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Tag 28 sur Series of Interest Nonew10Sujet: Script VF - 1X11 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb
carine79

Réponses: 1
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Rechercher dans: Saison 1   Tag 28 sur Series of Interest I_icon_minipostSujet: Script VF - 1X11 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb    Tag 28 sur Series of Interest I_icon_minitimeDim 19 Juil - 6:37
Finch : On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret : une Machine. Elle vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je le sais parce que c’est moi qui l’ai créée. Je l’avais conçue pour prévenir des actes de terrorisme, mais la Machine voit tout. Tous les crimes impliquant des citoyens ordinaires, tels que vous. Des crimes dont le gouvernement se désintéresse. Alors, j’ai décidé d’agir à sa place. Mais il me fallait un associé, quelqu’un capable d’intervenir sur le terrain. Traqués par les autorités, nous travaillons dans l’ombre. Jamais vous ne nous trouverez. Mais victime ou criminel, si votre numéro apparaît, nous, nous vous trouverons.
 
SÉQUENCES – Toit du parkingZone NordCaméra 0220 heures 49 minutes 24 secondes ; Toit du parkingZone NordCaméra 1120 heures 50 minutes 13 secondes ; Toit du parkingZone NordCaméra 0920 heures 50 minutes 20 secondes ; Bord du parkingCaméra C23 heures 18 minutes 16 secondes
Evans : J’ai Reese en vue, coupez les caméras.
Snow : Il est temps de rentrer John, tout est pardonné.
Reese : Tu sais bien que jamais je ne rentrerai.
Pendant que les caméras sont désactivées, John se fait tirer dessus et riposte.
 
INTÉRIEUR – Bâtiment de la médecine médico-légaleNuit
Harold amène John, dans un brancard, à la médecine médico-légale afin de le faire soigner. Il demande à un médecin présent de le faire.
Médecin : (Voyant le brancard.) C’est le 3ème ce soir, cela doit être la pleine lune.
Finch : (Découvrant John, le médecin est surpris de le voir blessé.) Vous êtes Farouk Madani, vous étiez le meilleur chirurgien de Najaf. Vous ne pouvez pas vous payer de licence parce que vous envoyez tout votre argent à votre famille. (Déposant de l’argent sur la table.) Remettez-le sur pied, ne posez pas de question et votre avenir sera assuré. (Le médecin s’exécute.)
 
