Le titre fait référence au "Blue Code of Silence", code de conduite des policiers (d'où le "blue", couleur de leur tenue), comme quoi un policier ne doit pas dénoncer un autre policier. Titre français : Vu de l'intérieur Flashbacks : John Reese, Jessica Arndt, Kara Stanton, Mark Snow Pitch : Reese doit protéger un policier infiltré dans un gang de trafiquants de drogue.
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N° épisode : 015 Scénariste : Denise Thé Réalisateur : David Von Ancken Acteur(s) récurrent(s) : Robert John Burke (Patrick Simmons), Michael Kelly (Mark Snow), Susan Misner (Jessica Arndt), Annie Parisse (Kara Stanton), Jonno Roberts (Peter Arndt) Acteur(s) invité(s) : Michael Aronov (Michael Cahill), Jose Zuniga (Vargas), Skipp Sudduth (Détective Byrne), Reg E. Cathey (Ian Davidson), Robin Lord Taylor (Ajax), Jill Paice (Melinda Tulley), Michael Berresse (L.O.S.)
Diffusion : 16 février 2012 sur CBS (13,16 millions de téléspectateurs) 9 octobre 2012 sur La Une (245 100 téléspectateurs) 23 janvier 2013 sur V (? téléspectateurs) 3 avril 2013 sur TF1 (5,60 millions de téléspectateurs)
Résumé complet : carine79
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Personne d'intérêt Michael Cahill (victime)
L'épisode commence par la présentation du nouveau numéro par Finch : Michael Cahill, 33 ans, célibataire, ni femme ni enfants et pas d'animaux. Une vie qui paraît sans tâches. Harold dit à John qu'il lui ressemble un peu.
Un hélicoptère est posé près d'un hôpital, un étranger va se faire opérer. Un membre du staff médical prévient qu'il y a un problème avec le passeport. Il faut attendre parce que quelqu'un de l'immigration arrive. Cahill rétorque que ce patient a fait 15 heures de vol, pour une greffe de cœur. Ils ne veulent pas le laisser mourir donc, ils l'amèneront à l'hôpital quoi qu'il arrive. Pour Harold, il a l'air d'être honnête, bien sous tous rapports mais pour John, il faut se méfier des apparences.
C'est là que Cahill dit au "patient" qu'il est bien payer pour ce qu'il a à faire, il doit se taire. En réalité, c'est un criminel condamné pour cambriolage, agression sur un agent de police ; maintenant, il fait de la contrebande de diamants. Il est dans une équipe dirigée par un certain Vargas. Ils ne reculeront devant rien, surtout si quelqu'un a le malheur de se trouver sur leur chemin, ils le tueront. Harold demande comment procéder ; John lui dit comme d'habitude, plus ils sont dangereux, plus il aime être auprès d'eux. Cahill lui dit de se mettre en route et l'ambulance s'en va.
Problème : un véhicule de police arrive, gyrophare et sirènes, ils doivent s'arrêter. John veut parler au flic, mais il en est empêcher par Cahill. Il lui dit qu'il s'en charge et sort rejoindre l'officier, sous l'œil attentif de ce dernier, arme à la main. Un jeune est anxieux, ce qui vaut une réflexion d'un homme, lui fait savoir que Cahill va s'en occuper et qu'en cas de problème, il le tuera. L'inconnu indique qu'il ne connaît personne, détestant autant les policiers que ce dernier. Le jeune est de plus en plus énervé, il a peur qu'il appelle des renforts et qu'ils seront en danger de mort. Ce n'est pas un problème, de toute façon, l'homme est bien renseigné par la DRH. Pendant que John range son arme, Michael revient et informe que le policier signale juste un phare cassé. La situation est tendue alors John commence à rouler.
Dans un endroit isolé, l'équipe apporte la marchandise à un trafiquant qui observe les diamants, celui-ci donne une part du butin à Vargas et s'en va. Ce dernier remet ses gants, pendant ce temps, le jeune s'amuse avec une arme en disant qu'il croît devoir les tuer. C'est à ce moment-là que Cahill le frappe mais est stoppé par Vargas, sous le regard de John. Michael menace que si le petit refait une erreur, il s'occupe de lui. L'équipe s'en va et l'ambulance est incendiée.
John prévient Harold que Cahill est sorti. Comme il est trois heures du matin, ils se demandent où il est parti, c'est sûrement mauvais signe. John se trouve à proximité de Michael, qui regarde autour d'une maison. Il s'inquiète et demande à Finch des informations celui-ci donnant l'adresse : 3404 Orchard Avenue - Brooklyn. John lui indique que Cahill rentre dans la maison et insiste. Harold lui dit ce qu'il a trouvé, le logement appartient à un certain Tulley, qui est de surcroît policier. Il le somme d'arrêter Cahill maintenant ; John pointe son arme en direction de la fenêtre. C'est à ce moment-là qu'un petit garçon est content de retrouver son père. En réalité, Cahill et Tulley sont une seule et même personne. Ce qui vaut une réflexion d'Harold, lui disant qu'il n'est pas le seul à être un agent infiltré, regardant une photo de Tulley en uniforme.
