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 Script VF - 2X16 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb

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carine79
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carine79

Série préférée : Lucifer

Script VF - 2X16 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Empty
MessageSujet: Script VF - 2X16 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 2X16 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeJeu 23 Juil - 16:33

Finch : On vous surveille. Le gouvernement possède un dispositif secret, une Machine, qui vous espionne jour et nuit, sans relâche… (La Machine ne va pas bien car elle a détecté une anomalie au niveau de son noyau heuristique. Elle trouve le processus non pertinent mais exécute celui de pertinent.)
 
2011
La Machine revient sur l’assassinat d’un homme nommé Daniel Aquino qui connaît son existence puisqu’il y a un carré jaune autour d’une voiture.
Conseiller spécial : Il a posé beaucoup trop de questions.
Homme : On règle ça comment ?
Conseiller spécial : Il me semble qu’on a la solution.
Daniel Aquino : Vous vous trompez d’individu, il faut juste que… ah ! (Il se prend trois balles. La Machine montre son atout qui porte le pseudo d’Indigo mais son véritable nom a été effacé. La Machine la retrouve en 2013 à Berlin en Allemagne.)
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueBerlinAllemagneJournée
Shaw : (En allemand.) Merci. (Elle se trouve sur un trottoir et un policier se tourne vers elle, se mettant à sourire.
 
INTÉRIEUR – Dans un bâtimentBerlinAllemagne - Journée
Elle entre désormais dans un bâtiment. Elle se trouve nez-à-nez avec deux hommes.)
Homme 1 : (Parlant en langue étrangère.) Pourquoi vous nous suivez ?
Shaw : Désolée, je ne parle pas allemand.
Policier : (Arrivant derrière eux, il parle en allemand.) Il y a un problème ?
Shaw : Non, je crois que c’est juste un malentendu.
Homme 2 : (En allemand.) Pas de problème.
Policier : Ces messieurs vous embêtent, je peux les en empêcher.
Shaw : Oh, euh, non, merci. Je crois que c’est juste une erreur. Écoutez, je suis un peu pressée. (L’un des deux hommes sort son arme.)
Homme 2 : (Dans une langue étrangère.) Appelle Bekhti. Dis-leur de dégager. Les Américains nous ont repérés. (La femme leur tire dessus plusieurs fois. Ils s’écroulent au sol tandis qu’elle vise le policier.)
Shaw : (En allemand.) À genoux. (Il s’exécute en mettant les mains en l’air. Elle prend le portable d’un des hommes. Elle continue de parler en allemand.) Désolée. Comme je vous l’ai dit, je suis un peu pressée. (Elle donne un coup sur la tête du policier qui s’écroule.)
 
SÉQUENCE – Quelque chose en allemandCaméra n° 028 heures 22 minutes 43 secondes
Michael Cole : Pas de trace de Bekhti ? (Alors que Shaw a un carré bleu autour d’elle.)
 
INTÉRIEUR – Dans un bâtimentBerlinAllemagne - Journée
Shaw : Non, et je viens de flinguer notre chance de le trouver.
 
SÉQUENCE – Quelque chose en allemandPoste de contrôle n° 271
Une camionnette est stationnée dans une rue et a un carré bleu autour d’elle.
INTÉRIEUR – Dans une camionnetteBerlinAllemagne - Journée
Cole se trouve dans la camionnette et travaille sur son ordinateur. Il affiche les deux photos des deux hommes.
Michael Cole : Tu n’es vraiment pas sortable, Shaw.
 
INTÉRIEUR – Dans un bâtimentBerlinAllemagne - Journée
Shaw : Il était en train d’appeler Bekhti, j’ai une partie du numéro, huit chiffres en tout.
 
INTÉRIEUR – Dans une camionnetteBerlinAllemagne - Journée
Michael Cole : Oh, tu ne pouvais pas le laisser entrer les deux derniers.
 
INTÉRIEUR – Dans un bâtimentBerlinAllemagne - Journée
Shaw : Trouve-les, OK.
 
SÉQUENCES – Quelque chose en allemandCaméra n° 13 – 8 heures 23 minutes 01 seconde ; Quelque chose en allemandCaméra n° 099 heures 55 minutes 05 secondes
Shaw : Je ne sais pas ce que Bekhti manigance mais ces types étaient prêts à tuer un flic pour le protéger.
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Shaw et Michael sortent et se trouvent sur un toit.
Michael Cole : (Mettant une valise sur le sol.) Le signal du portable de Bekhti est juste sous nos pieds. À environ douze ou quinze mètres au-dessus du niveau de la rue. Sans doute au dernier étage. (Il prépare la caméra pour le mettre dans un tuyau.) C’est parti. Bon alors. (Il dirige la caméra pour voir où il se trouve grâce à son ordinateur.) Ah, ouah, mauvais appartement.
Shaw : Essaie encore. (Il enfonce encore plus le câble.)
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementBerlinAllemagne - Journée
Journaliste : (À la télévision alors que le câble apparaît sous la grille.) Il passe le ballon, mais il rate sa…
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Michael Cole : Ça y est, bonne pioche. (Regardant les images.) Ahnaz, tu me déçois, qu’est-ce que tu fais ? Tu as du plastic, tu as un téléphone comme détonateur.
Shaw : Fais voir. (Faisant un zoom sur la pièce.) Et du césium, tout ce qu’il faut pour fabriquer une bombe sale.
Michael Cole : Tu as un plan ? (Un téléphone se met à sonner, l’homme autour d’une table répond dans une langue étrangère.)
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementBerlinAllemagne - Journée
Homme : On a fini. On intervient dans une heure.
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Shaw : Pas de temps à perdre, j’appelle Contrôle. (Au téléphone cellulaire.) Oui ici Catalyse, mot de passe Indigo.
Homme : (Au téléphone.) Je vous écoute Indigo.
Shaw : Demande autorisation d’engager, contact imminent.
Homme : (Au téléphone.) Feu vert.
Elle coupe la communication et prend dans son sac ce qui semble être une arme. Elle se trouve désormais près de l’appartement des potentiels terroristes. Pendant ce temps, Michael met un autre câble à l’intérieur de la pièce.)
 
EXTÉRIEUR – Près d’un appartementBerlinAllemagneJournée
Shaw : Les fenêtres sont toujours fermées ?
Michael Cole : Ouais, pas autant que je sache.
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Michael Cole : Tu sais qui d’autre que toi est assez fou pour utiliser le gaz. (Il prépare le gaz asphyxiant pour le mettre dans le tube.)
 