SÉQUENCES – Vue de la merPoste 4807 heures 30 minutes 30 secondes ; Angle de la 78ème et BroadwayNord-EstCaméra 027 heures 38 minutes 30 secondes ; EntréeCaméra de la sécurité7 heures 43 minutes 23 secondes
EXTÉRIEUR – Près de la maison de CarterMatinée
Joss descend des escaliers et s’aperçoit qu’il y a deux hommes postés sur le trottoir d’en face, mais également un camion suspect. Elle s’y rend et frappe dessus plusieurs fois.
Carter : Police, sortez de là. (Insistant, elle frappe de nouveau.) J’ai dit police, maintenant sortez.
Snow : (Se trouvant derrière elle.) Il y a un problème, lieutenant ?
Carter : (Se tournant, elle va le rejoindre.) J’espère que vous êtes plus discrets avec les terroristes.
Snow : C’est un bel immeuble, vous sortez combien de temps ?
Carter : Je comprends. Vous ne cherchez pas à être discrets, c’est moi qui me trompe.
Snow : Vous êtes la seule personne à avoir été en contact avec notre homme.
Carter : Si j’ai des nouvelles, je vous en ferai part mais tout ce cirque, ce n’est pas nécessaire.
Snow : Vraiment ? Je suis très étonné qu’il ait pu nous échapper. Je ne comprends pas comment il a fait.
Carter : Cette affaire ne me concerne plus, (commençant à s’en aller) alors, amusez-vous bien.
Snow : (Pendant que Joss se retourne.) Ça ne m’amuse pas plus que vous, Carter. On peut avoir des surprises à surveiller quelqu’un jour et nuit. Ça peut briser des carrières, des familles.
Carter : Menacer un membre de la police, c’est contre la loi, monsieur Snow.
Snow : Tout comme mentir à un agent fédéral. On se reverra. (Il s’en va.)
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de CarterJournée
Joss arrive dans les locaux de la police et va rejoindre son bureau. Énervée, elle enlève son manteau et le pose sur le bord de la chaise. Ne sachant pas quoi faire, elle souffle mais voyant son écran d’ordinateur où se trouve une fenêtre pour se connecter, elle regarde vers le bureau de son collègue Fusco, qui n’est pas là. Elle s’y rend.
Carter : (S’asseyant, elle regarde autour d’elle.) Alors, où pourrait-il cacher son… (Elle regarde dans le tiroir et voit un post-it où se trouve le mot de passe. Elle le tape sur le clavier et voit les images des caméras de vidéosurveillance lors du braquage des scellés. Elle fait un zoom sur une image où se trouve Harold parlant à John. En outre, on voit le nom du témoin, Norman Burdett, l’un des alias d’Harold.) Ce type est son associé et ça fait des semaines que j’ai son numéro de portable. (Elle appelle au numéro indiqué sur l’image.)
Voix : Le numéro que vous demandez n’est pas en service actuellement. Nous…
Carter coupe la communication et tape un autre numéro. Pendant ce temps, Lionel arrive.
Fusco : Tu n’as qu’à rédiger mes rapports, tant que t’y es.
Carter : (Levant le doigt vers Lionel pour qu’il attende.) Oui, lieutenant Carter de la police de New York, j’ai besoin de renseignements sur un portable qui n’est plus en service. Oui. Le nom est Burdett Norman ; 917-555-0131.
Fusco : (Regardant l’image.) Qui c’est ce type ?
Carter : C’est ce que j’essaie de savoir.
SÉQUENCE – BoxCaméra 048 heures 12 minutes 40 secondes
 
La frise chronologique passe de 2012 à 2005.
SÉQUENCE – ParcSection 28Caméra F – 12 heures 05 minutes 00 seconde
EXTÉRIEUR – Dans un parcJournée
Harold est en train de courir lorsqu’il s’arrête près d’un arbre. Il regarde vers un homme et une femme en train de discuter. Il met une oreillette.
Nathan Ingram : (Via un micro.) Je croyais que seul votre patron était autant entouré.
Alicia Corwin : (Via un micro.) Désolée pour toutes ces précautions.
Nathan Ingram : Alors, qu’est-ce qui vous amène de Washington ?
Alicia Corwin : Vous.
Nathan Ingram : Je suis très flatté, Alicia.
Alicia Corwin : Il n’y a pas de quoi. Mes collègues veulent des réponses. Votre entreprise a été alimentée par la NSA pendant trois ans.
Nathan Ingram : Pas mon entreprise. Juste moi.
Alicia Crowin : Si le Congrès venait à savoir que vous construisez cette Machine, que vous accédez librement à toutes les données que nous rassemblons sur les citoyens américains, non seulement vous fermeriez boutique mais, en plus vous iriez en prison.
Nathan Ingram : Est-ce qu’ils nous laisseraient partager la même cellule.
Alicia Corwin : Il nous faut des progrès, Nathan, sinon on débranche tout. (Recevant un bout de papier de Nathan.) Qu’est-ce que c’est ?
Nathan Ingram : Un progrès.
Alicia Corwin : (Regardant le papier où sont notés des chiffres.) Neuf chiffres.
Nathan Ingram : Le renseignement, c’est votre domaine. Vous allez trouver.
Alicia s’en va.
 
