carine79
Control
Série préférée : Lucifer
 |  Sujet: Résumé détaillé - 2X20 - Crédit : carine79  Dim 25 Oct - 8:59 | |
| | En 2011, à Oyster Bay, Lionel enterre le lieutenant Stills tué par John. Il se met à pleurer. La Machine montre les archives concernant le passé de Lionel avec John qui parle de l’équipe de policiers véreux, qui font main basse sur le fric, la drogue et supprime tous les témoins. Que Stills est de la brigade des stups. Azarello, un des anciens policiers dit qu’il sait très bien ce qui est arrivé à Stills et Lionel le sait aussi. Il dira tout ce qu'ils veulent savoir. | 
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| De retour en 2013, John annonce que le nouveau numéro reçoit un prix. Une femme parle d’un monsieur dont il a consacré trois décennies à l’enseignement et à la recherche médicale. Directeur d’un service de chirurgie cardiaque, chef de file dans le domaine de la transplantation cardiaque et pionnier dans celui de la chirurgie cardio-vasculaire à circulation extracorporel. Il a tenu entre ces mains les cœurs et les vies de plusieurs centaines de patients. L’institut est fier de décerner ce jour au professeur Richard Nelson le titre de professeur émérite. John remarque que le nouveau numéro a un plus gros cerveau que celui d’Harold. Si seulement le sien s’accompagne d’une dextérité de chirurgien. Médecin, chercheur enseignant, admiré par ses pairs. Il est assez loin d’avoir le profil d’un criminel. Du coup, John se demande si le tueur ne se trouverait pas dans la salle. Nelson remercie les gens et se rend au pupitre. Il remercie également le docteur De Matteo pour ces gentils mots. Une jeune femme se trouve au bar pendant que John appaire le téléphone et fait le service. En rigolant, Nelson dit qu’elle a oublié de dire qu’il est un piètre golfeur. L’assistance se met à rire. Il se met à boire son verre d’eau tandis que la jeune femme boit son verre de champagne. Il croit que c'est Platon qui a dit : "La connaissance est la nature de l'âme". |
| Dans un cimetière, Alonzo Quinn fait un éloge funèbre à la mémoire de Cal Beecher. Il dit qu’en ces moments douloureux, il faut se souvenir des mots de Platon. « Celui qui commet l’injustice est plus malheureux que celui qui la subit ». Des policiers dont Joss et Lionel mais également Simmons y participent. Cette injustice n’enlèvera jamais rien à la valeur et aux actes d’un homme bien. Son filleul, Calvin Beecher, brave jusqu’à la fin alors que sa famille le pleure, qu’il repose en paix. Un policier demande aux autres de présenter leur arme et sont prêts à tirer et tirent un coup de feu. | 
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 | Le professeur Nelson remercie l’assistance. Il rejoint un de ses patients prénommé Brandon. Il demande ce qu’il fait ici. Il dit qu’il est venu saluer le professeur émérite, un titre bien mérité. Nelson le remercie et lui dit qu’il ne part par tout de suite. John remarque que c’est l’un de ses patients, Brandon Boyd, trader pour VAC Capital, une société de fond d’investissement qui gère les portefeuilles d’actions de clients fortunés. Nelson parle d’un possible placement rentable pour sa retraite. Brandon lui propose une partie de squash pour le jeudi suivant. Il faut lui accorder une revanche, il a besoin de ses lumières sur les marchés émergents dans le secteur de la santé. Ils se donnent rendez-vous au club. Mais un autre homme l’interpelle. C’est le docteur Rosmore qui lui offre un verre et dit qu’autant s’abîmer le foie, vaut mieux le faire avec classe. Nelson demande où il a trouvé cette potion aussi rare. Il a un patient qui dirige une importante distillerie. Il a aussi un tout nouveau cœur grâce à Nelson. Il sourit et se mettent à boire. Nelson est désolé que le comité ait rendu cet avis à propos de l’essai clinique de Philia. Rosmore le rassure, ça n’a rien à voir avec le comité ou avec lui, leur étude est tout simplement insuffisante. Docteur Garrett Rosmore, confrère estimé et chercheur lui-même. Il travaille actuellement pour Philia Pharmacies. Un gros laboratoire, un repère de chimistes. Rosmore a mis au point une nouvelle statine qui augmente le taux de HDN pour combattre le cholestérol. Le produit a franchi tous les tests cliniques jusqu’à la phase trois où il finit malheureusement par échouer. Le professeur Nelson a fait partie du comité indépendant qui a émis l’avis négatif. Et voilà un succès commercial potentiel qui part aux égouts. Ça représente sûrement quelques milliards de dollars de manque à gagner. Sans parler de ce qu'ont pu coûter les six ans de recherche de Rosmore, sacré coup dur. |
