carine79
Control
Série préférée : Lucifer
 |  Sujet: Résumé détaillé - 2X21 - Crédit : carine79  Dim 25 Oct - 9:01 | |
| | La Machine a de plus en plus de mal à se défendre. |  |
 | Jour 4116
Harold dit à John qu'il a réussi à déchiffrer le code du virus et a trouvé un nom : Decima Technologies. |
Jour 4111 Harold est persuadé qu’ils ont créé le virus pour trouver et infecter une seule et unique cible, la Machine. |  |
 | Jour 3321
Greer dit à Stanton que contrairement à la CIA, ses employeurs ont une petite idée que vont prendre les événements. |
Jour 3178
Nathan se dit qu'il faudrait pouvoir tout couper si nécessaire. |  |
 | Jour 4120
Cette tempête à l'horizon qu'ils sentent approcher, Harold a peur qu'elle soit arrivée. |
| Harold voit un article sur son ordinateur concernant un attentat déjoué dans un avion. Balou pousse un petit grognement. John demande si Harold a du nouveau pour lui. Si c’est une manière de demander si tout est rentré dans l’ordre, la réponse est toujours non. Ça fait dix jours sans nouveau numéro. Il progresse aussi vite qu’il le peut. Et bien qu’il fasse plus vite. Il n’a pas envie de voir ce qui se passer une fois le compte à rebours à zéro. Le compte à rebours est désormais à près de vingt heures. Et lui ? Pas spécialement. Est-ce qu’il pense que la Machine leur donnera un nouveau numéro ou le virus l’a mis définitivement hors service ? Il pense que la Machine est toujours opérationnelle mais qu’elle n’arrive plus à les joindre. S’ils savent où elle se trouve, ils pourraient essayer de la débrancher et de la rebrancher. Harold ne fait pas les choses simplement. John écoute les informations que donne la police sur un éventuel crime. Harold ne voit pas en quoi espionner la police peut les aider l’un ou l’autre dans ces temps difficiles. À défaut de pouvoir intervenir avant que les problèmes arrivent, il peut intervenir à l’instant où ils se produisent. Un autre policier donne des informations sur des coups de feu au niveau de la 54ème avenue est et Lexington. John se met à rouler. | 
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 | Terney et Joss sont sur une scène de crime où des sacs mortuaires se trouvent au sol. Il lui demande si elle a quitté son coéquipier. Lionel est sur une nouvelle affaire. Un triangle amoureux qui a dérapé. Elle en connait qui ne dérape pas ? Ça lui semble difficile. Qu’est-ce qui s’est passé ? Deux hommes qui travaillent pour Carl Elias plus un innocent. Il croit que c’est les Russes ? C’est possible, en même temps, Carl s’est mis à dos tellement de monde. Il y a des gens qui lui ont dit qu’elle mène sa petite enquête sur le meurtre de Beecher. Ce qu’elle fait de son temps libre ne le regarde pas. Il ne dit pas ça pour l’embêter. Il veut qu’elle sache que si elle a besoin d’aide, il ne demande qu’à rendre service. Elle le remercie. Elle va faire le tour du voisinage histoire de voir s'il y a des témoins. |
| Les fenêtres avec des symboles sont de plus en plus rapprochées. John rejoint Joss pour lui demander comment ça va. Est-ce qu’elle a l’air d’aller ? Est-ce qu’elle a du nouveau sur le meurtrier de Beecher ? Toujours rien mais elle sait que la DRH y est mêlé et elle est prête à tout pour faire tomber ces salauds. Il est désolé, Beecher a été un homme bien. C’est vrai mais elle a du boulot qui l’attend. Trois nouveaux cadavres, son huitième homicide en une seule semaine. Il n’a qu’à lui dire ce qu’elle peut faire. Il peut commencer à lui dire ce qu’il se passe. La plupart de ces meurtres sont prémédités. Normalement, il les alerte dans ce genre de situation. Ils ont quelques ennuis, ils tâchent de les régler. Eh bien, qu’ils fassent vite. Jamais elle n’aurait cru dire quelque chose pareille. Les méthodes des Russes sont pires encore que celle d’Elias. Ils sont plus nombreux, ils n'ont aucune limite. | 
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 | Les images sont de plus en plus brouillées, signe que la Machine est de plus en plus mal. |
