carine79 Control
Série préférée : Lucifer
| Sujet: Résumé détaillé - 1X12 - Crédit : carine79 Mar 4 Aoû - 15:35 | |
| Personne d'intérêt : Andrea Gutierrez ( victime) L'épisode commence lorsque Joss Carter rentre dans un restaurant. Elle est assise et semble rechercher quelqu'un. A son regard, elle croit avoir trouvée, mais finalement ce n'est pas cette personne. John arrive en lui disant que son café va être froid. Elle lui fait un compliment sur son costume. Il est content de lui dire qu'elle l'a enfin attrapé ; s'étonne même que personne n'arrive pour l'arrêter. Elle réplique qu'elle veut lui acheter une carte, pour s'excuser qu'il est pris une balle, mais il n'y en a plus. Jocelyn n'imagine pas de quoi Snow est capable, qu'il veut tenter de tuer John.
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| Celui-ci lui demande pourquoi elle l'a contacté, Carter lui répond qu'elle a des tas de questions à poser. John souligne qu'elle a réussi à semer Snow, que c'est un plutôt un exploit. Il lui explique qu'à la CIA, on passe beaucoup de temps à devenir invisible. Elle lui dit qu'il n'est pas son seul problème : une unité spéciale étant sur les traces de John, elle grille deux feux, être sûr de ne pas se faire suivre par ses propres collègues. Cela la gène car elle est flic, donc des règles de conduite, mais elle veut savoir. John la met en garde, qu'il n'y aura pas de demi-tour possible. Sur ce, elle demande d'où viennent leurs informations ; il répond qu'il sait juste quand des personnes sont en danger ou qu'elles en sont la source.
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Pourquoi elle ? Il lui explique que c'est surtout pour ses valeurs morales et surtout, qu'elle arrête de lui courir après. Lorsqu'elle demande comment ils procèdent, John lui donne un papier avec un nom dessus : Andrea Gutierrez. C'est une jeune avocate, avec un casier chez les mineurs, scellé pour prescription ; il lui demande de jeter un œil. Elle lui rappelle les codes de conduite ; il lui dit qu'il y a des règles mais aussi des occasions de sauver des vies. A elle de faire le choix. Dubitative, elle reçoit un téléphone et lui dit qu'il la recontactera. Il est 7 heures 32.
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| A la bibliothèque, Harold semble soucieux. John demande si son tailleur a quitté la ville. Il veut savoir comment s'est passé l'entrevue avec Carter ; John réplique en disant que ce dernier a écouté la conversation ; elle veut connaître la source de leurs renseignements. Sur ce, Harold lui indique qu'elle ne doit pas savoir pour la Machine ; pour John, de toute façon, elle n'est pas sûr de le croire. En attendant, elle accepte de sortir le casier judiciaire d'Andrea Gutierrez, a fait un pas dans la bonne direction.
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L'avocate est née et a grandi dans le Queens, elle n'a pas terminé le lycée ; décide plus tard de reprendre ses études pour passer des tests d'évaluation, a réussi à intégrer une fac pour finir à l'Université du Queens, où elle a étudié le droit civil. John la considère comme une bosseuse qui a de l'ambition, fait tout pour avoir une vie meilleure mais onéreuse : elle doit rembourser un prêt qui lui coûte 50 000 dollars, un solde négatif sur sa carte de crédit à hauteur de 20000 dollars et doit de l'argent à son cabinet d'avocats. Difficile dans ces conditions de s'en sortir, ce qui fait dire à John qu'elle a peut-être emprunté à la mauvaise personne.
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| Harold explique qu'Andrea essaie de se faire une place, grâce à une action précise : elle attaque l'Etat au nom de détenus (ou d'anciens détenus), se plaignant des conditions de leur emprisonnement, mais cela ne lui réussit pas vraiment, et pour cause, elle n'a gagné aucun procès. Il imagine que, peut-être, le détenu qu'elle suit actuellement sera le bon.
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Justement, Andrea Gutierrez, après une objection, tente de prouver que tout ce qu'ils peuvent reprocher à son client, est de ne pas bien faire son ménage ; la drogue a été retrouvée pleine de poussière, Elle date donc bien avant que Monsieur King ne décroche. Mais le représentant de l'Etat fait objection une nouvelle foi. Est-elle ici en tant que simple témoin ? Il considère donc cette action sans fondement. Comme toutes les autres actions parasites qu'Andrea a intenté, au nom d'anciens détenus.
