de vendre autre chose.
Regina Vickers : Le problème, c’est qu’on n’a aucune idée de ce que Pushkov pouvait avoir à vendre. (Le téléphone de Joss bipe.) Je n’ose pas penser à ce qu’il arriverait si le contenu du portable atterrissait entre de mauvaises mains. (Sur le téléphone de Joss se trouve l’adresse de la boutique d’Aziz Mansoor.)
Carter : Vous devriez venir avec moi.
Regina Vickers : Où est-ce qu’on va ?
Carter : Une boutique informatique de l’East Village, on a trouvé un cadavre, l’homme qui venait de vendre le portable. (Elles quittent la pièce.)
SÉQUENCE – Sud-Est – Caméra 10 – 14 heures 40 minutes 58 secondes
Finch : Je suis toujours à la recherche de Démon8 monsieur Reese.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : Mais il se pourrait bien que j’ai découvert enfin quelles informations contient le portable.
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Journée
Reese : Qu’est-ce qu’il contient ?
Finch : (Au téléphone.) Le lieutenant Carter m’a dit…
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : (Regardant le reçu sur son ordinateur.)...qu’on avait trouvé un reçu de 275 dollars sur Pushkov pour du stationnement de…
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Journée
Finch : (Au téléphone.)…courte durée à l’aéroport Kennedy.
Reese : 275 dollars, ce n’est pas vraiment de la courte durée.
Finch : (Au téléphone.) Non, d’ailleurs, il n’a pas pris d’avion.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : Alors, si Ordoñez l’a entendu parler d’accès direct, il s’agit peut-être du système de contrôle accéléré qui fonctionne grâce à une base de données automatique de la sécurité intérieure.
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Journée
Finch : (Au téléphone.) Selon moi, le plus plausible…
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : …c’est que Pushkov a volé une quantité énorme de données voyageurs, rapports du FBI, adresses, données biométriques, etc…
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Journée
Reese : De quoi faire entrer n’importe qui dans le pays avec les données d’autres voyageurs, y compris des terroristes.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : Cette marchandise n’a de valeur que si le vol est ignoré de tout le monde. C’est la raison pour laquelle ils tuent toutes les personnes qui ont pu être en possession du portable. (L’ordinateur bipe car un nouveau message apparaît sur l’écran.) Oh, mes soupçons se confirment. J’ai retrouvé le portable, il apparaît sur un réseau parallèle de tchat que fréquente Demon8.
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Journée
Finch : (Au téléphone.) Il essaie de le vendre pour 50 000 dollars.
Reese : Il a compris ce qu’il avait entre les mains et ce qu’il peut en tirer.
Finch : (Au téléphone.) S’il en sort vivant.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Journée
Finch : Je vais me porter acquéreur et lui donné rendez-vous.
SÉQUENCES – East River – Caméra 107 – 19 heures 31 minutes 17 secondes ; Madison Avenue et la 23ème – Caméra 14 – 19 heures 31 minutes 18 secondes ; Madison Avenue – Passage clouté – Poste 366 – 19 heures 32 minutes 19 secondes
Finch : (Via un micro.) Ça y est, monsieur Reese, j’ai réussi à entrer en contact avec Demon8. Nous sommes tombés d’accord sur un prix.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Soirée
Finch : (Au téléphone.) Je vous envoie l’adresse pour finaliser la transaction.
INTÉRIEUR – Dans un bâtiment – Soirée
John et Fermin montent un escalier et arrivent dans une pièce vide. John pointe son arme au cas où. Une caméra les surveille.
Fermin Ordoñez : C’est quoi cet endroit ?
Reese : Il n’y a personne, Finch. L’endroit est vide.
Finch : (Au téléphone.) Comment ça vide ? (Fermin voit une caméra qui se met à bouger.)
Reese : Il n’y a peut-être que nous dans la pièce mais nous ne sommes pas seuls. On nous observe en ce moment.
SÉQUENCE – Guest – Caméra 01 – 19 heures 32 minutes 57 secondes ; Entrée – Caméra 01 – 19 heures 33 minutes 08 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Bureau de Lionel Fusco – Soirée
Le téléphone de Lionel se met à sonner et il prend l’appel. C’est Simmons.
Fusco : Fusco.
Simmons : (Au téléphone.) Bowman va passer te prendre. Vous ramassez le paquet et vous le livrez comme prévu.