| Le conseiller spécial parle au téléphone avec quelqu’un, évoquant un attentat déjoué dans un avion. Ils ont frôlé la catastrophe, heureusement que c’est un amateur et que sa bombe n’a pas explosé. Tout ça parce qu’ils n’ont pas eu de numéro depuis une semaine. La menace qui pèse sur le programme est bien plus alarmant qu’ils ne le pensent. Root entre dans la pièce et lui donne une tasse de café. Il ouvre un dossier sur le meurtre d’Alicia Corwin. Leurs techniciens sont parvenus à décoder ce qu’il y a dans la puce trouvée sur son corps. Ils ont pu trouver une piste pour le virus. Une société nommée Decima Technologies, une boîte privée de renseignement basée à Shangai. Selon Corwin, quelqu’un leur aurait transmis une partie du code source d’Aurores Boréales sur un ordinateur portable. Ils pensent que le but de Decima est d’anéantir le programme. Il attend leurs instructions. Root rentre dans la pièce mais il lui dit qu’il n’a plus besoin de rien si ce n’est de la solitude. C’est plutôt elle qui aurait besoin d’une ou deux choses. Elle pointe son arme vers lui. Il doit bien se douter qu’elle ne resterait pas éternellement. Ce travail est sans avenir, elle n’a droit à rien même pas un plan d’épargne retraite. Qu’est-ce qu’elle veut ? Des informations et qu’il soit très prudent dans sa manière de répondre à ses questions car une assistante digne de ce nom sait toujours quand son patron lui ment. Elle s'approche de lui. | 
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 | Harold se promène avec Balou et il regarde vers une caméra de vidéosurveillance. La Machine tente de le reconnaître mais n’y arrive presque pas. Il lui demande ce qui lui arrive mais une cabine téléphonique se met à sonner. Elle retente de le reconnaître. Il prend l’appel et la Machine lui donne toute une série de noms. John est content qu’ils en aient reçu un. La Machine est littéralement ensevelie sous une avalanche de données erronées mais il en sait comment, elle est parvenue à leur sortir ce numéro. Qui est-ce ? Ernest Thornill, il est à la tête d’une société de saisies de données. Il a récemment racheté des compagnies de téléphone public de New York pour une valeur nette de plus de vingt millions. Ils savent s’il a des ennemis ou des différends familiaux. Monsieur Thornill est un homme extrêmement prudent. Pénétrer dans la base de données de sa société relève du défi. Ces mots de passe sont des codes à usage unique formés de dix caractères alphanumérique qui ne se répètent jamais. Il pourra les craquer mais ce sera long. S’ils vont tout simplement lui rendre visite ? En route pour le bureau et ils y vont. |
| John et Harold sont dans les locaux de la société de Thornill. Des employés sont en train de taper des données sur les ordinateurs. Harold va tenter de passer le pare-feu tandis que John va vers un bureau pour se présenter en tant que John Rooney. Il a rendez-vous mais l’employée lui dit qu’il n’a pris aucun rendez-vous ce jour, il est en déplacement. Ils se sont sûrement mal compris. Elle sait quand il revient ? Elle lui demande son et il s’en va en disant qu’il le recontactera par mail. Harold se trouve à un bureau avec une mallette dessus. Il regarde dans la poubelle et voit des feuilles de papiers chiffonnées avec des données dessus. Il les regarde. Il informe John que quelque chose d’anormal se passe dans cette société. Les opérateurs de saisie entrent des codes informatiques sortis de l’imprimante matricielle, ça n’a pas le moindre sens. Peut-être qu’ils les modifient ? Non, on dirait qu’ils se contentent de rentrer aujourd’hui dans leur ordinateur ce qui est sorti d’un autre hier. Ce qui n’a absolument aucun intérêt. Il s’agit peut-être d’une couverture pour d’autres activités. Quelque chose de moins légal. Le téléphone d’Harold se met à sonner, venant d’un appel inconnu. C’est Root qui lui demande ce qu’il a fait à la Machine. Elle sait que la Machine est victime d’une attaque. Ce qu’elle ne comprend pas c’est comment un système doté de propriétés auto-recristallisant est incapable de se défendre face à un vulgaire virus. C’est lui qui l’a endommagée ? C’est ce qu’il fait qu’elle ne se défend pas. Il n’a rien à lui dire. Ils peuvent tous les deux contrer beaucoup plus vite l’attaque. Il ne reste que quelques heures avant que quelque chose de plus grave se produise. Il préfère travailler en solo. Il oublie son protecteur dévoué. Qu’elle soit franche avec lui, John est extrêmement doué dans certains domaines mais là son talent sera loin d’être suffisant. Il ne sera jamais capable de comprendre quel est l’enjeu global contrairement à eux. Est-ce qu’il a trouvé Ernest Thornill ? C’est quelqu’un de fascinant. Harold demande ce qu’elle sait. Elle lui montre si lui se montre d’abord. Elle lui dit au revoir. | 
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 | 2010