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| S'énervant contre une nouvelle attaque, le juge la rappelle à l'ordre. Elle ne veut pas le prendre au sérieux à cause de sa cravate, ce qui provoque l'hilarité de la salle, mais aussi l'ajournement du procès pour le vendredi ; le juge veut qu'ils soient plus adultes et que leurs témoins se tiennent prêts.
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A la sortie, avant son transfert à la prison, Terrence King reçoit de la part d'Andrea la promesse, de le voir le lendemain avec son fils. Il lui dit que c'est injuste, qu'elle sait qu'il n'a rien fait. En voyant son officier de probation, Dominic Galuska, il veut le rejoindre. Andrea essaie de l'en empêcher ; elle lui indique qu'il n'a pas le droit de communiquer avec des personnes mêlées, de près ou de loin au procès. De plus, il n'est plus pour l'instant son officier de probation.
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| King explique à Galuska que la drogue n'est pas à lui, qu'il a passé des examens, donc pourquoi il ne l'a pas cru. Il rétorque qu'il n'a fait que son travail, la drogue est forcément à Terrence, puisqu'elle a été retrouvée chez lui. Il aurait dû être plus prudent.
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Au service de l'enfance, John clone le téléphone d'Andrea. Celle-ci apporte à un homme un sandwich pastrami ; il suppose donc qu'elle a un grand service à lui demander. Effectivement, elle veut les résultats des tests sanguins, afin de prouver que King ne prend plus de drogue lorsqu'il se fait arrêter. Il lui pose la question de savoir si elle a déposé une requête. Gutierrez répond qu'il y a plusieurs semaines de ça ; il voit à son regard qu'il n'a pas le choix et va essayer de les obtenir. Sur ce, elle le remercie.
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| A ce moment-là, l'homme la prévient que la "grande patronne" arrive. Celle-ci lui dit qu'il est censé travailler pendant son déjeuner, demande s'il reçoit des visites. Il lui dit qu'elle est là pour simplement demander un dossier. Lorsque Gloria demande à Andrea si c'est bien par la voie officielle, elle répond, grenée, que c'est le cas mais essaie de faire autrement. Elle s'en va en s'excusant d'avoir mis l'homme dans l'embarras ; tout cela sous le regard attentif de John.
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Harold demande à John si Andrea est rentrée, il lui dit qu'elle prend un verre avec des amis. Pendant ce temps, Carter téléphone à John (il craint qu'elle a changé d'avis, en tout cas pas encore) pour donner les renseignements, à propos du casier judiciaire de Gutierrez chez les mineurs. Pendant ce temps, Harold a un dossier à la main et écoute ce qu'elle dit. Andrea Gutierrez a tout d'une adolescente agitée, condamnée pour quelques infractions au lycée et autres poursuites. Joss veut continuer mais, est interrompue par John car celui-ci a un appel de Lionel.
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| Ce dernier le prévient que Carter prépare quelque chose, donc il faut qu'il fasse attention. Il lui rétorque que c'est gentil, mais qu'il est de taille à s'occuper de celle-ci. Lionel lui dit qu'elle s'est isolée pour passer un coup de fil, il est persuadé qu'elle mijote quelque chose. Sur ce, John lui indique qu'il tachera de s'en souvenir, reprend la communication avec Joss, qui se demande ce qu'il faut faire. Il lui répond qu'ils doivent attendre et observer, il la remercie.
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Harold, qui suit les deux conversations, dit à John que ce n'est pas forcément une bonne idée de les maintenir dans l'ignorance, cela peut devenir compliquer. Il lui signale que ce sont deux atouts et pour qu'ils soient en sécurité, vaut mieux leur dire le moins possible. Harold lui pose la question de l'avancement de l'enquête sur Andrea Gutierrez.
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| John prévient Harold que quelqu'un la suit, autre que lui. Andrea marche en écoutant de la musique, avec un inconnu derrière elle. Celui-ci est détecté par la Machine comme une menace imminente. Andrea ne se doute pas qu'il sort une arme pour l'abattre, mais John tombe sur lui et un combat difficile s'engage, car d'une part, l'agresseur est sous stéroïdes anabolisants, d'autre part, il veut que ses blessures par balle guérissent plus vite. Harold prend de ses nouvelles et demande pour Andrea ; John lui répond qu'elle est en sécurité mais, vue la personne à qui il a à faire, sûrement pas pour longtemps.