SÉQUENCES – ParcSection 27Caméra C12 heures 06 minutes 07 secondes ; ParcSection 24Caméra A12 heures 08 minutes 15 secondes
Nathan et Harold se retrouvent et on un carré jaune autour d’eux.
Nathan Ingram : Un jour, j’aimerai que ce soit toi qui aille la rencontrer pendant que je serai tapi dans l’ombre.
EXTÉRIEUR – Dans un parc - Journée
Finch : Tu ne saurais pas être discret.
Nathan Ingram : Ce numéro qu’on lui a donnée, pourvu que ça fonctionne.
Finch : Ça fonctionnera.
Nathan Ingram : Comment ?
Finch : Je ne sais pas trop pourquoi, mais la Machine est fiable.
 
SÉQUENCE – ParcSection 24Caméra A12 heures minutes 34 secondes
Finch : Aie un peu confiance.
Nathan Ingram : En toi ou en la Machine ?
 
La frise repasse de 2005 à 2012
 
SÉQUENCES – Haut du toit(W)08 heures 20 minutes 54 secondes ; Sud-EstCaméra 1208 heures 20 minutes 57 secondes ; Entrée du parc - #2808 heures 21 minutes 01 seconde
La Machine tente de retrouver son atout, c’est-à-dire John, dans un bâtiment, elle le retrouve grâce aux caméras, il se trouve dans un appartement.
Trask : Entrez, monsieur Hayes.
INTÉRIEUR – Dans un appartementJournée
Trask : C’est ici. Attention où vous mettez les pieds. (Voyant John en fauteuil roulant.) Ah, excusez-moi, c’est stupide. C’est une sorte de tique du langage, ne le prenez pas mal. Il y a des rampes d’accès un peu partout et si vous avez besoin d’aide…
Reese : (Entrant dans l’appartement, il regarde autour de lui.) Je serai sur pied dans quelques jours.
Trask : Bon, mais en cas de souci, appelez-moi. Je suis le concierge, je m’appelle Trask. Je ne vous l’avais pas déjà dit, ça ?
Reese : Si, deux fois.
Trask : Ah, je me fais vieux, je radote. Il n’y a pas si longtemps pourtant, je faisais la fête jusqu’à l’aube à Miami. J’ai eu jusqu’à six boîtes de nuit là-bas. J’avais un manoir à Coral Gables, un tigre blanc du Bengale. J’ai dû tout arrêter pour raison de santé. Mais parlons de vous, vous êtes de quel coin ? Vous faites quoi ? Qu’est-ce qu’il vous est arrivé ?
Reese : (Se retournant.) J’ai eu une dure soirée.
Trask : (Se rapprochant de John.) Voilà les clés. En cas de besoin, mon numéro est sur le porte-clés. Mon nom, non… c’est bon.
Il quitte l’appartement et c’est à ce moment-là qu’Harold arrive.
Finch : Cela vous convient-il, monsieur Reese ? (Il enlève son manteau.)
Reese : Bel endroit. (Il se retourne.) Ça me gêne que vous vous soyez donné autant de mal.
Finch : Ne vous en faites pas. Je pensais que vous étiez fatigué des hôtels et, dans l’état où vous êtes, je me suis dit qu’un hébergement offrant un peu de discrétion s’imposait.
Reese : Où est notre ami Snow ?
Finch : Il se préoccupe du lieutenant Carter en ce moment.
Reese : Et elle va bien ?
Finch : Ne croyez pas que je ne partage pas votre inquiétude pour celle qui a voulu vous livrer à la CIA mais…
Reese : Elle nous a laissés filer, alors. Je vous demande de veiller sur elle pour moi, le temps que je me repose.
Finch : À ce propos…
Reese : Je ne suis pas ici pour me reposer ?
Finch : J’ai bien peur que la Machine n’attende pas.
Reese : Alors, qui est le prochain numéro sur la liste ?
Finch : Il sort d’ici.
Reese : Le concierge ?
 
