carine79 Control
Série préférée : Lucifer
| Sujet: Résumé détaillé - 1X21 - Crédit : carine79 Sam 24 Oct - 18:00 | |
| Personne d'intérêt : Sarah Jennings ( victime) Lorsque John lit un livre en disant bonjour d'un signe de la main à Harold, qui arrive ; celui-ci trouve qu'il est bien matinal. C'est parce qu'il essaie de bien se faire voir par son patron. Mais il peut simplement l'appeler, car il n'y a pas de nouveau numéro à traiter. John s'étonne ne pas en avoir mais il a l'air déçu. Pas déçu mais surpris. Pourtant, une ville comme New York, pas un crime en vue c'est plutôt étrange. De toute façon, s'il y en a un, c'est discret. Cela n'a pas d'importance pare qu'il peut prendre du bon temps, surtout en ce jour particulier. Peut-être que John pense peut-être que son employeur l'ignore.
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| Et Finch donne une boîte enveloppée d'un ruban en lui souhaitant bon anniversaire. John le remercie ; Harold lui dit de partir vers ses loisirs quels qu'ils soient. Il respecte sa vie privée car John veut savoir s'il connaît ses activités en dehors du travail et s'en va en suivant son conseil. En réalité, Harold lui a menti. En s'intallant à son poste de travail, il reprend ce qu'il fait, c'est-à-dire l'arrivée d'un nouveau numéro avec une photo : Karen Garner.
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Dans un parc, John joue avec une connaissance, qui s'appelle Han et se trouve être non-voyant. Il bouge leurs pions respectifs et Han lui pose la question de savoir pourquoi il ne travaille pas. En fait, c'est son patron qui lui donne un jour de congé car c'est son anniversaire ; Han lui souhaite dans sa langue natale et veut savoir si John reçoit des cadeaux. John sort la boîte avec une clé à l'intérieur et la remet dans la main gauche de Han. Qu'est-ce qu'elle peut bien ouvrir ? Excellente question.
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| Au commissariat, Carter voit le retour de l'agent du FBI Donnelly. Elle demande où il en est dans sa traque de l'"homme au costume". Justement, il est là pour ça. Il promet de la tenir informée du déroulement de l'enquête. Ils en parlent dans un bureau à l'abri des regards. Il lui explique que le FBI a vent d'un démantèlement de réseau de contrebande, plusieurs mois auparavant ; ils soupçonnent le leader d'avoir un lien avec la CIA. Ce dernier s'est "enfui" avant qu'ils l'inculpent. Joss se souvient de cette affaire. Il se persuade que John travaille pour lui.
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En effet, des techniciens trouvent, sur la scène de crime, des empreintes ainsi que du sang, dans le coffre d'une voiture brûlée en plus du corps d'un des membres du groupe. Les analyses ADN correspondent à une vieille affaire, celle de New Rochelle en 2011. Les détails ? Un homicide présumé dont la victime se trouve être un promoteur immobilier, un certain Peter Arndt. Il a des dettes à en plus finir. Ses créanciers veulent récupérer leur argent ; l'un deux, voulant se venger, engage John pour faire le travail, selon Donnelly. Il aurait fait des erreurs ; en s'y rendant, ils trouveront peut-être un témoin ou quelque chose s'y rapprochant. Mais de quoi ? De sa véritable identité. Joss le remercie pour ses renseignements et se voit proposer de se rendre à New Rochelle avec lui. Cela est souhaitable car c'est elle qui débute l'enquête, elle sera présente lors de l'arrestation. Mais évidemment, elle coopère avec lui et reçoit un appel d'Harold. Il veut l'informer de certaines choses, cela tombe bien car c'est réciproque.