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A la bibliothèque, John n'aperçoit pas Harold, décide de s'introduire dans son système, tapant le mot de passe sauf que celui-ci ne fonctionne plus. C'est à ce moment-là qu'il le voit. Celui-ci lui demande des nouvelles de la jeune avocate. John pense que, celui qui a tenté de la tuer, soit il a fait de la prison, soit c'est un client qui lui en veut. John voyant Harold s'approcher de son poste de travail, se lève pour lui laisser la place, avec une réflexion de ce dernier. Il veut faire ressortir les dossiers, savoir si son agresseur est un de ses anciens clients et enfin mettre un nom sur lui. Pendant ce temps, Harold reçoit un appel et s'en va subitement, demandant de surveiller Melle Gutierrez. John, soucieux, le laisse partir.
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| En fait, il est parti chercher Will Ingram, celui-ci s'est fait arrêter pour cause de jeux clandestins. Harold a dû payer sa caution mais il est content de le retrouver. Harold lui demande s'il veut rester tranquille, avant de le sermonner sur les risques. Il lui répond qu'il apprécie car il ne dort pas depuis deux jours, son voisin de cellule n'a pas arrêté de ronfler.
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Au poste de police, Carter voit une enveloppe sur son bureau, l'ouvre et prend le paquet avec le flacon de stéro¨ides à l'intérieur. Elle reçoit un appel de John ; elle est étonnée qu'il ait réussi à s'y introduire, sans se faire remarquer. Il lui dit qu'il ne dévoile jamais ses secrets. Il veut savoir où l'on se procure ce produit. Joss lui demande, en rigolant, s'il veut se mettre "à la gonflette". En fait, il appartient à un type, avec qui il a eu un accrochage et qui sait se battre. Et aussi, avoir l'information où se situe la salle de musculation où l'homme s'entraîne. Il ne l'entend plus, demande ce qui se passe et si elle a des doutes. Elle a l'impression d'être surveillée, en effet, puisque Lionel a les yeux rivés sur elle. John lui dit qu'elle devient parano et que c'est bon signe, elle doit continuer dans cette voie.
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| Dans le bureau d'Andrea Gutierrez, elle a un client qui n'est autre que John. Celui-ci prétend vouloir poursuivre son employeur. Elle lui demande quel est son travail exactement, il lui répond que c'est compliqué. Elle acquiesce et veut savoir quelle est la personne qui l'a conseillé de venir la voir. Il lui explique qu'un huissier lui a dit qu'elle s'occupe des ex-détenus voulant poursuivre l'Etat. S'apercevant que quelque chose ne va pas, il lui demande s'il est mal informé ; en réalité, elle pense que c'est juste l'avocate de droit civil que John est venu voir, attendu comme un client miracle.
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Pendant la discussion, il fait volontairement tomber son gobelet de café, lui permettant de la distraire afin de changer un porte-clés, qui est en fait un micro ; cela permet à Harold de pouvoir l'entendre. John demande comment s'est passé son rendez-vous, Harold réplique en disant "très productif, merci". Sur son ordinateur, il y a une photo de John ainsi que l'enregistrement de la discussion en cours. Lorsqu'Andrea revient pour nettoyer le bureau, elle lui demande pourquoi il veut poursuivre son employeur. Il lui dit que ses conditions de travail sont dangereuses, qu'il s'est blessé en tombant sur le dos, pas plus tard que la veille. En fait, Harold parvient à avoir le son de deux micros, il s'occupe également de son disque dur. Pour ce faire, il lui envoie un courriel publicitaire contenant un Cheval de Troie. Ce courriel lui propose 40% de réductions chez Bloomingdale, elle ne résistera pas à la tentation de l'ouvrir. Gutierrez demande à John de décrire son employeur : manipulateur, quelqu'un de secret. Ils ont déjà des conflits de personnalité. Elle suppose qu'il possède beaucoup d'argent, John lui dit que c'est un de ces milliardaires qui vivent dans l'anonymat. S'il n'a pas beaucoup d'argent, c'est une personne bizarre, mais ce n'est pas le cas ; alors, qu'est-ce que l'on peut affirmer, peut-être excentrique. Pendant la conversation, Harold écoute attentivement, réagit en faisant un léger sourire et tape sur le clavier. Elle lui dit que cette affaire va demander beaucoup de travail. Ce n'est pas grave, de toute façon il peut payer à l'avance. Elle est prête à attaquer maintenant, enfin, après le prochain rendez-vous, car elle est en retard. Elle le rappellera ; sur ce, John lui dit qu'il attend de ses nouvelles.