EXTÉRIEUR – Dans le jardin de la résidenceJournée
Trask est en train de tailler des fleurs d’un jardin.
Trask : (À un résident.) Monsieur James, j’ai reçu votre pomme de douche.
James : Ah, merci.
Trask : Vous allez bien, madame Park ?
Madame Park : Très bien, merci.
Trask : N’abuse pas du téléphone, Aaron, c’est mauvais pour le cerveau.
Aaron : Non, merci Ernie.
Trask : Lily, le cordon bleu qui a de si jolis yeux.
Lily : Merci Ernie. Vous avez trouvé ça tout seul ?
Finch : (Hors cadre.) Trask, Ernest, 51 ans. Né en Floride
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementJournée
Finch : À Goodland, 394 habitants. (Regardant par la fenêtre.) Il est rare que ce genre de bourgade soit un modèle de précision en matière d’archives. Mais j’y ai retrouvé son dossier scolaire.
Reese : Mais pour le reste, pas de tigre blanc, pas de manoir et pas de boîtes de nuit.
Finch : Monsieur Trask semble avoir beaucoup d’imagination. Vous n’avez pris aucun bagage.
Reese : (Montrant son arme.) Je voyage léger. Une idée sur le type de menace ?
Finch : Non, aucune. Il est concierge depuis 14 ans. Il habite sur son lieu de travail. Donc, si Trask doit être impliqué dans quoi que ce soit, cela se produira sûrement ici.
Reese : (Se retournant.) Combien de personnes vivent ici ?
Finch : 241.
Reese : Cela fait donc autant de suspects.
Finch : Oui ou tout simplement un. J’ai pris la liberté de consulter les factures téléphoniques en ligne de Trask. Il a appelé trois prêteurs sur gages la semaine dernière, du genre spécialisé dans la vente confidentielle d’armes de poing en dehors du circuit légal. Trask pourrait avoir l’intention de tuer quelqu’un.
Vue sur Trask en train de tailler des roses.
 
SÉQUENCE ­– Precinct ParkingCaméra 0314 heures 58 minutes 05 secondes
EXTÉRIEUR – Dans une rueJournée
Snow s’approche de la camionnette qui lui sert de planque de surveillance.
Evans : Eh bien, et moi alors ?
Snow : Le café, ça se mérite. Je t’avais servi Reese sur un plateau et tu l’as raté.
Evans : Je ne tirais pas pour le tuer. Tu avais dit que tu voulais l’interroger sur ce qui s’était passé à Ordos.
Snow : J’avais dit si possible, ce n’était pas une priorité. (Regardant vers l’ordinateur où se trouve les images de Carter à son bureau.) Qu’est-ce qu’elle fabrique ?
Evans : Apparemment, elle s’occupe de la paperasserie. Elle ne se sert ni de l’ordi, ni du téléphone.
Snow : Et Reese ?
Evans : On vérifie tous les hôpitaux, les cliniques, les morgues dans un rayon de 500 kilomètres. Si quelqu’un l’a soigné, on repérera sa piste.
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementJournée
Finch : J’espère que ça ne vous dérange pas mais, en plus du matériel informatique (montrant quelques livres), je vous ai apporté un peu de lecture. (Prenant un coussin dans une boîte.) Ainsi qu’un petit cadeau pour votre confort personnel.
Reese : Merci.
Finch : Vous voulez l’essayer ?
Reese : Non, non, je me sens très bien.
Finch : (Rangeant le coussin.) Vous me remercierez plus tard.
Reese : À première vue, Trask a l’air d’être inoffensif, mais faut pas s’y fier. S’il a acheté une arme, je suis curieux de savoir pourquoi.
Finch : (Branchant des câbles.) Il n’y a pas 36 moyens.
Reese : (Regardant l’écran d’ordinateur.) On va pirater son réseau Wi-Fi ?
Finch : (S’asseyant à une table sur laquelle se trouve un ordinateur.) Le sien et tous les autres. Si la menace est dans cet immeuble, il faut qu’on connaisse nos voisins.
Reese : Vous êtes déjà sur 16 réseaux ?
Finch : En général, quand un fournisseur installe le Wi-Fi, le numéro de téléphone sert de mot de passe et la plupart des gens ne le changent pas. Pour les autres, ça ne prendra qu’une minute de plus. (Les caméras de vidéosurveillance sont en place, on voit les images des différents endroits de l’immeuble.) Une fois connecté, on a accès à toutes les images transmises par les web-cam, les systèmes de vidéosurveillance privée, et les ordinateurs portables branchés sur le réseau.
Reese : Tout comme la Machine.
Finch : En quelque sorte. À la différence près que la Machine voit tout dans le monde entier.
Reese : (Voyant Lily avec un autre homme sur une image de la caméra de vidéosurveillance.) Tiens, Lily le cordon bleu sort avec Rick, le type dans l’appartement avec terrasse.
Finch : Hmm.
Reese : (Regardant une autre image.) Quant à Amber du 714, elle est… elle est en pleine forme.
Finch : Je ne pense pas que ce soit ce qui a alerté la Machine. (Une tasse à la main, il regarde sur le côté.)
Reese : (Prenant des photos d’un homme et d’une femme qui fait montrer que sa boîte est vide.) J’ai peut-être une piste. Doug Stanley, l’agent de sécurité, il est à la recherche d’un type qui aurait volé des bijoux chez certaines résidentes.
Finch : Alors, peut-être que Trask est le voleur et qu’il a l’intention de tuer Doug pour couvrir ses méfaits.
Reese : Ou alors Trask sait qui est le voleur et a peur d’être tué.
Finch : (En mangeant, il suit toujours les images des caméras.) Là, c’est le propriétaire, Alan Holt. (L’homme discute avec Trask.)
Reese : Il n’a pas l’air de considérer Trask comme un employé modèle. Il est possible que l’employé ait envie de liquider son patron.
 