| Lionel rejoint Simmons et lui dit qu’il n’est pas clair, et qu’il est mêlé au meurtre de Cal. Il ne va pas s’en tirer comme ça. Simmons lui dit que ça paraît suspect que tout le monde se fasse tuer autour de lui. Fusco réplique en disant qu’il va payer pour ça, il va le faire tomber. Mais il a vraiment le défaut d’être très ingrat. Tous les gars de sa bande ont disparu ou sont en prison. Il est le seul à en être sorti. Il croit réellement que c’est parce qu’il est plus malin qu’eux ? De quoi Simmons parle ? De protection mais à partir de maintenant, il ne l’a plus. Il entend des choses, des rumeurs. Les affaires internes seraient sur le dos d’Azarello, son ancien copain, au sujet d’une douzaine de meurtres. Ça devrait être intéressant. Le passé a la manie de repasser un jour ou l’autre. Et quand il aura fini avec lui, il regrettera d'être sous terre avec Beecher. | 
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 | Julianna Di Matteo va voir le professeur Nelson pour le féliciter. Que ça fait plaisir de voir quelqu’un être récompensé pour son travail. Elle espère que ça lui arrivera un jour. Harold dit qu’il s’agit de l’associée du professeur. Elle est arrivée là comme assistante de recherche de Nelson. C’est sa petite protégée. Nelson demande sa fille. Elle a certainement vu Di Matteo en premier, c’est sans doute pour ça qu’elle est partie. Nelson n’y croit pas mais Julianna s’aperçoit que Nelson saigne du nez et essuie. Il tente de ralentir le saignement en mettant sa tête en arrière et John lui donne quelque chose. Nelson s’essuie le nez et John dit à Harold qu’il a sa fille dans les parages. En effet, elle s’appelle Molly Nelson, inscrite comme étudiante mais renvoyée pendant un semestre pour avoir agressé un agent de police pendant une manifestation sur le campus. Pendant ce temps, Nelson saigne toujours et fait tomber le verre. John vient à sa rescousse et propose son aide. Nelson a un peu la tête qui tourne, il faut juste qu’il s’assoit. John le met sur sa chaise et va lui chercher de l’eau. Il trouve ça gentil. John dit à Harold que le professeur n’a pas l’air en forme, il a les mains moites et il saigne du nez. Pourvu qu'il ne soit pas trop tard. |
| Lionel entre dans la pièce du commissariat. L’agent des affaires internes, Soriano, vient vers lui. Il faut qu’ils discutent. Lionel ne crois pas mais Soriano insiste. C’est au sujet de la disparition du lieutenant Stills. Il faut qu’il remette son insigne et son arme de service qu’il fait à contrecœur. Soriano l'emmène dans la salle d'interrogatoire sous les yeux de Joss. |  |
 | Soriano sort de la salle d’interrogatoire alors Joss en profite pour y aller et parle à Lionel, lui demandant ce qu’il se passe. Ça ne la regarde pas. Il est son coéquipier alors ça la regarde. Elle demande si c’est en rapport avec le meurtre de Cal mais ce n’est pas le cas. Elle insiste. Pourquoi les affaires internes lui mettent la pression tout à coup ? Il a essayé de le lui dire un jour, c’est dans la même pièce, il a voulu lui parler des erreurs qu’il a commises mais elle ne l’a pas écouté. Elle le fait désormais. Il suppose qu’il doit payer les pots cassés. Il arrive de sales trucs aux personnes de son entourage alors elle doit rester à l’écart. Mais Joss reçoit un appel venant d’Harold et elle dit qu’ils en reparleront plus tard. Elle demande ce qu’il veut et il lui souhaite ses condoléances qu’elle remercie. Seulement elle ne comprend pas pourquoi avec toutes les informations qu’il dispose, il n’est pas intervenu à temps. C’est une question qui le préoccupe et il aimerait bien avoir une réponse à lui fournir. Il sait que le moment est mal choisi mais… Joss l’interrompt pour lui dire que Cal vient de mourir, que Lionel est visé par les affaires internes. Il comprend qu’elle ait les nerfs à vif mais il y a un homme en grand danger. Il suffit d’entrer les noms de certaines personnes. Elle ne veut pas et maintenant, ce sera lui de lui venir en aide. Qu’est-ce qu’il peut faire pour elle ? Elle parle de leur manie à cloner les téléphones, maintenant, c'est son tour. |