Pour John, Michael Cahill l'a bien eu. Son véritable nom est Daniel Tulley, diplômé de l'école supérieure de police en 2003, depuis plus aucune trace dans les bases de données. La police s'est donnée du mal pour cacher son identité, même créé un faux numéro de sécurité sociale. Harold suppose que si la Machine l'a sorti, c'est peut-être que sa couverture n'est plus fiable. John lui dit que Daniel Tulley sait qu'il prend le risque de mourir en étant agent infiltré. Au moindre faux pas, cela peut avoir de lourdes conséquences. John le surveille, le voit rentrer dans sa voiture, et s'aperçoit que quelqu'un va à sa rencontre. En écoutant la conversation, il entend que c'est son contact.
Celui-ci lui donne son insigne, lui disant qui peut le porter s'il veut être découvert. Il le sermonne que Daniel soit rentré chez lui, à moins de 24 heures du plus gros coup de filet de sa carrière. Ce dernier veut avoir un semblant de normalité, en plus personne ne le suit. Son contact lui dit qu'ils en savent assez sur Vargas, qu'en cas de souci, il peut l'exfiltrer mais Daniel rétorque que c'est un simple intermédiaire, ils ont pu l'arrêter cinq mois plus tôt mais ce qu'il veut, c'est un certain L. O. S., qui sera présent à la prochaine livraison. Il lui donne un sachet de drogue pure à 100%, pris sur le dernier arrivage. Donc L. O. S. est le grand chef à l'origine du trafic. Son contact suppose que s'il peut continuer en toute impunité, c'est qu'il y a une bonne raison ; il ne veut surtout pas avoir à annoncer sa mort à son épouse. Daniel lui dit de le laisser gérer les risques. Il est persuadé que Vargas a un indic dans la maison, donc quelqu'un le protège. Lors de l'incident de la veille, celui-ci n'a pas paniqué, cela paru louche aux yeux de Tulley et son interlocuteur dit qu'il va vérifier. Pendant qu'Harold appose la photo du contact sur la glace, il parle à John que Vargas a le soutien d'un flic corrompu. Celui-ci acquiesce en disant que ce dernier a le soutien d'un membre de la DRH, le nom du groupe des flics véreux qui ont laissé Carl Elias tuer Joss Carter.
Carter veut rentrer au commissariat de police, lorsqu'elle est interrompue par l'agent Snow. Elle pense qu'il a quitté la ville pendant quelques jours. Il répond que c'est vrai, il est persuadé que John a un allié dans la police. Joss lui demande comment il est arrivé à cette conclusion. Il a retrouvé les empreintes dans une clinique vétérinaire, dans un coin perdu dans la montagne. Il est persuadé que John ne s'y est jamais rendu. Petit rappel : c'est Harold qui a donné un flacon à Lionel, afin de le mettre sur une mauvaise piste (cf. 1X11). Snow souhaite bonne chance à l'allié car John a tendance à se servir des gens et ensuite les lâcher. Il se souvient "de sa coéquipière et de ses funérailles, une très jolie femme, comme vous, mais après qu'il lui ait réglé son compte, elle était moins jolie".
Carter veut rentrer au commissariat de police, lorsqu'elle est interrompue par l'agent Snow. Elle pense qu'il a quitté la ville pendant quelques jours. Il répond que c'est vrai, il est persuadé que John a un allié dans la police. Joss lui demande comment il est arrivé à cette conclusion. Il a retrouvé les empreintes dans une clinique vétérinaire, dans un coin perdu dans la montagne. Il est persuadé que John ne s'y est jamais rendu. Petit rappel : c'est Harold qui a donné un flacon à Lionel, afin de le mettre sur une mauvaise piste (cf. 1X11). Snow souhaite bonne chance à l'allié car John a tendance à se servir des gens et ensuite les lâcher. Il se souvient "de sa coéquipière et de ses funérailles, une très jolie femme, comme vous, mais après qu'il lui ait réglé son compte, elle était moins jolie". Lorsque Snow s'en va, arrive Monsieur Finch. C'est là que Joss lui dit que, l'homme qui vient de partir est celui qui a tiré sur John. Il réplique en disant qu'il ne le connaît pas, il ignore même que les deux sont associés. Il lui montre une photo de Daniel Tulley, un agent des narcotiques et lui explique la situation, ce qui fait sourire Carter. Cela peut mettre ce dernier en danger si l'informateur le trahi. Elle lui dit qu'il veut savoir qui est-il. En fait, Harold veut connaître son fonctionnement. Il demande qui est au courant de sa couverture, si quelqu'un d'autre à accès aux rapports et dossiers. Elle lui explique que c'est simplement son référent qui le sait, que les dossiers sont conservés sur papier et en un seul exemplaire, afin d'éviter que "de vilains pirates comme vous s'en emparent" ; ce qui blesse Harold. Ils sont entreposés dans des coffres sous le contrôle des Affaires Internes, seuls les référents ont la combinaison. Quiconque essaie de les cambrioler, sera immédiatement envoyer au pénitencier de Rikers Island. Donc, Harold veut que quelqu'un détruise le dossier avant qu'une autre personne s'en empare. Ce qui choque Joss ; elle lui fait comprendre que c'est un crime fédéral, il rétorque qu'il assurera ses arrières et s'en va, sous l'œil interrogateur de cette dernière.