SÉQUENCES – 22 FBalcon E16 heures 12 minutes 37 secondes ; 27ème étage ; Vue de la rue16 heures 18 minutes 24 secondes
INTÉRIEUR – Dans un appartement - Journée
Finch : (Mettant une photo sur un tableau où s’y trouvent d’autres photos.) Pourquoi la Machine nous a-t-elle donnés son numéro ? Trask est-il menacé ou est-il la source du problème ?
Reese : Ce n’est pas en regardant le mur qu’on trouvera la réponse. Il va falloir aller sur le terrain. (John fait montrer qu’il ne peut pas parce qu’il est en fauteuil roulant, Harold comprend qu’il n’a pas le choix.)
Finch : Je vois.
 
SÉQUENCES – CourCaméra 0316 heures 51 minutes 30 secondes ; Hall ACaméra 01 ; 16 heures 51 minutes 32 secondes ; Escalier 6Caméra 0416 heures 51 minutes 33 secondes
INTÉRIEUR – Dans l’immeubleDans les escaliersJournée
Finch : (Activant son oreillette.) Je suis en position. Faites vite, s’il vous plaît.
INTÉRIEUR – Dans l’appartement - Journée
Reese : (Au téléphone ; il a provoqué une fuite dans le lavabo en la cassant.) Monsieur Trask, John Hayes du 521, j’ai un petit problème. (Tapant avec le marteau.)
Trask : (Au téléphone.) J’arrive tout de suite.
 