EXTÉRIEUR – Près d’un appartementBerlinAllemagneJournée
Michael Cole : Les Russes. (Pendant que Shaw s’active devant la porte.)
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Michael Cole : Les gens complètement cinglés du FSB.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un appartementBerlinAllemagneJournée
Shaw : Où tu crois que je l’ai eu ? (Elle met du ruban adhésif sous la porte.)
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementBerlinAllemagne - Journée
Journaliste : (À la télévision.) Cette seconde mi-temps avait bien commencé. (Michael injecte le gaz dans le tube.) Et l’espoir renaît dans la défense…
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Michael regarde les hommes déambuler dans l’appartement et l’un d’eux tombe sous l’effet du gaz.
Michael Cole : Voilà le numéro un. (Alors que Shaw met une cagoule, il entend une personne tomber.) Le numéro deux. (Elle met son masque à gaz.)
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementBerlinAllemagne - Journée
Journaliste : (À la télévision.) Il faut modifier le score alors que… (Un autre homme tombe au sol.)
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Michael Cole : Et le numéro trois.
 
EXTÉRIEUR – Près d’un appartementBerlinAllemagneJournée
Shaw force la serrure de la porte, prépare son arme et se met à entrer dans l’appartement.
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementBerlinAllemagne - Journée
Shaw fait le tour de l’appartement et voit un homme à terre alors que la télévision est toujours allumée sur un match de foot. Elle en découvre un autre dans la cuisine et encore un dans la salle de séjour. Elle déplace l’arme du présumé terroriste, voyant tout le matériel sur la table. Elle bouge un tube qu’elle range dans un étui.
Shaw : J’ai retiré le césium. (Elle le referme et voit des feuilles voler, une fenêtre est ouverte.
Journaliste : (À la télévision.) Et le gardien s’empare du ballon. Tout reste à faire dans ce match où nous sommes je vous rappelle dans la phase de tirs au but pour départager ces deux équipes. Jusqu’ici, ni Francfort ni Karlsruhe n’ont pris l’avantage, il reste quatre tentatives pour chacune des équipes. C’est Alexander Meyer qui se prépare à frapper pour l’équipe en espérant bien sûr où il ouvrira la marque (Shaw voit la fenêtre ouverte et va la rejoindre) en s’octroyant un avantage psychologique sur l’adversaire. Le match est tendu et les hommes sont marqués d’un côté comme de l’autre. Meyer prend son temps lui aussi. (L’homme dans la cuisine a disparu.)
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Michael Cole : (Regardant les images.) Shaw, qu’est-ce qu’il se passe ?
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementBerlinAllemagne - Journée
Shaw regarde autour d’elle mais l’homme se trouve derrière elle et l’attaque. Une bagarre s’engage entre les deux et elle arrive à se dégager malgré son masque à gaz. Elle lui donne des coups de pieds et des coups de poing sur le côté et il parvient à s’enfuir. Elle se relève et tente de le retrouver avec son arme à la main.
Shaw : J’ai besoin d’aide Cole.
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Michael Cole : Je ne sais pas où il est. Je ne le vois pas, je…
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementBerlinAllemagne - Journée
Shaw fait le tour pour retrouver l’homme.
Shaw : Il est où ?
Michael Cole : (Au téléphone.) Je le cherche.
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Michael Cole : Je ne le vois nulle part.
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementBerlinAllemagne - Journée
Shaw continue de faire le tour.
Michael Cole : (Au téléphone.) Je ne le trouve toujours pas.
Shaw : Calme-toi. Dis-moi quelque chose d’utile.
Michael Cole : (Au téléphone.) D’accord, attends. Ne bouge plus. Là, à trois heures. (Elle regarde et on aperçoit l’homme juste derrière.) Maintenant. (Elle se met à lui tirer dessus et s’écroule au sol.)
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Michael Cole : Sam, ça va ?
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementBerlinAllemagne - Journée
Shaw : Déclenche l’alarme à incendie et descends dans la rue.
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Michael Cole : Heu, tu vas faire quoi pendant ce temps ?
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementBerlinAllemagne - Journée
Shaw : (Enclenchant une lame de couteau.) Récupérer mes balles. On est jamais venu ici, tu sais bien.
 
EXTÉRIEUR – Sur un toitBerlinAllemagneJournée
Cole, soufflant, range ses affaires.
 
SÉQUENCE – Quelque chose en allemandCaméra n° 0210 heures 09 minutes 17 secondes
Shaw sort du bâtiment et la Machine la reconnaît car elle a un carré bleu autour d’elle.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueBerlinAllemagneJournée
Shaw : Les fils n’étaient pas bien branchés, j’ai arrangé ça.
Michael Cole : (Qui se trouve en face d’elle.) C’est gentil de ta part. Ça va aller pour sortir ? (Alors que Shaw continue sa route, il lui parle au téléphone.) Tu es sûre que tu n’as pas besoin de compagnie ?
Shaw : Pourquoi, tu connais quelqu’un ? Je te verrai quand je te verrai.
Michael Cole : (Au téléphone.) On se verra demain.
Shaw : Où ça ?
Michael Cole : (Au téléphone.) À New York. (Parlant normalement.) Ordre de Contrôle, on a un nouveau numéro.
Shaw : C’est bien ce que tu disais. (Elle compose un numéro de téléphone sur son portable.) Ça ne s’arrêtera jamais. (Une bombe explose dans l’appartement et elle s’en va.)
 
SÉQUENCE – RivièreCaméra n° 192 heures 31 minutes 19 secondes ; QueensPlaceRuePoste n° 2313 heures 37 minutes 34 secondes
Michael Cole : (Via un micro.) C’est comment New York ?
Shaw : (Via un micro.) Froid. Je dois voir Wilson ce soir.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueNew YorkNuit
Un homme monte un escalier et il a un journal dans la main. Il va à la rencontre de Shaw.
Shaw : Depuis quand c’est vous qui faites les livraisons ?
Wilson : J’étais dans les parages. Et je tenais à féliciter notre meilleur agent mais dites-moi, je crois qu’on vous paye pour désamorcer les bombes, pas pour les faire exploser.
Shaw : (Prenant le journal où se trouve un article de l’explosion.) Une initiative, on avait le césium, ça paraissait un bon moyen de couvrir nos traces.
Wilson : Ouais, eh bien, merci officieusement. Le nouveau numéro. (Shaw regarde dans la page intérieure et voit le numéro 000-05-2904.)
 
