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 Script VF - 2X10 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb

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carine79
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carine79

Série préférée : Lucifer

Script VF - 2X10 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Empty
MessageSujet: Script VF - 2X10 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 2X10 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeJeu 23 Juil - 16:02

Finch : On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret : une Machine, qui vous espionne jour et nuit, sans relâche. Je l’avais conçue pour prévenir des actes de terrorisme mais la Machine voit tout, tous les crimes impliquant des citoyens ordinaires. Le gouvernement juge ces crimes non pertinents, mais pas nous. Traqués par les autorités, nous travaillons dans l’ombre, jamais vous ne nous trouverez. Mais victime ou criminel, si votre numéro apparaît, nous vous trouverons.
 
Abby Monroe : Salut maman, salut papa, si vous regardez ça, vous savez que j’ai des problèmes. J’ai toujours été assez sage. Respectueuse des règles, mais là, je vais faire une grosse bêtise.
 
SÉQUENCES – ComptoirCaméra 43 heures 39 minutes 19 secondes ; ÉtageCaméra 63 heures 39 minutes 21 secondes ; ComptoirCaméra 33 heures 39 minutes 25 secondes ; ÉtageCaméra 53 heures 39 minutes 26 secondes ; ÉtageCaméra 93 heures 39 minutes 28 secondes ; ComptoirCaméra 43 heures 39 minutes 32 secondes ; ÉtageCaméra 63 heures 39 minutes 37 secondes ; ComptoirCaméra 4ComptoirCaméra 43 heures 39 minutes 40 secondes ; FenêtreCaméra 13 heures 39 minutes 40 secondes
Un homme va vers une vitre où se trouve des objets, casse la glace et prend des clés ensuite il vole une moto et passe par la fenêtre.
 
SÉQUENCE – 5ème étageCaméra Est7 heures 32 minutes 12 secondes
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
John et Harold sont en train de laver le chien.
Finch : Tenez-le bien.
Reese : Balou, af liegen. Assis. (Le chien reste debout.)
Finch : Ah, quelle autorité.
Reese : Alors, on a un nouveau numéro ?
Finch : Abby Monroe, 26 ans, brillante étudiante, titulaire d’un diplôme d’ingénieur. Elle a travaillé l’an dernier pour une association caritative de l’armée, « La maison des héros de la Nation ». Peut-être parce que son jeune frère a été tué en Afghanistan il y a dix-huit mois. (John regarde vers la photo collée sur le mur.) Elle a quitté l’association il y a une semaine. (Harold met de l’eau sur Balou pour enlever le savon.) Maintenant, elle est intérimaire au service municipal de l’urbanisme.
Reese : Des menaces ?
Finch : Pas à ma connaissance, mais quelques anomalies. Elle a coupé son téléphone il y a cinq jours et quitté son appartement. Je n’ai réussi qu’à retrouver sa trace en passant par l’agence d’intérim.
Reese : Elle a peur de quelqu’un. Il faut que j’aille veiller sur elle. (Il se lève.)
Finch : Mais c’est votre tour de le sécher.
Reese : Le danger est peut-être imminent.
Finch : C’est votre chien, monsieur Reese !
Reese : Vous vous débrouillerez. (Il quitte la bibliothèque. Alors que Balou se secoue, Harold est couvert d’eau.)
 
SÉQUENCE – EntréeCaméra 028 heures 35 minutes 24 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeMatinée
Calvin Beecher : (Venant voir Joss qui est en train de faire le café.) Bonjour, lieutenant.
Carter : (En souriant.) Bonjour lieutenant.
Calvin Beecher : C’était sympa hier. Il faudra qu’on dîne encore ensemble. Et justement, je suis libre ce soir.
Carter : Désolée, j’ai du travail sur un dossier. (Lionel passe à côté d’eux.) Il s’agit de lui, Davidson. (Elle montre la fiche de disparition.) Un flic des affaires internes qui a disparu l’hiver dernier, tu ne le connais pas ?
Calvin Beecher : Si, je le connais, on s’est souvent accroché. Tu as des infos ?
Carter : J’ai eu un tuyau, anonyme. Un flic lui aurait fait la peau.
Calvin Beecher : Waouh. Peut-être qu’il était de mèche avec la DRH et peut-être qu’il s’agissait d’un règlement de comptes. J’ai entendu dire que des gars de la 51ème jouaient à supprimer des dealers et à vendre leur produit.
Carter : (L’ai intéressé.) Tu peux m’en dire plus ?
Calvin Beecher : La plupart sont morts ou en prison mais pas tous. (L’agent Donnelly arrive dans le commissariat et rejoint Joss.)
Donnelly : (À Beecher.) Vous nous excusez. (À Joss.) Lieutenant Carter, il faut que je vous parle.
Carter : Je te retrouve plus tard.
Donnelly : Maintenant que la DRH ne présente plus le moindre intérêt, mon équipe change de priorité. On revient à l’homme au costume. Il court toujours, vous voulez toujours l’arrêter ?
Carter : Oui, bien sûr.
Ils entrent dans une pièce pour s’isoler.
Donnelly : On a de nouvelles informations. On sait pour qui il travaille. Oui, le bureau surveille étroitement l’émergence de nouveaux réseaux de renseignement comme la CIA ou le MI6 mais à but lucratif. Le plus grand de ces réseaux serait soutenu par les Chinois. Ils ont la technologie, des ressources importantes et savent acheter le talent. Par exemple, on pense que Mark Snow, l’agent de la CIA qui vous a contacté, a sûrement été recruté et peut-être même par l’homme au costume.
Carter : Snow, vraiment ?
Donnelly : C’est logique, je veux dire, Snow a été envoyé à ses trousses par la CIA, il l’a attrapé. Seul l’homme au costume l’a corrompu, il en a fait un allié. Écoutez Carter, j’aimerai vous en dire plus mais c’est top secret. Toutefois, j’ai l’autorisation de vous proposer une affectation temporaire. Et je suis sûr qu’avec votre talent, vous resterez parmi nous. Plus tôt vous nous rejoindrez, mieux ce sera alors, s’il vous plaît, pensez-y.
Carter : Entendu, merci. (Pendant que Donnelly quitte la pièce.) Merci. (Elle referme la porte et passe un appel.) Carter.
Finch : (Au téléphone.) Bonjour lieutenant.
Carter : Il faut que je vois notre ami.
 