INTÉRIEUR – Dans l’immeubleDans les escaliers - Journée
(Sortant de son appartement, il monte les escaliers.) Décidément, je ne peux jamais être tranquille.
Harold sort de sa cachette et entre dans l’appartement de Trask. Prenant quelque chose de sa poche et le pose.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartementJournée
Finch : (Au téléphone.) J’ai posé les caméras, monsieur Reese. Je commence à fouiller.
Trask : (Tentant de réparer.) La dernière fois que j’ai vu autant de dégâts, c’est quand un ouragan a détruit mon yacht. On dirait que quelqu’un y est allé au marteau. (John se met à sourire.)
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement de TraskJournée
Finch : (Continuant de fouiller.) Je ne vois aucune arme. (Ouvrant un tiroir, il sort une boîte de cartouches.) Mais s’il a des cartouches, ce n’est pas pour en faire collection. Alors, sur qui veut-il tirer ?
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartementJournée
Trask : Et bien sûr, je n’ai pas le bon outil. (Se relevant, il commence à partir.) Je reviens tout de suite.
Reese : (Activant son oreillette.) Trask a besoin d’une pince universelle. Il resdescend.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement de TraskJournée
Finch : D’accord, une minute.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartementJournée
Reese : (Regardant vers les images de la caméra.) Attention, il arrive, il est déjà dans la cour.
Homme : (Se faisant bousculer par Trask.) Regardez où vous allez, Trask. (Trask continue sa route.)
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement de TraskJournée
Reese : (Au téléphone.) Finch.
Finch : (Ayant trouvé des photos de Lily, il les regarde une par une.) Il est obsédé par cette fille. Apparemment, on n’est pas les seuls à épier nos voisins, monsieur Reese.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartementJournée
Reese : Harold, sortez tout de suite de là.
 Harold quitte l’appartement de Trask. Dans le couloir, il se retrouve nez-à-nez avec lui.
 
SÉQUENCES – CourCaméra 0817 heures 14 minutes 21 secondes ; Escaliers 4Caméra 0517 heures 14 minutes 23 secondes
Reese : Finch, vous êtes sorti à temps ? (N’entendant aucune réponse.) Harold.
 
INTÉRIEUR – Dans les escaliersJournée
Trask descend les escaliers et voit que la porte de son appartement a été ouverte. Harold appelle l’ascenseur.
Trask : Mais qu’est-ce que ? (Harold arrive à entrer dans l’ascenseur.) Hé, revenez, qu’est-ce que vous foutez chez moi ?
 
INTÉRIEUR – Dans l’ascenseurJournée
Finch : (Activant son oreillette.) Un coup de main me serait bien utile.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartementJournée
Reese : D’accord, une seconde. (Regardant Trask sur la vidéo.) Il va mettre l’ascenseur hors circuit.
Harold sort in extremis de l’ascenseur avant que ce dernier ne fonctionne plus.
 
INTÉRIEUR – Dans les escaliersJournée
Trask : (Au talkie-walkie.) Sécurité, ici Trask.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartementJournée
Reese : Il monte par l’escalier ouest.
 
INTÉRIEUR – Dans le couloirJournée
Reese : (Au téléphone ; pendant qu’Harold marche rapidement.) Tournez à droite, escalier est…
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartementJournée
Reese : Trois volées de marches et vous serez chez nous. Mais faites vite, il sera à votre étage dans 40 secondes.
 
INTÉRIEUR – Dans le couloirJournée
Finch : J’ai l’impression d’être un rat de laboratoire. Comment vous supportez ça d’habitude ? (Dans le couloir, il trouve l’agent de sécurité.)
Trask : (Au talki-walkie.) Doug, j’ai surpris un cambrioleur. Il sortait de mon appartement.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartementJournée
Reese : (Continuant à regarder les images.) Continuez à avancer. Tout ira bien.
 
INTÉRIEUR – Dans le couloirJournée
Trask : (Au talki-walkie.) 1m75, des lunettes, il boite un peu.
 
INTÉRIEUR – Dans les escaliersJournée
Trask : C’est peut-être le voleur que tu recherche.
INTÉRIEUR – Dans le couloirJournée
Doug : (Voyant Harold continuer son chemin.) Hé. (Harold se retourne, l’homme lui fait signe de le rejoindre.)
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartementJournée
Reese : (Prenant l’ordinateur portable.) Qu’est-ce que cet agent de sécurité faisait dans cet appartement ?
Pendant ce temps, Harold est fouillé par l’agent.
Reese : (Regardant les images où l’on voit Doug en train de voler des bijoux.) Finch, je suis sûr que Doug sait que vous n’êtes pas le voleur.
 