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| Dans un bar, Harold patiente en prenant un verre. Et Jocelyn arrive mais elle s'étonne de le voir fréquenter ce genre d'endroit. C'est une raison pour se trouver là. Quelqu'un de prévisible peut vite devenir vulnérable. Et il demande à une serveuse de prendre commande pour Joss, qui prend une limonade. Apparemment, elle a des choses à lui apprendre. En effet, c'est à propos d'une affaire à New Rochelle. Vu la tête d'Harold, il est au courant. Carter explique que le FBI fait le lien entre un homicide et John. Sans doute l'agent Donnelly. Celui-ci souhaite qu'elle s'y rende. Mais pour Harold, ce n'est pas plus mal, si elle trouve des preuves contre leur ami commun, Carter peut s'arranger pour qu'il ne s'en serve pas. En clair, elle doit saboter une enquête du FBI mais ce qu'elle fait de celles-ci, ça la regarde. Lui aussi a quelque chose à dire mais ce n'est pas grave, il peut le dire à son retour. Elle le remercie pour le verre et s'en va. La serveuse demande à Harold s'il souhaite autre chose, il répond par la négative et veut juste l'addition. Pendant ce temps, il vérifie l'identité du nouveau numéro : la serveuse est bien Karen Garner.
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À la bibliothèque, Harold discute avec Lionel, savoir si Garner quitte son appartement mais pas elle ne l'a pas fait. Il pose la question pourquoi Finch s'intéresse à elle. Il lui rétorque que cela ne le concerne pas, il faut juste la surveiller et reçoit les informations sur elle sur la base de données de la police. Selon celles-ci, Karen Garner est recherchée pour usurpation d'identité et vol de chéquiers. Le mandat d'arrêt est émis depuis Detroit. C'est sans doute une délinquante, mais peut-être pas. Il se peut qu'elle soit en danger. Pour Harold, Karen Garner est une identité récente, donc pas son véritable nom. Elle n'a pas d'historique à la banque et ne sort de son appartement que pour le travail, de surcroît, elle reste constamment sur ses gardes. Elle se cache car peut-être en cavale ; soit c'est une redoutable criminelle, préparant un grand coup, soit elle est terrifiée pour se cacher d'un potentiel agresseur. Lionel demande pourquoi ce n'est pas son associé qui s'en occupe. John est ailleurs et fait autre chose, il ne faut absolument pas évoquer cette histoire devant lui. Cela doit rester entre Lionel et Harold, c'est aussi simple que cela.
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| Justement, John reste dans son petit appartement, préparant un café sur son réchaud. Il regarde si d'autres appels venant d'Harold se trouve sur son téléphone. Ce n'est pas le cas et scrute à travers les stores, dubitatif.
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Joss Carter arrive à New Rochelle, dans la maison de Peter et Jessica Arndt. Elle est accueillie par l'agent Donnelly. Il lui explique qu'Arndt prend de gros risques avec les investisseurs et leur argent. Il l'utilise au jeu et achète de mauvais terrains. Il fait des crédits aux banques pour les rembourser. Mais lorsqu'elles décident de les arrêter, il se tourne vers des personnes moins souples (des requins). Son bookmaker fournit à Donnelly quelques noms qu'il les présentent à Peter. Ils s'y intéressent de plus près. Joss voit sur le dossier qu'il est marié, mais son épouse est décédée. La raison ? Un accident de voiture en est la cause, deux mois avant qu'il meure à son tour. L'accident provoque un grand choc, elle est morte sur le coup, lui est grièvement blessé. De toute façon, à ce moment-là, il est déjà en faillite. Il est parti peu de temps après sa sortie de l'hôpital. En regardant la scène du crime, Joss demande si le corps du mari est retrouvé. Donnelly répond par la négative, mais vu le sang perdu, peu de chances qu'il survive. Elle pense que ce n'est pas la méthode de l'homme au costume. Ce qui pousse le FBI à penser que c'est la première fois, donc brouillon et violent. Peut-être serait-ce facile mais il fallait se battre. Il reçoit un message car ils localisent un des requins. Carter demande s'ils discutent avec la police locale ; en fait non, cette dernière leur envoie juste le dossier. Elle souhaite lui parler avec l'assentiment de Donnelly, juste le tenir informé de possibles faits nouveaux et peut compter sur elle. Il s'en va lorsqu'elle voit le dossier et réfléchit.
