Superest l'abréviation commune de "superintendent" correspondant au gardien d'un immeuble. Titre français : Fenêtre sur cour Flashbacks : Harold Finch, Nathan Ingram, Alicia Corwin, Denton Weeks et la Machine Pitch : Pendant que Reese est en convalescence, c'est Finch qui prend le relais sur le terrain : le nouveau numéro est celui du concierge de l'immeuble où Reese se repose.
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Source : Site officiel
N° épisode : 011 Scénariste : David Slack Réalisateur : Stephen Williams Acteur(s) récurrent(s) : Brett Cullen (Nathan Ingram), Elizabeth Marvel (Alicia Corwin), Michael Kelly (Mark Snow) Cotter Smith (Denton Weeks), Darien Sills-Evans (Tyrell Evans) Acteur(s) invité(s) : David Zayas (Ernie Trask), Kelli Barrett (Lily Thornton), Bill Heck (Rick Morris)
Diffusion : 12 janvier 2012 sur CBS (14,86 millions de téléspectateurs) 25 septembre 2012 sur La Une (216 200 téléspectateurs) 14 novembre 2012 sur V (? téléspectateurs) 27 mars 2013 sur TF1 (6,60 millions de téléspectateurs)
Citations :
Finch : Vous êtes Farouk Madany, vous étiez le meilleur chirurgien de Najaf. Vous ne pouvez pas vous payer de licence parce que vous envoyez tout votre argent à votre famille. Remettez-le sur pied, ne posez pas de quetions et votre avenir sera assuré. Finch : Your name is Farouk Madany. You were the best surgeon in Najaf. You can't afford a license in the States, you send your money home to family. Stitch him up. No questions asked. And you can be a doctor again.
Carter : Ce type est son associé et ça fait des semaines que j'ai son numéro de portable. [...] Oui, lieutenant Carter de la police de New York. J'ai besoin de renseignements sur un portable qui n'est plus en service. Oui, le nom est Burdett, Norman, 917-555-0131. Carter : This guy's his partner and it turns out I've had his phone number for weeks, now. [...] Hi, Detective Carter, N. Y. P. D. I need all the locations data you've got on a disconnected cell phone. Yeah, name's Burdett, Norman. 917-555-0131.
Alicia : Désolée pour toutes ces précautions. [...] Il n'y a pas de quoi. Mes collègues veulent des réponses. Votre entreprise a été alimenté par la NSA pendant trois ans. Si le Congrès venait à savoir que vous construisez cette Machine, et que vous accédez librement à toutes les données que nous rassemblons sur les citoyens américains, non seulement vous fermeriez boutique, mais en plus vous iriez en prison. Il nous faut des progrès, Nathan, sinon on débranche tout. Alicia : Sorry about all the cloak-and-dagger. [...] Don't be. My people want answers. Your company's had the NSA feeds for three years. If Congress knew about this machine you're building about the unfettered access we've given you to all the data we're compiling on U. S. citizens, you wouldn't just be shut down, you'd go to jail. We need progress, Nathan, or we're pulling the plug.
Nathan : Je croyais que seul votre patron est autant entouré. [...] Alors, qu'est-ce qui vous amène à Washington ? [...] Je suis très flatté, Alicia. Pas mon entreprise, juste moi. [...] Un progrès. Le renseignement, c'est votre domaine. Vous allez trouvé. [...] Un jour, j'aimerais que ce soit toi qui aille les rencontrer pendant que je serais tapi dans l'ombre. [...] Ce numéro qu'on lui a donnée, pourvu que cela fonctionne. [...] En toi ou en la Machine ? Nathan : I thought these folks were just for your boss. So, what brings you up from D. C. [...] Ah, I'm flattered, Alicia. Not my company, just me. [...] It's progress. You work in intelligence. Figure it out. [...] For once, I'd like you to handle one of these meetings while I lurk in the shadows. [...] That number we gave her better pan out. [...] In you, or in the machine?
Harold : Tu ne serais pas être discret. [...] Cela fonctionnera. Je ne sais pas trop pourquoi. Mais la Machine est fiable. Fait un peu confiance. Harold : You couldn't lurk if you tried. It will. I don't know. But the machine does. Have a little falth, Nathan.
Trask : Il n'y a pas si longtemps pourtant, je faisais la fête jusqu'à l'aube à Miami. J'ai eu jusqu'à six boîtes de nuit. J'avais un manoir à Coral Gables, un tigre blanc du Bengale. J'ai dû tout arrêté pour raisons de santé. Trask : It seems like yesterday I was partying till dawn down in Miami. Used to own six nightclubs down there. Mansion in Coral Gables, a white Bengal tiger. I had to give all that up. Bad for my health.