Fusco : Écoute, j’ai bien réfléchi, je ne peux pas être dans le coup, je dois éviter de me mouiller. Je ne te servirai à rien en taule.
Simmons : (Au téléphone.) Oh, je suis sûr qu’on trouvera quelque chose à te faire faire. Et puis, tu ne me sers pas tant que ça à l’heure qui l’est.
Fusco : Non, je ne peux pas, je regrette.
Simmons : Non ? OK, Lionel, tu as fait ton choix.
Il raccroche. Alors qu’il souffle un nouveau message apparaît : « La DRH a toujours répondu à la pelle ». Il clique sur le message et une vidéo apparaît où il braque le coffre des affaires internes avec un dossier à l’intérieur. Il regarde autour de lui pour voir si personne ne la voit et surtout pas Joss qui est toujours en train de discuter avec Vickers. Une autre image apparaît, celle d’une fiche de disparition de l’inspecteur Davidson. Il reçoit un message sur son téléphone qui dit « Grifoni, ce soir ». Il n’a pas trop le choix que d’y aller.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Soirée
Finch : Monsieur Reese, j’ai eu un message de Demon8. Il a décidé d’annuler la vente. Il semble que quelque chose…
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Soirée
Finch : (Au téléphone.) …ne lui ai pas plus dans votre allure.
Reese : Qu’est-ce qu’elle a mon allure ?
Finch : (Au téléphone.) Il se trouve que vous avez une tête d’agent fédéral.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Soirée
Finch : Il a mis un terme à la transaction.
Reese : (Au téléphone.) Le portable est peut-être…
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Soirée
Reese :…notre seule chance pour qu’Ordoñez retrouve une vie normale.
Finch : (Au téléphone.) Demon8 est moins malin qu’il ne le croit.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Soirée
Finch : Il est aussi en danger de mort. Je me suis servi du signal de la caméra pour remonter jusqu’à l’endroit où il se trouve. Et j’ai une adresse…
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Soirée
Finch : (Au téléphone.)…le cercle de billard Yeongson.
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Soirée
Reese : Il faut croire que nos camarades Estoniens sont aussi à la recherche de Demon8.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Soirée
Reese : On va être retardé. (Un groupe d’hommes s’en prennent à John qui se défend.)
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque – Soirée
Finch : Monsieur Reese ? (Entendant la bagarre se dérouler.) Il peut-être falloir que j’y aille moi-même. (Balou se lève.) On va se promener ? Allez viens. (Le chien se met à pousser un cri.)
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Bureau de Lionel Fusco – Soirée
Lionel tente d’appeler John.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Soirée
Reese : (En se bagarrant, il active son oreillette.) Oui, Lionel.
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Bureau de Lionel Fusco – Soirée
Fusco : (Il entend la bagarre entre John et les Estoniens.) Je tombe mal peut-être ?
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Soirée
Reese : Si on veut. (Essoufflé.) Je te rappelle.
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Bureau de Lionel Fusco – Soirée
Lionel raccroche et un deuxième appel est en cours. C’est Simmons qui tente de le joindre.
Simmons : Ouais.
Fusco : (Rappelant Simmons.) OK, je serai là. C’est prévu pour quelle heure ?
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Dans une pièce – Soirée
Regina Vickers : (Regardant la vidéo de la caméra du magasin d’Aziz.) C’est l’enregistrement récupéré de la caméra de surveillance de la boutique. On voit Aziz Mansoor sortir avec le portable sous le bras. Il revient environ trois quarts d’heure plus tard et là, il ne l’a plus.
Carter : Plus de portable. Hmm. Il a dû le vendre.
Regina Vickers : Maintenant, regardez. C’est vingt minutes après. (Une femme entre dans le magasin.)
Carter : Elle est dans le dossier. (Regardant à l’intérieur.) Membre de la Mafia estonienne. Elle s’appelle Irina Kapp. Elle a fait l’objet d’un alerte Interpol il y a de ça six mois.
Regina Vickers : Elle quitte la boutique et dix minutes plus tard, monsieur Mansoor est criblé de balles.
Carter : Notre petit ange de la mort.