SÉQUENCE – EntréeCaméra 39 heures 58 minutes 14 secondes
Carter : (Via un micro.) On a un gros problème.
Finch : (Via un micro.) Vous le trouverez au service de l’urbanisme.
INTÉRIEUR – Dans les locaux de l’urbanismeMatinée
Depuis son véhicule, Joss se rend dans les locaux de l’urbanisme à pied. Entrée dans le bâtiment, elle aperçoit John en train de discuter avec deux hommes.)
Reese : Elle a téléchargé le fichier et elle est sortie.
Policier : Ouais.
Reese : Et personne n’a cherché à la retenir ?
Policier : Apparemment, personne n’a fait attention.
Carter : (Montrant son badge.) Lieutenant Carter euh, qu’est-ce qu’on a ?
Policier : Vous avez entendu le code 1031 vous aussi ?
Carter : Ouais, de quoi s’agit-il ?
Policier : Comme on le disait au Marshall Jennings…
Carter : Marshall Jennings, ah.
Policier : Ce monsieur a appelé parce que l’une de ses employés, une certaine Abby Monroe, a téléchargé un fichier illégalement. (Il montre une photo.)
Homme : Elle est partie avec il y a deux heures. Ils s’en sont rendus compte trop tard.
Carter : Et que contient ce fichier ?
Homme : Eh bien, ici on a des plans de bâtiments importants mais tout ce qu’elle a emporté, ce sont les plans techniques d’un immeuble au 1400 Hanover Street près de Wall Street.
Policier : C’est au-dessus d’une ligne de métro. Il y a des bureaux d’avocats et le siège d’une banque d’investissement. Rien qui ne ressemble à une infrastructure sensible.
Carter : Est-ce qu’on sait au moins où cette jeune femme habite ?
Policier : On a vérifié et elle a donné une fausse adresse. Son numéro est celui d’un téléphone public.
Reese : Et bien, vous n’êtes pas très regardant.
Homme : Que voulez-vous, elle paraissait plutôt honnête. Je suis vraiment déçu de m’être trompé.
Reese : (Se tournant vers Joss.) Ces jeunes, avec eux il faut s’attendre à tout.
Carter : (En souriant.) Exact.
Reese : Quoiqu’il en soit, bravo et merci pour tous ces détails. Messieurs. (Il s’en va.)
Policier : Merci Marshall.
Carter : (Voulant se dépêcher pour ne pas perdre John.) Écoutez, si vous apprenez autre chose, tenez voici ma carte. (Elle leur donne une carte de visite et s’en va rejoindre John.)
Carter : John. John. Vous avez perdu la tête. Vous faire passer pour un représentant des forces de l’ordre. Marshall Jennings, vous avez son insigne ?
Reese : Oh, de toute façon il ne l’utilisait plus. C’est vraiment génial, il suffit de le montrer pour que les gens vous disent tout.
Carter : Il faut que vous arrêtiez, Donnelly est de retour. Il veut coincer l’homme au costume. Il a une nouvelle théorie.
Reese : Ouais, je sais, il croit que je travaille pour la Chine, on a entendu. Comme la proposition qu’il vous a faite. Être muté au FBI, ce serait peut-être bien pour vous.
Carter : Vous écoutez toutes mes conversations.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée$
Joss et John quittent l’immeuble de l’urbanisme pour rejoindre la rue.
Reese : Plus ou moins. Vous êtes rayonnante, peut-être que Cal Beecher est bon aussi pour vous. Tant qu’il vous traite bien parce que sinon, je vous préviens, il aura à faire à moi.
Carter : Attendez une seconde, stop, là il faut vraiment qu’on pose quelques limites.
Reese : Bien sûr, dès que ce sera sérieux entre vous et Beecher on changera de fréquence.
Carter : (Soupirant de dépit.) Laissez tomber. Qu’est-ce qu’il se passe avec Abby Monroe.
Reese : Je cherche à savoir si elle n’a pas d’ennuis et j’arrive un peu tard je crois. Est-ce que vous pourriez me fournir les images prises par cette caméra il y a deux heures. Et par celle-là aussi. (Il montre deux caméras postées à deux coins d’un bâtiment.) Merci.
Il s’en va et elle souffle encore.
 
SÉQUENCE – Sud-EstCaméra 0710 heures 55 minutes 45 secondes
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Reese : (Regardant les images de la caméra sur l’ordinateur.) Ah, voilà Abby. (Sur les images on y trouve Abby qui semble attendre quelqu’un et c’est là qu’une moto arrive et la prend.)
Finch : Vous avez trouvé qui est le propriétaire de la moto, lieutenant.
Carter : (Au téléphone.) Non.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterMatinée
Carter : Elle a été volée dans le Queens il y a quatre jours dans une boutique de motos d’occasion. J’ai récupéré la vidéo du cambriolage. Le voleur est un homme, il est seul.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Finch : Vous avez les images sous les yeux ?
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterMatinée
Carter : Oui, pourquoi ?
Finch : (Au téléphone.) Pour rien.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Sur son ordinateur, il récupère les images de la vidéo de l’ordinateur de Joss.
Carter : (Au téléphone.) Il fait sauter la serrure au cordon détonant.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterMatinée
Carter : Il laisse sonner l’alarme parce qu’il sait qu’il va rester moins de trente secondes.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Carter : (Au téléphone.) Il casse une armoire vitrée à main nue pour prendre la clé.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterMatinée
Carter : Il enfourche une machine, (voyant l’homme passer par la vitre qui se brise) Waouh.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Reese : C’est impressionnant mais… (Il fait reculer la vidéo.)
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterMatinée
Carter : (Voyant qu’elle n’a plus le contrôle de l’ordinateur.) Mais qu’est-ce que… qu’est-ce qu’il se passe là ? Ne me dites pas que vous voyez aussi ce qu’il y a sur mon ordinateur ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Carter : (Au téléphone.) Qu’est-ce que j’ai dit sur les limites à ne pas franchir.
Reese : (Zoomant la vidéo sur la main de l’inconnu.) Sa main, c’est une prothèse, haut de gamme visiblement.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterMatinée
Reese : (Au téléphone.) Quant à l’utilisation du cordon détonant, pour moi…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Reese :…c’est un ex militaire.
Finch : Ça pourrait expliquer son lien avec Abby. La question est : que font-ils ?
Carter : (Au téléphone.) Je crois que la réponse ne va pas vous plaire.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterMatinée
Carter : Ma demande d’info sur le numéro de la plaque vient d’être épinglée. La même moto a été repérée par une caméra de voierie…
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Carter : (Au téléphone.)… près d’un chantier dans le New Jersey où un vol a eu lieu il y a trois nuits.
Finch : Un vol de quoi ?
Reese : D’explosifs. Du Semtex.
Carter : (Au téléphone.) Dix kilos en tout.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterMatinée
Carter : Et aussi des détonateurs.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Carter : (Au téléphone.) Voyons voir, vol d’explosifs, vol…
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterMatinée
Carter :… de plans techniques concernant un immeuble près de Wall Street. Oui, ce type a le profil d’un terroriste et la fille est de mèche avec lui.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Finch : Il peut l’avoir manipulée pour qu’elle devienne sa complice.
Carter : (Au téléphone.) Le résultat est le même. Je regrette.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterMatinée
Carter : Mais il faut que je fasse mon métier. Je vais lancer un avis de recherche pour la fille. (Elle raccroche.)
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèque - Matinée
Finch : (Regardant vers la photo mais également John.) Il faut qu’on la trouve avant eux.
 
SÉQUENCE – BalconCaméra N12 heures 56 minutes 30 secondes ; EntréeCaméra 0413 heures 01 minute 54 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeJournée
Fusco et Olson entrent dans le commissariat.
Fusco : Et Olson, tu as bossé la 55ème.  Tu connais un gars des stups qui s’appelle Cal Beecher ?
Olson : Ouais, je le connais, on le surnommait 18 carats. Beaux costumes, belles voitures, belles nanas, la grande classe. Il avait peut-être du goût, c’est tout.
Fusco : Ou de l’argent sale dans les poches.
Olson : Est-ce que j’ai dit ça ?
Fusco : Je ne sais pas, tu en dis quoi ?
Olson : À l’époque, il était infiltré. Tu vois un paquet de choses et de pognons dans ce milieu. Pourquoi ça t’intéresse ?
Fusco : Il traîne souvent ici en ce moment.
Olson : Il tourne autour du lieutenant Carter. Comme une abeille autour d’une ruche.
Fusco : Ouais. (Il s’en va alors qu’Olson voit Joss travailler à son bureau.)
 