| John surveille le docteur Nelson dans une pièce avec une jumelle. Ce dernier appelle sa fille. Il la remercie d’être venue et que c’est bien plus sympa que ce qu’elle a fait la semaine dernière avec le pot de peinture rouge. Il fallait bien prévenir les gens que la faculté de médecine utilise des animaux pour la recherche. On dirait que Nelson a quelques différends avec sa fille. Nelson lui rappelle que c’est elle qui lui donne les moyens de la nourrir, la loger et de l’habiller depuis plus de vingt-deux ans, sans parler de ses frais d’études. Elle est désolée de l’avoir déçu. Ce n’est pas ce qu’il a voulu dire. Du sang se met à couler sur son nez. Il faut qu’il la laisse et ils en reparleront plus tard. Il raccroche et s’essuie le nez avec une serviette. Il commence à avoir des douleurs. Il se met à cracher du sang. Il prend son pouls et se regarde à travers un plateau alors que ses yeux sont jaunis, il se met à perdre ses cheveux. John voit qu’il ne se sent pas bien du tout et il y va. Pendant ce temps, Nelson appelle les secours pour leur dire qu’il a ingéré quelque chose de toxique. Elle lui demande s’il est médecin, ce qui est le cas. Il croit que quelqu’un a voulu le tuer et s’en va. Nelson sort du bâtiment et bouscule deux personnes. Il semble chercher quelque chose mais manque de se faire écraser par un bus. John arrive pour lui proposer son aide mais Nelson le reconnaît et le frappe. Deux policiers sortent de leur véhicule et John préfère partir. Le policier demande qui a appelé les secours et c’est Nelson en disant qu’il a appelé pour un meurtre. Il lui demande mais qui est mort et Nelson dit lui-même, que quelqu’un l’a empoisonné. John dit à Harold que la situation tourne mal et s'il en croit les symptômes, il est déjà trop tard. | 
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 | Soriano parle à Lionel qu’il a reçu de nouvelles informations sur une affaire. Il lui demande s’il a travaillé avec Jimmy Stills au 51ème. Il acquiesce en disant que pas mal de flics aussi ont travaillé là-bas. Il a été proche avec lui ? Il ne dirait pas ça. Alors, qu’est-ce qu’il dirait ? Ils ont patrouillé ensemble un moment. Stills est entré aux stups et Lionel à la criminelle, c'est tout ce qu'il y a à dire. |
| En 2004, le barman utilise la cloche pour faire partir les clients qui se trouvent dans le bar dont Lionel. Celui-ci, soûl, veut encore un verre mais il refuse en disant qu’il faut qu’il rentre chez lui. Mais il lui dit qu’ils ne sont pas à cinq minutes près. Stills arrive vers Lionel et lui dit qu’il ne faut pas s’énerver, il va le raccompagner chez lui mais Lionel ne peut pas parce qu’il est à la rue. Ils viennent de rompre. C’est normal, il faut qu’il se mette à sa place. Être femme de flic, elle reviendra. Pas cette fois, son avocat lui a adressé des papiers. Sérieusement ? Stills est désolé pour lui. Elle veut en plus la garde de leur fils. Stills lui propose de venir dormir chez lui cette nuit. Les enfants seront ravis de sauter sur lui pour le réveiller. Vera fera en plus les pancakes bananes-chocolat. Avec un petit truc contre le mal de tête. C’est d’accord ? Lionel lui demande si ça ne le dérange pas. Il lui dit que les amis sont faits pour ça. Lionel se lève et James le retient pour ensuite quitter le bar. | 