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| A la prison où est détenu Terrence King, Andrea est là comme prévu avec son fils. C'est grâce à Chris, (l'homme que Gutierrez a demandé d'avoir les analyses sanguines), qu'elle a pu aller le chercher dans sa famille d'accueil. Terrence se jette dans les bras de Jacob. Celui-ci espère revoir bientôt son père car il n'aime pas sa chambre. Il lui demande s'il ne veut bien aller avec Chris, il doit parler à Andrea. Il veut savoir si elle a obtenu les analyses, elle lui annonce que Chris est sur le coup ; de tout façon, dans le cas où elle les obtient, ils ont tout de même retrouvé la drogue chez lui. Elle lui propose de faire appel à un laboratoire indépendant, cela permettra de prouver qu'il est clean et cela jouera pour eux, il accepte mais sachant que ce n'est pas fini, il ne pourra pas lui payer et la remercie pour tout ce qu'elle fait pour lui. Chacun a droit à une seconde chance.
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John écoute la conversation entre King et Gutierrez lorsque Carter l'appelle pour lui dire que le stéroïde retrouvé est de l'oxymétholone. Il est courant dans les salles d'arts martiaux, apparemment. La brigade des stupéfiants en a récupéré lorsqu'elle est venue faire une perquisition dans trois salles du quartier. Il demande où elles se trouvent ; Joss veut bien lui fournir l'information, à condition qu'elle ne se retrouve pas avec un cadavre sur les bras. Il lui donne sa parole.
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| Harold demande des nouvelles de l'agresseur ; John lui dit que pour la troisième salle, toujours rien. Peut-être qu'il est resté chez lui pour se reposer. Mais John l'a en ligne de mire et va à sa rencontre : c'est le début du deuxième round. Après un échange musclé, l'homme s'enfuit et pris en chasse, lorsque John s'arrête, l'inconnu se fait renverser par un camion et meurt sur le coup. Harold paniqué, demande si ça va. Pour John oui, mais pour l'homme, il ne peut pas en dire autant, et dire qu'il a promis qu'il n'y aurait pas de cadavres.
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A la bibliothèque, John et Harold trouvent les informations sur le regretté tueur, Alonso Garcia. C'est un ex-détenu qui a fait 3 ans à Five Points pour meurtre. Harold précise qu'Andrea Gutierrez n'est pas son avocate. John demande quel est lien entre les deux. C'est Terrence King. En effet, ils ont le même officier de probation, Dominic Galuska. Comme il l'a aperçu au tribunal, John pense qu'il serait judicieux d'aller le rencontrer, être sûr que ce n'est pas qu'une simple coïncidence.
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| Sur les lieux de la mort d'Alonso Garcia, Carter passe un savon à John car elle lui a donné les informations. D'autant plus qu'il lui a promis qu'il n'y aurait pas de cadavres. Qu'est-ce qui arrive ? Pour sa défense, il se justifie en disant que ce Garcia n'a pas regardé des deux cotés avant de traverser. Elle lui demande comment il peut savoir son nom, sachant qu'il n'a pas de pièces d'identité. Il lui annonce que c'est écrit sur son permis de conduire. Elle lui dit qu'il a volé le portefeuille d'un mort : évidemment, il a tenté de tuer Andrea Gutierrez, en plus il va recommencer. De surcroit, il a, à peu près 10 000 dollars sur lui, donc avance sur contrat. Mais qui veut la tuer ? C'est ce qu'il essaie de découvrir.
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En effet, pendant leur discussion, il prend des photos de Galuska discutant avec un homme. Celui-ci menace de renvoyer l'homme, qui s'avère être un ancien détenu en liberté conditionnelle, en prison s'il ne lui donne pas une partie de sa paye. Voulant lui donner 10%, Galuska ne veut pas car c'est prévu 30% et pas moins. Mais ils sont interrompus par John, prétexteant qu'il veut savoir où est son avance, s'en prend physiquement à Galuska, lui vole des billets pour que l'homme puisse acheter une bouteille d'alcool. Pendant ce temps, John le met dans la voiture, voit son arme et la lui glisse dans la main. Il appelle la police et verse de l'alcool sur lui. Lorsqu'une personne répond, il se fait passer pour Dominic Galuska, qu'il peut être un danger pour lui ainsi que pour les autres, puis s'en va.
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| Dans le loft de Nathan Ingram, Harold évoque le lieu ; Will répond qu'il n'est pas revenu depuis l'enterrement. Il sait qu'un jour celui-ci reviendrait y vivre. Il parle qu'il a préparé les cartons pour les installer dans un box, demande à Harold ce qu'il souhaite prendre et le remercie. Il lui demande s'il compte y vivre, en fait, Will pense qu'il vaut mieux le vendre, parce qu'il ne s'y sent pas bien. Son père a emménagé juste après le divorce ; pour son fils, cela lui a paru trop grand, tape-à-l’œil, vide parce que son père travaille beaucoup. Harold comprend qu'il ressent cette impression. Sur ce, Will lui demande comment marche les affaires, la compagnie d'assurances. Pour lui, c'est toujours aussi ennuyeux. C'est à ce moment-là que, John écoute et prend des photos de leur entrevue. Il continue d'espionner son patron.