SÉQUENCE – Sud-EstCaméra 1513 heures 06 minutes 43 secondes
Reese : (Pendant qu’Harold appose une photo sur la vitre.) Tout ce que je dis c’est que vu la façon dont elle a disparu, sans laisser de traces, elle manigance quelque chose.
Finch : Vous croyez que notre étudiante modèle va faire sauter Wall Street ?
Reese : Son ami pourrait le faire. Ce ne serait pas le premier vétéran à péter les plombs. On est des gars bizarres, vous savez Finch.
Finch : Ouais, c’est vrai, vous êtes bizarre monsieur Reese. Et vous avez tord. Si Abby était impliquée dans une affaire de terrorisme, ce qui serait une menace pour notre pays, la Machine aurait donné son numéro à la personne qui s’occupe de ça au gouvernement, pas à nous. (Retournant à son poste de travail.) Que cette fille soit la cible ou l’origine de la menace, les raisons doit être personnelles.
Reese : D’accord, mais alors il nous reste quelles pistes ?
Finch : On en a deux. La première c’est le téléphone public dont elle a donné le numéro. (Montrant l’image sur son ordinateur.) C’est là, un coin de rue dans le Queens. Son employeur a dû la contacter par ce biais à un moment ou à un autre. Ça pourrait nous donner une idée de l’endroit où elle vit.
Reese : D’accord. Et l’autre piste ?
Finch : C’est l’élément stable de sa vie cette dernière année, l’association La maison des Héros de la Nation. (Il affiche la page web du site de l’association.) Je vais voir de ce côté.
Reese : Parfait, sortir vous fera du bien.
Finch : Oh, vous avez l’air de bonne humeur, monsieur Reese.
Reese : En effet, je me suis réveillé avec une drôle d’impression. J’ai fini par comprendre que je me sentais bien. C’est peut-être ce boulot.
Finch : Tant mieux. (Il ferme la grille et Balou s’y approche.) Désolé, Balou, pas maintenant.
 
SÉQUENCES – ToitCaméra D13 heures 35 minutes 51 secondes ; Passage cloutéCaméra 213 heures 39 minutes 04 secondes ; Sécurité 5Est13 heures 41 minutes 20 secondes
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
John arrive près du téléphone public où se trouvait Abby. Il décroche le combiné mais celui-ci manque un écouteur. Il voit un câble montant tout le mur.
Reese : Abby s’est branchée sur ce téléphone public. (Regardant vers une plaque d’un hôtel.) Location à la journée, à la semaine et au mois. Le repaire de nos amoureux ? (Il traverse la rue.)
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeJournée
John entre dans l’appartement et range son portable dans sa poche. Il aperçoit les fils conduisant à un autre combiné posé sur la table où se trouve des livres. Il inspecte le placard et trouve un carton. Il l’enlève et on découvre un cadre contenant une photo, des médailles et un drapeau de son frère.
Reese : Josh Monroe, le petit frère d’Abby. (Il se met à la fenêtre et regarde le cadre.)
 
SÉQUENCE – AppartementSécurité B13 heures 47 minutes 28 secondes ; Distributeur automatique TG391213 heures 47 minutes 58 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de l’association « La maison des Héros de la Nation »Journée
Finch : Je suis un vieil ami de la famille d’Abby. Et comme je passais à New York, ils m’ont demandé de savoir où elle est et pourquoi elle a quitté son travail ici.
Chapple : Elle ne leur a pas dit ? Eh bien, je suis navré mais j’ai dû la virer.
Finch : La virer ? Pour quelle raison ?
Chapple : Pour vol. Au début, ce n’était de petites sommes, je ne disais rien, je croyais que c’était des erreurs. Mais ensuite, j’ai découvert qu’elle fouinait dans les comptes de l’association, pour déplacer de l’argent, des sommes importantes.
Finch : Monsieur Chapple, j’ai beaucoup de mal à croire ce que vous dites.
Chapple : Malheureusement, c’est vrai. Nous prêtons de l’argent à un taux très réduit à des  vétérans en difficulté. Le moindre soupçon de scandale et les donateurs nous couperont les vivres. Il fallait que ça cesse.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeJournée
Abby Monroe : (Via une vidéo que John est en train de voir.) Salut maman, salut papa, si vous regardez ça, vous savez que j’ai des problèmes. Je crois que la dernière fois que vous avez été vraiment en colère contre moi, je devais avoir huit ans. La fois où j’avais attaché Josh sur son skateboard avant de le pousser dans la rue en pente pour voir à quelle vitesse il irait. Depuis ce jour-là, j’ai toujours été assez sage. Respectueuse des règles. Mais là, je vais faire une grosse bêtise. Pourquoi ? Eh bien, c’est compliqué et c’est très simple. Je le fais parce que c’est juste et je sais que Josh serait d’accord avec moi. C’était mon petit frère, je l’ai toujours admiré et je sais que… qu’il aurait été fier de moi. Comme vous le serez j’espère, quand vous saurez la vérité. Je vous aime et j’espère que vous ne verrez jamais ça.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de l’association « La maison des Héros de la Nation »Journée
Finch : Vous avez une idée sur ce qu’il a poussé à voler ?
Chapple : Je crois que tout à commencer quand elle a rencontré un ancien Marine. Ils discutaient ensemble quand il passait dans nos bureaux. Quelque part, il a dû avoir une influence sur Abby parce qu’elle s’est mise à voler quand elle l’a connu.
Finch : Je ne comprends pas, pourquoi ce Marine venait-il ici ?
Chapple : Je regrette mais nous avons une politique de confidentialité très stricte envers nos bénéficiaires. (Il range quelque chose dans le tiroir.) Tout ce que je peux vous dire c’est que ce n’était pas une partie de plaisir.
Finch : Est-ce que vous pourriez me donner son nom au moins ?
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : (Regardant le dossier.) Caporal Shayn Coleman. Expert en déminage et destruction d’engins explosifs. Il a perdu son bras droit il y a trois ans en désamorçant une bombe artisanale en Afghanistan.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldJournée
Carter : (Au téléphone.) C’est notre voleur de moto.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : J’ai contacté ses parents qui vivent dans l’Ohio. Ils disent qu’ils n’ont aucune nouvelle depuis deux mois.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeJournée
Reese : Ils sont au courant de ses ennuis ?
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : Ce qu’ils savent c’est que sa maison a été saisie et que sa fiancée est partie.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldJournée
Reese : (Au téléphone ; pendant qu’Harold surveille Chapple avec une jumelle.) C’est pour ça qu’il s’est tourné vers Chapple, pour faire un emprunt.
Harold voit Chapple discuter avec deux hommes en costumes.
Carter : (Au téléphone.) Bref, il a de gros soucis, plus qu’il n’en faut pour le mettre à cran.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss CarterJournée
Carter : C’est notre homme. Je lance immédiatement un avis de recherche.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldJournée
Finch : (Baissant sa jumelle.) Faites ce que vous avez à faire, lieutenant. (Elle raccroche.)
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeJournée
Reese : Finch…
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldJournée
Reese : (Au téléphone ; pendant qu’Harold surveille toujours Chapple.) Vous êtes toujours là.
Finch : Ouais, j’observe Philip Chapple en train de parler à deux hommes armés.
Reese : (Au téléphone.) À quoi ils ressemblent ?
Finch : À vous, pour être franc. L’air discret, vêtements menaçants. Je suppose qu’il leur dit de me suivre à l’aide du transpondeur GPS qu’il a glissé dans  ma poche avant que je m’en aille.
Reese : (Au téléphone ; pendant que Chapple regarde sur un portable.) Et où est ce transpondeur actuellement ?
Finch : À bord d’un fourgon immatriculé dans le New Jersey.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeJournée
Reese : Bien joué, Finch.
Finch : (Au téléphone.) Apparemment, Chapple…
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldJournée
Finch : …ne reculera devant rien pour retrouver Abby Monroe.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeJournée
Reese : Donc, ce qu’elle prévoit de faire à un lien avec lui.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldJournée
Finch : J’attends que les bureaux ferment et je retourne voir ce que je peux trouver.
Reese : (Au téléphone.) Ce n’est pas ce que je voulais dire quand je vous ais conseillé de sortir davantage.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeJournée
Reese : Laissez-moi m’en charger.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’HaroldJournée
Finch : Goûtez donc aux joies d’une vie sans risques, monsieur Reese, Abby est toujours notre priorité, restez où vous êtes.
 