Lionel, regardant son téléphone, n'est pas étonné de l'identité de son interlocuteur. Il s'agit de John, qui lui dit qu'une tierce personne peut balancer un flic infiltré, à un trafiquant du nom de Vargas ; il lui demande de se renseigner auprès de ses copains ripoux. Lionel lui dit qu'ils ne lui font plus vraiment confiance et commence à faire du bon travail, même qu'il a droit à des éloges. Ce qui fait sourire John, ironisant que son seul travail est de rester assis, qu'il est temps de se resalir les mains.
C'est le soir, deux véhicules s’arrêtent avec toute l'équipe à leurs bords. Vargas reçoit un appel, ce qui intrigue John. Celui-ci l'explique à Harold et prend même une photo de la plaque de la voiture, que ce dernier voit sur son écran. Vargas continue la conversation et dit à son interlocuteur qu'ils continuent la livraison, dans le cas où ils ne le feraient pas, L. O. S. les tuera. Le groupe arrive dans une cuisine, où des Chinois leur montrent la marchandise, le business avant tout, de la drogue cachée dans des grains de riz. Vargas la teste et l'autre lui propose de renégocier leur accord. Il lui rétorque que réfléchir dans le métier, cela peut être dangereux. L'homme peut très bien faire sans lui, d'aller voir L. O. S. directement. Ne paniquant pas, il veut lui donner un petit extra afin d'éviter qu'il le fasse, Vargas lui tire une balle dans la tête. Et une fusillade éclate et le petit, voulant prendre la marchandise, est touché ; tout le monde rentre dans les voitures et s'enfuit. Il est 2 heures 06.
Ils rentrent dans un hangar, Vargas donne comme instruction de le fermer. Daniel et un autre homme installent le blessé sur un canapé. Il demande pourquoi ils ne rencontrent pas L. O. S. Vargas dit que cela se fera mais pas avant une mise au point. Il ordonne à tout le monde de sortir le téléphone et de le détruire. Pendant ce temps, le référent qui suit Tulley, a sa position sur Brooklyn. Comme John et Daniel l'ont fait, à la fois Harold et la police perdent le signal. Le leader veut qu'ils mettent leurs armes dans un sac. Il annonce qu'il y a une taupe, d'ici une heure ou deux, il saura bien qui est ce traître. Les survivants continueront la livraison comme prévue. Le jeune continue de souffrir de ses blessures et demande de l'aide. Quelqu'un propose de l'amener à l'hôpital mais Vargas refuse, voulant connaître son identité. Daniel lui donne à boire en disant d'y aller doucement, prend discrètement son portable, celui-ci attrape sa main et le supplie de l'emmener à l'hôpital. John conseille de lui poser un garrot pour arrêter l'hémorragie, il a une chance de se calmer un peu.
Au commissariat, Joss Carter est informée, par un collègue, d'une fusillade chez Su Chin, une sombre histoire de drogue qui a mal tournée. Dommage, c'est le meilleur kung pao (recette chinoise au poulet) du Queens. Elle ironise en lui disant "toutes mes condoléances". Elle reçoit un appel d'Harold et lui demande où est John, avec l'information elle se doute qu'il est dans le Queens. Celui-ci, qui depuis avoir perdu le signal, n'a pas de nouvelles de ce dernier. Il a besoin de son aide et lui donne la plaque minéralogique.
Pendant ce temps, John fait le garrot au petit, qui ne gémit plus. Daniel demande si cela suffira, du fait qu'il a perdu beaucoup de sang. John pense que cela serait étonnant, mais il fait au mieux. Voyant John partir, celui-ci reprend le portable et envoie un message à son référent, avant de l'effacer. Il donne ainsi sa position aux docks de Brooklyn, ses collègues demandent du renfort avec les unités d'intervention.
Lionel rencontre un policier qu'il connaît. Ce dernier lui dit qu'il a mauvaise mine, demande ce qu'il lui vaut cette visite. Lionel parle d'un trafiquant du nom de Neil Vargas et s'il en a déjà entendu parler. Il lui annonce un plan et si cela peut l'intéresser. L'officier rétorque qu'il disparaît pendant trois mois et revient avec un nouveau coup. Mais il n'a pas confiance car ses ex-collègues sont en prison. S'il veut embêter Vargas, il doit rester tranquille et demander la permission. Mais à condition qu'il ne soit pas à la DRH, alors il sera à Lionel. Celui-ci demande comment la contacter, son interlocuteur lui dit qu'il le fait. Le téléphone de Lionel sonne, lui dit qu'il va le recontacter mais qu'il n'espère pas trop. C'est Harold qui lui donne l'information du changement d'équipe au QG. Leur meilleure chance. Pour quoi faire ?