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| Une caméra montre Karen Garner descendre un escalator. Elle sort du métro, marche avec Lionel qui la suit. Harold lui demande des nouvelles, il fait savoir qu'elle part travailler et a raison, elle se sent vraiment menacée. Karen rentre dans un magasin. Le lieutenant pose la question, à savoir combien de temps il faut encore la suivre. Jusqu'au moment où Finch, qui appose la photo de Garner sur la glace, puisse identifier la personne dont elle a si peur. Lionel, qui voit un employé afin de savoir s'il ne croise pas une femme rentrer. Il répond qu'il la voit partir aux toilettes. Harold, qui écoute, cherche à savoir ce qui se passe. Malheureusement, il regarde la porte à l'extérieur du magasin se fermer et court vers la rue. Comprenant, grâce à l'essoufflement de Lionel qui la perd, il part seul s'en occuper, lui disant au passage, de retourner à son travail.
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Harold retourne au bar où Garner travaille. Il demande au barman, prétextant reconnaître sa voisine, Karen Garner et passant par là, par hasard, s'il peut la voir. Mais pas de chance, elle appelle pour dire qu'elle est malade. Et il prend congé en disant qu'il reviendra la voir un autre soir. C'est à ce moment-là qu'un homme, entendant la discussion, s'en va et interpelle Harold. L'inconnu lui fait savoir qu'il entend, par hasard, la conversation ; enfin, pour Harold, Karen Garner est plus une connaissance, pas une amie. Celui-ci dit s'appeler Brad Jennings, de l'U. S. Marshall Service et lui montre sa plaque. Harold lui demande si Garner a des ennuis avec la justice, il lui rétorque qu'elle est connue sous le nom de Sarah Atkins, c'est en plus une fugitive qu'il essaie de retrouver. En posant la question de savoir le lien avec lui, Harold est très mal à l'aise, car Jennings l'entend dire qu'ils sont voisins et veut son adresse. Il refuse donc ce dernier est prêt à l'arrêter afin de discuter dans son bureau. Arrivant de nulle part, John souhaite le bonjour à Harold, se présente sous le nom du lieutenant Stills, indique à Jennings que ce dernier s'adresse à son informateur ; le Marshall est étonné que Finch soit un indic. John prétexte qu'il blanchit l'argent de Don Moretti. Jennigs veut vraiment qu'Harold réponde à ses questions mais "Stills" rétorque qu'il menace sa couverture et s'en va avec lui. Il veut savoir ce que l'agent souhaite ; Finch lui dit qu'il veut simplement poser des questions. Cela tombe bien, John en a aussi et s'en vont en voiture.
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| Arrivé à la bibliothèque, Harold est en colère car il comprend que John le suit. Celui-ci rétorque que la vraie question est "Travaillez-vous sur une affaire sans moi ?" Par crainte que cette affaire soit délicate, il préfère mettre son employé à l'écart. Sauf que ce dernier se demande pourquoi, donc Harold lui présente la personne d'intérêt ; elle n'est sûrement pas une menace, mais qu'elle essaie de fuir quelqu'un, sans doute une personne proche. Donc, il lui explique que lorsque la Machine lui envoie les mêmes numéros à intervalles réguliers, souvent des femmes, il croit que c'est une erreur car la vie d'une personne ne peut pas être menacée plusieurs fois. Mais il réalise qu'elles vivent à côté de personnes qui finissent par les tuer. Donc, il essaie de découvrir sa véritable identité afin de détecter la menace. John veut qu'il lui envoie son adresse, pour la délicatesse, ils verront cela plus tard.