INTÉRIEUR – Dans le couloirJournée
Reese : (Au téléphone.) Puisque c’est lui, je vous en envoie la preuve.
Doug : (Prenant le téléphone d’Harold.) Chouette téléphone.
Finch : Je peux vous montrer quelque chose. (Faisant montrer la vidéo à Doug.)
Trask : (Au talkie-walkie.) Doug, tu es là-haut. Tu l’as intercepté ?
Finch : Soit on appelle la police, soit on oublie mutuellement que nous nous sommes rencontrés.
Trask : (Au talkie-walkie.) Je vais vérifier le premier étage.
Doug : (À Trask.) Il n’est pas au deuxième.
Les deux hommes se séparent.
Finch : Donc, Trask est armé. Il fait une fixation malsaine sur Lily et il vient de me poursuivre sur trois niveaux. Tout porte à croire que la menace vient de lui.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartementJournée
Reese : Je ne sais pas, vous devriez peut-être demander confirmation à la Machine.
 
SÉQUENCE – 2FHall ECaméra 0217 heures 15 minutes 27 secondes
Finch : Vous ne vous lasserez jamais de me taquiner.
 
La frise chronologique passe de 2012 à 2005.
FLASH-BACK
SÉQUENCE – IFTPlazaSécurité #0514 heures 03 minutes 11 secondes
INTÉRIEUR – Dans le bureau de Nathan Ingram - Journée
Harold, fermant la porte derrière lui, commence à courir dans le bureau de Nathan Ingram.
Nathan Ingram : Harold, qu’est-ce qu’il se passe ? (Voyant Harold mettre une clé USB et jetant un gobelet de café sur le clavier de l’ordinateur, ce qu’il fait que le système est détruit.) Mais qu’est-ce que tu…
Finch : On a de la visite.
Deux femmes et un homme arrivent dans le bureau d’Ingram.
Alicia Corwin : Désolée d’arriver à l’improviste.
Nathan Ingram : Ce n’est pas une visite de courtoisie, je suppose.
Une femme dit quelque chose à l’oreille d’Alicia et s’en va.
Nathan Ingram : (Se tournant vers Harold.) Il travaille ici. Même moi il m’arrive d’avoir besoin d’un soutien technique. (Harold s’en va, laissant un stylo sur la table.)
Alicia Corwin : (Scrutée par la caméra située dans le stylo ; elle présente l’homme qui vient d’arriver.) Vous connaissez monsieur Weeks, n’est-ce pas ? Notre directeur adjoint.
Nathan Ingram : (Se tournant vers Weeks.) L’homme qui décide. J’espère que je n’ai pas d’ennui.
Denton Weeks : Les neuf chiffres que vous nous avez donnés, sont ceux du numéro de sécurité sociale d’un certain Gordon Kurzweil. Et il est des notre.
 
INTÉRIEUR – Un bureau de l’IFTJournée
Harold suit la conversation dans une pièce avec son ordinateur.
Denton Weeks : Il est dans le renseignement militaire, classé secret défense. Pendant 20 ans, le FBI n’a rien trouvé à lui reprocher.
SÉQUENCE – Pen cam 8714 heures 04 minutes 53 secondes
La Machine reconnait Nathan Ingram d’où il a un accès autorisé en tant qu’exécutif. Il a un carré jaune autour de sa tête.
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau de Nathan Ingram - Journée
Denton Weeks : On a surveillé Kurzweil pendant deux semaines (montrant une photo) sans résultat. Et au moment où on commençait à croire que vous nous aviez bernés, ça a payé. Le type prend sa voiture
SÉQUENCE – Pen cam 8714 heures 05 minutes 09 secondes
La Machine continue d’identifier les personnes présentes.
Denton Weeks : (Via la reconnaissance vocale.) Il se rend dans un parc à Bethesda où un homme d’affaires syrien laisse tomber son téléphone. Kurzweil le ramasse.
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau de Nathan Ingram - Journée
Denton Weeks : Et en envoyant des SMS codés, il organise la vente au gouvernement iranien de 13 kilos d’uranium enrichi propre à un usage militaire.
Nathan Ingram : Donc, le renseignement était juste.
Denton Weeks : Oui, mais ce que j’aimerai que vous m’expliquiez, c’est comment un programme informatique peut repérer un traître, là où des agents fédéraux ont échoué.
Nathan Ingram : Honnêtement, je n’en sais rien. La Machine donne des renseignements pertinents juste à temps pour écarter toute menace sur la sécurité nationale. Mais les rouages de son système, c’est une boîte noire.
 