SÉQUENCE – RouteCaméra 2017 heures 56 minutes 15Intersection408AE  - Caméra 322 heures 28 minutes 19 secondes ; Côté porteCaméra B23 heures 19 minutes 54 secondes
EXTÉRIEUR – Près de la maison des Héros de la NationSoirée
Harold entre dans les locaux de l’association et arrive près d’un boîtier.
Finch : Je suis entré. (Il utilise sa lampe torche sur un boîtier.) L’alarme a déjà été désactivée.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Reese : Ça peut vouloir dire que quelqu’un vous attend, Harold. (Quelque chose fait peur à Harold, ce qui inquiète John.) Qu’est-ce qu’il y a ? Sortez là tout de suite.
 
INTÉRIEUR – Dans la maison des Héros de la NationSoirée
Shayn Coleman : (Plaquant au mur Harold avec sa prothèse.) Qui êtes-vous ?
Finch : Ce n’est pas tellement important, monsieur Coleman.
Shayn Coleman : Vous connaissez mon nom ? Qu’est-ce que vous faites ici ?
Finch : La même chose que vous, je suppose et comme vous avez réveillé tout l’immeuble, on ferait bien de se dépêcher.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Reese : J’arrive mais s’il vous plaît, ne restez pas là-bas. (Abby arrive et John se met derrière pour ne pas qu’elle crie. Elle pousse un bruit de stupeur.) Chut…
Abby Monroe : (Tentant de se débattre.) Qui êtes-vous, ne me touchez pas.
Reese : N’ayez pas peur, je ne vous veux pas de mal.
 
INTÉRIEUR – Dans la maison des Héros de la NationSoirée
Shayn va vers le coffre fort Everhold. Pendant ce temps, Harold prend les fichiers sur l’ordinateur de l’association. Shayn tente de trouver des documents qui l’intéressent.
Reese : (Au téléphone.) Finch, sortez de là, tout de suite.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Reese : Ne prenez pas de risques, je suis avec Abby, partez.
 
INTÉRIEUR – Dans la maison des Héros de la NationSoirée
Finch : (Activant son oreillette.) Oui, oui, j’ai bientôt fini.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Reese : (Se prenant un coup de pied dans la jambe.) S’il vous plaît, ne faites pas ça.
Abby Monroe : Alors, lâchez-moi. Laissez-moi tranquille. (Elle arrive à se dégager.)
 
INTÉRIEUR – Dans la maison des Héros de la NationSoirée
Shayn a trouvé ce qu’il voulait prendre et s’en va tandis qu’Harold le suit. Mais quelqu’un a allumé la lumière.
Finch : (Voyant l’arme de Shayn.) Non, pas d’arme à feu. (Un homme arrive et il parvient à l’assommer. Ils arrivent tant bien que mal à quitter l’association.)
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Reese : Finch…
 
SÉQUENCE – Côté porteCaméra A23 heures 22 minutes 19 secondes
Reese : (Via un micro.) Parlez-moi.
 
EXTÉRIEUR – Près de la maison des Héros de la NationSoirée
Reese : (Au téléphone.) Qu’est-ce qu’il se passe ?
Finch : (Activant son oreillette, il tente d’attraper Shayn.) La situation est en train d’évoluer, monsieur Reese.
Homme : Les voilà. Restez où vous êtes.
Shayn Coleman : (Il monte sur sa moto et rejoint Harold.) Montez, ils vont vous tuer, montez ! (Harold monte sur la moto alors que les deux hommes tirent en direction de la moto qui est partie en trombe.)

_________________
"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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MessageSujet: Re: Script VF - 2X10 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 2X10 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeJeu 23 Juil - 16:03

SÉQUENCE – Trottoir WCaméra 223 heures 22 minutes 43 secondes
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Reese : Finch, est-ce que ça va ?
Finch : En dehors du fait que je fais de la moto sans casque, tout va très bien. Je vous rappelle plus tard.
Reese : Bien joué. (Regardant Abby.) Bonsoir Abby. Je suis John.
 
SÉQUENCE – ToitCaméra 0323 heures 23 minutes 09 secondes
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Abby Monroe : Écoutez, je vous conseille de partir parce que mon ami va arriver d’une minute à l’autre.
Reese : Votre ami Shayn.
Abby Monroe : Je ne sais pas comment vous le savez mais oui. Et c’est un Marine, il n’appréciera pas de vous voir ici.
Reese : Mais moi, je tiens à le rencontrer. Mais chaque chose en son temps, que signifie le message vidéo à vos parents ?
Abby Monroe : Quoi ? (En s’énervant.) Vous êtes rentré dans ma chambre, vous avez touché à mes affaires, je vous ordonne de sortir. Sinon, je…
Reese : Sinon quoi ? Vous appelez la police ? Je suis au courant pour les plans techniques et les explosifs.
Abby Monroe : J’en étais sûre, vous travaillez pour Chapple.
Reese : Non, mais ça m’intéresse de savoir pourquoi vous et Shayn en avez après lui.
Abby Monroe : Parce que Chapple est un menteur et un sale voleur. Et je ne dirais rien de plus tant que je ne saurais pas qui vous êtes.
Reese : Vous avez des ennuis et je suis ici pour vous empêcher d’en avoir encore plus.
Abby Monroe : Ce n’était pas ça la question. Qui êtes-vous ?
Reese : J’ai du mal à répondre à ça, même à moi-même. (La voyant partir.) J’ai été soldat à une époque comme votre frère Josh. Mais j’ai eu de la chance, je m’en suis sorti.
Finch : (Au téléphone.) Monsieur Reese.
Reese : Oui Finch, qu’est-ce qu’il se passe ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Finch : (Adossé à un mur, il est menacé par Shayn.) J’ai expliqué à Shayn qu’on essayait de l’aider.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Reese : Et il vous a cru ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Finch : Non, encore moins quand je lui ai dit que vous étiez avec Abby. La situation est un peu tendue.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Reese : Passez-le moi.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Shayn Coleman : (Après avoir reçu le téléphone d’Harold.) Vous êtes qui ?
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Reese : Abby n’arrête pas de me poser la même question. Est-ce que c’est vraiment important ?
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Shayn Coleman : Si vous touchez un seul de ses cheveux et vous le regretterez.
 
INTÉRIEUR – Dans l’appartement d’Abby MonroeSoirée
Reese : Et il en va de même pour vous et mon ami. Et si on se voyait.
 