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Karen Garner ouvre une fenêtre afin de rentrer chez elle mais se trouve nez à nez avec John. Il lui souhaite bonjour en disant Karen ou plutôt Sarah, si elle préfère. Mais cette dernière sort une arme et veut savoir qui il est. C'est juste une personne qui lui veut l'aider. Elle lui demande s'il est flic mais il rétorque qu'elle fuit plutôt quelqu'un mais qui ? Un petit ami, un ex, un mari. Il suggère que c'est un mari. Elle lui demande de se présenter, ce qu'il fait, en plus de dire qu'il aide des gens dans des situations difficiles. Elle souhaite tout de même savoir ce qu'il en sait. Juste assez pour lui dire que sa situation est tellement mauvaise, que Sarah a tout quitté pour s'échapper. Tant qu'il n'y aura personne pour arrêter son poursuivant, elle n'arrêtera pas de fuir. Elle baisse son arme et lui dit que c'est Sarah son vrai prénom. John lui dit qu'elle peut désormais stopper sa fuite mais il ne sait pas de quoi est capable le mari de cette dernière. C'est à ce moment-là qu'Harold lui explique qu'il remonte la piste de son premier pseudo, "Sarah Atkins" grâce à une adresse lorsqu'elle vit à Chicago. Le gérant de l'immeuble où elle habite lui informe qu'elle paye son loyer sous un autre nom, Il l'obtient grâce à une copie d'un chèque : "Sarah Jennings". Ils comprennent que son mari est le Marshall qui a presque arrêté Harold. Elle demande comment il le sait mais c'est sans importance, la priorité c'est qu'ils peuvent l'aider. Qui ça "ils" ? John fait savoir qu'il a un associé qui veille sur elle pendant qu'il règle certaines affaires. Il faut que Sarah reste chez elle pour que John s'assure qu'elle ne vive plus dans la peur.
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| À New Rochelle, Carter se trouve au bureau de la police locale pour avoir des informations sur la mort de Peter Arndt. Elle pose des questions sur ce qui se passe. Si le tueur est un professionnel ou concernant l'accident qui coûte la vie à son épouse, Jessica Arndt. L'officier de la police locale lui explique qu'il n'y a peu d'affaires impliquant des tueurs professionnels mais qu'il doit de l'argent à des personnes dangereux. Concernant l'accident, il a une chance d'en réchapper, contrairement à sa femme, mais c'est à peine croyable que deux mois plus tard, il se retrouve assassiné. Lorsque la policière s'en va, elle est suspicieuse et essaie d'en savoir plus sur l'accident.
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Joss se retrouve à la morgue et le légiste que Jessica Arndt est morte sur le coup avec une blessure à la tête, vu la violence du choc, de surcroît elle n'a pas sa ceinture de sécurité. Elle demande s'ils ont toujours les radios, donc il lui montre. Elle lui explique que dans le rapport médico-légal, Jessica a deux fractures plus anciennes, un poignet et une côte. Donc, elle souhaite vérifier sur les images, avec la permission de celui-ci. Elle s'aperçoit sur la radio du poignet qu'il s'agit d'une blessure en spirale, c'est plus dû à une torsion, pas un choc ; (avec l'image de Peter qui est en train de lui tordre). De surcroît, apparemment, elle est morte d'une fracture des vertèbres cervicales et traumatisme crânien, mais peut-elle avoir de telles blessures lorsque les airbags frontaux et latéraux sont enclenchés. C'est une possibilité vu la violence du choc. Mais Carter doute encore, elle veut savoir si elles ne soient pas intervenues avant l'accident. Ses doutes sont justifiées car lorsque Jessica s'enfuit, son mari la rattrape, voulant lui tirer le bras, elle tombe sur le bord de la table de la cuisine. Paniqué, il essaie d'appeler les secours mais se ravise. Le médecin ne sait pas sur quoi elle travaille à New York mais à New Rochelle, il a à faire à des accidents, donc pour lui c'en est bel et bien un. En lui expliquant qu'une chose est possible mais pas forcément probable, il est interrompu par la sonnerie du portable de Carter. C'est Donnelly qui l'informe qu'il se rend chez la belle-mère d'Arndt pour savoir si elle est au courant des problèmes d'argent de Peter. Elle souhaite son adresse pour qu'elle le rejoigne.