Lionel se trouve au QG lorsqu'Harold lui demande s'il est sur place. Il répond par l'affirmative mais il est gêné par le volume, (au passage il comprend pourquoi John est souvent de mauvais poil). Cela passera avec le temps, dixit Monsieur Finch. Il n'en a pas beaucoup, alors le plan ? L'agent des Affaires Internes, qui s'occupe de la surveillance, fera une dernière inspection avant que son collègue prenne le relais ; ce qui laisse environ 8 minutes 30 pour trouver la combinaison, ouvrir le coffre et détruire le dossier de Tulley, avant que l'indic de Vargas ne le trouve. Indication supplémentaire : ne pas oublier de pointer le lecteur vers la carte de l'agent. Autre chose ? Eviter de se faire prendre. Mais Lionel se trouve nez-à-nez avec Jocelyn Carter, qui s'étonne de le voir là. Il lui demande ce qu'elle fait et vice-versa. Elle s'en va et lui prétexte de rendre service au capitaine. En réalité, elle appelle Harold pour lui fournir les informations sur la plaque, repérée par un radar sur un 4X4 à Brooklyn Sud et poursuit les recherches, ce qui ravi ce dernier. Donc, Harold jongle entre les deux officiers. Après avoir discuté avec Joss, c'est au tour de Lionel, qui lui demande s'il est là et qu'il va rentrer. Il suit ses instructions, après avoir vu l'agent sortir de la salle des coffres, la bousculant volontairement. Il place le lecteur sur le scanner et ouvre la porte.
Il asperge la caméra pour ne pas être vu, de ce fait, la Machine perd le contact. Il demande quoi faire, Harold lui dit d'éteindre la lumière et de prendre la lampe luminescente, afin de détecter les traces. En l'occurrence, c'est pour voir les chiffres utilisés, ici 3, 5 et 8. Harold lui demande de taper le code dans toutes les combinaisons possibles. Il lui dit de presser le pas. Problème cela ne fonctionne pas. Peut-être qu'un chiffre est brouillé, ce qui est le cas, donc il doit servir deux fois. Après plusieurs tentatives, il l'aide à trouver la bonne qui est finalement le 8-5-3-5, le coffre s'ouvre. Il prend le dossier en même temps qu'il est félicité par Harold. Mais en le détruisant, l'agent qui prend la relève, arrive et lui dit que son service enquête sur lui et ses complices, sous le regard inquiet de Finch. Lionel dit qu'il peut expliquer mais il est trop tard : il est arrêté pour destruction de dossier top-secret.
Lorsqu'il l'amène dans la voiture, Fusco lui indique qu'il n'a pas le choix car la vie d'un infiltré est en jeu. L'homme des Affaires Internes lui demande comment il le sait. Ce dernier précise que quelqu'un le lui a dit, mais lorsqu'il veut savoir qui est-ce, Lionel reçoit une mise en garde d'Harold car il peut le protéger, mais ces personnes sont à la recherche de John. Donc, de toute façon, quelle que soit la source, le plus important, c'est que ce policier est en danger, qu'il a simplement essayé de le sauver. L'homme prend son téléphone et explique à Vargas qu'il n'a pas pu récupérer le dossier car "un imbécile" l'a détruit. Mais information intéressante, la taupe envoie un message de l'endroit où ils sont. Evidemment, il ne comprend pas parce qu'il a fait, normalement, détruire les portables. L'agent lui dit qu'il gère la situation et Lionel, qui se prend un coup de poing, comprend que l'homme est en réalité l'informateur de Vargas. Entendant ce qui se passe, Harold comprend qu'il fait fasse à un sérieux problème.
Dans l'entrepôt, Vargas essaie de trouver le téléphone du jeune et demande où il est. Il menace que, il n'aura pas de mal à les fouiller, une fois morts. John tente une diversion en accusant Tulley de l'avoir volé. Celui-ci s'énerve et lui tape dessus. Il vole le téléphone directement de la poche de Daniel. Mais Vargas veut en avoir le cœur net et le fait sonner. Comme il se trouve dans le blouson de John, il pense qu'il trouve la taupe et ce dernier est assommé.
John, attaché et battu par un homme du groupe, Vargas le questionne pour savoir s'il parle de L. O. S. à la police. Celui-ci lui précise qu'il perd son temps, ses "collègues" vont bientôt arriver et se fait, à nouveau, frapper par. Mais il lui dit que si c'est la vérité, il serait au courant et John probablement mort. Daniel se propose de le faire parler et lui accorde cinq minutes, sinon ce sont les deux qui seront morts.