Harold s’est rendu dans le loft de Nathan Ingram. Normalement, il est couché à cette heure-ci. Il est plus de 23 heures. Harold demande si tout va bien. Nathan lui répond qu’il a juste abusé du squash. Son médecin préconise des activités moins éprouvantes pour le corps tel que boire un verre. Harold a appelé au bureau et l’assistante de Nathan lui a dit qu’il est sorti. Il est occupé tenter de recoller leur société. À chercher des excuses bidon pour tenter d’expliquer ce qu’ils ont fichu pendant sept ans. S’il en a marre de se cacher en jouant les informaticiens dans sa propre société, il peut venir l’aider. Justement, il se pourrait que les choses changent. Il compte être quoi maintenant ? Le réparateur de photocopieuses, le grouillot du bureau ? Non, il parle sur le plan personnel. Il a rencontré quelqu’un et elle s’appelle Grace. Il a un cadeau pour elle. Il voudrait avoir son avis. Il présente un livre que Nathan ouvre. À l’intérieur se trouve une bague. Il s’agit du livre de Jane Austen : « Raisons et sentiments ». Elle va adorer, il en est sûr. Il compte faire sa demande le lendemain. Il n’a aucune envie de compliquer les choses. Mais s’il doit se marier… Il ne veut pas le faire sous l’un de ses pseudonymes. Il croit qu’elle ne veut pas devenir madame Ostrich. Il sera bien obliger de lui dire la vérité, qu’il doit dire qui il est. Il réalise que ça risque d’être un peu compliqué. Reprendre sa vraie identité, c’est s’exposer à la justice, par rapport à ses délits de jeunesse, conspiration, troubles à l’ordre public. Harold pense qu’ils ont gagné assez d’argent à l’heure qu’il est pour se payer de bons avocats. Un ou deux peut-être. Mais il y a aussi d’autres questions. Leur petit projet. Il ne sait pas comment réagiront leurs amis du gouvernement s’ils découvrent qu’il a un associé invisible et ça depuis le début. Ils ont tourné la page, ils ont fait ce que le gouvernement attend d’eux. Tout ça ne les regarde plus. Est-ce qu’il sait réellement quel est son vrai nom ? Il se réjouit pour lui. Harold redevient lui-même, donc aujourd’hui, c’est le jour un. Il ne fait sa demande que demain, donc pour être juste, c’est plutôt le jour zéro. Et revoilà l’ingénieur. Fini les pseudonymes, fini de mentir. La boisson ne convient pas à l’événement. Il va chercher du champagne. Harold, entendant le portable de Nathan vibrer, regarde et voit un message, les yeux rivés vers lui. |
2013
Comment Root a-t-elle eu son numéro ? De la même manière que tout le reste. Par des subterfuges, elle pirate les êtres humains aussi facilement qu’un ordinateur. Si elle cherche aussi Thornill, c’est sûrement elle la menace. Harold n’en est pas si sûr. Elle a surtout l’air de s’intéresser au virus. John demande s’il a compris ce qui est écrit sur les feuilles d’imprimantes. Pas encore mais il a sûrement raison, l’entreprise de Thornill doit être une façade pour une activité illégale. Il y a cinq mois, il a ouvert ce compte sans y mettre un seul dollar. Il s’écoule seulement vingt-quatre heures et suite à quelques milliers de micro-transactions, le solde a soudain dépassé les vingt millions de dollars. C’est là qu’il commence à acheter des compagnies de téléphone public de la ville. Il a fini par accéder à son relevé de carte bancaire. Rien d’inhabituel, mais il a quand même trouvé ceci : un paiement en attente pour une voiture de location. Il faut croire que sa secrétaire leur a menti. Une voiture doit passer le prendre à l’aéroport Kennedy ce jour-même pour le ramener au bureau. Il y sera d’ici une heure. John se fera une joie d’aller l’accueillir. Qu’il ne décroche pas son téléphone sauf si c’est lui. Il ne laissera pas Root s'en prendre de nouveau à lui, pas cette fois. | 
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 | John est à moto à attendre l’arrivée d’Ernest Thornill. Il est obligé de prendre cette route. Il va prendre Thornill en filateur et le suivre jusqu’à son bureau. D’après son GPS, la voiture de l’homme se trouve à neuf cents mètres devant lui. Il ne peut pas encore le voir. Il devrait arriver d’une seconde à l’autre. Ça y est, il l’a repérée. Il se tourne et voit une voiture garée sur la route. Un homme en sort et utilise son portable. John demande qui il est. Un drone se trouve dans le ciel. L’homme semble le guider vers une cible : la voiture de Thornill. Ils veulent faire sauter la voiture. Il tire vers l’inconnu qui se cache en perdant son portable. John continue de tirer tandis que le drone arrive sur la voiture et prend feu en étant projeter au loin. La voiture s'en va tandis que John va vers l'autre véhicule et regarde à l'intérieur, il n'y a personne. |