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 | Harold est retourné à l’endroit où s’est trouvé le professeur Nelson. Il détecte déjà un faible taux d’émissions de rayons alpha. Ce n’est pas bon signe. Donc, des particules radioactives. C’est du polonium, un produit utilisé parfois pour des expériences scientifiques. Est-ce qu’il aurait pu être exposé dans son laboratoire ? Mais ce n’est qu’un poison mortel que s’il est ingéré et si la personne contaminée n’est pas soignée dans l’heure. Le labo est contaminé mais l’origine de la radioactivité ne semble pas être là. Il demande comment va le professeur Nelson. John ne va pas tarder à le savoir. Il entre dans la chambre de Nelson qui le reconnaît. Il veut appeler l’infirmière mais John l’en empêche en disant qu’il n’est pas serveur. Il est là pour l’aider. John est à la réception et lui a mis quelque chose dans son verre. Non, ce n’est pas lui mais quelqu’un d’autre l’a fait. Il est censé lui sauver la vie mais il est trop tard. Il a ingéré du polonium. Nelson est mourant. Ce dernier demande qui il est. Saignement de nez, jaunisse, chute de cheveux, c’est dû à un empoisonnement au radioactif. Il connaît les effets de la radioactivité mais lui comment il le sait. Il a été empoisonné il y a quelques heures, ce qui veut dire qu’il ne lui reste plus que vingt-quatre heures à vivre. Il est désolé. Il ne comprend pas et se demande qui veut bien le tuer. Nelson le sait mieux que John. Soit il reste dans le lit à attendre la mort, soit il se lève et ils cherchent après le meurtrier. |
| Qui a fait ça ? Nelson veut le savoir. Avant toute chose, il devrait mettre ses affaires en ordre. Il a raison, il faut qu’il voie sa fille. Molly se trouve à l’université en train de donner des tracts. Elle remercie les gens autour d’elle. Nelson veut lui parler mais un étudiant s’interpose. Elle lui dit qu’elle peut gérer toute seule. Ils se mettent à l’écart. Elle lui dit qu’il a fait tout ce chemin pour lui faire la morale. Il n’est pas dans son jet pour un séminaire. Il n’est pas venu pour lui faire la morale. Il veut savoir comment elle va. Réellement ? Oui, sa mère a dit qu’elle fait une sorte de documentaire, elle a peut-être besoin d’aide ou d’argent. Elle le trouve pâle. Il lui dit que ça va, qu’il veut juste lui dire qu’il est désolé de ne pas être davantage impliqué. Impliqué dans quoi ? De ses projets, de sa vie ? Ce n’était peut-être pas une bonne idée, il n’en sait rien, tout ce qu’il veut… Elle le coupe. Pourquoi il est ici, il faut le dire. Il sait qu’il n’a pas été toujours disponible. Le travail est passé avant le reste, c’est sûrement pour ça que sa mère l’a quitté. Il l’a trompée, c’est pour ça qu’elle l’a quitté. Encore une erreur. En tout cas, ce qu’il ne regrette c’est d’avoir eu une fille. Tout à l’heure, au milieu de tout ces gens qui l’ont félicité pour sa carrière, il s’est dit qu’en réalité, ce dont il est plus fier c’est elle. Il est fier d’elle. Voilà ce qu’il est venu lui dire. Elle l’appelle demain. Il est d’accord et en sera ravi. John le rejoint avec son sac et ils s'en vont. | 
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| Au début, Soriano n’y comprend rien. Il parle de Stills et Azarello, deux types des narcotiques qui ont supprimé des dealers et empoché leurs stocks mais pas le moindre faux pas. Il comprend qu’ils ont eu un homme bien placé pour faire disparaître les preuves. Ils ont eu besoin de quelqu’un à la criminelle. Son vieil ami Azarello du 51ème leur a parlé. Via l’ordinateur, Soriano demande à Azarello comment fonctionne leur équipe. Comme une horloge. Stills a trouvé les tuyaux, ensuite, ils font un repérage pour voir si ça valait le coup. Si c’est le cas, ils débarquent et ils sortent l’attirail. Ils empochent le fric et la camelote. Et quand ça tourne mal, c’est là que Lionel intervient. Soriano arrête l’enregistrement et Lionel lui dit qu’Azarello lui a dit n’importe quoi, mais la vérité se cache toujours dans les détails. Il remet en route l’enregistrement et il demande à Azarello de lui expliquer la première fois. Il n'est pas prêt de l'oublier. |