SÉQUENCE – Rampe du pontCaméra 723 heures 36 minutes 30 secondes
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Reese : Si vous partez avec Shayn, je ne pourrais plus vous protéger.
Abby Monroe : De toute façon, je ne vous ai jamais demandé de me protéger.
Reese : Je ne sais pas ce que vous comptez faire mais je sais pourquoi. Vous n’avez pas pu sauver votre frère, alors vous tentez de sauver Shayn. Je le comprends, sincèrement et à votre place, je ferais pareil. Alors, dites-moi, qu’est-ce que Chapple vous a fait ?
Abby Monroe : Directement, rien de grave mais il a failli détruire Shayn.
Reese : En lui faisant un prêt ?
Abby Monroe : Oui, il lui a prêté de l’argent et les taux d’intérêts ont triplé en un an. Franchement, c’est impossible de faire face à ça.
Reese : Avec la crise, beaucoup de gens ont perdu leur maison et ils ne cherchent pas la solution dans les explosifs. Shayn devrait tourner la page.
Abby Monroe : Il a perdu sa maison et sa fiancée. Il avait présenté certains de ses amis à Chapple et bien l’un d’entre eux s’est donné la mort sur le perron de la maison qu’il venait de perdre. Et vous voudriez qu’il tourne la page. Écoutez, j’ai fouillé dans les dossiers de Chapple, j’ai vu ce que ce type faisait. Ils sont des centaines, des centaines de soldats à avoir perdu leur maison.
La moto de Shayn arrive. Harold en descend suivi de Shayn. Ils enlèvent leur casque et plus difficilement pour Harold.
Reese : Qu’est-ce que vous allez faire, Abby ?
Abby Monroe : Le nécessaire. Je peux y aller ?
 
SÉQUENCE – Parking 223 heures 38 minutes 03 secondes
Abby rejoint Shayn à la moto tandis qu’Harold va vers John.
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Abby et Shayn s’enlacent.
Reese : Vous l’avez équipé d’un traceur, j’imagine.
Finch : (Regardant son portable.) Un système assez malin, sans vouloir me vanter. (Pendant que Shayn et Abby montent sur la moto.) Son bras artificiel est contrôlé par des capteurs myoélectriques via une commande sans fil. J’ai cloné cette connexion et je l’ai reprogrammée pour tenter un appairage avec les mobiles près desquelles il passera.
Reese : (Les voyant partir.) Laissant une jolie piste GPS. Bien joué, Finch.
Finch : Surtout sur une moto roulant à pleine vitesse, j’ai trouvé ça très exaltant, la moto. J’ai bien envie de m’en acheter une.
 
SÉQUENCE – EntréeCaméra 123 heures 40 minutes 15 secondes
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeBureau de Joss Carter - Soirée
Carter regarde les photos d’Abby et de Shayn lorsque Cal arrive.
Calvin Beecher : Tu travailles tard.
Carter : Euh, oui, hm. Il y a toujours un truc à faire.
Calvin Beecher : (Pendant que Lionel s’assoit à son bureau.) Quelque chose ne va pas ?
Carter : Donnelly m’a fait une proposition.
Calvin Beecher : Je suis en concurrence ? Avec ce gars-là ?
Carter : Non, pas ce genre de proposition. Il m’a invité à travailler pour le FBI.
Calvin Beecher : Ce serait bien pour toi. Tu te sentiras un peu comme un petit poisson dans une grande mare mais pense à ta carrière et à la paie. Tu devrais dire oui.
Carter : Oui, mais il y aussi mon fils, ce n’est pas simple. Je veux dire, il faudra sans doute que j’envisage de quitter New York.
Calvin Beecher : On ne se verra plus jamais alors ? (Elle se met à sourire et son téléphone se met à sonner.) Allô ? (Lionel appaire son téléphone.) Pas de problème, à tout à l’heure. Ah, qu’est-ce qu’on se disait avant ça ?
Carter : Qu’on se verra plus jamais.
Calvin Beecher : (Souriant.) Ah, oui.
 
SÉQUENCE – Caméra de la poupéeStreaming23 heures 41 minutes 22 secondes
La Machine récupère la discussion de Calvin Beecher avec le chef de la DRH Alonzo Quinn
Calvin Beecher : Allô ?
Alonzo Quinn : Cal ? Alonzo Quinn. On peut se voir ? Tidal Park, disons dans trente minutes.
Calvin Beecher : Pas de problème.
La Machine fait tout l’organigramme de la DRH avec Simmons en dessous d’Alonzo Quinn.
SÉQUENCE – ParcCaméra G00 heure 14 minutes 30 secondes
EXTÉRIEUR – Près d’un parcNuit
Alonzo Quinn : (Via un micro.) J’espère que vous pourrez m’aider, Cal.
Calvin Beecher : Tout ce que je pourrais, monsieur Quinn.
Alonzo Quinn : (Pendant que Lionel écoute la conversation au loin près de sa voiture.) Le maire n’apprécie pas le taux de criminalité qui bat des records à Crown Heights. Trafic de drogues, cambriolage et même des homicides. Il veut savoir ce qu’il se passe et je lui ai dit qu’un de mes filleuls devaient être au courant. Qu’est-ce que vous savez ?
Calvin Beecher : Crown Heights, ouais. On pense que c’est un Russe, Peter Yogorov. Avant il était à Brighton Beach mais Elias l’a viré. (Via un micro.) On pense que c’est lui qui tire les ficelles pour reprendre le contrôle du quartier.
Simmons s’approche de Lionel.
Simmons : Bouh. (Lionel se retourne de surprise.)
Fusco : Qu’est-ce que tu fais ici, Simmons ?
Simmons : Je garde un œil sur toi, sale petit curieux. Tu fais quoi là ?
Fusco : Ce n’est pas tes oignons.
Simmons : (Regardant vers Quinn et Beecher.) Tu files Cal Beecher. Tu te renseignes sur lui pour Carter ?
Fusco : Non, je me demandais à qui d’autre tu avais bien pu causer.
Simmons : Du fait que tu as enterré Davidson. Pas à Beecher, pas encore.
Fusco : Tu es allé trop loin en téléphonant à Carter. En la dirigeant vers moi pour le meurtre de Davidson.
Simmons : Je suis allé trop loin ?
Fusco : Maintenant je n’ai plus rien à perdre, tu comprends. Alors, méfie-toi.
Simmons : (En souriant.) Tu sais combien de fois j’ai entendu ça ? Et pourtant je suis là, toujours aussi fringuant. Allez, rentre chez toi.
Fusco : (S’apprêtant à partir.) Qu’est-ce que tu fais là, Simmons ?
Simmons : Rentre chez toi, je te dis. (Fusco s’en va.)
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : (Regardant son écran d’ordinateur où se trouvent les points rouge du chemin pris par Shayn.) Voici le trajet récupéré par les téléphones. Abby et Shayn semblent être arrêtés au 1400 Hanover Street. Mais qui a-t-il là bas ? Je sors la liste de toutes les sociétés de cet immeuble, je la croise avec les fichiers de l’ordinateur de Chapple. (Il trouve l’information grâce à l’agenda de Chapple.) Bingo, une banque d’investissement, la Merton Watts.
Reese : Chapple y a peut-être un compte.
Finch : (Tentant de trouver l’information.) Aucune trace de compte bancaire dans ses fichiers.
Reese : Alors un coffre, tout simplement.
Finch : Qu’est-ce qu’il y mettrait ? Si j’en crois ses relevés, Chapple n’est pas riche.
Reese : Abby a dit que des centaines d’emprunteurs avaient été saisis. S’il touche des pots-de-vin de la banque…
Finch : Vous avez peut-être raison, Merton Watts a un privilège de premier rang sur toutes les propriétés soumises à l’emprunt de Chapple. Ce qui veut dire qu’ils gèrent le produit des saisis.
Reese : Ils partagent les bénéfices avec Chapple qui garde cet argent dans un coffre privé à la banque. C’est pour ça qu’Abby et Shayn sont là-bas.
Finch : Pourquoi fait-elle ça ? Pour Shayn ?
Reese : Oui et pour son frère. Elle croit avoir une dette. Les morts ont souvent ce pouvoir sur nous.
Finch : Bon et comment vont-ils s’y prendre ?
Reese : Ils ont des explosifs, des plans. Ils vont trouver un point d’accès et tout faire sauter jusqu’au coffre. Je les aime bien ces jeunes.
Finch : Ce serait bien qu’ils restent en vie. Il faut absolument aller là-bas avant les hommes de main de Chapple.
 