SÉQUENCE – Côté porte – Caméra 01 – 14 heures 16 minutes 46 secondes ; Quartier – Caméra 04 – 20 heures 31 minutes 15 secondes ; Broadway – Poste 311 – 22 heures 02 minutes 14 secondes
Irina Kapp sort de la boutique d’Aziz.
INTÉRIEUR – Dans un bar – Soirée
Harold arrive dans le bar et s’approche du comptoir où se trouve un homme.
Homme : Ouais.
Finch : (Donnant un papier.) Je viens voir quelqu’un.
Homme : (Lisant ce qu’il y a d’écrit dessus.) Demon8. Vous êtes qui ? Vous voulez quoi ?
Finch : J’ai l’argent mais ce n’est pas vous. Vous n’êtes pas Demon8.
Homme : (Se levant.) Ah non.
Finch : Je sais que c’est lui assis là-bas. Et aussi que s’il veut contrôler des caméras depuis son téléphone, (en haussant la voix) il devrait mieux encrypter son adresse IP.
Homme : Oh. (Balou se met à aboyer.)
Finch : Très mauvaise idée. (L’homme, voyant le chien, préfère le laisser passer.) Merci. (Il s’assoit devant Demon8.)
Albert : Montrez le blé.
Finch : Je n’ai pas vraiment l’habitude, mais je suppose que c’est d’abord à vous de me montrer l’ordinateur.
Albert : (Montrant l’ordinateur.) Vous n’êtes pas avec les Estoniens ?
Finch : Non, en effet.
Albert : C’est vous qui avez déjà tenté de me l’acheter. Je n’ai pas aimé la tête de votre pote.
Finch : Alors, vous vous êtes tourné vers les Estoniens en pensant qu’ils paieraient mieux. Et bien non. (Montrant la mallette pleine d’argent.) Cent mille dollars en petite coupure. Le double de votre prix.
Albert : C’est quoi l’arnaque ?
Finch : L’arnaque, (il ferme la mallette) Albert, c’est que vous devez partir sur le champ. Vous allez disparaître, rester loin de la ville durant au moins un an, en particulier loin de la maison de votre mère dans le Queens où vous résidez actuellement. Vous allez prendre l’argent et partir loin, très loin. Des gens qui ne plaisantent pas veulent mettre la main sur le portable. Il suffit que vous l’ayez vu et ils voudront vous tuer. La voilà l’arnaque, Albert.
Albert : Alors, pourquoi vous le voulez ?
Finch : C’est un problème qui me concerne. Prenez l’argent, allez vous en, maintenant.
Albert prend la mallette et quitte sa place. Harold prend la mallette où se trouve l’ordinateur.
Reese : (Au téléphone.) Désolé, Finch. j’ai été dérangé.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Soirée
Reese : Où vous en êtes ? Vous avez le portable ?
Finch : (Au téléphone.) Oui, je l’ai récupéré…
INTÉRIEUR – Dans un bar – Soirée
Finch : …et je quitte le cercle de billard mais je risque d’avoir rapidement besoin de vous. (Il voit Irina Kapp)
Irina Kapp : Je crois que vous avez quelque chose qui est à moi.
SÉQUENCES – 5ème avenue – Poste 270 – 22 heures 04 minutes 38 secondes ; Bar – Caméra 02 – 22 heures 04 minutes 42 secondes
Irina Kapp : (Via un micro.) Vous l’avez ouvert ?
INTÉRIEUR – Dans un bar – Soirée
Finch : Inutile, je sais ce qu’il contient. Jamais je ne vous le laisserai, il n’est pas à vendre.
Irina Kapp : J’ai toujours aimé les hommes à lunettes. Quel dommage. (Quatre hommes entourent Harold qui ne sait pas quoi faire alors que Balou se met à aboyer.) Tuez le chien.
Les hommes sont prêts à tirer sur Balou lorsque John arrive.
Reese : Je serai vous, j’éviterai les gars. (Une bagarre éclate entre John et les quatre hommes semant la panique dans le cercle de jeu.)
Finch : (Se sentant en danger.) Monsieur Reese. (Il est un peu secoué alors il donne l’ordre à Baloo de sauter sur un Estonien.)
Homme estonien : Bien essayé. (Il est sur le point de tuer Harold lorsque Fermin arrive et jette une balle de baseball sur sa tête.)
Fermin Ordoñez : Un peu extérieur, un peu haute mais elle était dedans. (Harold semble choqué.)