| Le 17 janvier 2004, l’équipe de Stills se trouve dans un appartement appartenant à un dealer. Lionel entre dans la pièce. Il demande pourquoi ils l’ont appelé. Il y a des renforts pour ça. Mais ils ne peuvent car ils ne veulent pas que ça dérape. Ils ont besoin d’un coup de pouce de la criminelle. Un corps se trouve dans la pièce. Lionel le découvre. Azarello dit que dès qu’il a empoché, cet abruti a voulu se faire la malle. Il ne lui a pas laissé le choix, il a fallu qu’il riposte. Il a peur que ça lui retombe dessus, il est foutu. Stills dit qu’ils vont arranger ça. Il a trouvé une arme dans la table de nuit. Il faut élaborer un scénario avant que les affaires internes se pointent. Fusco comprend qu’il doit couvrir le carnage. Sinon Azarello est cuit. Stills dit à Lionel qu’il a cru qu’ils sont potes. C’est sûr mais ce qu’il demande là, c’est beaucoup. Stills réplique en disant que lorsque Lionel est dans la mouise, qui l’a aidé ? Il faut qu’il regarde l’homme, il parie qu’il vend de la drogue à des enfants de primaires. Lionel ne sait pas trop et Stills lui dit pour un ami. Lionel, après une hésitation, prend une serviette et attrape l’arme avec. Il dit à Azarello de se mettre à un endroit et il doit mettre deux balles à hauteur de poitrine pour invoquer la légitime défense. Il faut effacer les empreintes. Stills dit que ça marche et Lionel s’en va. Il le remercie et Azarello tire deux fois dans le mur. | 
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| En 2013, Azarello voit arriver Joss dans le parloir. Il est en prison depuis plus d’un an maintenant et pourquoi il se met à parler de Lionel aux affaires internes. Ils ont un code d’honneur et que peut-être Lionel l’a oublié. La vraie question c’est pourquoi elle s’intéresse seulement maintenant au passé de son coéquipier. C’est assez étonnant. Si ça se trouve, il a des photos compromettantes d’elle ou autre chose. Elle montre quatre photos de Stills, Szymanski, Davidson et Beecher. Deux policiers morts et deux manquant à l’appel. Ça veut dire quoi ? Que la DRH renaît de ses cendres ? Les secrets sont durs à enterrer. Parfois des cadavres refont surface. Il sait quoi ? Il coopère, elle en discute au juge et peut-être qu’il écourtera la peine pour bonne conduite. Elle a un joli sourire. Mais il est trop tard pour lui proposer de conclure un marché. Il appelle un garde. Il faut l'excuser mais il a rendez-vous avec lui-même. |
| Harold demande des nouvelles de Joss sur son voyage à Rikers. Pas très bien, elle a trouvé quelque chose sur l’un des individus. Le gestionnaire d’actifs Brandon Boyd, trader pour une société de fonds d’investissement. Il s’agit de VAC Capital. Ils font l’objet d’une enquête de la SEC, la commission de contrôle, délit d’initiés. Une grosse vente d’actions d’un groupe pharmaceutique a éveillé les soupçons. Qu’Harold devine : Philia Pharmacies ? D’après son contact à la SEC, ils ont eu un tuyau sur l’échec d’un essai clinique. Ça l'aide ? Oui, ça confirme ce qu'il craint. | 
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 | VAC Capital, ça dit quelque chose au professeur Nelson ? Oui, ils gèrent ses finances. Ils font l’objet d’une enquête pour délits d’initiés. Sur quoi ? Est-ce qu’il a parlé à Brandon Boyd qu’un essai clinique de médicaments va échouer ? Il n’en sait rien, peut-être au club. Alors il s’est servi de cette information pour vendre toutes ses actions Philia. Il a empoché cinq cents millions. Un demi-milliard de dollars ? Une simple indiscrétion dont il est l’auteur. Il dit qu’il y a une enquête. Ils ne savent pas d’où vient la fuite. Il suppose que VAC Capital tient à conserver le secret. En se débarrassant de lui ? Il est leur point faible alors ils le tuent. Il est médecin, c’est normal qu’on lui demande des conseils à longueur de temps sur tel ou tel produit, tel ou tel régime. C’est juste une excuse, il n’aurait pas dû faire ça. Il est un homme mort. Tout ça parce qu’il n’a pas su se taire. Il a fait une erreur, ce n’est pas pour ça qu’il mérite de mourir. Il a raison, il va aller voir Boyd. |
| Harold continue de scanner la pièce à la recherche de l’origine de l’empoisonnement. Il découvre que l’intensité augmente lorsqu’il s’approche d’une carafe d’eau. Il a trouvé l’origine de l’empoisonnement. Ça vient de la carafe d’eau qui est sur l’estrade lors de la cérémonie. Il n’y a que deux personnes qui ont fait le service. Lui et une jeune femme. Il croit savoir qui l’a embauchée. Il est temps de traquer le trader. Pendant ce temps, Harold prend un échantillon de l'eau contaminée pour analyse. |  |