SÉQUENCE – Per cam 8714 heures 05 minutes 43 secondes
La Machine reconnait Alicia Corwin mais son accès à celle-ci n’est pas autorisé. Le carré blanc se transforme en carré jaune.
Denton Weeks : (Via la reconnaissance vocale.) Et si nous voulions diriger cette Machine vers une cible particulière ?
 
INTÉRIEUR – Un bureau de l’IFTJournée
Harold qui continue à suivre la discussion.
Nathan Ingram : Pas besoin.
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau de Nathan Ingram - Journée
Nathan Ingram : Elle observe déjà toutes les cibles.
Alicia Corwin : Vous nous demandez d’avoir une confiance quasiment aveugle dans ce projet. Un programme informatique qu’on ne peut ni inspecter, ni contrôler, ni modifier, qui nous nous fournit des renseignements qu’à sa guise.
Nathan Ingram : Quand il perçoit une menace. Écoutez, je suis désolé, mais c’est le seul moyen de garantir notre protection et celle de ce formidable outil. Si c’est une Machine qui observe les gens et non des individus, aucune entorse n’est faite à la Constitution.
 
SÉQUENCE – Per cam 8714 heures 06 minutes 16 secondes
La Machine, après avoir reconnu Ingram puis Alicia, elle reconnait désormais la troisième personne, à savoir Denton Weeks. Son accès lui est aussi interdit. Le carré blanc devient également jaune.
Denton Weeks : (Via la reconnaissance vocale.) Concentrez-vous sur vos ordinateurs, monsieur Ingram et laissez-nous nous débrouiller avec la Constitution.
Nathan Ingram : (Via la reconnaissance vocale.) Je suis moi aussi un citoyen.
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau de Nathan Ingram - Journée
Nathan Ingram : Et je préfère de loin me savoir observer par cette Machine que par des gens comme vous.
 
INTÉRIEUR – Un bureau de l’IFTJournée
Alicia Corwin : (Via la reconnaissance vocale.) Donc, cela restera un système complètement autonome,
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau de Nathan Ingram - Journée
Alicia Corwin : verrouillé de toutes parts ? (Nathan acquiesce.)
Denton Weeks : Tout ce qu’on aura c’est… un numéro ?
Nathan Ingram : Il vous a fallu autre chose pour épingler Kurzweil ? La Machine vous a dit de le surveiller et vous l’avez fait. C’est une boîte noire et ça le reste. C’est à prendre ou à laisser.
Denton Weeks : Je n’ai pas pour habitude de céder aux ultimatums. Et si vous ne pouvez nous fournir qu’un programme à moitié bancal, peut-être devrions-nous réétudier la question du prix.
Nathan Ingram : Rappelez-nous donc le tarif que nous avons négocié, Alicia.
Alicia Corwin : Monsieur Ingram considère ce projet comme un devoir de citoyen et non comme une œuvre mercantile. Il nous cède la Machine pour un seul et unique dollar.
Denton Weeks : (Se mettant à sourire.) Je suppose que je n’ai pas le choix.
 
INTÉRIEUR – Un bureau de l’IFTJournée
Harold : (Voyant que Denton Weeks est une menace pour le système car son accès lui est refusé.) Je sais, je sais.
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