Weeks : Les neuf chiffres que vous nous avez donnés sont ceux du numéro de sécurité sociale d'un certain Gordon Kurzweill. Et il est des notres. Il est dans le renseignement militaire. Classé secret défense. Pendant vingt ans le FBI n'a rien trouvé à lui reprocher. On a surveillé Kurzweill pendant deux semaines, sans résultat. Et au moment où on commençait à croire que vous nous aviez berné, ça a payé. Le type prend sa voiture, il se rend dans un park à Betheseda, où un homme d'affaires syrien laisse tomber son téléphone, Kurzweill le ramasse et en envoyant des SMS codés, il organise la vente au gouvernement iranien de 13 kilos d'uranium enrichi propre à un usage militaire. [...] Oui, mais je ce que j'aimerais que vous m'expliquiez, c'est comment un programme informatique peut repérer un traitre ? Là où des agents fédéraux ont échoué. Weeks : The nine digits you gave us are the socia security number of a man named Gordon Kurzweill. He's one of ours. He's a DIA case officer. Top secret clearance been acing FBI background checks for 20 years. We surveilled Kurzweill for two weeks. Got nothing. When we were thinking you sold us a bill of goods he breaks pattern, goes for a drive. At a park in Betheseda, a Syrian businessman drops his phone, Kurzweill picks it up and via coded SMS, he arranges to sell 26 pounds of weapons-grade uranium to the Iranian government. What I need you to explain to me is how did some damn computer program spot a traitor when federal agents couldn't?
Finch : Vous perdez votre temps, lieutenant, j'ai falsifié les données de localisation ce matin. Vous croyez qu'en me trouvant, vous remonterez jusqu'à mon associé ? Vous cherchez toujours à l'arrêter ? Et maintenant vous voulez quoi ? Tournez-vous lieutenant. [...] Quand j'ai eu 9 ans, mes frères ont décidé qu'il était temps que je sache nager et pour ça, ils m’ont lâché dans une piscine profonde. Il m'a fallu quelques minutes mais je m'en suis sorti. Vous voyez cet homme, lieutenant ? Il s'appelle Derek Watson, il a 39 ans. Il n'a plus de travail depuis plus d'un an. Il a essayé de faire face en hypothéquant sa maison, malheureusement, cela n'a pas suffi. Il a perdu sa maison. Et sa femme a fini par le quitter. Derek Watson est sur le point d'être impliqué dans un crime violent. Je ne sais pas exactement ce qu'il va faire, mais il va se passer quelque chose, croyez-moi. Vous avez votre arme de service, lieutenant ? Désolé de vous jeter à l'eau comme ça. Mais comme vous le savez, mon ami est indisponible. Finch : You're wasting your time, detective. I falsified the location data this morning. Do you think finding me will lead you to my partner? Are you still trying to make that arrest? What do you want now? Turn around, Detective. [...] When I was 9 years old, my brothers decided I needed to learn to swim, so they tossed me into the deep end. Took a few minutes, but I figured it out. Do you see that man, detective? His name is Derek Watson, 39 years old. Eighteen months ago, he lost his job. He tried to keep up with the mortgage as best he could but the money ran out, eventually. Lost his house. And his wife left soon after. Derek Watson is about to be involved in a violent crime. I don't know what, exactly. But believe me something is going to happen. Bring your service weapon, detective? Sorry to toss you into the deep end. But as you know, my friend is indisposed.
Finch : [...] Tu veux que je soulève le voile ? Novembre 2002. Sur le plan de la chronologie, ce n'est pas le premier indice mais c'est celui qui a intrigué la Machine. [...] Pas un, dix-huit. Provenant d'une station service à la sortie de Towson dans le Maryland. Kurzwell s'y arrêté invariablement tous les troisième jeudis pair même s'il a fait le plein la veille. A trois reprises, sur ces 18 visites son 4X4 était présent deux heures avant l'arrivée de Kurzwell. Ce 4X4 était enregirstré au nom de la femme d'un magnat du pétrole turc qui a payé les billets d'avion utilisés par un terroriste iranien soupçonné d'avoir participer à un attentat contre la communauté juive à Buenos Aires en 1994. Il y avait un lien minusule entre l'agent fédéral Kurzwell et son contact et la Machine l'a repéré. Elle l'a vu et c'était exact. [...] C'est sans doute une bonne que tu sois la seule autre personne qui ait vu comment la Machine fonctionne. A la fin, j'encryterai si soigneusement le système d'exploitation que jamais plus personne ne pourra la pirater. [...] Ca ne peut-être que comme ça pour être sûr. Qu'ils l'utiliseront bien comme je veux qu'ils le fassent. Denton Weeks a passé les six derniers mois à essayer à infiltrer la Machine par le biais de la NSA. Il a échoué mais il réessaiera. Et il ne sera pas le seul. C'est bien pourquoi nous devons empêcher quiconque de mettre la main dessus. [...] La Machine me l'a dit. Elle a un instinct de survie très aiguisé. Finch : [...] You want me to pop the hood? November 2002. This isn't the first item chronologically, but it's the one that trigged a harder look. [...] Eighteen of them. From a Shell station just outside Towson, Maryland. Kurzwell stopped there every third Thursday of every even month, even if he'd filled up the day before. On three of his 18 visits, this SUV was present two hours before. The SUV was registred to the wife of a Turkish oil executive that paid for plane ticjets used by an Iranian suspect in the bombing of a Jewish community center in Buenos Aires in 1994. The thinnest thread connects Kurzwell and his contact and the machine could see it. It knew. And it was right. [...] It's a good thing you're the only other person that will see this machine work. When it's complete, I'll encrypt the OS so completely that no computer on Earth will ever crack it. [...] It's way it has to be. To be sure. That they'll use it the way I intended. Denton Weeks has spent the last six months trying to tunnel into the machine by way of the NSA feed. He's failed. But he'll keep trying. And he won't be alone. That's why we keep anyone from getting their hands on it. [...] The machine told me. It has an instinct for self-preservation.[/justify] [/spoiler] Musique de l'épisode : Aucune musique utilisée dans cet épisode.