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| Harold, se trouvant dans sa voiture, surveille l'appartement et les déplacements de Sarah grâce au GPS de son téléphone. Il fait part à John de ses découvertes sur le Marshall : d'après les archives publiques de Denver, il est poursuivi deux fois pour usage excessif de la force dans l'exercice de ses fonctions, à deux reprises, il est acquitté. En plus, il falsifie les mandats contre sa propre épouse et invente des accusations afin d'avoir le soutien de ses collègues dans sa recherche. C'est pour cela que Sarah s'oblige à fuir, elle n'a pas le choix. Pour John, il n'y a qu'une seule façon de s'occuper de ces personnes, dissimulant leur vraie nature en dehors de leur maison. Harold prend peur et lui demande ce qu'il compte faire ; juste lui montrer ce que c'est un vrai monstre. Donc, ce dernier se rend au bureau de Jennings, qui pense que "Stills" change d'avis mais n'a pas le temps de terminer sa phrase, car il est frappé ainsi que ses collègues par John. Celui le menace que s'il se sert encore des Marshall pour trouver sa femme terrorisée, il va le tuer. En plus, personne ne le protège face à lui. Espérant bien se faire comprendre, il s'en va, tapant sur un Marshall qui tient une arme. Harold qui entend la conversation, s'aperçoit qu'il perd la connexion avec Sarah. Se rendant à son appartement, il voit que son portable est brisé et la fenêtre ouverte donc, ils ont un problème. Entre-temps, John souhaite qu'il l'amène en lieu sûr, mais il a une remontrance car ce n'est pas très judicieux de se mettre à dos une agence de maintien de l'ordre.
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À la gare Sarah, qui porte des lunettes de soleil, demande un aller simple pour New Haven. L'agent souhaite une pièce d'identité et elle lui présente en faisant l'erreur d'enlever ses lunettes. Il lui donne son billet mais passe un appel. Elle comprend que quelque chose ne va pas. Il lui fait signe d'attendre mais elle s'enfuit. Une annonce intervient avec une description de Sarah. Elle souhaite passer par les quais mais est stoppée par deux policiers. L'un deux prévient que le suspect est arrêté sur la voie numéro 20. Lionel appelle Harold, qui est avec John à la bibliothèque, afin de le prévenir de l'arrestation de la jeune femme car un Marshall donne son signalement. Il demande où elle se trouve désormais, Lionel rétorque que cela est possible qu'elle si trouve encore, en attendant l'arrivée des collègues de Jennings. Donc, ils doivent absolument se rendre à la gare et vite.
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| Mais trop tard, il l'a déjà. Maintenant que son secret est dévoilé, il ne peut plus la ramener chez eux. Il va sûrement la faire disparaître, selon John. Il faut la retrouver mais Harold a peut-être un moyen. Maintenant, tous les véhicules gouvernementaux ont un accès wi-fi, donc aussi les Marshalls. Il peut accéder au réseau, le problème c'est qu'il faut trouver la bonne voiture. Sur l'ordinateur, un point rouge clignotant le situe sur l'autoroute West Side, donc il l'emmène hors de la ville. John donne l'ordre à Harold de sortir en laissant l'ordinateur sur le siège. Une fois dehors, il voit, horrifié John partir.
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Carter discute avec la mère de Jessica en compagnie de Donnelly. En regardant sa photo, elle l'a trouve jolie et lui pose la question de savoir si elle et sa fille sont très proches. En effet, puisque elles se téléphonent presque tous les jours.
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| Donc, ils sont là parce qu'ils veulent lui poser des questions sur Peter. Donnelly confirme et veut savoir si, avant qu'il ne disparaisse, elle a connaissance des ennuis financiers de son gendre. Elle répond, étonnée, par la négative car il a un travail stable et une bonne situation. Sur ce, l'agent lui apprend qu'il doit trois millions de dollars à des créanciers. Elle leur explique que sa fille lui dit qu'ils connaissent une mauvaise passe, que Peter fait en sorte que tout s'arrange, tout cela avant l'accident. Voulant continuer, elle est interrompue par une sonnerie de portable.