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Pendant ce temps, Harold lui demande s'il commence le tri ; en fait, son père ne jette rien, donc la moitié des choses lui revient : bulletins scolaires, récompenses, travaux écrits. Harold est admiratif devant son parcours, mais Will ne veut pas finir son internat, il préfère travailler, aider les gens dans le monde entier, en lien avec la Croix-Rouge et Médecins sans Frontières. Il a l'impression de ne servir à rien. Harold lui fait remarquer qu'il est médecin, donc il aide les gens. Will rétorque en disant qu'il soigne leurs symptômes, leur maladie lorsqu'elle est là mais pas le fonds des choses ; il souhaite s'attaquer à ce problème. Harold regarde la photo de Nathan Ingram, a l'impression de l'entendre parler comme lui. Peut-être qu'il a une chance de le convaincre de rester, mais Will campe sur sa position ; Harold espérant qu'il ne partira pas sans lui dire au revoir et le lui promet.
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| John, qui continue de prendre des photos d'Harold et Will, entend la sonnerie du téléphone et répond. Carter lui crie après concernant l'arrestation de Galuska. Il lui dit qu'elle veut des preuves mais pas de ce genre-là. Si elle ne veut pas l'interroger, John sera ravi de le faire. Sachant que Galuska est déjà dans la salle d'interrogatoire, il lui demande qu'elle le questionne et savoir s'il est avec quelqu'un d'autre, et surtout avoir des informations sur un éventuel tueur, voulant s'en prendre à Andrea. Entendant les ordres, elle lui rétorque que c'est son travail, sait ce qu'elle a à faire. Cependant, quelque chose ne va pas avec Dominic Galuska : des anciens détenus en conditionnelle sont persuadés de s'être fait piéger, en mettant de fausses preuves, pour les renvoyer en prison. Quel est son intérêt ? Pour l'instant, Joss va tenter de le découvrir et surtout, essayer de ne plus envoyer personne à la mort. Dans le même temps, Lionel appelle John, qui veut lui donner une mission, le premier pense que c'est Joss Carter. Il est inquiet à propos de l'attitude de cette dernière, qu'il trouve de plus en plus étrange. John lui dit qu'elle ne le préoccupe pas pour l'instant, c'est quelqu'un d'autre.
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Andrea mange et navigue sur Internet, John arrive dans son bureau mais elle s'étonne de le voir. Il invente qu'il a un nouvel officier de probation, Dominic Galuska, qui fouille son appartement ; évidemment il n'y a rien en plus il recommence. Le connaissant, elle lui propose que si cela se reproduit, qu'il la prévienne à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, enfin, pendant les heures de bureau. Voyant la page sur laquelle Andrea regarde, il lui demande si elle trouve son bonheur ; sur ce, elle ferme la page et grenée, lui fait remarquer : ce n'est pas évident de trouver quelqu'un de bien dans son travail. Il lui dit qu'elle est pourtant une jolie femme intelligente ; elle l'arrête car ne souhaitant pas sortir avec ses clients, ni avec des ex-détenus. Tout ça est fini, il a devant elle une autre Andrea "version 2.0". De toute façon, elle veut son argent et préfère des hommes moins séduisants qu'elle. Regardant le diplôme, il lui demande pourquoi elle décide de rester là où elle a grandi, qu'elle pourrait prendre un nouveau départ. Elle ne veut pas renier la fille qu'elle est ; là d'où elle vient, les gens disent que tout le monde a le droit de commettre des erreurs, d'avoir une seconde chance.
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| Dans la salle d'interrogatoire, Dominic Galuska est en train d'attendre et quelqu'un ouvre la porte. C'est Jocelyn Carter, avec un dossier à la main, lui résume ce qu'il a fait. Pour lui, il s'agit forcément d'un malentendu. Carter ironise en disant qu'il est à bout de nerfs à cause de son travail. Elle lit son dossier et s'aperçoit qu'il n'est pas très doué, car il a le plus haut taux de récidive que tous ses collègues ; de lui et la police, c'est Galuska qui a envoyé deux fois plus de détenus, qui se plaignent de s'être fait piéger. Il lui dit que, de toute façon les criminels s'estiment toujours victimes. Elle lui fait la remarque qu'il fait un travail pénible, d'intérêt général avec un salaire de misère, c'est même bizarre qu'il roule avec une grosse voiture. Il prétexte qu'il a eu un héritage de sa tante et lui demande en quoi cela l'intéresse. Carter lui rétorque que cela la concerne lorsqu'il y a des victimes. En l'occurrence, Alonzo Garcia, dont Galuska s'est occupé. Elle lui explique qu'il s'est fait tué l'après-midi même ; en plus il essaie de tuer Andrea Gutierrez, il y a deux jours de ça. Pour l'officier de probation, c'est une personne gentille, donc regrettable et se répète. Elle ne comprend pas pourquoi l'ex-détenu en veut à l'avocate ; sur ce, Galuska demande à voir un avocat.