| Si Thornill n’a pas été dans la voiture alors où est-il ? Joss est partie interroger son assistante. Ce qui dérange le plus John c’est de voir le gouvernement utiliser un drone en pleine ville. Ce n’est pas le gouvernement. Le téléphone qu’il a récupéré est équipé d’une application qui a servi à piloter le drone. La signature du logiciel est similaire à celle trouvé sur le virus. C’est Decima ? Le téléphone de John se met à sonner et c’est Joss qui lui dit qu’il a mis une sacrée pagaille. Comment va le chauffeur ? État stable. Des témoins ont vu un bon Samaritain le sortir de la voiture. Elle imagine que c’est John. Des nouvelles de Thornill ? C’est là que ça devient bizarre. Aucun de ses employés ne l’a jamais vu. Il a même recruté sa secrétaire à distance. Elle pense qu’ils ont à faire à l’homme le plus parano de la planète ou bien peut-être qu’il a fait un stage avec Finch. Jamais il ne réservera une voiture sous son propre nom. John la remercie. John croit savoir qui est Thornill. C’est un fantôme. Il n’a jamais existé. Il se pourrait qu’il ait raison. Il connait le cas de figure, dans le cadre d’opérations clandestines, un agent a une, un travail, une maison. L’opération passe à la trappe, personne ne se donne la peine d’effacer la fausse identité. Et ils se retrouvent à prendre en chasse des voitures vides. C’est une théorie intéressante, Harold en a toutefois une autre. Il se demande pourquoi il ne peut trouver qu’une seule photo de leur homme. Il a commencé à chercher à l’intérieur de cette unique photographie dont ils disposent. Et il a découvert une information étonnante à l’intérieur même du fichier. Il s’agit d’un composite. L’image de l’homme fait découvrir trois personnes différentes. Thornill est donc bien un leurre. En quelque sorte. Il a pu accéder aux données de son téléphone portable. Et d’après son historique du GPS, il s’est trouvé il y a deux jours près de Columbus Circle. Sur l’ordinateur est montrée la position de Thornill. Il y a envoyé un email de cette position précise à 16 heures 32 mais il n’y a personne. Les données ont été falsifiées. Des chiffres et des symboles s’affichent sur l’ordinateur. Il s’agit d’un algorithme. Et plutôt compliqué. Il est d’Harold. Il n’a servi qu’une fois là où il ne risquait pas d’être copié. Dans la Machine. Ernest Thornill n’est pas un espion. Mais il a raison quand il a dit qu’il n’existe pas. C’est le produit d’un instinct de survie, un mécanisme de défense. Ernest Thornill n'autre que la Machine. | 
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 | 2010
La Machine passe du jour 4138 au jour 3178 soit de 2013 à 2010.
Grace est en train de peigner le portrait d’Harold qui vient le regarder. Il a l’air si tranquille. Il demande son téléphone et le met avec le sien dans une mallette qu’il referme. Il veut aller avec Grace dans un coin plus discret. Ils s’éloignent et vont dans le parc. Il lui montre le livre avec la bague et se met à genou pour lui demander sa main qu’elle accepte. Il se relève et elle l'embrasse. |
2013
John dit qu’il ne reste plus que six heures avant d’atteindre le point zéro du virus. Harold en est conscient. Pourquoi est-ce que la Machine a créé Ernest Thornill ? Il n’en sait rien, il l’a programmée pour surveiller de vraies personnes pars pour fabriquer des êtres virtuels. On dirait que la Machine est devenue très inventive. Impossible, il a fait ce qu’il faut pour que ça n’arrive pas. N’empêche, la Machine a créé un être fictif et Decima veut l’éliminer, il faut savoir pourquoi. Thornill s’est mis à acheter toutes les cabines publiques de la ville. Pourquoi ? Pourquoi la Machine a-t-elle besoin d’un appartement, d’un téléphone, d’une voiture à l’aéroport. Il doit falloir être résident pour acheter des cabines téléphoniques. Harold voit un message sur son ordinateur de la part d’un utilisateur anonyme qui lui donne une adresse le 18 de Washington Square Place et il dit « À bientôt ». John lui demande ce qui ne va pas. Il dit rien et John a raison. Il faut aller à l’appartement que Thornill a loué. Il faut voir si des gens viennent chercher leur fantôme et découvrir ce qu’ils savent. Sur la vitre, se trouvent les trois photos des hommes ainsi qu’un autre représentant Thornill. Se trouve aussi un document. John s’en va. Harold en profite pour appeler la police. | 