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C'est pour Donnelly qui s'excuse pour prendre l'appel à l'extérieur. Joss veut savoir si la mauvaise passe est dû au problème d'argent ou de Peter. Mais non, ils sont heureux en ménage, malgré quelques différends, comme tous les couples. C'est à ce moment-là que Donnelly demande à Carter de venir pour lui donner l'information qu'un homme en costume agresse quatre Marshalls à leur bureau de New York, celle-ci est furieuse de l'apprendre, c'est pour cela qu'il va voir ce qu'il en est. Donc, il faut qu'elle de finir d'interroger la mère mais que ce n'est pas la peine, ils n'en sauront pas davantage. Pour en avoir le coeur net, elle appelle Harold pour avoir des explications mais, pour lui, la situation est sous contrôle. Ce que ne pense pas vraiment Carter. En même temps, il veut connaître l'avancement de l'enquête à New Rochelle. Elle ne pense que d'aller là-bas ne sert à rien, contrairement à Donnelly. Pour elle, Peter maquille le meurtre de son épouse en accident. C'est justement son travail d'intervenir en amont mais cette fois-ci, il est trop tard. Elle ne comprend pas le lien entre John et toute cette affaire. Harold est-il certain de lui avoir tout dit ? Il lui dit qu'elle trouvera bien des informations par elle-même et coupe la communication.
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| Elle reprend la conversation avec la belle-mère de Peter concernant leurs différends. Ce n'est juste que quelques disputes, pas la peine de l'évoquer plus. Carter lui demande si ces disputes sont juste verbaux ou peut-être des violences physiques. Mais elle ne comprend pas ce que Joss insinue dans son propos. Gênée, elle lui dit simplement que ce ne sont que des questions de routines, ce n'est pas grave et la laisse tranquille. Selon elle, malgré des défauts, Peter aime beaucoup son épouse et puis il est beaucoup mieux que l'ex de Jessica. Elle est étonnée de savoir que celle-ci connaît quelqu'un d'autre avant Peter. En effet, elle a une aventure avec un soldat, c'est au moment où elle se trouve à Tacoma. Mais sa mère ne sait pas comment il s'appelle car ils ne sont pas restés longtemps ensemble, car il est souvent en service et elle est restée souvent seule. Ce n'est pas vraiment une vie, en plus il lui fait bien comprendre qu'elle ne doit pas l'attendre. Elle évoque avec nostalgie que si sa fille a fait le choix de l'attendre, peut-être ce serait aujourd'hui différent, heureuse et encore en vie. Dans la conversation, Joss lui demande si elle a une photo de lui. Elle en a pas mais elle garde quelques affaires et lui donne l'autorisation de les regarder. En fouillant dans les cartons, elle trouve une boîte contenant quelques des bijoux et trouvant un petit tiroir avec en dessous une photographie : c'est John et Jessica.
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Elle téléphone à son ami, Gene, afin d'obtenir de manière non officiel et à elle uniquement, le dossier militaire de John, membre des forces spéciales, affecté à Fort Lewis entre juin et septembre 2001.
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| John suit la trace de Jennings et de son épouse lorsqu'il reçoit un appel d'Harold. Celui-ci veut savoir ce qu'il fera de Jennings une fois rattrapé. Il lui rétorque qu'il le mettra hors de portée de Sarah, de toute façon, le Marshall a eu sa chance, il ne l'a pas saisi. Vu les circonstances, il vaut mieux faire intervenir la police. Énervé, John fait savoir que s'il est engagé, c'est pour faire le travail, donc si ses méthodes ne conviennent pas à son employeur, qu'il prenne quelqu'un d'autre et coupe la communication. Justement, la Machine trouve Jennings qui prend une chambre. Pendant ce temps, Harold téléphone à Joss qui lui demande si toute l'affaire de New Rochelle, le meurtre maquillé en accident, il le sait déjà. Il répond que la vérité n'est pas toujours bonne à savoir. En fait, il a un autre problème, John. Il ne va pas lui dire qu'il a encore perdu sa trace. Ce n'est pas ça, il connaît sa position mais il voudrait le raisonner mais il ne peut pas.