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Carter appelle John, lui dit qu'elle se plante parce que Galuska sort libre du commissariat ; pour lui, au contraire, elle fait du très bon travail. En effet, pendant qu'ils discutent, John se permet de visiter son appartement et récupérer son ordinateur. Elle rétorque qu'il ose le cambrioler et John ironise que personne n'est sous un camion.
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| Harold précise qu'il faut que Galuska utilise un mot de passe, autre que sa date de naissance, pour protéger ses fichiers importants. John remarque qu'il a un joli compte en banque, il doit percevoir moins de 50 000 dollars par an. Harold explique que, chaque virement correspond à la réincarcération, d'un homme en conditionnelle, dont il a la charge. Donc, il reçoit des pots-de-vin de la part d'une tierce personne. John lui dit que les prisons sont un gros business ; plus il y a de prisonniers, plus elles reçoivent de l'argent. Ce qui intrigue Harold, c'est que trois jours plus tard, un retrait de 9 000 dollars a été retiré sur son compte épargne ; évidemment à plus de 10 000, les impôts sont alertés. Cela a servi à payer Garcia afin de tuer Andrea. Mais ce n'est pas tout, un autre retrait, du même montant a été effectué la veille au soir, donc elle est encore menacée de mort.
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A la bibliothèque municipale, Andrea est en train de travailler lorsqu'elle entend du bruit et se retourne. N'entendant plus rien, elle continue mais c'est à ce moment-là, qu'un homme armé la met en joue, mais il en est empêché par John. Elle est sous le choc de ce qui se passe, car une bagarre éclate et il utilise un livre sur le droit criminel pour l'assommer. Elle demande ce qui se passe, lui dit que c'est maintenant à elle d'avoir besoin de ses services, plus l'inverse.
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| Harold demande si Andrea est à l'abri, John lui dit qu'ils sont en chemin. Elle veut avoir des explications, il lui annonce qu'elle est en danger. Elle s'énerve en demandant quel est ce type et qui est John. Elle réplique qu'il n'a pas de problèmes de dos pour se battre. John dit que lui aussi donne une seconde chance. Elle lui pose la question de savoir s'il n'a pas fait de prison, il répond qu'il n'en a pas fait aux Etats-Unis. Ils sont interrompus par un appel d'Harold.
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Il l'informe que l'homme de la bibliothèque est un certain Wendell Lentz, ancien détenu comme Garcia et avec le même officier de probation. John veut être sûr qu'il n'y a pas d'autres tueurs. Pourquoi et qu'est-ce que Galuska lui a fait ? Une tierce personne paye Galuska, pour piéger d'autres détenus, qu'il renvoye en prison. Comme elle a donné l'alerte avec son client, il se peut que Galuska mette la drogue chez lui. Donc Terrence King est innocent. A t-elle des doutes ? Elle veut y croire car lors de son arrestation, il s'est soumis à un test sanguin qui s'avère négatif. D'autant plus que les résultats sont égarés, comme par hasard et n'a pas eu de copie. En plus, King n'est pas tout seul, d'autres détenus ont porté plainte contre lui. Ils le soupçonnent de les avoir piégés. Elle veut parler à Terrence, mais John lui conseille de rester ici pour plus de sécurité. Il veut savoir qui est derrière tout ça ; lui donne une matraque télescopique, lui ordonne de fermer la porte et de n'ouvrir à personne.
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| John retrouve Carter dans un bar. Il lui dit qu'elle devient très forte pour échapper aux filatures. Surtout d'être capable d'enfreindre la loi. Elle l'informe de ce qu'elle trouve dans le dossier de Galuska. Il y a un point commun : tous les ex-détenus retournés en prison sont des parents isolés. Donc, les enfants ont été placés en famille d'accueil. John arrive à la conclusion que si Galuska touche des pots-de-vin, ce n'est pas par rapport aux détenus, mais aux enfants. Ce que Carter confirme : la garde des enfants vaut 800 dollars par mois. Par conséquent, il doit avoir un lien avec le service de l'enfance. Et beaucoup de suspects. Elle va convoquer Paul et Mary Kingsey, les gens qui gardent Jacob King. Sur ce, John lui dit qu'elle est douée ; elle réplique que c'est son boulot, qu'elle n'est pas obligée de tuer quelqu'un.