SÉQUENCE – FoyerCaméra B1 heure 27 minutes 26 secondes
Un homme de main arrive à remettre les caméras en route.
Homme : Voilà, tout fonctionne.
 
INTÉRIEUR – Dans l’association « La Maison des Héros de la Nation » - Nuit
Homme : Ils ont volé quelque chose ?
Philipp Chapple : Ils ont pris les clés et le code du coffre. Mais la salle des coffres de la banque est inviolable, n’est-ce pas ?
Homme : Qu’est-ce qu’on en sait ? Sur la fréquence de la police, ils disent qu’ils ont volé des explosifs.
Philipp Chapple : Eh bien, allez à la banque, réglez le problème.
Homme : Pour ça, il faudrait qu’on soit plus nombreux. Il y a une grande zone à couvrir.
Philipp Chapple : Je paierai ce qu’il faudra. Mais réglez ça, une fois pour toutes.
 
SÉQUENCE – FoyerCaméra B1 heure 27 minutes 50 secondes
Les deux hommes se mettent à partir.
 
SÉQUENCES – Surveillance du trafic462B1 heure 34 minutes 23 secondes ; 5ème étageBalconCaméra 41 heure 36 minutes 45 secondes
INTÉRIEUR – Dans la voiture de DonnellyNuit
Joss entre dans la voiture de Donnelly.
Donnelly : Votre téléphone.
Carter : Qu’est-ce qu’il se passe, Donnelly ?
Donnelly : Je suis désolé mais je crois que l’organisation pour laquelle notre homme travaille a des moyens sophistiqués. (Il enlève la carte SIM du téléphone.)
Carter : Comme mettre des flics sur écoute ? Il s’est passé quelque chose ?
Donnelly : Je crois que la chance nous sourit. L’homme en costume serait impliqué dans le  cambriolage d’une asso caritative dans l’Upper East Side.
Carter : Comment vous le savez ?
Donnelly : Avant que je vous en dire davantage, il faut que sache si vous acceptez l’affectation temporaire au FBI.
Carter : Oui, d’accord.
Donnelly : Bien, vous ne le regretterez pas. Alors, il y a maintenant dix mois que nous traquons cet homme. À chaque fois qu’on s’apprête à l’arrêter, il nous glisse entre les doigts, comme s’il avait un ange gardien. Je me suis mis en quête d’une piste, d’un indice, quel qu’il soit. Et un jour, j’ai compris, les téléphones. Il est constamment en contact avec ses chefs.
Carter : J’y avais pensé, j’ai recoupé les scènes de crime où il avait été signalé avec les connexions des codes IMEI mais ça n’a rien donné.
Donnelly : Exactement, rien du tout. Nos ingénieurs à Quantico ont analysé le trafic sur l’antenne relais pour le fameux soir où on pensait le tenir. Derrière les bruits de Wi-Fi et de radio, (il montre une tablette où se trouve le point vers l’endroit du signal) ils ont détecté les traces furtives d’un IMEI à signature unique. J’ai lancé une recherche sur cette signature dans un puissant serveur, il y a vingt-quatre heures, j’ai obtenu une réponse. (Sur la tablette, se trouve le même signal vers l’endroit de l’association sur le plan.) Ils ont repéré l’apparition du même code IMEI à l’endroit et au moment précis du cambriolage. C’est notre homme. J’ai des équipes prêtes à intervenir, s’il utilise son téléphone, cette fois on le tient.
 
SÉQUENCES – 5ème étageBalconCaméra 31 heure 38 minutes 36 secondes ; Entrée de serviceCaméra5 heures 03 minutes 20 secondes
Shayn met du produit à l’endroit où se trouve la caméra de vidéosurveillance.
EXTÉRIEUR – Près des sous-sols de la banqueNuit
Shayn force la porte de l’entrée de service et y entre avec Abby.
Shayn Coleman : Abby, tu en as fait assez. Je m’occupe du reste, va m’attendre dans l’appartement.
Abby Monroe : Non, on y va ensemble ou pas du tout.
Shayn Coleman : Tu as déjà pris trop de risques. Ce n’est plus ton combat maintenant.
Abby Monroe : Si, c’est mon combat, je veux me battre pour toi. (Elle l’embrasse.)
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de DonnellyNuit
Joss ne sait pas trop comment faire alors que des hommes du FBI sont là.
Donnelly : (Sorti de la voiture pour rejoindre son équipe.) Tout est prêt ?
Agent : Les hommes sont en position monsieur. On attend le signal.
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueNuit
Shayn a accroché le fil d’explosif sur le mur et le délie pour le faire parvenir dans un coin. Ils sont prêts à faire exploser la porte.
Reese : À votre place, je ne ferais pas ça. (Shayn montre une arme mais il le désarme.) Ni ça. (Enlevant le chargeur.) Maintenant la vérité, sinon, c’est moi qui vous livre à la police. Vous êtes là pour voler l’argent de Chapple. Et après ?
Shayn Coleman : On veut rendre le pognon aux personnes auxquelles il appartient.
Reese : Comment ?
Abby Monroe : On n’a pas encore réfléchi à tout.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Reese : (Au téléphone.) Vous n’avez pas beaucoup réfléchi, en effet.
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueNuit
Reese : Vous auriez pu en parler à la police, à un avocat.
Shayn Coleman : Abby en a parlé, au procureur. Mais Chapple l’avait devancé avec ses mensonges. Du coup, le procureur l’a menacée de la poursuivre pour vol et diffamation.
Abby Monroe : Quand je suis rentrée chez moi, un des hommes de Chapple m’attendait. Il m’a attrapée et frappée. Et il a dit que si je ne tenais pas ma langue, il reviendrait me mettre une balle dans la tête.
Reese : J’imagine que la banque est juste derrière.
Shayn Monroe : On fait sauter ce mur et on est en-dessous.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : John, cette histoire va trop loin.
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueNuit
Reese : Vraiment vous trouvez ?
Finch : (Au téléphone.) Dites-leur de rester là. Je m’occupe de Chapple.
Reese : Il leur a fait du mal, Finch. Ils ont essayé la voie légale et on ne les a pas écoutés. Alors, qu’est-ce qu’il leur reste ? De plus, j’ai toujours eu une dent contre les gens qui ne respectaient pas les vétérans.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : John, c’est beaucoup trop risqué.
Reese : (Au téléphone.) Qu’est-ce que vous disiez déjà ?
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueNuit
Reese : Goûter aux joies d’une vie sans risques. (Il désactive son oreillette.) Allons-y, attendez que le métro passe.
SÉQUENCE – StationCaméra 0235 heures 27 minutes 46 secondes
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueNuit
Reese : (Après que le métro soit passé.) Maintenant. (Abby fait sauter le mur.)
Abby, Shayn et John traversent des couloirs jusqu’à parvenir à une pièce éclairée. Abby marque l’endroit du coffre avec sa lampe torche.
Abby Monroe : C’est ici, la salle des coffres est au-dessus.
Shayn Coleman : On s’est dit qu’on ne pourrait pas accéder au coffre par la banque, alors on a décidé de les faire descendre jusqu’à nous. En faisant sauter le plafond.
 