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Brad et Sarah Jennings rentrent dans la chambre et cette dernière a les mains attachés dans le dos. Elle veut savoir ce qu'ils font là. Pour lui, il veut juste qu'ils passent du temps, rien qu'elle et lui. Il ne sait pas ce qui s'est passé, ce qui leur a bien pu arrivé entre eux, mais il fait son possible pour tout arranger. Elle a maintenant aucune raison de s'enfuir. Il s'approche d'elle et lui demande si elle le croit. Terrifiée, elle hoche la tête en lui disant qu'elle le croît et il l'embrasse. Voyant qu'il se calme, elle veut qu'il lui retire les menottes. Comprenant son manège, il la frappe au visage. Énervé, il lui dit qu'il sait ce qu'elle pense, que c'est de sa faute, qu'il a ce qu'il mérite, mais qu'elle ne se rend pas compte du temps qu'il lui faut pour la retrouver. Elle est tellement apeurée, qu'elle se met à pleurer. Qu'est-ce qu'il lui faut de plus. Il aime plus que tout mais il faut en finir et la menace avec une arme. C'est à ce moment-là que le téléphone de la chambre sonne.
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| En fait, c'est John qui l'a fait sonné et rentre en défonçant la porte puis le frappe. Il enlève les menottes de Sarah et lui dit de partir, elle est libre. Mais où aller ? N'importe quel endroit, du moment qu'elle soit en sécurité. Elle quitte la pièce et le remercie. John dit au Marshall qu'elle est partie, c'est fini. Mais celui-ci se met à rire en lui disant qu'il n'a jamais été amoureux, qu'il ne sait pas ce qu'est le grand amour. John veut savoir pourquoi il dit ça. Si c'est le cas, il doit savoir que ce n'est jamais fini. En réalité, c'est terminé pour Jennings et lui donne un coup de poing.
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Carter est en voiture lorsqu'elle aperçoit un véhicule et met le gyrophare en route. Ils s'arrêtent et lorsqu'elle s'en approche, elle voit John et lui dit que c'est Harold qui lui indique sa position. Elle veut reprendre Jennings, cela ne doit pas se terminer comme à New Rochelle. Elle lui demande si elle peut regarder dans le coffre, il lui rétorque qu'elle fait ce qu'elle veut, cela ne changera rien à ses intentions. Elle veut vraiment l'emmener mais, de toute façon, il sera bientôt libre. Joss veillera à ce qu'il soit condamné mais cela ne dépend pas d'elle, peut-elle le comprendre. Il y a des limites aux choses qu'elle peut faire et c'est là qu'il intervient. Cela viendrait à dire qu'il peut exécuter des gens en toute impunité mais c'est impossible. Ça ne repose pas sur elle mais sur lui-même. Elle doit lui faire confiance, pas simplement ce qui est juste mais ce qui doit être fait. John reprend la route.
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| John rejoint Harold dans le parc où ils se sont rencontrés pour la première fois. Ce dernier se demande combien de temps il va avoir de ses nouvelles. En fait, il a des affaires à régler à l'extérieur de New York. Harold est certain que John doit comprendre qu'il ne devait pas être mêlé à l'affaire de Sarah Jennings. Mais ce dernier lui rétorque qu'il aurait dû lui en parler. Il est au courant pour New Rochelle, c'est un de ses numéros qui reviennent tout le temps. Ces événements sont intervenus avant qu'ils ne travaillent ensemble, ils ne pouvaient pas faire quelque chose pour s'en occuper. Harold lui donne une carte portant le nom d'Harold Wren et lui dit qu'il oublie de l'inclure dans son cadeau d'anniversaire. John la retourne et voit une adresse.
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Joss Carter reçoit le dossier de John et le consulte. Après l'avoir lu, elle le détruit, ainsi que le rapport de l'accident de voiture, en gardant simplement la photo trouvée à New Rochelle. Son portable sonne, c'est un certain Gustavo Pena, directeur d'une prison au Mexique, concernant l'arrestation de son fugitif. C'est le Marshall Jennings qui l'a livré à la police mexicaine en même temps que 10 kilos d'héroïne pure. Pour être sûr, elle lui donne une description physique de ce Marshall. Il confirme car elle est l'officier chargé de l'enquête et qu'il veut qu'elle soit informée. En plus, le fugitif restera très longtemps. Simplement, elle veut savoir combien il y a de détenus américains dans leur prison. Un ou deux. En réalité, ce Marshall n'est autre que John qui prend l'identité de Jennings pour le mettre hors de portée de son épouse.