Et le frappe avec une barre de fer. Il demande qui est-il car il voit bien qu'il n'est pas flic. John lui dit que les missions secrètes cela le connaît ; de plus, ce qu'il souhaite le plus c'est de retrouver sa femme, Melinda et son fils, Danny. Daniel lui précise bien qu'ils ne se connaissent pas, mais John sait que son référent s'appelle Byrne, qu'il est dans la police depuis 2003. Il sait également que son petit frère, Connor, est décédé d'une overdose dans un bar, avant que celui-ci ne parte faire ses études. Il est étonné d'entendre ces informations, John précise que c'est la raison pour laquelle il souhaite arrêter L. O. S. Daniel lui demande s'il est du FBI ou autre chose, bien évidemment, c'est la seconde option. Il peut l'aider à s'en sortir afin de rentrer chez lui, mais ce dernier refuse car, tant que le gros poisson est dans la nature, il ne partira pas. John le met en garde contre sa couverture et qu'il risque de tout perdre. Mais il souhaite lui faire adresser un message à son épouse : qu'il l'aime, mais il le lui dira en personne. Il donne comme information que le rendez-vous aura lieu à la fourrière. John prévient que Vargas arrive, Daniel le frappe de nouveau. Il lui demande s'il a dit quelque chose mais Daniel a besoin de plus de temps. Vargas refuse, car dans le même temps, Ajax, le jeune blessé, est mort et qu'il faut se débarrasser des corps. Il faut qu'il le laisse faire, car il veut voir sa tête lorsqu'il sera tué, ce qui surprend John. Vargas lui demande de se dépêcher et Daniel lui tire dessus et fait le mort.
Donc, ils déposent les corps d'Ajax et John dans la voiture et Daniel met une lampe dans la poche de John. Vargas lui demande ce qu'il fait et lui dit qu'ils auront du mal à l'identifier sans son portefeuille. De toute manière, la voiture va brûler, il ne restera plus rien. Il casse la vitre arrière et asperge le véhicule d'essence avant d'y mettre le feu.
Pendant que la voiture brûle, John commence à se réveiller, pris par la fumée qui se dégage. Il se détache et cherche la lampe pour trouver un couteau, ainsi ouvrir le coffre et arrive à sortir non sans un petit effort. C'est à ce moment-là que Joss est devant lui, ironisant qu'elle est juste dans le coin, si elle peut le déposer quelque part. Il lui dit que c'est son jour de chance et Carter rétorque qu'avec une balle et être brûlé vif, ce n'en est pas vraiment un. Mais c'est juste une égratignure car Daniel Tulley est, heureusement pour lui, un excellent tireur. Le téléphone de Carter sonne. Normal, c'est Harold qui demande des nouvelles de Cahill. Sauf que John, après ces événements, ironise qu'il fait bien de demander s'il se porte bien. En fait, il est parti à la casse, au rendez-vous avec L. O. S., au sud de Brooklyn et sans renforts. Et demande, en même temps, à Carter si elle n'a pas d'armes et le lui montre. Il l'apprécie de plus en plus. Harold expose le nouveau problème avec Lionel, menacé de mort, il a bien peur que les deux hommes ne soient pas sauvés.
Au rendez-vous, L. O. S. arrive. Il reproche à Vargas d'avoir mis la pagaille. Ses hommes emmènent la marchandise ainsi que l'argent, il veut surtout qu'il ne le fasse plus attendre, la prochaine fois. C'est à ce moment-là qu'il est attaqué par Daniel. Il menace de le tuer s'ils s’approchent ; L. O. S lui demande à qui il s'adresse, mais Vargas le met en joue et qu'il va devoir lui tirer dessus. Mais John et Jocelyn arrivent et intervient un échange de coups de feu. Ils maîtrisent tout le monde ; l'homme, voulant récupérer son arme, en est empêcher par John. Daniel veut l'arrêter mais lui dit que de toute manière, dans moins de 24 heures, il sortira et s'en prendra à lui et est assommé par John. Pour menace sur agent de police, il le rajoutera aux autres chefs d'inculpation. Mais malheureusement, il n'y en aura pas ou elles ne tiendront pas, dans la mesure où c'est un agent de la CIA. Il pose la question que l'agence fait du trafic de drogue. John explique que le gouvernement perd son combat contre la drogue, l'argent sert à financer la lutte anti-terroriste. Mais, normalement, personne ne le sait car elle est bâtie sur des secrets. Daniel regrette d'avoir risquer sa vie pour ce résultat, il décide tout de même de l'arrêter, ce qui vaut une mise en garde de John, car il peut y laisser sa carrière, au meilleur des cas. Il faut forcer un peu sa chance.
Dans la forêt, l'agent des Affaires Internes amène Lionel pour l'exécuter. Mais avant, il lui pose la question de savoir pourquoi celui-ci est doué pour son travail. Parce qu'il est capable de reconnaître un ripou rien qu'en le voyant, ce qui vaut une réflexion de Lionel, qu'il se regarde d'abord dans la glace. Ce dernier peut penser qu'il est rangé, qu'il trouve Dieu, Bouddha ou autre ; à l'arrivée, il a toujours les mains sales, cela ne changera pas. L'agent veut savoir si Lionel entend quelque chose, évidemment que non. Il n'y a pas de sirène, ni mégaphone. Pas quelqu'un pour le secourir et que tout le monde s'en fiche. Pour le lui prouver, il évoque cette "voix" qui lui dit des choses, cette personne s'est servie de lui et le laisse, selon lui, tomber. S'il accepte de lui dire qui sait, il aura la satisfaction qu'elle subisse le même sort. L'agent n'est pas le premier à braquer une arme sur Lionel, mais il sera sûrement le dernier. Lorsque l'on se fait tirer dessus, le nombre de choses qui viennent à l'esprit. On est triste quand son fils apprend que son père est un flic ripou. On réalise que c'est la fin et on essaie de se racheter à la dernière seconde. De toute façon, il ne sait pas ça. Et Lionel doit se mettre à genoux mais prêt à être tuer, un bruit sourd se fait entendre et l'homme tombe à terre.