SÉQUENCES – Escalier 117SCaméra n° 024 heures 33 minutes 14 secondes ; WeatherCaméra n° 3811 heures 40 minutes 50 secondes ; NYPD Cruiser180A Side11 heures 45 minutes 11 secondes
Shaw monte les escaliers alors qu’elle a un carré bleu autour d’elle, celui de Wilson est blanc.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Shaw : J’ai toujours un œil sur le nouveau numéro. Il tourne en rond depuis des heures, je commence à m’ennuyer sérieusement. Raconte-moi une histoire.
Michael Cole : (Au téléphone.) James Mercer.
 
INTÉRIEUR – Dans la camionnetteMatinée
Michael Cole : Militaire pendant quatre ans. Euh, renvoyé pour manquement à l’honneur. (Il regarde des documents sur son ordinateur.) Il a intégré le mouvement des miliciens.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Michael Cole : (Au téléphone.) Il y a une semaine, il a reçu un virement de dix mille dollars d’un compte off-shore…
 
INTÉRIEUR – Dans la camionnetteMatinée
Michael Cole : Et à emménager dans le Queens.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Shaw : Et d’après Research, il n’est pas ici pour voir un spectacle à Broadway. (L’homme traverse la rue et Shaw voit John au loin qui semble vouloir parler à Harold.) Je crois que je suis repérée. Un mec élégant en costume à trois heures.
 
INTÉRIEUR – Dans la camionnetteMatinée
Michael Cole : Tu es sûre qu’il n’essaye pas de te draguer ? Tu es plutôt jolie sans ton masque à gaz.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Shaw : (Le voyant partir.) Ça va, fausse alerte. (Elle continue sa route, son téléphone se met à biper.) Ah, Mercer reçoit un appel.
Homme : (Au téléphone.) L’heure est proche, demain c’est le grand jour.
 
INTÉRIEUR – Dans la camionnetteMatinée
Shaw : (Au téléphone.) Faut qu’on jette un œil à l’ordinateur de ce monsieur, ce soir.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueMatinée
Shaw : Tu vas enfin pouvoir sortir du fourgon.
 
SÉQUENCE – Espace aérienCaméra n° 2721 heures 19 minutes 45 secondes
Une fenêtre avec des nombres apparaît furtivement.
INTÉRIEUR – Dans la camionnetteSoirée
Cole enlève la clé USB d’un ordinateur.
Shaw : Qu’est-ce qui te tracasse ? Ne me dis pas encore que tu pinces pour la fille de Staad ?
Michael Cole : Tu ne te demandes pas comment Research a les numéros ?
Shaw : (Après une pause.) Non.
Michael Cole : Pourquoi ?
Shaw : Parce que je ne travaille pas pour Research.
Michael Cole : Ils doivent bien faire des erreurs, tu ne crois pas ? Comme avec le gars de San Jose, Aquino. Il y a deux ans. Il était tellement confus, tu te rappelles ce qu’il a dit ?
Shaw : Je me rappelle très bien. Oui, parce que c’est moi qui l’ai tué pendant que tu regardais avec ta caméra. Ce que je n’ai pas non plus oublié, c’est qu’il essayait de vendre des plans de centrifuges nucléaires au Hezbollah. Et c’est toi qui a trouvé la piste de l’argent. Research avait raison pour Aquino. Ils ont toujours raison.
Michael Cole : Attends, comment tu peux être sûre qu’ils ne se trompent jamais alors que tu ne sais même pas qui ils sont ? Ni d’où ils tiennent ces numéros.
Shaw : Je sais exactement d’où ils tiennent ces fichus numéros et toi aussi tu le sais. Ils proviennent d’un sombre cachot quelque part où des gens sont maltraités. Et si on ne cherche pas vraiment à savoir comment on obtient ces numéros, c’est parce que Research ne fait jamais la moindre erreur.
Michael Cole : Cette fois-là ils en ont fait une.
Shaw : Tu as fait une bêtise, c’est ça que tu es en train de me dire ?
Michael Cole : J’ai contacté une amie à la CIA pour en savoir plus sur cette piste. L’argent ne venait pas du Hezbollah. Ils venaient du gouvernement américain. Aquino avait bien une activité secrète mais il agissait pour nous. J’ai appelé Contrôle, Wilson. J’ai fait une demande pour qu’il y ait une enquête interne, je te tiendrai à l’écart, je te le promets.
Shaw : Tu as parlé à Wilson ?
Michael Cole : Ouais.
Shaw : (Voyant Mercer partir. Il désenclenche l’alarme de la voiture en faisant du bruit.) Ah, Mercer bouge. Quoiqu’il en soit, on a un boulot à faire, ne l’oublie pas, OK ? (Elle prépare son arme.)
 