Reese : (Donnant une friandise à Balou.) Tiens, tu es un bon chien, oh un bon chien. (Activant l’oreillette.) Et bien Carter, vous avez raté le meilleur.
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Soirée
Reese : (Au téléphone.) Vous étiez où ?
Carter : Les fédéraux ont localisé le portable de la femme blonde dans une salle de billard coréenne. J’imagine que vous êtes là-bas.
INTÉRIEUR – Dans un bar – Soirée
Carter : (Au téléphone.) Alors quittez les lieux.
Reese : Vous allez devoir nous jeter quelque part.
La Machine tente une triangulation pour trouver la position de Lionel et elle l’a trouvé. Elle estime le degré de violences à 92% contre Grifoni, témoin sous protection.
SÉQUENCE – Lorimer – Poste 108 – 23 heures 03 minutes 12 secondes
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Bowman – Soirée
Bowman : Grifoni ne devrait plus tarder. (Le téléphone de Lionel se met à sonner d’un appel inconnu.)
Fusco : Tu veux bien m’excuser, c’est mon ex. Je dois lui dire que je serai en retard pour chercher mon gosse.
Bowman : D’accord. (Il quitte la voiture.)
Fusco : Ouais, Fusco.
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Soirée
Reese : Salut Lionel. Ça fait longtemps.
Fusco : (Au téléphone.) Qu’est-ce qu’il t’arrive ?
Reese : Tu as essayé de me joindre un peu plus tôt, alors voilà, je te rappelle.
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Bowman – Soirée
Fusco : Ouais, excuse-moi, j’étais un peu débordé avec une affaire.
Reese : (Au téléphone.) Ah oui, eh bien nous on aurait eu bien besoin de ton aide sur la notre.
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Soirée
Reese : Qu’est-ce que tu voulais ?
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Bowman – Soirée
Fusco : Euh, non, ce n’était rien. Non, non ça roule, t’inquiète.
Reese : (Au téléphone.) Tant mieux, content de t’avoir parlé.
INTÉRIEUR – Dans le taxi de Fermin Ordoñez – Soirée
Reese : Il faut que je te laisse.
INTÉRIEUR – Dans la voiture de Bowman – Soirée
Fusco : Ouais, moi aussi. (Il raccroche. Bowman tape sur le capot de la voiture car Grifoni sort de chez lui.)
EXTÉRIEUR – Dans la rue - Soirée
Bowman : C’est parti. (Voyant le regard de Lionel.) Ça va ? Tu fais une drôle de gueule.
Fusco : Ça va.
Bowman : Bon, on attend qu’il soit devant sa caisse.
Fusco : (Regardant Grifoni rigoler.) Attends, pourquoi il se marre, lui ?
Bowman : Je peux savoir ce qui te fait rire, Grifoni ?
Grifoni : Ce qui me fait rire, c’est que ce n’est pas moi qui vais me prendre un pruneau. (Un homme tire sur Bowman qui s’écroule. Lionel a réussi à échapper aux balles.) Désolé, les gars. C’est Elias qui m’a prévenu que vous risquiez de passer. Eh, eh, oui, depuis que je l’ai planté, j’ai tout fait pour revenir dans ses bonnes grâces. Un peu comme vous à la DRH. C’est comme ça. Toi, écoute, Elias veut que tu transmettes un message à ton pote Simmons et au reste de la bande.
SÉQUENCES – Trafic – Caméra 337 – 23 heures 14 minutes 11 secondes ; Broadway – Poste 308 – 23 heures 16 minutes 20 secondes
La Machine intercepte une communication de Vickers et de son atout Joss Carter.
Carter : Aucune trace d’Irina Kapp, nulle part.
Regina Vickers : Et personne ne sait non plus où se trouve le portable. Il doit toujours être sur le marché.
EXTÉRIEUR – Dans la rue – Soirée
Ordoñez, Harold et John sont devant le taxi.
Fermin Ordoñez : Vous êtes pas bibliothécaire alors.
Finch : Ne vous inquiétez pas, un taxi flambant neuf est en route.
Reese : Oh, avant que j’oublie. (Donnant de l’argent.) Voilà de quoi payer mes courses d’aujourd’hui. Vous allez aimer le pourboire.