C'est John qui est arrivé in extremis mais pas en retard. Lionel prend son téléphone et veut faire un joli coup, mais celui-ci, contenant les preuves des liens de l'agent avec Vargas, est détruit par John car il ne veut pas qu'il devienne honnête. Il faut infiltrer la DRH. Mais il rétorque qu'avec les caméras, ils sauront qu'il est parti avec lui et de l'avoir tué. Il aura évidemment besoin d'eux pour trouver un alibi. Il regrette parce qu'il apprécie de plus en plus d'être réglo, mais il est plus utile dans l'autre camp.
John et Harold sont devant la maison de Daniel Tulley afin de s'assurer que tout va bien. Toute la petite famille part à l'hôpital, car son épouse est enceinte. Harold l'informe que Snow libère L. O. S. et sort une heure après. Que faire ? Jeter un œil sur Tulley et être tranquille, mais avec un bébé à la maison, cela serait étonnant qu'il vive normalement.
Comme prévu, l'agent de la CIA est libre ; il est surpris que cela soit Mark Snow que l'agence envoie. Celui-ci lui dit qu'elle prend soin de ses agents. Il veut se venger de l'échec de l'opération qui coûte près de 25 millions de dollars. Il souhaite s'occuper de l'agent infiltré et du lieutenant pour les éliminer ; il souhaite envoyer un message. Mark Snow lui reproche son impulsivité et sait très bien qu'il ne peut pas s'en prendre à des policiers. Snow l'a prévenu, il n'a pas le droit de se faire arrêter et est en territoire ennemi, le fait rentrer dans la voiture. Quelqu'un lui met un sac sur la tête.
Lionel envoie un message au flic de la DRH, il a un sérieux problème. C'est juste un accident qui se règle à coups de pelle. Il veut qu'il l'aide à le sortir de là, il en sera redevable. En réalité, cela ira plus loin, il fait déjà parti de la DRH.
Flash-backs :
John et Kara Stanton sont dans un endroit inconnu. Ils écoutent une voix en allemand et John suppose qu'ils sont en train de changer les ordres. Est-ce qu'il croît qu'ils viennent de Langley. Officiellement, ils ne mènent pas d'opérations aux Etats-Unis. Elle lui demande, énervée, combien de temps il va nettoyer son arme. Il réplique que, dans l'armée, le meilleur moyen de se faire tuer, c'est de mal la nettoyer. Pour elle, dans la Marine, le mieux c'est de l'utiliser contre des ennemis. Alors que quelqu'un frappe à la porte, elle sort une arme et la passe à John qui s'approche de la porte et l'ouvre.
C'est tout simplement Mark Snow. Il ne trouve pas mieux que de la vodka polonaise bon marché. Il demande si le "colis" est prêt. John répond qu'il a ce qu'il faut, sauf l'adresse de livraison. En fait, pas vraiment, puisqu'il manque un verre que s'empresse Kara Stanton d'aller chercher dans la salle de bains, avec une vue sur le "colis". John demande ce qu'il a fait, Stanton suppose que c'est une "huile" car les gens du gouvernement, n'aiment pas qu'ils s'en prennent à l'un des leurs. En effet, il tente de donner quelque chose à eux aux Chinois. Mais quoi ? Apparemment, un logiciel quelconque, des informations. De toute façon, Snow s'en fiche, son souci c'est de l'envoyer là où il ne reviendra pas. Et en cas de problème, ils devront l'exécuter. Il demande à John combien de temps il n'est pas rentré aux Etats-Unis. L'ordre ne viendra pas le soir même, qu'il prenne du bon temps. Il s'en va mais Mark le met en garde, il est en territoire ennemi, il se retrouvera seul en cas de coup dur. Il marche dans les rues de New York.
John arrive dans un bar au moment de l'élection de Barack Obama. Il voit un homme assis et demande la permission de s'installer. Il accepte et lui dit que c'est une belle histoire, cette élection présidentielle. L'inconnu lui pose la question de savoir s'il vit à New York ou de passage. C'est la deuxième proposition. Donc, dans quelle ville est-il né ? Puyallup (Etat de Washington). C'est bizarre car la femme de celui-ci y est née et demande s'il vit toujours. John n'y habite plus car il voyage pour son travail et l'autre le comprend, il connaît la situation mais c'est du passé. Maintenant, son épouse et lui achètent leur première maison à New Rochelle, il est félicité. En regardant l'heure, il se rend compte qu'elle est en retard, comme d'habitude et veut téléphoner pour voir si tout va bien. John continue de boire un verre de bière. Mais il est interrompu par Kara Stanton. Elle lui explique que sur les 8 millions de personnes que compte New York avec qui il peut boire, c'est avec le mari de son ex-compagne qu'il trinque. Et jette un regard vers celui-ci en train de téléphoner.