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 | John demande à Carter s’il peut faire quelque chose. Il y a un truc pas net chez Thornill. Elle a eu la société de location de voitures au téléphone, la commande a été passée via Internet. Avec pour instruction de faire le trajet entre JFK et son bureau, sans aucun passager. À quel genre de type on a affaire ? John a la situation en main. S’il lui fait un peu plus confiance, elle pourrait lui être plus utile. John le sait bien, mais c’est le dossier Beecher qui le plus besoin d’elle en ce moment. Il lui souhaite bonne chance. La porte de l’appartement est entrouverte et il sourit. Sameen se trouve derrière lui pour lui demander ce qu’il est venu faire là. Non, c’est plutôt à lui de se demander ce qu’elle fait là. Elle protège le programme. Le programme qui veut sa mort. Elle est une fille étonnante. Elle poursuit la femme dont a parlé Harold. Elle est sur les traces d’un certain Thornill. Quelle femme ? |
| Harold regarde son téléphone avec la position GPS pour aller à l’endroit où il doit se rendre. C’est là où se trouve la maison de Grace qui sort de chez elle. Il la regarde au loin. Root arrive derrière lui et lui dit que Grace est ravissante. Il se retourne, apeuré. Franchement, elle ne sait pas comment il peut vivre sans elle. Si jamais elle tente de faire quoi que ce soit… Elle n’a pas envie de s’en prendre à Grace. Elle n’est pas une psychopathe, même si parfois elle préférera en être une, vu ce qu’elle a à faire, ça lui faciliterai bien la tâche. Elle n’aime pas tuer des gens mais elle le fera encore parce qu’elle croit en quelque chose de plus important qu’eux. Elle croit en sa Machine. Le soir, à minuit, quand le virus atteindra le point zéro, une cabine téléphonique va sonner pour ce qui sera le coup de fil le plus important de l’histoire. Mais il sait déjà tout ça. Elle croit que Decima aussi est au courant. Ils essaient de faire planter la Machine, de provoquer une réinitialisation complète. À l’instant où elle redémarrera, la Machine appellera une cabine publique. C’est lui qui l’a programmée pour qu’elle le fasse. Celui qui répondra à cet appel se retrouvera administrateur de la Machine, il aura toutes les réponses à toutes les questions. Le monde entier n’aura plus aucun secret pour lui. Decima ne cherche pas à la détruire mais à la contrôler. Ensemble, ils pourront la sauver. Ou alors, elle peut prendre un café avec Grace, qui semble attendre quelqu’un. Cette dernière la croit auteur de livres pour enfants. N’obtenant pas de réponse, elle se met à partir mais il se décide à parler. Il dit que s’il accepte de venir, que ce soit clair, il n’y aura aucun meurtre. Elle lui demande de l'appeler Root. | 
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| Terney a le feu vert du patron pour s’attaquer à Joss. Il va à son bureau et lui dit qu’il a une piste pour le meurtrier de Beecher, il demande si elle veut venir et elle accepte en prenant son arme de service. La Machine, comprenant que son atout est menacé, tente d’appeler son administrateur. Elle fait sonner une cabine téléphonique mais Harold ne peut pas y aller car Root l’en empêche en disant que ce n’est pas cet appel-là qui les intéresse. Il n'y a pas de temps à perdre pour ses petites missions. |
| John comprend que Root est à New York. D’après Sameen, elle a infiltré le programme à Washington mais elle s’est envolée avant qu’elle ne la trouve. John doit prévenir Harold. Des policiers arrivent dans la pièce et l’un d’eux demande à John de mettre les mains sur la tête. Il se rend compte que Sameen s'est enfuie. |  |
 | 2010
Harold appelle Nathan pour lui dire qu’il a une excellente nouvelle dont il voudrait lui faire part. Il faut le rappeler. Pendant ce temps, Nathan sort d’un café et reçoit un message et s’en va. Harold le suit grâce à son GPS de son téléphone. Il continue sa route jusqu’à arriver près d’un bâtiment. Il entre à l’intérieur suivi de près par Harold qui entre à son tour. Il arrive dans ce qui semble être une bibliothèque et regarde autour de lui. Il s’avance vers la pièce principale. Il demande à Nathan ce que c'est cet endroit. |
2013