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| John, justement, se rend à l'adresse indiquée par Harold et prend la clé. En ouvrant la porte, c'est simplement son nouvel appartement qui donne sur la place où il joue avec Han.
| Flash-backs :Les événements entre John et Jessica sont rappelés avec la citation "Quand vous trouvez la personne qui donne un sens à votre vie, vous devenez quelqu'un de différent, quelqu'un de meilleur. Mais quand cette personne vous ait enlevée, qu'est-ce que vous devenez ?"
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| John se trouve dans un bus, blessé, et un petit garçon lui demande si ça va et ce qui lui ait arrivé ; il lui répond qu'il a l'impression qu'il démissionne.
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Février 2011. John essaie de reprendre contact avec Jessica en l'appelant et se rend à l'hôpital où elle travaille. Une infirmière lui demande ce qu'il veut ; il cherche quelqu'un : Jessica Ardnt. Peut-être qu'elle ne travaille plus là car elle souhaite vivre ailleurs. Son interlocutrice est gênée car elle lui annonce que Jessica est décédée dans un accident de voiture il y a deux mois de ça. Choqué par la nouvelle, il pense qu'elle l'aurait attendue. Elle lui dit qu'elle peut lui donner le numéro de son mari mais pensif, il s'en va et percute un fauteuil roulant et la personne s'excuse.
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| Février 2011. Peter se trouve chez lui, prêt à s'en aller. Il regarde une photo de Jessica posée sur la table. John le surveille et le voit partir. Il en profite pour s'introduire chez lui et écoute avec nostalgie un message laissé par elle sur son portable ; il réfléchit à ce qu'il peut bien faire. Justement, en l'enregistrant, Peter veut savoir qui elle appelle ; pour elle, évidemment, c'est personne. Mais pour lui, il sait très bien qu'elle appelle quelqu'un.
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Il est toujours dans la maison des Arndt et visionne la vidéo avec Jessica et son mari. Il repense à ce qu'elle lui dit à l'aéroport pour ses fiançailles ; l'heureux élu est Peter. Il lui dit que, dans son métier, on lui apprend qu'à la fin, ils sont toujours seuls, personne peut les sauver. Qu'elle soit heureuse avec Peter. Mais pour elle, il ne le pense pas. Il doit juste lui demander de l'attendre et elle le fera. Il continue de regarder et fait un arrêt sur l'image de Peter et Jessica.
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| C'est la nuit et Arndt retourne chez lui et voit John. Il pense qu'il est là pour un problème de créancier ; en plus, il n'a pas son argent. John n'est pas là pour ça, de toute façon, Peter n'a plus rien de ce qu'il veut. Il souhaite savoir qui il est. C'est une très bonne question ; cela fait longtemps qu'il cherche la réponse. Il sait qui il était, juste celui qui l'a abandonnée, parce que la vraie raison, ce qu'il se persuade qu'elle mérite mieux que lui. Il croit qu'elle trouve quelqu'un qui sait s'occuper d'elle. Rien que pour elle, méritant une personne comme Peter. Peut-être qu'il peut lui dire. Mais quoi ? Qui il est censé être maintenant qu'elle n'est plus là. C'est à ce moment-là qu'il dit la phrase qui est évoqué en début d'épisode. Peter prend un tisonnier, prêt à le frapper mais John fonce vers lui.
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Retour sur l'hôpital, lorsqu'il apprend la mort de Jessica, on voit la personne qui se trouve dans le fauteuil roulant lorsque John le percute. C'est Harold qui s'excuse et regarde les photos des trois personnes, à savoir Peter, Jessica et John.
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_________________ "Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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