Stanton lui demande à quoi ils jouent. Le tuer ? Dissoudre son corps dans une baignoire remplie d'acide ? Ou alors un accès de nostalgie. Elle le présente : Peter, 37 ans et gagne 175 000 dollars par an. Est-ce un chic type ou un tueur en série ? Elle ne sait pas. C'est sûr qu'il prendra mieux soin d'elle que John. La raison pour laquelle elle hésite de le laisser partir. Au milieu des gens, il a l'air normal mais en réalité il n'est plus comme eux. S'ils savent ce qu'il a fait, ils peuvent considérer que ce n'est pas un être humain. Il rétorque que lui et elle travaillent dans l'ombre, qu'il entend déjà cette formule pas mal de fois. Et Peter revient, voit Kara et lui dit qu'il ne sait pas que John attend quelqu'un.
Celle-ci se fait passer pour sa compagne, lui dit que cela va barder qu'il ne lui parle pas d'elle. Sur ces mots, elle veut rentrer mais il souhaite leur faire connaître son épouse, qui vient juste d'arriver, sera ravie de connaître quelqu'un de Puyallup. Kara sait ce que c'est de ne pas être avec ceux qu'elle aime. La première fois qu'elle rentre chez elle, les regarde pendant trois heures dans une voiture de location, elle veut même leur dire ce qu'elle voit, mais ils ne peuvent pas comprendre. Ce n'est pas qu'une formule, ils ne font pas que travailler dans l'ombre, ils y sont. Lorsque Jessica rejoint son mari, Kara exhorte John à partir et la regarde. Quand Peter veut présenter le couple à son épouse, il est déjà parti.
Citations :
Reese : Plus ils sont dangereux, plus j'aime être auprès d'eux.
Reese : The more dangerous they are the close I want to be to them.
Snow : Il [le "colis"] a tenté de vendre un truc à nous aux Chinois [...] un logiciel, des infos.
Snow : He tried to sell something of ours to the Chinese [...] Software something.
Davidson : Tu peux penser que tu es rangé, que tu as trouvé Dieu, Bouddha ou je-ne-sais quel shaman mais en réalité, tu as toujours les mains sales et ça ne changera jamais. Tu entends quelque chose là ? [...] Ni sirènes, ni mégaphone, aucune âme charitable pour te sauver. Tout le monde s'en moque. Cet homme, celui qui te dit des choses, il s'est servi de toi et maintenant il te laisse pourrir comme une ordure. Au moins si tu acceptais de me dire qui sait, tu aurais la satisfaction qu'il subisse le même sort.
Davidson : You know, you may think you've gone clean, found God, Buddha or some African shaman but a the end of the day your hands are still dirty, always will be. You hear that ? [...] No sirens. No bullhorns. No one's coming to save you. No one cares. That guy, the one who tells you things, he used you and let you rot like a piece of garbage. Might as well tell me who it is. At least you'll have the satisfaction of repaying of favor.
Reese : Je ne peux pas te laisser devenir réglo. J'ai besoin que tu infiltres la DRH. Que tu t'en approches. [...] Justement. Tu auras besoin de tes amis de la DRH pour t'aider à te trouver un alibi. [...] Tu as fait du bon boulot, Lionel. Désolé, mais tu es plus utile dans l'autre camp.
Reese : I can't have you coming clean. I need you inside HR. Get close to them. [...] That's the point. You'll need your friends at HR to help you cover this up. [...] You've done some nice work, Lionel. I'm sorry, but you're more useful inside.
Musique de l'épisode : 38:55Fever Ray - If I Had a Heart - Écouter ici Scène : Fin de l'épisode.
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Série préférée : Selon mon humeur .. Fringe, Légion, ...
Je ne sais plus lequel d'entre vous avait demandé (dans un autre topic, ou peut-être dans le off topic d'un certain autre forum * ahem*) pourquoi diable Snow disait à Reese "on est en terrain ennemi" dans cet épisode , alors qu'ils se trouvent clairement à New York.
Eh bien, vive Homeland, les enfants, car en regardant un épisode hier , ca m'a fait tilt quand j'ai entendu un membre de la CIA dans cette série dire que théoriquement ils ne peuvent pas mener de missions sur le sol américain. Alors bien sûr, Reese Snow et Cie, avec un type cagoulé dans la baignoire d'un hôtel à New York, doivent pas être tout à fait dans la légalité de leur boulot.. D'où le terrain ennemi, je suppose.
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Et en parlant d'Homeland, mon homme s'est permis un "kss pourquoi la machine a pas encore sorti son numéro ?" en regardant avec moi hier. "Dès qu'elle sera déployée à Washington aussi" , j'ai répliqué. Nan mais des fois il ose, hein.