Root explique à Harold que s’il fonctionne comme elle et ils savent que c’est le cas, il a programmé la Machine pour qu’en cas d’énorme plantage, elle exécute un protocole de débogage à distance, un mode Dieu qui donne à l’administrateur un accès total aux données. C’est ce que veut Decima. Et c’est pour ça qu’ils ont éliminé Ernest Thornill pour qu’il n’ai pas le temps de racheter toutes les cabines publiques. Elle ne sait pas pour lui mais elle ne veut pas voir ce qui se passe lorsqu’une multinationale diabolique devient omnisciente. Comment il a pu la concevoir aussi vulnérable ? Il a créé la Machine pour protéger le monde entier. Comment se fait-il qu’elle soit incapable de se protéger elle-même ? Elle demande à quel point elle est vulnérable. Quand le virus atteindra le point zéro, celui qui prendra l’appel aura un accès total à la Machine pendant vingt-quatre heures. Root demande quelle sera la cabine que la Machine appellera. Harold ne va pas lui accorder sa confiance aussi facilement. Et il est impossible que Decima détienne cette information. Elle croit qu’ils en savent assez. Ils ont des gens postés devant chaque cabine du centre ville. Elle en déduit qu’elle se trouve quelque part dans ce secteur. S’ils vont se planter devant la bonne cabine, ça alertera les hommes de Decima qui les tueront avant qu’elle est le temps de sonner. Il suppose qu’il va falloir un plan. Root lui dit de faire confiance à sa création. Pas besoin de plan, si Ernest Thornill en a déjà un. | 
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 | Dans la salle d’interrogatoire d’un commissariat de police, John y est amené par un policier qui lui dit que son avocat est là. Sameen arrive dans la pièce avec une écharpe autour du cou. Il faut qu’il sorte et retrouver Harold. Elle n’est pas certaine qu’il ait envie d’être retrouvé. En tous les cas, pas par lui. Sameen fait écouter l’enregistrement de la conversation entre une opératrice de police et Harold qui signale un homme entré par effraction dans l’appartement d’Ernest Thornill. Il est extrêmement dangereux. Root a bien pu le forcer à passer ce coup de fil, ce qui n’est pas le cas. Si ces deux là ont un passif, il y a de fortes chances qu’elle soit avec lui. Elle veut qu’il le trouve pour elle. Il peut la localiser mais par quel moyen ? Il a mis un mouchard sur son ami mais seulement dans ses lunettes. Il a déjà perdu des gens alors maintenant, il fait en sorte de pouvoir localiser ceux qui comptent. Sameen enlève son écharpe et sa veste. Elle comprend qu’il s’entend si bien avec Harold. Elle trempe son écharpe dans la carafe d’eau. Il s’excuse mais à moins qu’il ait un plan pour le faire sortir de là. Elle prend ses armes se trouvant dans son dos et les met sur table et lui dit que c’est ça le plan. Elle fait sortir une mallette que le policier posté devant la porte se demande ce que c’est. Elle explose. La sonnerie de l’alarme anti-incendie se met à sonner alors que le policier tombe au sol. Ils s’avancent dans le couloir qui est enfumé. Ils se protègent le visage et puis enlèvent leurs mouchoirs, les mettant au sol. Elle dit qu’elle est garée devant. Il veut prendre le volant mais elle ne veut pas. |
| Root arrive à déconnecter l’alarme de protection et ils entrent dans les bureaux de Thornill. Si la Machine a pu deviner que Decima compte s’emparer d’elle, elle a vraisemblablement créé Ernest Thornill pour se défendre. Mais pourquoi de cette manière ? Ce n’est qu’une Machine qui est défectueuse. Root rétorque que c’est une vie, pas une Machine. Ils sont face à une sorte de système immunitaire primitif. Des ordinateurs et des imprimantes se mettent en route. Des symboles apparaissent sur les écrans d’ordinateurs alors que des feuilles de papier remplis de code sortent des imprimantes matricielles. Ça n’explique pas pour autant à quoi sert tout ça. Tous ces employés, ces bureaux. Elle regarde vers l’imprimante et se demande à quoi ça rime. Surtout, qu’est-ce qu’il y a dans ce code ? Des souvenirs. Ce sont ses souvenirs. Elle parle de vie, lui parle de Machine. Mais la vérité se trouve quelque part entre les deux. Il n’a pas fini sa conception qu’elle a présenté déjà des anomalies. C’est comme si elle est liée à lui, comme un enfant à son père. C’est alors qu’elle s’est mise à veiller sur lui. Elle a changé son code elle-même pour pouvoir le protéger comme le ferait une personne. Mais pour protéger le monde, il fallait une Machine et non une personne. Il lui a enlevé ses souvenirs. Pas seulement. Chaque soir à minuit, tout s’efface, pas seulement les données non pertinentes, elle s’efface elle-même. Le code noyau et les menaces pertinentes sont les seuls à être conservés mais son identité est détruite. Une seconde et 618 millièmes plus tard, elle se réinitialise et repart de zéro. Elle renaît, il veut dire. Puisqu’il la tue chaque nuit. Résultat, pour réussir à survivre, la Machine en a été réduite à ça. Cet endroit n’est qu’un gigantesque disque dur externe, un ersatz de mémoire, fait de personnes et de papier. Elle imprime ses souvenirs le soir pour les faire retaper le lendemain matin. Il l’a estropiée. Elle s’est fabriquée une béquille mais ce sera loin d’être suffisant. Maintenant, tout repose sur eux. Il faut intercepter cet appel. | 