Liens : Fiche de l'épisode sur Pedia of Interest
SpacyM Ombre et Lumière
Série préférée : Selon mon humeur .. Fringe, Légion, ...
L'épisode qui illustre parfaitement tout ce que peu apporter cette série. Humour, retournements de situation, dialogues enlevés et intelligents, POI sympa, flash backs super intéressants. La question existentielle : qu'ont-ils fait du coussin?
_________________ “I keep warning you. Doors and corners, kid. That's where they get you. Humans are too fucking stupid to listen.” J.Miller - the Expanse
alors la cet episode j'adore par contre je sais pas qui a copié sur qui mais le prochai episode porte sur le meme sujet je sais pas si je dois aimer cette flic ou pas
On avait parlé un peu de cet épisode sur un autre topic, en disant qu'il faudrait qu'on parle de nos moments préférés. Cet épisode est un de mes préférés pour plusieurs raisons: *on voit que Reese n'est pas un surhomme, d'ailleurs au début il a une sale tête (normal quand on vient de se faire trouer la peau et rafistoler dans une morgue!) *l'inquiétude sincère de Finch pour son associé, même si cette inquiétude est aussi liée au fait qu'il n'a personne d'autre à envoyer sur le terrain ("je ne suis pas ici pour me reposer, n'est-ce pas?", le ton et l'air désabusé de Reese en disant ça m'a vraiment touchée) *Finch et Reese obligés d'échanger leurs rôles malgré l'appréhension de Finch à l'idée d'être sur le terrain, qui met encore plus en évidence leurs différences (et je ne parle pas des capacités physiques) *beaucoup d'humour dans cet épisode: Reese donnant un cours d'autodéfense accéléré à Finch, hilarant; Finch et son coussin, très drôle aussi; la scène avec la fille qui fait du yoga, où on voit que finch et Reese ont des goûts en commun finalement; ou encore Finch tout surpris d'avoir collé un pain à quelqu'un et qui regarde sa main comme si c'était celle de quelqu'un d'autre *la confusion victime/perpetrator qui se prolonge, ça m'a bien plu parce que je trouve que la série ne joue pas souvent dans ce registre *Reese qui s'impatiente de ne pas guérir plus vite, c'est bien dans son caractère, et qui voudrait bien que les choses retrouvent leur cours normal *bien sûr la bagarre à la fin: même convalescent, Reese reste le plus fort. Déjà à mains nues, il est dangereux, mais avec une paire de béquilles et quelques jours d'ennui *la scène à la fin entre Reese et Finch
Et vous, vous avez aimé quoi en particulier dans cet épisode?
Tu as très bien résumé ce que j'ai pensé de cet épisode, d'ailleurs je l'ai même regardé deux fois en deux jours tellement il m'a plu!
La relation entre Reese et Finch qui s'intensifie dans cet épisode, et surtout l'humour omniprésent tout au long de l'histoire... C'est un de mes épisodes préférés
Concernant la partie humoristique j'ajouterai aussi le "Je manoeuvre mon fauteuil de mieux en mieux" de notre cher Reese qui ne supporte plus de rester assis enfermé mais qui refuse tout de même d'utiliser le fameux coussin Et le cours accéléré d'auto-défense... Mémorable!
Je relève pour ma part la référence à un vieux film de Hitchcock intitulé ..."Fenêtre sur cour" justement ! Lequel mettait en scène James Stewart dans le rôle d'un photographe qui, suite à un accident, se retrouve en chaise roulante et passe son temps à observer ses voisins, dont il commence à soupçonner l'un d'eux de meurtre....