SÉQUENCE – Porte latéraleCaméra n° 121 heures 21 minutes 17 secondes
Ils entrent dans l’appartement et la Machine les reconnaît car ils ont un carré bleu autour d’eux.
INTÉRIEUR – Dans un appartementSoirée
Shaw et Cole montent les escaliers et arrivent dans l’appartement de Mercer. Cole ferme la porte tandis que Shaw fait le tour de la pièce avec son arme à la main. Il se met à l’ordinateur et l’ouvre.
Michael Cole : Ouah, ça y est, j’y suis. C’était facile.
Shaw : Tu as quelque chose ?
Michael Cole : C’est, c’est très étrange. Mercer a reçu une grosse quantité de mails de certains contacts. Des anciens militaires.
Shaw : Tu as les noms de ces contacts ?
Michael Cole : Ouais, c’est les nôtre. Nos noms figurent partout.
Des coups de feu retentissent près de l’appartement, elle va voir à la fenêtre.
Michael Cole : (Lisant un message d’Harold.) C’est un piège, partez tout de suite. (Il se retourne et comprend qu’il y a un danger.) Shaw, Shaw.
Il se met devant elle pour la protéger mais il se prend les balles dans le corps. Pendant les coups de feu, Shaw tente aussi de le protéger. Elle se met à tirer dans la porte car un homme se trouve derrière qui tombe au sol. Un autre homme ouvre la porte et envoie une grenade incapacitante et elle se couvre. Elle arrive quand même à lui tirer dessus. Elle se lève et prend l’oreillette d’un des hommes.
Shaw : Il faut qu’on sorte d’ici tout de suite. (Elle met l’oreillette dans son oreille.)
Michael Cole : (Parlant difficilement.) Ah, ça ne va pas être facile.
Shaw : Allez, viens. (Elle tente de le traîner pour l’adosser à un meuble.)
Michael Cole : Désolé.
Shaw : Non, non, tais-toi. Attends. (Elle se met au-dessus de lui.) Écoute, je vais appeler Contrôle et on va te trouver de l’aide.
Michael Cole : J’ai voulu te protéger.
Shaw : Pour que les gens te prennent pour un héros.
Michael Cole : (Tentant de rigoler.) Non, rien que toi. (Il meurt en regardant Shaw.)
Homme 1 : Équipe deux, allez-y.
Shaw sort de la pièce et tente de voir s’il y a quelqu’un. Un homme se trouve derrière elle mais arrive à se débarrasser en le frappant au visage. Elle prend une grenade, la dégoupille et la met à l’intérieur de son casque. La grenade explose et blesse son visage. John arrive et met les mains en l’air. Elle le pointe avec son arme.
Reese : Shaw, écoutez, je m’appelle John. Je suis venu vous aider. (Elle lui tire dessus et s’écroule.)
Homme 1 : Équipe trois, en position. (Elle se retourne et va vers l’homme qui a reçu une grenade et le jette par la fenêtre, tombant tous les deux au sol. Elle arrive à se lever, tire plusieurs fois sur le malheureux.
Homme 2 : Ici équipe deux, on dirait qu’elle a du renfort, il y a un autre type dans le coup. Des coups de feu se font entendre, probablement John qui a sûrement un gilet pare-balles. La communication passe de plus en plus mal. Elle marche sur le trottoir et voit plusieurs hommes au sol.
Wilson : (Via le talkie-walkie.) À toutes les équipes, vous avez tué la femme oui ou non ?
Shaw : (Le voyant.) Wilson.
Wilson se met à tirer et elle riposte. Elle tente de se cacher puis s’enfuit. Dans la fusillade, elle est blessée à l’abdomen. Il rejoint la camionnette entrouverte et voit qu’elle n’est plus là. Il appelle le Conseiller spécial.

_________________
"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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Script VF - 2X16 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Empty
MessageSujet: Re: Script VF - 2X16 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb Script VF - 2X16 - Crédits : carine79/POI Hypnoweb I_icon_minitimeJeu 23 Juil - 16:34

INTÉRIEUR – Dans le bureau du Conseiller spécialWashingtonSoirée
Conseiller spécial : Ouais.
Wilson : (Au téléphone.) On a un problème. Je l’ai perdue.
Conseiller spécial : Je suis tenté de dire que c’est plus inquiétant qu’un simple problème, Wilson.
 
SÉQUENCE – WilloughbyPoste n° 3921 heures 29 minutes 34 secondes
Wilson : (Via un micro.) On s’est occupé de Cole…
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Wilson : Shaw a réussi à fuir en tirant dans le tas. J’ai perdu toute une équipe, un sacré bordel.
Conseiller spécial : (Au téléphone.) C’est…
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau du Conseiller spécialWashingtonSoirée
Conseiller spécial :…vraiment pas de chance. Une minute. (Root entre dans la pièce et dépose un dossier sur la table.)
Root : Voilà tout est prêt pour votre rendez-vous avec le secrétaire d’État. Il vous faut autre chose ?
Conseiller spécial : Non, mademoiselle May. Merci, bonne soirée.
Root : Vous aussi monsieur. (Elle s’en va en fermant la porte. Elle retourne dans son bureau et continue d’écouter la conversation avec Wilson.)
Conseiller spécial : (Au téléphone.) Donc, selon vous…
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau du Conseiller spécialWashingtonSoirée
Conseiller spécial :…on a un dangereux agent dans la nature…
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau de RootSoirée
Conseiller spécial : (Au téléphone.)…qui sait qu’on a exécuté son coéquipier et qu’on a essayé de lui faire subir le même…
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau du Conseiller spécialWashingtonSoirée
Conseiller spécial :…sort. Quelqu’un qui pourrait savoir certaines choses susceptible de contrecarrer tout notre projet.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueSoirée
Wilson : Ça semble être le cas, monsieur. (Hors cadre.) Elle va d’abord rechercher à se ressaisir. (Shaw brise une vitre d’une voiture, monte à l’intérieur et s’en va.) Un véhicule, des armes, une planque.
 
INTÉRIEUR – Dans la voiture de WilsonSoirée
Wilson : Mais on a peut-être une chance.
Conseiller spécial : (Au téléphone.) Laquelle.
Wilson : Je suis quasi sûr de l’avoir blessée.
 
INTÉRIEUR – Dans une voiture - Soirée
Shaw se trouve toujours dans la voiture avec un pansement à l’abdomen, il est couvert de sang et elle se sent mal. Deux hommes s’approchent d’elle.
Homme 1 : Tu as besoin de quoi ma jolie ?
Shaw : J’ai besoin de voir la lumière du jour.
Homme 1 : Du soleil. (Shaw lui montre un billet et l’homme lui donne un petit sachet.) J’ai ce qu’il te faut. (Elle le prend par le bras et l’amène vers elle. Elle s’enfuit alors que l’homme a les jambes à l’extérieur.)
Homme 2 : (En criant.) Arrêtez-vous !
 