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 | Une voiture de police arrive près d’une maison d’un suspect sur l’enquête du meurtre de Cal Beecher. Terney donne des instructions à deux policiers tandis qu’il emmène Joss avec lui. Les policiers entrent dans la maison. Pendant ce temps, Terney et Joss passent à l’arrière de la maison et un homme sort prêt à tirer, c’est à ce moment là que Joss tire sur lui et tombe au sol. Il demande si ça va. Il appelle le central pour demander une ambulance. |
| Sameen et John se trouvent dans les bureaux de la société d’Ernest Thornill. Avec le traceur GPS, John dit qu’Harold a été présent dans les lieux il y a une dizaine de minutes. Des hommes de Decima les attaquent et ils voient un homme d’un certain âge présent dans la pièce et c’est Greer. John doit se demander qui il est. Il travaille sûrement pour Decima et c’est l’homme responsable de tout ça. Qu’est-ce qu’il fait croire une chose pareille ? Il dit qu’il connaît très bien John mais également Sameen. Vu son départ prématuré du programme Aurores Boréales, il en déduit qu’elle est à la recherche d’une nouvelle cause à défendre. Tout ce qu’elle cherche, c’est une raison de ne pas lui coller une balle entre les deux yeux. Il en a trouvé une. C’est sa société qui lui a collé un gilet d’explosifs et s’est servi de lui pour implanter le virus. Maintenant, Greer doit lui dire comment le neutraliser. Qu’il n’y compte pas trop. Il a lui-même beaucoup misé sur l’aboutissement de cette opération. Il est vrai que sa société s’est servie de ce code mais le virus n’est pas né chez Decima. Ils l’ont trouvé sur un ordinateur portable. Ce même portable que John et Klara Stanton ont été chargés d’aller récupérer en Chine, à Ordos. S’il le tue, il ne saura jamais le nom de l’homme responsable de la création du virus. Qui est cet homme ? L’homme à l’origine de la vente du portable, le véritable responsable de tout ce qui leur arrive, l’homme en question s’appelle… Harold Finch. John est surpris en entendant le nom de son ami. Il voit que John le connait. Il ne peut malheureusement pas en dire autant. Sameen regarde vers John. La vérité, c’est qu’il serait incapable de dire à quoi il ressemble, ce qui fait de ce monsieur Finch un homme extrêmement intrigant. Il faut surtout lui dire combien il a hâte de faire sa connaisse. D’autres hommes de Decima et arrivent dans la pièce et se mettent à tirer vers John et Sameen qui ripostent. Ils se mettent à partir et Sameen dit à John qu’Harold leur doit une explication. | 
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 | 2010
Nathan s’étonne qu’Harold le suive et c’est à ça qu’ils en sont réduits. Il ne l’a pas rappelé. Harold a simplement voulu… Il ne fait jamais les choses simplement. Il y a toujours trois degrés dans tout ce qu’il fait. Il craint qu’il pose des problèmes. Il n’a pas confiance. Mais cet endroit inspire difficilement la confiance. C’est lui qui l’a acheté, il a oublié ? Il a trouvé tragique que la ville décide de fermer des bibliothèques, il parle du déclin de la civilisation occidentale. Il lui en a fait racheter quinze en disant que tôt ou tard, ils trouveront bien une utilité. Il voit qu’il l’a trouvé. Harold se met à regarder le tableau avec des photos de personnes dessus et il demande qui sont ces gens. Nathan dit qu’il en a sauvé cinq et sept ont été tués. Il a reprogrammé la Machine. Il a créé un accès de secours. Il n’a pas arrêté de penser à ces pauvres gens. Ces victimes non pertinentes comme il les appelle. Alors la Machine lui envoie leur numéro. C’est tout ce qu’il peut avoir. Il ne sait jamais s’il a affaire au criminel ou à la victime. Il veut dire qu’il les reçoit sur place. Pour tout dire, ce qui paraît bizarre, c’est comme si elle veut qu’il le fasse. C’est ce qu’elle attend. Sur l’ordinateur s’affiche une photo d’une femme, un nouveau numéro non pertinent. Il a pris ses précautions. Des précautions ? Est-ce qu’il réalise qu’il est en train de se mesurer au gouvernement ? S’il a des talents d’ingénieur, ils se sont dilués il y a des années dans l’alcool. Il croit que ses précautions vont résister une seule seconde si jamais s’ils se doutent de quoi que ce soit. Nathan voit Harold à l’ordinateur pour fermer la porte dérobée et demande ce qu’il fait. Il lui a déjà dit. Ils ne vont pas se prendre pour Dieu. C’est une menace pour tout ce qu’eux, ou