SÉQUENCES – Broadway – Poste 306 – 23 heures 16 minutes 46 secondes ; Varic – Poste 180 – 00 heure 09 minutes 03 secondes
Femme : Ça ne te dérange pas de faire ça.
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Dans une pièce – Soirée
Carter : (Arrivant avec Fermin.) Agent Vickers, je voulais vous présenter monsieur Fermin Ordoñez. À ce qu’on m’a dit, il a joué un rôle déterminant dans l’arrestation des assassins de Pushkov et Mansoor.
Regina Vickers : Je vous remercie de votre aide.
Fermin Ordoñez : Je vous en prie.
Carter : Il se pourrait qu’il ait également quelque chose qui vous intéresse.
Regina Vickers : C’est vrai ? Où est-il ?
Carter : Peut-être que si on l’aide aussi de notre côté, il pourra nous le procurer.
Regina Vickers : Si on l’aide à quoi ?
Carter : Il nous faut juste un peu d’argent et un coup de main des gardes-côtes.
SÉQUENCE – WeatherCam 107 – 11 heures 18 minutes 38 secondes ; Diamond – Caméra 14 – 13 heures 03 minutes 13 secondes
EXTÉRIEUR – Dans un parc – Journée
John joue avec Balou en lançant une balle dans un parc. Fermin attend derrière un grillage que sa famille vienne le rejoindre. Maria et Jorge sont accompagnés par Joss mais cette dernière les laisse aller vers Fermin.
Fermin Ordoñez : (En espagnol.) Je n’arrive pas à croire que tu es là.
Maria Ordoñez : (En espagnol.) Moi, non plus, non.
Ils se serrent dans les bras puis s’embrassent, se serrant dans les bras encore plus fort. Maria avance son fils pour que Fermin puisse être auprès de lui.
Fermin Ordoñez : (En espagnol.) Tu sais recevoir ? (Après que son fils acquiesce.) Super, super. (Balou se met à aboyer et met la balle au sol. Fermin la ramasse et demande à son fils de reculer.) Vas-y, recule. (Il lui lance la balle et Jorge la lui relance. Ils sont tous les deux content de jouer.)
SÉQUENCE – Diamond – Caméra 14 – 13 heures 05 minutes 04 secondes
Reese : Je ne sais pas comment vous vous êtes débrouillée…
EXTÉRIEUR – Dans un parc – Journée
Reese : Mais ça fait plaisir à voir. (Balou s’amuse avec John. Ce dernier lui demande de faire tomber la balle et la ramasse.)
Carter : Ouais, moi aussi je connais deux-trois tours.
Fermin Ordoñez : Viens.
Reese : Ouais, il faut croire. Oh, j’ai quelque chose à vous demander. Qu’est-ce qu’il se passe avec Lionel ?
Carter : Comment ça ?
Reese : Non, rien.
Carter : (Voyant le regard de John.) Je vais garder un œil sur lui.
Reese : Merci.
Fermin, Maria et Jorge se serrent dans les bras. John quitte Joss pour s’amuser avec Balou.
SÉQUENCES – Diamond – Caméra 14 – 13 heures 05 minutes 49 secondes ; Box – Caméra 12 – 15 heures 37 minutes 19 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police - Journée
Simmons attend Lionel au coin d’un bureau.
Simmons : Qu’est-ce qu’il s’est passé là-bas ?
Fusco : À toi de me dire. Parce qu’il a été prévenu. On s’est fait doublé.
Simmons : Le bizarre dans l’histoire, c’est qu’ils butent Bowman mais que toi ils te laissent te tirer.
Fusco : Parce qu’ils voulaient que je te transmette un message. Elias vous envoie paitre. Et tu sais quoi, je vais faire la même chose.
Lionel rejoint son bureau pendant que Simmons passe un appel.
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la police – Bureaux de Lionel Fusco et de Joss Carter - Journée
Carter : Carter. Non, non, vous êtes qui ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Non, attendez. (Simmons quitte le commissariat.)
Fusco : C’était quoi ?
Carter : Une info anonyme.
Fusco : À propos de quoi ?
Carter : Davidson. (Elle se tourne derrière pour voir la fiche de disparition.) Le flic des affaires internes, celui qui a disparu en février, le type a dit qu’il aurait été tué et par un autre flic en plus.
Lionel comprend qu’il est de plus en plus en danger alors que Simmons passe les portes.)