SÉQUENCES – Espace aérien- Caméra n° 5522 heures 46 minutes 20 secondes ; LotissementCaméra n° 0323 heures 02 minutes 51 secondes
INTÉRIEUR – Dans un appartement - Soirée
Homme : (En regardant à travers le judas alors que quelqu’un sonne à la porte.) Lewis, si tu es là pauvre tache, qui fait le taf au coin de la rue ? (Il déverrouille la porte et l’ouvre. Shaw fait tomber Lewis au sol et entre. Elle pointe son arme vers lui.)
Shaw : Tu as déjà joué à fixer un poisson du regard ?
Homme : Quoi ?
Shaw : Ils n’ont pas de paupières. Du coup, ça ne sert à rien. (Elle ferme la porte.) C’est comme essayer d’attraper ce fusil. (L’homme a la main dessus et lève les mains en l’air.) Allez, recule. (Elle le prend et le met sur la table ce qui désorganise tout. Elle donne des liens.) Maintenant Lewis, je veux que tu attaches ton copain au radiateur, bien serré. (Lewis s’est levé alors que Shaw enlève tout ce qu’il y a dans son sac. Il enlève sa veste et s’apprête à mettre la main de son copain au radiateur.) Lewis, j’ai besoin de certaines choses, lames de rasoir, antalgiques et si… (elle enlève son pull) il n’y a pas de compresses, des serviettes. (Lewis cherche les affaires qu’elle a demandées. Pendant ce temps, elle s’assoit et a une blessure au côté gauche. Elle prend une pince et touche sa blessure) Une balle à tête creuse. Quel fils de pute.
Homme : J’ai déjà vu ce genre de blessure. Un coup dans les tripes, c’est fatal.
Shaw : Vaudrait mieux pas. Si je sens que la fin approche, je te promets que je te tire dessus. (Il lui apporte les affaires.) Assieds-toi Lewis. (Lewis tient un petit miroir dans la main alors qu’elle réutilise la pince pour toucher la blessure, ce qui donne un regard de compassion de la part de Lewis. Elle la met dans un verre.)
Lewis : Vous avez déjà fait ça ? Vous êtes plutôt douée.
Shaw : J’ai fait quelques années de médecine. (Elle met une compresse sur la blessure.)
Lewis : Vous êtes médecin ?
Shaw : Non, je me suis engagée dans l’armée. J’étais plus douée pour tuer les gens que pour les soigner. Je vais bientôt perdre connaissance alors, je veux que tu t’attaches avec ton copain au radiateur, OK ? (Elle lui donne un lien. Elle s’affale sur sa chaise tandis qu’il s’exécute. Elle perd connaissance et perd le contact avec son arme. Deux autres hommes entrent dans l’appartement. Quelqu’un prend l’arme sur la table.)
Homme : J’ai toujours su que tu étais un abruti, Lewis. (Il le frappe tandis que Shaw se réveille.) Salut. (Regardant l’arme.) Belle arme. Alors, à qui j’ai à faire ? À une dure de dure ?
Shaw : Pas vraiment. Je présente ce que l’on appelle un trouble de la personnalité axe 2.
Homme : Ça veut dire quoi tout ça ?
Shaw : Ça veut dire que quand je vous tuerai toi et tes potes, je ne ressentirais rien du tout.
Homme : Oh, toi tu vas me tuer ? Tu pèses combien, cinquante kilos ?
Shaw : Une balle de 9 mm pèse environ huit grammes. Et elle fait son boulot.
Homme : (Scrutant l’arme.) Ça ma jolie, c’est un calibre 45.
Shaw : Ouais, mais je parlais de mon arme de rechange. (Elle se met à tirer avec l’arme qu’elle a cachée. Elle touche tous les hommes présents sauf Lewis.) Allez, file Lewis. Si tu parles de moi à qui que ce soit, je te retrouverai. (Tandis qu’elle pointe son arme sur lui, il s’enfuit en courant. Elle se prend une bière dans la caisse givrée et s’assoit sur le canapé. Elle ouvre le bouchon, le jetant au sol et se met à boire.
Hersh : (Hors cadre.) Shaw est un de meilleurs agents.
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau du Conseiller spécialWashingtonSoirée
Hersh : C’est moi qui l’ai formée. On ne la retrouvera que si elle le veut bien.
Conseiller spécial : (En se levant.) On a besoin de connaître son plan. Est-ce qu’elle va chercher à en savoir plus sur l’affaire Aquino ou est-ce qu’elle va chercher à s’en prendre à nous pour se venger ?
Hersh : Les deux. Elle est multitâche. C’est son point fort.
 
INTÉRIEUR – Dans le bureau de RootSoirée
Conseiller spécial : (Via un micro ; pendant que Root rejoint son bureau alors qu’elle écoute la conversation.) Il faut qu’on remonte jusqu’au contact de Cole à la CIA.
Hersh : (Via un micro.) Je sais déjà qui sait. Une certaine Veronica Sinclair. (Root s’en va.)
 
INTÉRIEUR – Dans un appartementSoirée
Shaw prend une clé USB sous la forme d’une clé de serrage. Elle prend l’ordinateur et la met dans la fiche. Des documents apparaissent.
Shaw : Alors mon coéquipier, tu as trouvé quoi ? (Deux documents montrent le nom de Veronica Sinclair ainsi que ses coordonnées. Elle l’appelle.)
Veronica Sinclair : (Au téléphone.) Allô ?
Shaw : Bonjour Veronica, je voudrais qu’on discute de Michael Cole.
Veronica Sinclair : Qui êtes-vous ?
Shaw : Je ne sais pas ce que vous lui avez dit mais il est peut-être mort à cause de ça.
Veronica Sinclair : S’il vous plaît, je ne veux pas être impliquée là-dedans.
Shaw : Soit vous acceptez qu’on se rencontre, soit je viens vous chercher et ça, ce n’est pas une bonne idée. Manhattan, l’hôtel Suffolk. Chambre 1458, demain à 17 heures.
Veronica Sinclair : J’y serai. (Shaw raccroche.)
 
SÉQUENCES – WeatherCaméra n° 1032 heures 33 minutes 08 secondes ; Trafic3ème avenueCaméra n° 12014 heures 18 minutes 23 secondes ; 22ème ruePoste n° 8016 heures 59 minutes 17 secondes
Une autre image avec des chiffres apparaît furtivement.
Wilson : (Via un micro.) Shaw.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Wilson : Je savais que vous finiriez par appeler.
 
SÉQUENCE – 37ème étageCouloirCaméra n° 0216 heures 59 minutes 19 secondes
Wilson : (Via un micro ; alors que Sameen monte à l’étage d’un hôtel. La Machine la reconnaissant puisqu’elle a un carré bleu autour d’elle.) Il faut vous rendre Sam.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Wilson : Ça ne sert à rien de fuir, vous le savez bien.
 
INTÉRIEUR – Dans un hôtelDans le couloirJournée
Shaw : Je veux bien me rendre mais seulement au grand chef.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Shaw : (Au téléphone.) Je veux rencontrer Contrôle.
Wilson : Et je ne suis pas d’accord.
 
INTÉRIEUR – Dans un hôtelDans le couloirJournée
Wilson : (Au téléphone.) Si je vous présente le patron, vous contentez de le tuer.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Wilson : Ça risque d’être gênant pour moi.
Shaw : Je vous indiquerai le lieu de la rencontre.
 