On est pas loin du pitch de cet épisode
_________________ Credo nos in fluctu eodem esse...
J'avais bien noté la référence Sauf que dans le film, James Stewart essaie d'empêcher le meurtre avec l'aide d'une copine et pas d'un milliardaire génial
J'avais bien noté la référence Sauf que dans le film, James Stewart essaie d'empêcher le meurtre avec l'aide d'une copine et pas d'un milliardaire génial
Comme quoi y'a pas que Batman, dans la vie... Et Grace Kelly n'étant plus disponible, fallait trouver une autre aide
_________________ Credo nos in fluctu eodem esse...
tellement de bons moments que c'est difficile de les citer tous. Effectivement le "je manoeuvre ce truc de mieux en mieux", mais surtout Finch répondant du tac au tac "oui, je suis sûr que la CIA sera très impressionnée, quand ils vous tireront dessus!" .
Et la scène entre Finch et Carter..; ah mon Dieu je n'ai jamais vu un regard aussi glacial que celui qu'HArold décoche à ce moment-là à notre chère Joss.
et dans le genre allusion subtile, le moment où Reese dit que Trask en a peut-être marre de son patron et s'apprête à l'abattre... et Finch tourne lentement la tête vers Reese , l'air de se demander s'il a bien fait d'engager une "killing machine" comme lui . :)
_________________ “I keep warning you. Doors and corners, kid. That's where they get you. Humans are too fucking stupid to listen.” J.Miller - the Expanse
et dans le genre allusion subtile, le moment où Reese dit que Trask en a peut-être marre de son patron et s'apprête à l'abattre... et Finch tourne lentement la tête vers Reese , l'air de se demander s'il a bien fait d'engager une "killing machine" comme lui .
Oui effectivement c'était assez marrant, j'adore quand John asticote Harold comme ça
Le coup du fauteuil est pas mal aussi...
Quant à Carter, elle méritait pire qu'un regard glacial :fouet2:
Finch à Reese "vous n'avez pris aucun bagage ?" et Reese qui répond en montrant son arme "je voyage léger" j'adore aussi quand Finch est aux petits soins pour Reese : coussin, livres... ce fameux coussin : la tête de Reese et la scène avec la fille qui fait de la gym :) on voit que les 2 apprécient les belles formes
et aussi quand Reese suggère que le concierge n'est peut être pas 1 employé modèle et que son patron le lui reproche et que l'employé ait donc envie de liquider son patron ... Finch se retourne vers Reese avec 1 air
enfin bref beaucoup d'humour !! le 2ème POI dont s'occupe Carter est né à Mount Vernon comme Jim caviezel
Et Reese inquiet de ne plus avoir de nouvelles de Finch un certain temps . "voilà, maintenant vous savez ce que ça fait ! " réplique Finch. Plus, la démo de LA technique du pouce dans l'œil (je pense que Finch est parti vomir juste après), le POI réparant le robinet qui dit "sapristi on dirait que quelqu'un a tapé sur ce truc avec un marteau" (nooooon quelle idée) , et la mine glaciale de Finch à l'égard de Carter. Et j'en passe et des meilleures ... "excusez moi de ne pas partager votre inquiétude pour la femme qui vous a livré à la CIA"... "oui vous maniez cette chaise de mieux en mieux, je suis sûr que vos ex-collègues seront très impressionnés quand ils vous tireront dessus"..."Qu'est ce qui vous est arrivé pour être dans cette chaise? Oh j'ai eu une nuit agitée"... etc etc...
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Concernant la technique des doigts dans l'oeil, le meilleur moment, c'est quand Finch l'utilise et parait stupéfait de voir que ça marche. Et là moi je l'imagine se disant "Beurk, faut que j'aille me laver la main, c'est dégoutant."
Quant à John dans son fauteuil, c'est quand même pas de bol pour le méchant de l'histoire qu'il se soit autant ennuyé dedans, car du coup il avait besoin de taper sur quelqu'un Et même après qu'il se soit fait tirer dessus, vaut mieux pas le chercher, le Reese
_________________ The place that I belong
HOME SWEET HOME
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au point que je me demande si le coussin n'a pas fini comme ça:
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Je vois que personne n'a parlé de Trask et son côté mythomane avec son tigre, ses villas... Pauvre Reese qui pensait avoir fait du bon boulot et Finch qui arrive à la fin et lui explique que tout est vrai. Genre, il a trouvé toutes les infos en clignant des yeux
Mais j'aimais bien Trask, il a cette tête de caniche qui le rend sympathique et j'étais finalement contente qu'il ne soit pas le méchant de l'histoire.