EXTÉRIEUR – Près des sous-sols de la banqueNuit
Les hommes de Chapple arrivent également à l’endroit où sont passés Abby et Shayn.
Homme : On a quelque chose.
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueNuit
Finch : (Au téléphone.) John, où en est la situation ?
Reese : (Pendant que Shayn met du plastique d’explosif.) Encore dix minutes.
Finch : (Au téléphone.) Il y a quelque chose d’anormal.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : Une sorte d’interférence sur notre connexion téléphonique.
 
EXTÉRIEUR – Près des sous-sols de la banqueNuit
Reese : Ce serait Root ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : (Regardant son écran d’ordinateur où se trouve une bande.) Non, c’est un balayage à large spectre. Un serveur très puissant, Root a des techniques plus subtiles. Ça doit être le FBI. Déconnectez-vous et sortez là tout de suite tous les trois. Si Shayn et Abby refusent, ne vous occupez pas d’eux.
 
EXTÉRIEUR – Près des sous-sols de la banqueNuit
Reese : (Pendant que Shayn installe le fil.) Je ne partirai pas sans eux. Ils s’en prennent à quelqu’un de très mauvais. Est-ce que ce n’est pas un peu le but de votre expérience ?
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueNuit
Finch : Le but de l’expérience est d’empêcher des gens se faire tuer, pas de braquer des banques.
 
EXTÉRIEUR – Près des sous-sols de la banqueNuit
Reese : Cinq minutes et on sort. (Il désactive son oreillette.)
Les hommes de Chapple entrent à leur tour dans les couloirs menant au sous-sol de la banque. Ils sont trois et restent sur leur garde. Pendant ce temps, John donne le compte à rebours pour enclencher les explosifs.
Reese : Attention, trois, deux, un.
Ils se protègent et l’explosion fait tomber le plafond de la banque ainsi que des coffres qui tombent.
Reese : Allons-y. (Abby tente de trouver le bon coffre.)
Abby Monroe : Le voilà, le 158. (Shayn lui donne le code du coffre et le pianote sur le clavier. Elle l’ouvre avec deux clés et prend le coffre qui se trouve à l’intérieur. Ils jettent l’argent et trouvent les documents qu’ils cherchaient.
Shayn Coleman : L’argent est dans une banque au Vénézuela.
Reese : C’est ce que vous cherchez ?
Abby Monroe : C’est encore mieux, il y a plus de trente millions là-dessus. Il a détourné 30 millions de dollars.
Reese : Alors, venez. Ne restons pas là. (Les hommes de Chapple arrivent et commencent à tirer.) Baissez-vous. (Il tente de riposter.) Tout va bien ?
Shayn Coleman : Pour une fois, j’ai de la chance. (Sa prothèse est un peu endommagée.)
Abby Monroe : C’est sûrement les hommes de Chapple. La banque ouvre dans trente minutes, il faut qu’on soit sorti avant.
Reese : (Mettant un silencieux sur son arme.) Tenez bon. (Il continue de tirer.)
 
SÉQUENCE – Vue du cielCaméra R6 heures 43 minutes 52 secondes
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Joss est toujours avec Donnelly.
Donnelly : Appel des services d’urgence. Suspicion d’explosion en sous-sol près de Wall Street. On a repéré le code IMEI dans le secteur, c’est lui. On rejoint les gars du SWAT, vous venez ?
Carter : Euh oui, bien sûr, j’ai juste un coup de fil à passer.
Donnelly : D’accord, mais faites vite.
Carter : Euh, allô, maman ?
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeMatinée
Carter : (Au téléphone.) Tu peux veiller à ce que Taylor aille bien aux cours.
Fusco : Comment ça maman, tu as bu ou quoi ?
Carter : (Au téléphone ; à voix basse.) Dis à Harold que Donnelly va à Wall Street.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Carter : Il sait que John y ait. Il traque les téléphones. (Prenant une voix normale.) D’accord maman, je te laisse merci, je t’aime. (Elle monte à bord du véhicule et ils s’en vont sirènes et gyrophares en route.)
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeMatinée
Fusco : (À voix basse.) Eh, c’est Fusco. Il est où Superman ? Pas du côté de Wall Street j’espère parce que Donnelly y va.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : Il se trouve exactement là à la Merton Watts banque d’investissement dans Hanover Street.
 
INTÉRIEUR – Dans les locaux de la policeMatinée
Fusco : (Toujours à voix basse.) D’après Carter, le FBI traque vos téléphones.
Finch : C’est bien ce que je craignais.
 
INTÉRIEUR – Dans la bibliothèqueMatinée
Finch : (Préparant des affaires pour la banque.) Si vous pouvez faire une quelconque diversion pour nous à la banque lieutenant, je vous en serais très reconnaissant. (Harold s’en va en laissant Balou.)
 
SÉQUENCE – Vue de la merCaméra 48H6 heures 45 minutes 22 secondes ; Côté trottoirCaméra6 heures 45 minutes 46 secondes
Simmons entre dans la voiture de Quinn.
INTÉRIEUR – Dans la voiture d’Alonzo QuinnMatinée
Alonzo Quinn : (Montrant la photo de Yogorov.) Je suppose que vous connaissez ce monsieur.
Simmons : Peter Yogorov, un homme de main de la Mafia russe, c’est du moins ce qu’il était jusqu’à ce qu’Elias tue son père.
Alonzo Quinn : C’est quelque chose qui pourrait être à notre avantage.
Simmons : Pour nous venger d’Elias ?
Alonzo Quinn : Ou pour créer une autre source de revenus.
Simmons : Yogorov est en détention, il attend son procès avec son petit frère, Lazlo. Le procureur dispose de preuves irréfutables contre lui.
Alonzo Quinn : Eh bien, on peut peut-être l’aider.
Simmons : Vous avez besoin de quelque chose sur le procureur ?
Alonzo Quinn : Je vais m’en charger. En étant aussi sévères avec nos émissaires, Elias a été clair, notre relation avec lui est finie. Il nous faut de nouveaux amis.
Simmons : Vous voulez que j’aille voir les Russes ? J’entame les négociations.
Alonzo Quinn : Ils ont les outils nécessaires mais avec notre soutien, l’argent ne sera plus un souci.
Simmons : Entendu, patron. Je viens d’avoir une info intéressante. Il paraît que cet emmerdeur de Donnelly est sur le point d’arrêter l’homme en costume.
Alonzo Quinn : La journée vient de commencer et elle est déjà parfaite.
 
SÉQUENCE – Porte 1Caméra 36 heures 59 minutes 36 secondes
EXTÉRIEUR – Près de la banque « Merton Watts » - Matinée
Finch : (Activant son oreillette.) La banque est sur le point d’ouvrir, John. Où êtes-vous ?
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueMatinée
Les hommes de Chapple sont toujours en chasse et tente de prendre pour cible John.
 
EXTÉRIEUR – Près de la banque « Merton Watts » - Matinée
Finch : Monsieur Reese, qu’est-ce qu’il se passe ?
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueMatinée
Reese : (Prenant un autre chargeur.) Désolé de vous dire ça mais on est un peu occupé là. (Il continue de tirer.)
 