INTÉRIEUR – Dans un hôtelDans le couloirJournée
Shaw : Faites en sorte qu’il y soit sinon, je rends publique l’affaire Aquino.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rueJournée
Wilson : (Hésitant.) Quand.
Shaw : (Au téléphone.) Ce soir. Hey, Wilson, ne me faites pas attendre.
 
INTÉRIEUR – Dans un hôtelDans le couloirJournée
Shaw arrive à la chambre où se situe Veronica Sinclair. Elle frappe à la porte.
Shaw : (Voyant une femme.) Bonjour Veronica.
Root : Entre. (Il se trouve que la femme en question est Root, se faisant passer pour Veronica.)
 
SÉQUENCE – Central ParkEspace aérienCaméra n° 0317 heures 00 minute 05 secondes
Shaw : On ne vous a pas suivi ?
 
INTÉRIEUR – Dans l’hôtelDans la chambreJournée
Root : (Fermant la porte.) Non, je ne crois pas mais je ne vais plus sur le terrain depuis que je suis à Campierry. Sam je suppose. Michael m’avait parlé de toi. Oh, il ne m’avait rien dit évidemment sur vos activités ou quoi que ce soit mais il t’aimait bien. Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Shaw : Il a été tué. En mission. (Elle dépose l’arme sur la table, elle enlève sa veste.) Pour ta sécurité, je ne t’en dirais pas plus mais il faut que je sache de quoi il t’a parlé. (Elle met la veste sur la table et s’assoit.)
Root : Mike voulait des détails sur des virements bancaires au profit d’un ingénieur nucléaire Daniel Aquino. (Elle s’assoit à son tour.) L’argent semblait provenir de comptes affiliés au Hezbollah, mais visiblement quelqu’un avait falsifié les virements électroniques. J’ai pu remonter jusqu’aux titulaires des comptes émetteurs des virements. C’est notre propre gouvernement.
Shaw : Et plus exactement ?
Root : L’ISA, il s’agit d’une unité secrète de renseignement du Pentagone. Ça te dit quelque chose ?
Shaw : En effet. Jusqu’à hier, je travaillais pour eux.
Root : Leur budget est confidentiel mais cette affaire a duré au moins cinq ans. D’énormes sommes sont allées à un projet baptisé Aurores Boréales.
Shaw : C’était quoi ce projet ?
Root : Je n’en sais rien. Mais Aquino y collaborait. Ils ont construit des installations ou quelque chose qu’ils appellent Research. Mais je n’arrive pas à trouver les noms d’autres personnes liées à ce projet. (Sameen entend du bruit dans une pièce.) Mike m’avait dit que Aquino t’avais révélé le nom de son contact à Aurores Boréales. Ça ne te rappelle rien ? (Shaw entend un autre bruit.)
Shaw : (Prenant son arme.) Reste ici. T’approche pas des fenêtres. (Elle se lève et pointe son arme vers la porte, l’ouvre et voit une femme allongée dans la baignoire bâillonnée et des liens aux pieds et aux mains, sûrement la vraie Veronica Sinclair. Root se lève et donne une décharge électrique dans le cou de Shaw qui s’écroule.
Root : Veronica et moi avons eu une petite discussion avant que tu arrives. (Trainant Sameen.) Elle a vraiment fouillé dans sa mémoire pour essayer de m’aider mais elle ne savait rien du tout. (Sameen est désormais au sol et Root arrive à la relever et la mettre sur une chaise.) J’ai lu ton dossier et je suis vraiment fan de toi, je t’assure. Du coup, je ne veux pas te faire de mal. (Elle glisse la chaise contre le mur.) J’ai juste besoin de ce nom. (Mettant des liens aux mains.) Tu ne sais vraiment pas dans quelle pétrin tu t’es mise, pas vrai ? Ni pour qui tu travailles en réalité. Tu crois sincèrement que les numéros viennent de Guantanamo. (Shaw est pétrifiée sur sa chaise.) Qu’on maltraite un pauvre type dans un cachot pour les avoir. Je veux dire, tu devrais savoir qu’on n’obtient jamais de bons renseignements par la torture. Enfin, presque jamais. (Prenant un fer à repassant brûlant.) Ah, c’est bien dommage mais voilà, on est un peu pressé toi et moi. Les hommes de Wilson se sont mis à la recherche de la vraie Veronica il y a trois heures. (Elle mouille son doigt pour le poser sur le fer pour voir s’il est vraiment chaud et le pose au sol. Elle ouvre la veste de Shaw.) Alors, Aquino devait construire un abri pour quelque chose de très spécial. Quelque chose que je veux trouver. (Prenant le fer à repasser et l’approche au visage de Sameen.) Alors, tu vas me donner le nom de son contact.
Shaw : Mais il y a un truc qui ne figure pas dans mon dossier, j’ai tendance à apprécier ce genre de choses.
Root : Je suis vraiment ravie que tu dises ça. J’en raffole moi aussi. (Son portable se met à biper. Elle pose le fer et va voir ce que c’est. Ce sont les images du couloir de l’hôtel près de la chambre. Ils s’apprêtent à la rejoindre.) Ah, juste quand on commençait à être copine. (Elle prend ses affaires et l’arme.) Ah, je suis désolée, c’est un peu indélicat je sais mais ce n’est que partie remise. (Elle quitte la chambre et les hommes entrent juste après. Ils inspectent la chambre l’arme à la main.)
Homme 1 : RAS.
Homme 2 : RAS. (Il regarde Veronica dans la salle de bains.)
Homme 3 : Indigo localisé, cible secondaire aussi. Des instructions ? Bien reçu.
Il range son arme et avance la chaise de Shaw. Il attrape un petit sac et l’ouvre, prend une seringue. Il relance le sac. Sameen tente de se libérer de ses liens. Il se penche sur Sameen pour lui injecter le produit mortel mais elle prend son arme et lui tire dans les genoux. Elle recommence vers les hommes présents mais un se cache mais il se fait tuer par quelqu’un. Elle voit John et pointe son arme vers lui.
Reese : Vous pouvez me rendre un service, évitez de me tirer dessus cette fois.
Shaw : Donnez-moi une bonne raison.
Reese : Je ne sais pas, je suis quelqu’un de très gentil. Il y a ça aussi. (Il montre la seringue derrière l’épaule de Sameen.) Ça. (Elle regarde son épaule et la seringue qui s’y trouve.) Je peux ?
Shaw : D’accord.
Reese : (En tentant d’enlever la seringue.) C’est probablement de l’aconitine. Ça se neutralise avec de l’atropine au cas où je déraperais.
Shaw : Vu les doses qu’on utilise, ça laisse environ quatre minutes alors si vous n’avez pas d’atropine sur vous, ne dérapais pas. (Il réussit à l’enlever et elle souffle de soulagement.)
Reese : J’ai un ami qui veut vous parler.
Shaw : Pour quelle raison je devrais accepter ?
Reese : Parce que vous avez besoin d’une planque. (Il prend son couteau pour enlever les liens.)
 