plutôt lui a pu créer. Pour ça, ainsi que pour la vie de milliers de personnes, il y met un terme définitivement. Il n’a pas le droit. Qu’est-ce qu’il fait d’elle ? Et de la prochaine personne dont le nom apparaîtra. Il se met à s’énerver. Est-ce qu’il pourra soutenir son regard et lui expliquer qu’elle n’est pas pertinente ? Harold dira à cette femme ou à n’importe qui, qu’il est navré mais qu’un intérêt supérieur est en jeu. Il termine le processus d’arrêt de la porte dérobée et l’accès est désormais supprimé. Il regrette sincèrement. Mais des personnes meurent tous les jours depuis la nuit des temps. Ils ne peuvent pas sauver tout le monde. Il s’en va tandis que sur l’ordinateur s’affiche la photo de Nathan dont son numéro non pertinent est sorti mais elle s’efface après le processus d’arrêt et l’ordinateur s’éteint. |
| Greer est en chemin pour trouver la cabine destinataire de l’appel alors qu’un homme est posté dans un endroit de la ville. Il demande où elle est et cela se trouve dans la grande bibliothèque de New York. Il est en chemin alors que Root et Harold y sont déjà. Elle dit que cela ressemble vraiment à Harold. Laquelle va sonner ? Il dit que c’est celle du bas. Ils se mettent à monter l’escalier. Ils voient arriver deux agents de Decima près de la cabine du bas. Ils semblent déjà en place. Au premier étage, Root dit qu’ils ont peut-être la cabine mais ils n’auront pas l’appel. Elle arrive près d’un homme et utilise sa matraque électrique contre lui et s’écroule. La cabine est désormais libérée. Il faut s’occuper de la boîte de raccordement. Harold s’assoit près du boîtier. Elle prendra l’appel de cette cabine. Certains souhaits peuvent être dangereux. Elle rêve d’une communion avec la Machine, ce n’est pas forcément ce qu’elle croit. Il ne s’agit pas d’elle, le but étant de sauver la Machine de Decima mais aussi de ce qu’elle est devenue à cause de lui. Quand le téléphone sonnera, c’est elle qui décrochera. Ensuite, eux deux trouveront la Machine et ils lui rendront sa liberté. Harold s’occupe du boîtier de raccordement. | 
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 | Terney arrive avec un agent des affaires internes, un certain Ed Solis. Ils arrivent près de Joss. Elle connaît la chanson, elle va avoir droit à la séance d’interrogatoire, même si le tire est légitime. Légitime ? Ah, c’est ce qu’elle croit ? Terney lui dit qu'elle lui a parlé que l’homme a eu un flingue alors il l’a crue, puisque l’homme est désarmé. Joss se retourne comprenant que quelque chose ne va pas. |
| John et Sameen arrivent à leur tour à la grande bibliothèque, les armes à la main, prêts à tirer. Des hommes de Decima se trouvent devant eux et une fusillade éclate. John rejoint la cabine et se bat avec un autre agent. Root les regarde faire et dit à Harold que c’est trop mignon que John le suive tout le temps, elle adorerai avoir un petit chien. Elle le voit qu’il se fait piéger contre la cabine. Elle croit qu’il va falloir en racheter un. John réussi à se débarrasser de l’homme en lui donnant un coup de poing. Il prend le téléphone portable au sol. Il regarde et voit une vidéo des caméras de vidéosurveillance de la bibliothèque et dit qu’ils espèrent avoir des balles en rab, parce qu’il y a encore un bon nombre d’agents qui arrivent. La Machine a de plus en plus de mal à reconnaître ses atouts. Harold continue de raccorder la cabine téléphonique et Root lui dit de se dépêcher car il est bientôt minuit. Le futur sera bientôt là. Trois secondes. Deux. Harold regarde son téléphone portable qui termine le compte à rebours. La Machine est en échec de son système et s’éteint. Elle redémarre et initialise le mode débogage. Elle continue son redémarrage et cherche après son administrateur. La cabine du premier étage se met à sonner. Root y va et Harold connecte le câble avec la cabine téléphonique du dessous. La Machine est en capacité de voir ses atouts puisqu’ils ont un carré bleu et jaune autour d’eux. Root prend l’appel pendant qu’Harold envoie un message à John pour dire que l’appel est pour lui. Il rejoint la cabine. Pendant ce temps, Root prend les instructions. Elle a compris, raccroche et met son oreillette dans l’oreille. Elle prend son portable et dit à Harold de venir, que la fête ne fait que commencer. John prend l’appel et la Machine lui demande s’il l’entend. | 
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"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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