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Au commissariat, Carter pose les questions aux personnes gardant les enfants de détenus. D'abord, le nombre d'enfants sous leur responsabilité, il y en a 6 et c'est toujours le cas. Joss parle de Jacob et Mary lui répond que, même si son père lui manque, il s'est très bien adapté. Elle veut savoir s'ils connaissent, un certain Dominic Galuska mais, également Gloria Copeland (la directrice du service de l'enfance. Et Paul répond par la négative. Carter leur montre un plan et explique qu'avec un appartement de deux pièces, difficile de loger avec deux adultes et six enfants. Elle les menace de les arrêter pour entrave à une enquête criminelle, s'ils ne disent pas la vérité. Paul avoue que Jacob est le seul qui vit chez eux ; une autre, Rebecca Johnson a fugué il y a plusieurs mois, mais les autres n'ont jamais existé. Ils continuent quand même à toucher les pensions. Le mari veut continuer, mais il est empêché par son épouse.
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| De plus, Carter reçoit un appel d'un inconnu et l'ignore. Elle veut savoir quel est le complice de Galuska, celui-ci ne peut pas avoir monté cette arnaque tout seul. Et Mary demande un avocat ainsi que passer un appel. Le téléphone sonne à nouveau. Un message s'affiche : "Répondez au téléphone, lieutenant". Elle leur demande de ne pas bouger et se retire pour répondre. Elle demande qui appelle ; c'est tout simplement Harold qui évidemment, écoute toute la conversation, veut qu'elle accorde leur appel. Elle le sermonne car il la dérange au milieu d'un interrogatoire ; il réplique en disant que c'est plus la fin que le milieu et la somme d'accorder leur coup de téléphone. De plus, il lui dit qu'ils ont demandé un avocat. Elle s'étonne de voir qu'il est au courant, lui demande s'il a mis un mouchard dans son portable. Mais d'abord, elle veut connaître le nom du contact de Galuska au service de l'enfance.
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Harold lui dit qu'ils pensent savoir qui sait, grâce aux dossiers des six enfants qui ont été placés. Ils portent la même signature : Gloria Copeland. Elle lui explique qu'il en faut plus pour l'arrêter ; que son service est une tonne de papiers et faudra des mois avant d'avoir les informations. En plus, si les Kingsey la préviennent, elle peut détruire toutes les preuves. Justement, c'est exactement ce que souhaite Harold, car celui-ci prépare un scanner afin de l'installer dans le destructeur de document. Donc, s'il y a collaboration, il faut que Joss leur fasse confiance.
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| Harold, se faisant passer pour un technicien, remplace le destructeur par le scanner. John lui dit de faire vite ; celui-ci ironise en disant qu'il veut aller le plus lentement possible et ainsi, se faire prendre. Harold insère un document pour voir si cela fonctionne. En effet, le document se détruit et est scanné sur le portable de ce dernier. Il s'en va en demandant à John s'il est assez rapide, celui-ci sourit pour lui.
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Andrea reçoit un appel, en PCV, de Terrence depuis le centre de détention de Brooklyn. Il lui explique qu'il sera transféré à Attica le lendemain, un quartier de haute sécurité. Ils ne savent pas pourquoi et Andrea va déposer un recours chez le juge pour l'éviter, mais cela ne sera pas facile ; elle s'en occupe.
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| Harold fait une analyse graphologique, compare les deux signatures, voit que les "r" sont parfaitement identiques dans le nom de Chris Scollard. En fait, ils se sont trompés de personne, que c'est lui qui imite la signature, donc Copeland est innocente. Pendant ce temps, Chris amène, contre son gré, Andrea dans la salle des archives. Toujours sous la menace, elle lui demande pourquoi il a trahi toutes ces familles. Il lui dit qu'il préfère voir ces enfants dans des familles d'accueil, plutôt qu'avec des ex-détenus. Elle lui explique que Terrence, lui est clean, il ne mérite pas ce qui lui arrive. Chris réplique qu'il admire sa sensibilité. Sur ce, elle rétorque que, tant qu'elle est sensible, elle est bien en vie et l'attaque avec la matraque. Une course-poursuite s'engage dans les allées et lui tire dessus. C'est à ce moment-là que John arrive. Chris, le voyant, recommence. En voulant le chercher, il voit Andrea mais il ne regarde pas derrière lui John, qui le blesse. Andrea a peur qu'il s'échappe, mais John sait que ce ne sera pas le cas. De l'autre coté, Joss le met en joue, lui demande de jeter son arme et l'arrête. John et Andrea s'en vont en montant les escaliers.