INTÉRIEUR – Dans une pièceSoirée
John montre la direction où Shaw doit se rendre. Ils rejoignent Harold qui se trouve au fond de la pièce.
Finch : Mademoiselle Shaw. Enchanté, vous pouvez m’appeler Harold.
 
SÉQUENCE – Espace aérienCaméra n° 4018 heures 26 minutes 06 secondes
INTÉRIEUR – Dans une pièceSoirée
Shaw : C’est vous le grand chef ?
Finch : Non, il n’y a pas de grand chef. Mon ami et moi aidons les gens qui ont des problèmes.
Shaw : À moins que ce ne soit une mise en scène et que vous soyez à la solde de… de Wilson.
Finch : Sincèrement, je n’ai aucun talent pour la mise en scène. Vous avez travaillé jusqu’à très récemment dans le cadre d’un programme gouvernemental secret qui permet d’éviter de terribles choses. Des actes terroristes et des crimes visant la sécurité de la nation. Les informations que vous receviez venaient d’un groupe de personnes baptisés Research, des infos d’une fiabilité à toute épreuve énoncée sous forme de numéro et rien de plus. (Il donne un papier où se trouvent deux listes de numéros.)
Shaw : C’est…
Finch : Votre numéro et celui de monsieur Cole. Nous n’avons pas pu le sauver, j’en suis sincèrement désolé. Nous n’avions pas compris la nature exacte de votre situation au début. (Elle range le papier dans sa poche.)
Shaw : Donc, si vous ne faites pas partie du Programme, vous êtes qui au juste ?
Finch : Disons qu’en définitive nous travaillons vous et moi pour la même entité.
Shaw : Et cette entité vous a ordonné à tous les deux de veiller sur moi ?
Finch : Oui, en quelque sorte. Le fait est que nous sommes sûrement les seuls à pouvoir vous aider.
Shaw : Si vous connaissez si bien mes employeurs, vous devez savoir qu’ils sont doués et même très doués pour retrouver des gens.
Finch : Vous ne pourrez pas fuir éternellement.
Shaw : J’en ai pas l’intention, je fuirai juste le temps de trouver cet homme. Celui qui a donné l’ordre de tuer.
Finch : Vous n’égratignerez même pas leur organisation. Et vous ne serez pas à l’abri de très graves dangers. Vous détenez une pièce du puzzle, un secret si important qu’ils ont décidé de tuer le docteur Aquino, votre ami Michael Cole et maintenant vous pour le protéger. La vérité sur ce groupe de personnes que vous appelez Research, quelque chose que Cole avait commencé à entrevoir.
Shaw : Vous voulez dire quoi au juste ?
Finch : Ces gens n’existent pas. (Elle le regarde l’air surpris.) Le monde ressemble à ce qu’il était il y a dix ans. Mais derrière les apparences, il est devenu réellement très étrange. Une lutte invisible a commencé et la plupart de ceux qui le savaient sont morts. Entre nous, tant mieux si vous n’êtes plus dans leur camp. Alors, encore une fois, nous sommes là pour vous aider mais, pour ça vous devez cessez de fuir parce que vous êtes tellement douée que nous n’arrivons pas à vous suivre.
Shaw : Me cacher, ce n’est pas mon genre.
Finch : Et mourir ? Parce qu’on dirait bien que c’est la seule option.
Shaw : Je n’ai jamais eu beaucoup d’amis. Je n’en avais pas besoin. Cole était une exception. Et il méritait mieux.
Finch : Un petit conseil, si je peux me permettre. Prenez garde en essayant de redresser les tords de ce bas monde, de ne pas finalement en rajouter. (Donnant une carte.) Mon numéro, si vous changez d’avis.
Shaw : (La prenant.) Merci. (La rendant.) Mais non merci. (Harold reprend la carte et elle s’en va.)
 
SÉQUENCES – Avenue Mad - TraficCaméra n° 6818 heures 29 minutes 34 secondes ; RivièreCaméra n° 3919 heures 49 minutes 13 secondes ; Zone RCaméra n° 1321 heures 33 minutes 05 secondes
Conseiller spécial : Il est temps d’en finir ce soir. Préparez une équipe.
Hersh : Oui monsieur.
INTÉRIEUR – Dans une salle de réceptionSoirée
Shaw se trouve dans une soirée tandis que le Conseiller spécial est aussi présent. Elle va le rejoindre.
Conseiller spécial : Vous êtes en retard. J’allais vous demander comment vous saviez que c’était moi. Et c’est pour ça qu’on vous paye, pour que vous trouviez la bonne personne parmi la foule.
Shaw : J’aurais aimé rencontrer Contrôle. Mais, vous n’êtes pas Contrôle, n’est-ce pas ?
Conseiller spécial : Pour être honnête, non. Mais il fait partie de mon entourage.
Shaw : Hmm.
Conseiller spécial : Ainsi pour venger votre coéquipier, vous seriez prête à remettre en question tout le Programme ? Je suis surpris qu’une femme comme vous n’ait pas une vision plus sophistiquée du monde.
Shaw : Vous m’avez engagée parce que je ne suis pas quelqu’un de sentimental. Il n’y avait une seule personne à laquelle je tenais vraiment et vous l’avez tuée.
Conseiller spécial : Ouais, je comprends. Mais en principe vous ne n’étiez pas censer survivre et venir vous venger. (Wilson arrive près d’eux.) Qu’est-ce que vous voulez, simplement savoir pourquoi j’ai laissé Wilson tenté de vous abattre ? Ou me faire la peau ?
Shaw : Je vous donnerai la réponse dans un endroit plus tranquille.
Conseiller spécial : (Se trouvant hors de la salle de réception, dans un couloir.) Vous devez penser que j’ai fait un pacte avec le diable. C’est peut-être le cas. Mais s’il n’y a pas eu d’autres attentats majeurs, c’est grâce au Programme. Si la population savait ce que nous faisons, nous serions moins efficaces.
Shaw : Et Aquino ?
Conseiller spécial : (Se trouvant désormais sur un perron, avec Shaw, Wilson et un autre homme.) Là encore une décision regrettable. Et néanmoins nécessaire. Aucune vie n’est plus importante que la sécurité de millions d’Américains. Voilà le terrible calcul auquel je suis confronté tous les jours. Vous comprenez certainement ce que je veux dire.
Shaw : En effet. Et je crois qu’à votre place, je ferais exactement comme vous. J’ai beau ne plus faire partie du Programme, je reste toute à fait convaincue de son importance.
Conseiller spécial : Alors pourquoi faire tant de mystères ? (Pendant que Sameen regarde dans son sac, Wilson est prêt à sortir quelque chose de sa poche.)
Shaw : (Sortant une clé USB.) Les recherches de Cole sur l’affaire Aquino. (Wilson se met à remettre sa veste.) Je voulais vous la remettre en personne.
Conseiller spécial : Vous ne vouliez pas les confier à Wilson ?
Shaw : Quelqu’un comme Cole n’aurait jamais pu se comporter comme un mouton. Moi, je suis les ordres sans broncher. Mais Cole était brillant, intègre et dévoué à la cause et Wilson le savait. (Elle et le conseiller se tournent vers Wilson.) Vous auriez pu nous prévenir lui ou moi mais au lieu de ça vous avez donné l’ordre de nous tuer pour régler le problème.
Wilson : Votre coéquipier avait enfreint les règles. Et vous méritiez le même sort que lui.
Shaw : Ouais, mais vous avez magistralement raté votre coup. Comment pourrais-je confier à cet idiot une chose aussi importante ? (Elle donne la clé au conseiller.)
Conseiller spécial : (Prenant la clé.) Hersh a raison. Vous êtes un bon soldat. Vous ne cherchez pas à vous venger ? Vous voulez protéger le Programme.
Shaw : Un bon soldat peut faire les deux. (Elle tire deux coups sur Wilson et l’homme qui s’écroulent au sol. Un troisième homme se trouve à côté, prêt à tirer.)
Conseiller spécial : (Avec Shaw toujours l’arme à la main.) Laissez-la partir. (Elle s’en va tandis que le conseiller se met à sourire.) Nettoyez-moi ça.
 