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Avec mon homme : 1x10 , mais moi toute seule j'ai vu jusqu'au 2x06
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Qu'on soit clairs : la Machine est bel et bien déployée dans le monde entier. Seulement, vu que Finch et Reese sont à New-York, bah ils peuvent recevoir que les numéros de New York. A moins que dans la saison 3 ils ouvrent des succursales un peu partout dans le pays.
SpacyM Ombre et Lumière
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Oui y'a plein de place pour des spin off Je suppose qu'elle est bien déployée partout, mais je pense qu'elle reçoit plus d'infos précises de New York vu le pululement de caméras de sécurité . Je voulais juste faire taire mon mari avec ma réplique sur Washington, quoi :)
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Reese va pouvoir former quelques stagiaires pour les "succursales" de la P.O.I. Inc. J'espère qu'il aura au moins un poste de sous-directeur. Consultants externes pour Carter et Fusco. Directrice de la section gestion de crise pour Zoé. Leon à la compta? Nan trop risqué.
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Et Root sera la concurrence hostile sur laquelle on fera bien vite une belle OPA agressive.
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To... tal... bon... heur. 6 épisodes d'affilée aujourd'hui avec ma bonne vieille coloc' pour m'accompagner à travers cette rude épreuve. J'en profite pour dire que ce sera dur de voir le rester des épisodes sans elle, quand je serais sortie.
Pour être franche, celui là c'est l'épisode que j'ai le moins aimé depuis le début. Peut-être parce que je 'lai regardé en quatre fois, ce qui n'est pas l'idéal. Donc, pas grand chose à en dire... mais bon, s'il y a une petite méchanceté à caser sur Kara Stanton et/ou Snow, je ne vais pas m'en priver! Car l'un sans l'autre, ils sont déjà tout à fait impropres à la consommation. Mais alors associés, ce coup-là, c'est poison violent. Et mis dans la même pièce en plus... iiiiiiiiiiiiik! (On se demande comment ils arrivent à supporter leur propre proximité respective. Ca reste un mystère.) Pauvre, pauuuuuuvre Johny piégé là-dedans. Il a l'air d'être coincé dans un truc qu'il déteste et qui le dépasse, mais sans savoir comment faire autrement. Il tire une bouille de chien battu blasé tout au long du flashback, c'est terrible.
Ce qui pose quand même une question importante: mais COMMENT en est-il arrivé là? Comment est-il passé de soldat à nettoyeur de la CIA? C'est pas anodin comme reconversion, quand même. J'aimerais savoir ce qui s'est passé dans sa tête pour qu'on ai pu le convaincre d'endosser ce rôle, lui pour qui c'est si dur de voir les autres trinquer... La réponse sera sans doute bateau, peut-être un peu cliché, mais j'aimerais savoir quand même. :neutre:
C'est simple (je ne spoile pas ne vous inquiétez pas c'est une théorie de ma part). On voit dans le pilote que Reese allait arrêté son boulot de soldat pour vivre avec Jessica. Mais le 11 septembre arrive et il décide tout simplement de reprendre son boulot. Et là il y a 2 possibilités : - soit il a décidé de redevenir soldat et il faisait tellement du bon boulot qu'un jour un homme du gouvernement est venu lui dire qu'il faisait du bon boulot et qu'il pouvait faire encore plus pour son pays en travaillant pour lui. - soit il a cherché à intégrer la CIA pour combattre le terrorisme et il a fini par faire équipe avec Stanton et Snow car la CIA a repéré quelque chose de spécial en lui.
Je me suis mal exprimée. "Comment" il est arrivé à la CIA, oui, je pense que ça s'est passé comme tu le dis, mais ce qui m'intrigue, c'est comment il a pu accepter l'offre, accepter d'assassiner des gens de sang froid sans poser de questions, de couper tout lien avec son ancienne vie... Même si ça doit être un truc du genre: le 11/09 l'a traumatisé et il a décidé de faire passer la sécurité de son pays avant tout, quitte à faire des choses horribles pour ça (surtout si le gouvernement l'assurait que c'était justifié) ben... j'aimerais bien en savoir plus, quoi.
_________________ I breached the space-time continuum. (No, not really.)
C'est un militaire de carrière, donc côté patriotique plus prononcé. Il aurait simplement suffit qu'on lui parle de protéger les USA avant que le drame n'arrive pour qu'il accepte. D'une certaine façon, et à son niveau, il a eu la même attitude que Finch. Finch a crée une machine, Reese allait sur le terrain.
Ce n'est pas difficile d'imaginer qu'il se fasse recruter à cause de sa carrière de militaire et de sa motivation et peut-être même de l'excès de zèle à défendre son pays.
je suis de l'avis d'Illyria. c'est le 11 septembre qui a fait qu'il a rempilé. il voulait sûrement défendre son pays en arrêtant les terroristes responsables des attaques et il s'est retrouvé avec Kara et Snow. par contre je suis sûre qu'il ne savait pas ce qu'on attendait de lui et il ne pensait pas devoir faire ce qu'il a fait par la suite les flashbacks le démontrent d'ailleurs très bien...