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Harold fait une analyse graphologique, compare les deux signatures, voit que les "r" sont parfaitement identiques dans le nom de Chris Scollard. En fait, ils se sont trompés de personne, que c'est lui qui imite la signature, donc Copeland est innocente. Pendant ce temps, Chris amène, contre son gré, Andrea dans la salle des archives. Toujours sous la menace, elle lui demande pourquoi il a trahi toutes ces familles. Il lui dit qu'il préfère voir ces enfants dans des familles d'accueil, plutôt qu'avec des ex-détenus. Elle lui explique que Terrence, lui est clean, il ne mérite pas ce qui lui arrive.
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| Chris réplique qu'il admire sa sensibilité. Sur ce, elle rétorque que, tant qu'elle est sensible, elle est bien en vie et l'attaque avec la matraque. Une course-poursuite s'engage dans les allées et lui tire dessus. C'est à ce moment-là que John arrive. Chris, le voyant, recommence. En voulant le chercher, il voit Andrea mais il ne regarde pas derrière lui John, qui le blesse. Andrea a peur qu'il s'échappe, mais John sait que ce ne sera pas le cas. De l'autre coté, Joss le met en joue, lui demande de jeter son arme et l'arrête. John et Andrea s'en vont en montant les escaliers.
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Au tribunal, Terrence remercie Andrea et retrouve son fils. Elle a donc obtenu gain de cause pour détention injustifiée, diffamation, violation des droits civils et poursuite abusive. Ce qu'il fait qu'elle empoche 3 millions de dollars. John lui dit qu'elle pourrait aller à New York, mais elle veut, d'abord s'acheter une nouvelle paire de chaussures, d'autant plus qu'elle se sent bien là où elle vit. Il lui réplique qu'elle a failli se faire tuer, mais elle sait qu'il sera là pour la sauver. Elle lui demande s'il ne voudrait pas faire un métier moins dangereux, comme alpiniste ou dresseur d'ours ; cela en vaut-il la peine pour sauver des inconnus. John lui explique qu'elle n'est pas la seule à croire que l'on a droit à une seconde chance. Elle le remercie et il s'en va.
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| Will Ingram invite "Oncle Harold" à venir le retrouver, celui-ci ayant un appel, pense qu'il veut lui dire au revoir. En réalité, c'est tout le contraire, il ne veut plus être médecin mais souhaite connaître un peu plus sur son père. En triant les affaires de Nathan, il se rend compte qu'il ne sait pratiquement rien sur lui. Harold lui montre une photo de Nathan avec son fils, lui explique que les pères sont un mystère pour leurs enfants. Will lui dit que la plupart des garçons n'ont pas la chance de lire une biographie non officielle. Il montre à Harold les documents de l'audit, qui a été demandé, lorsque Nathan a légué à son fils la moitié de sa société. Pour lui, c'est du chinois, car dès que cela évoque des ordinateurs, il est paumé. Il se retourne vers Harold et suppose que c'est pareil pour lui, qui approuve. Mais des incohérences existent. Il évoque la fermeture de sa société par son père, 7 ans auparavant. Harold lui dit que Nathan en a parlé, qu'il a dû la restructurer. Et Will parle que tous les employés ont été licenciés, ainsi que d'un projet qu'il a vendu au gouvernement pour un dollar. Soit cela n'a pas de valeur, soit c'est hors de prix. Will lui demande s'il lui en a déjà parlé, vu que c'est son meilleur ami. Harold répond par la négative et voit un carton avec les preuves.
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John se trouve à la bibliothèque pour chercher des informations sur Nathan Ingram. Il trouve un article qui évoque la mort d'un milliardaire. Harold appelle John pour lui dire qu'il ne reviendra pas, lui suggère de prendre le reste de sa journée. John lui demande s'il veut en parler, celui-ci répond, résigné, qu'il ne veut pas vraiment. John n'est pas rassuré car il sent qu'Harold est tracassé par ce qui se passe. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir, mais il doit comprendre qu'il y a des choses qu'il veut garder pour lui. John reçoit un appel de Lionel, qui sait maintenant pour sa nouvelle mission. Celui-ci lui demande combien de temps cela va durer. Il rétorque que, tant qu'il n'aura pas de réponses, cela continuera. Donc sa nouvelle mission est de surveiller Harold Finch.
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_________________ "Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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