EXTÉRIEUR – Dans la rue - Soirée
Sameen quitte le couloir et se rend à l’extérieur de l’établissement, elle jette son sac dans une poubelle. Elle continue son chemin et s’arrête sur le trottoir en attendant que le feu pour les piétons se mette au vert. Hersh arrive derrière elle, la prend par l’épaule et lui injecte un produit sur le côté droit.
Hersh : Tu étais un bon agent, désolé Shaw.
Les gens s’avancent avec Hersh tandis que Shaw se met à tomber au sol. Un policier ferme un sac mortuaire où se trouve Shaw.
Fleming : (Parlant à Carter et Lionel.) Elle s’est évanouie dans la rue. On n’a pas réussi à la ranimer. Les urgentistes ont tout de suite dit qu’elle était morte.
Fusco : Alors, selon vous, c’est un meurtre ?
Fleming : Bien sûr, une femme aussi jeune, apparemment en bonne santé, j’ai trouvé ça suspect. Pour autant, je ne pensais pas vous voir débarquer.
Carter : On était dans le voisinage, officier Fleming. Il s’agit probablement d’une overdose ou d’un arrêt cardiaque.
Fleming : Ouais, mais pour être sûr, il faudrait peut-être…
Fusco : Allez donc prendre un café, on s’occupe du reste. Merci pour tout.
Carter : C’est la pleine lune, ils sont encore débordés à la morgue. (Parlant à Leon, qui est en costume de policier.) Vous voulez bien assurer le transport ?
Leon Tao : Tout ce que vous voulez lieutenant. (À Lionel.) Un petit coup de main ? (Il l’aide à mettre le brancard dans une ambulance.)
 
SÉQUENCES – Park AvenuePoste n° 410 - 21 heures 53 minutes 20 secondes ; WeatherCaméra n° 8207 heures 01 minute 53 secondes ; Section KCaméra n° 027 heures 04 minutes 06 secondes
EXTÉRIEUR – Dans un cimetièreMatinée
Balou lèche le visage de Shaw qui se trouve endormie dans l’ambulance. Il aboi et elle se réveille brusquement.
Leon Tao : (Alors que Balou rejoint Leon, Harold et John.) D’accord, elle est jolie, mais c’est une fille que je ne veux plus jamais revoir. Vous entendez, jamais. D’abord, vous auriez dû me dire qu’elle était dangereuse et cinglée. Ce n’est pas un bon mélange.
Reese : Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
Leon Tao : Je lui ai donné de l’atropine et une bonne dose d’antalgique pour être tranquille mais franchement, je n’ai rien compris. Elle s’est réveillée en chemin et elle s’est jetée sur moi. (Montrant son cou.) Regardez ce qu’elle m’a fait. Alors, je lui en ai remis une dose.
Finch : Quelle quantité, monsieur Tao ?
Leon Tao : Ça, je n’en sais rien, je ne suis pas médecin, vous le savez bien. Mais je suis vraiment sous-payé pour toutes ces conneries.
Reese : Tu n’es même pas payé, Leon.
Leon Tao : (Voyant Shaw arriver vers eux.) Euh, bon, je vais me mettre à l’écart. Je vous aurais prévenu. (Il s’en va.)
Reese : (Tendant une bouteille d’eau.) Mourir, ça peut donner soif. (Il la remet dans sa poche.)
Shaw : Pour des anges gardiens, vous n’êtes pas très efficaces.
Finch : Vos employeurs voulaient vous voir morte, eh bien vous l’êtes.
Reese : (Voyant que Sameen sort une arme.) Leon a dû oublier qu’on lui avait recommandé de vous fouiller.
Finch : Nous sommes de votre côté, mademoiselle Shaw. Nous vous l’avons prouvé, vous pouvez nous faire confiance.
Shaw : La confiance ne vaut rien. Donnez-moi vos portables. (Ils lui donnent et elle les prend dans la main gauche.)
Finch : (Donnant la carte.) Comme je vous l’ai déjà dit, si vous changez d’avis, surtout n’hésitez pas. (Elle la prend et s’en va.)
Reese : Eh bien, j’avoue qu’elle fait une sacrée impression.
Finch : (Alors que l’ambulance se met à rouler.) Vous croyez qu’elle va nous appeler un taxi ?

_________________
"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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