EXTÉRIEUR – Près de la banque « Merton Watts » - Matinée
Finch : Venez me retrouver dans le hall, j’ai des papiers et des badges pour vous trois.
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueMatinée
Reese : Couvrez-nous. (Il semble prendre quelque chose dans les casiers.
 
EXTÉRIEUR – Près de la banque « Merton Watts » - Matinée
Pendant ce temps, la banque ouvre et les clients commencent à entrer, y compris Harold.
 
SÉQUENCE – Porte 1Caméra 47 heures 00 minute 7 secondes
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueMatinée
Abby Monroe : Qu’est-ce que vous cherchez ?
Reese : (Prenant un costume dans un casier.) Des vêtements, il faut qu’on se change. On va se déguiser en banquier, on va grimper par là et sortir par la grande porte, allez.
 
EXTÉRIEUR – Près de la banque « Merton Watts » - Matinée
Les véhicules du FBI arrivent près de la banque. Une discussion est en cours dans la voiture de Donnelly.
Agent : La base vient de détecter une communication vers la cible.
Donnelly : Même endroit ?
Agent : Oui, monsieur.
Carter : Vous savez qu’il communique mais vous ne l’entendez pas. (N’obtenant pas de réponse.) Et l’autre, vous savez qui c’est ?
Donnelly : Pas encore.
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueMatinée
Abby et Shayn se changent pour mettre des costumes de banquier. Shayn va voir John.
Shayn Coleman : Donnez-moi le flingue. Amenez Abby. Vous en avez fait assez, c’est de ma faute si on est dans le pétrin.
Reese : Chacun de nous s’est mis tout seul dans le pétrin. On va en sortir tous ensemble. Vous allez vous rendre dans le hall, Harold y sera. Je serai juste derrière vous. Maintenant.
Pendant que Shayn et Abby se rendent vers la banque, John les couvre en tirant vers les hommes de Chapple. Shayn aide Abby à monter alors que les coups de feu pleuvent des deux côtés.
 
SÉQUENCE – HallCaméra 37 heures 01 minute 22 secondes ; HallCaméra 107 heures 01 minute 25 secondes ; HallCaméra 77 heures 01 minute 27 secondes
Pendant qu’Harold entre dans la banque, les caméras de vidéosurveillance sont coupées.
Secrétaire : Personne suivante.
INTÉRIEUR – Dans la banque « Merton WattsMatinée
Harold se trouve dans le hall de la banque.
 
EXTÉRIEUR – Près de la banque « Merton Watts » - Matinée
Les agents du FBI arrivent près de la banque et s’y arrêtent. Donnelly et Carter en sortent et voient les gens entrer dans la banque.
Carter : J’ai l’impression qu’il ne se passe rien.
Donnelly : Si, le signal est toujours actif et on nous a parlés d’une explosion en sous-sol. Il est ici. (Philipp Chapple se met à entrer dans la banque.) Allez, une équipe entre avec moi et une autre prend l’autre porte, on bouge dans trente secondes.
 
INTÉRIEUR – Dans la banque « Merton WattsMatinée
Philipp Chapple : (Passant devant une cliente.) Excusez-moi. (Il donne sa carte.) Je suis un client de la banque, je veux accéder à mon coffre tout de suite.
Harold voit l’arrivé de Chapple alors que Shayn et Abby viennent le rejoindre.
Finch : (Donnant des badges.) Bonjour, tenez, prenez ça. Mon nom est Harold Wren, je dirige une compagnie d’assurances, vous êtes mes associés, nous sommes ici pour un rendez-vous. Où est John ?
Agent 1 : FBI, tout le monde dos au mur.
Agent 2 : FBI.
Agent 1 : Restez où vous êtes.
Agent 2 : Plus un geste, mains en l’air.
Agent 1 : Montrez vos mains. (À Donnelly.) Le hall est sécurisé.
Donnelly : Contrôle d’identité, personne ne sort, la moitié des hommes avec moi.
Agent 1 : Oui monsieur. On y va.
Agent 2 : Vous, vous ne bougez pas.
Pendant qu’Harold, Abby et Shayn ont les mains en l’air, Joss passe devant eux.
Finch : (Activant son oreillette.) John, vous m’entendez ? Shayn et Abby sont sauf, le FBI est dans la banque, allez vous en.
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueMatinée
Un des hommes de Chapple appelle pour dire qu’il y a du mouvement dans le sous-sol.
Homme : On a de la compagnie, c’est sérieux, laissez vos armes et tirez vous.
Les hommes du SWAT font le tour du sous-sol en recherche de John et des autres hommes.
Finch : (Au téléphone.) John, vous m’entendez ? Sortez tout de suite.
Agent : Ils ont fait sauter la dalle. Alpha, ici Delta, la salle des coffres est sécurisée.
Reese : (Les voyant au-dessus de lui.) Trop tard, Harold.
 
INTÉRIEUR – Dans la banque « Merton WattsMatinée
Reese : (Au téléphone.) Désolé, je n’ai pas assuré.
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueMatinée
Reese : Mais je pensais vraiment ce que j’ai dit hier, alors merci.
 
INTÉRIEUR – Dans la banque « Merton WattsMatinée
Reese : (Au téléphone.) C’était amusant.
Finch : John.
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueMatinée
John enlève son oreillette et brise le téléphone portable.
 
INTÉRIEUR – Dans la banque « Merton WattsMatinée
Finch : (Voyant arriver un agent du FBI.) Harold Wren, Assurance Universal Heritage, mes associés.
Agent : Vous êtes ici pour quoi ?
Finch : Nous avons rendez-vous avec le vice-président de Corporate Strategies.
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueMatinée
Les hommes du FBI arrivent à l’entrée des sous-sols de la salle des coffres.
 
INTÉRIEUR – Dans la banque « Merton WattsMatinée
Agent : (À une femme.) Vos papiers.
Finch : Vous avez ce que vous vouliez ?
Abby Monroe : (Montrant les papiers trouvés dans le coffre.) Tout l’argent que Chapple a volé. Plus de 30 millions. Vous pouvez faire quelque chose avec ce compte ? (Pendant ce temps, Chapple regarde vers Abby.)
Finch : (Regardant vers Chapple.) Oui, je vais le vider et déposer jusqu’au dernier cent sur les comptes d’associations militaires respectables, ça vous va ? (Shayn et Abby acquiescent.) Et il faut que je m’occupe de vous, que je vous aide à quitter New York.
Shayn Coleman : D’accord, tant qu’on reste ensemble.
Fusco : (À des policiers.) Vérifiez les étages. Allez voir au fond. (À Abby, Shayn et Harold.) Ne vous inquiétez pas je vous couvre.
Abby Monroe : Qu’est-ce qu’on fait pour John ?
 
INTÉRIEUR – Dans les sous-sols de la banqueMatinée
Carter et Donnelly arrive près de l’endroit où se trouve John. Un homme a les mains sur la tête.
Donnelly : Ah, enfin on le tient.
Agent : (Retournant l’homme qui a les mains sur la tête.) Chef, on a un problème. Écartez-vous. (Les hommes s’écartent et trois hommes sont en costume dont John.)
Donnelly : Vous reconnaissez notre homme ?
Carter : Euh… (Ne sachant pas quoi dire.) Non. (Donnelly ne semble pas être content.)
Donnelly : Embarquez-les tous.

Les hommes mettent des menottes aux trois suspects dont John.

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"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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