 | Brandon Boyd parle à un de ses collègues pour qu’il l’appelle de ses parts en attente. Mais également de donner le numéro de sa copine brésilienne et le salut. John sort de la voiture et lui présente la voiture de Boyd. Il parle d’un conseil en or comme pourboire, s’il peut être riche, qu’il change de métier. John le plaque contre la portière de la voiture et le fait monter dedans. Nelson le rattrape et John dit qu’il en a un aussi : ne pas monter en voiture avec n’importe qui. John s'en va avec. |
| Nelson réveille Boyd qui ne comprend pas ce qu’il fait là. Nelson lui dit qu’il n’a pas beaucoup de temps et lui non plus s’il répond mal à ses questions. Il l’a rencontré au club, il l’a pris comme client et il a fait semblant d’être son ami. Quand il a parlé de l’essai clinique, il a aussitôt vendu toutes ses actions. Il exerce le métier de trader, il achète et il vend. Seulement, il a provoqué une enquête. Du coup, avant qu’on interroge Nelson, il l’a empoisonné. Qu’est-ce qu’il raconte ? Il comprend qu’on le tient pour responsable. Il se défend en disant qu’il ne sait pas de quoi ils parlent. Nelson tire sur le siège entre les cuisses de Nelson. Ils ne se rendent pas compte, il subit la pression de son patron vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Il faut un plombier sinon il est viré. Un plombier, qu’est-ce que c’est ? C’est une personne susceptible de fournir des tuyaux fiables et avant les autres. Ils sont tous aguets sur ce médicament. Il fallait en savoir plus sur les essais. Soit il trouve un tuyau et il fait de gros bénéfices, soit Dark Vador va faire du mal. C’est pour ça qu’il l’a recruté. Il fallait qu’il trouve un tuyau et Nelson cherche quelqu’un qui sache faire un placement d’argent. Mais il jure qu’il n’a rien à voir avec ça. Pourtant, il a été à la cérémonie. C’est exact, le patron ne veut pas changer son emploi du temps. Le patron, c’est Vincent Cochran ? Il en a déjà trop dit. Nelson tire encore et Brandon s’énerve. C’est bien lui, Vincent Cochran. Il lui a parlé de lui ? Il a bien fallu. Il y a eu cette enquête et il a demandé s’il est vulnérable et Cochran a dit qu’il s’en chargerait. Est-ce qu’on peut le trouver ? Ils n’ont pas l’air de comprendre, c’est quelqu’un qui ne vaut mieux pas croiser. Est-ce qu’il lui a dit que ses yeux commencent à jouer des tours ? Sous la pression, il donne l’adresse. Il est au Windcrest, au nord de la ville. | 
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 | Lionel veut appeler Joss pour lui dire d’aller chercher son fils. Tant qu’il n’a pas répondu à quelques questions. Qu’il le sache, Soriano a déjà été à la criminelle. Mais ce qu’il y comme différence entre eux deux, c’est qu’il n’a jamais tué personne. Fusco n’a pas seulement couvert ces types, il a été l’un d’eux. Une fois qu'on y goûte, on ne peut plus s'en passer. |
| 25 mars 2005. Lionel est dans un appartement où il y a eu une tuerie. Stills et Azarello sont présents. Il est outré et Azarello demande que ce ne soit pas la vue du sang qui le rend malade. Stills dit à Lionel de prendre un sac car ils ont eu une belle prise. Il refuse disant que c’est à eux, qu’il ne veut pas y toucher mais c’est un peu tard. Un homme surgit dans la pièce et Lionel donne deux tirs dans le corps. Stills sait qu’il est solide. Il lui donne une liasse de billets qu’il met dans sa veste et lui souhaite la bienvenue dans l’équipe. Il tape dans son dos et il dit de partir d’ici. |  |
 | 2013
Azarello a fini par le balancer. Il croit que Stills est parti vers le Belize mais il se trompe. Lionel s’est débarrassé de lui parce qu’il le faut. Ce sont des mensonges de flics véreux, aucun tribunal ne les recevra. Ce qu’ils auront volontiers, c’est une preuve que Soriano pose sur la table. Quand des flics véreux veulent faire disparaître des traces d’ADN compromettantes, ils se servent d’eau de Javel. L’inconvénient, c’est que ça fait des taches. Comme celles sur les tapis dans le coffre de la voiture que d’après le registre, il a emprunté le jour de la disparition de Stills. Il ne sait pas de quoi il parle. La facture de téléphone détaillée. Il a passé un appel depuis Oyster Bay à son domicile la nuit même où Stills a disparu. Est-ce qu’il a une raison d’être à Oyster Bay un jeudi à deux heures du matin ? Il aimerait passer sa retraite. Il veut voir des terrains. Il a pris des échantillons de sol. Il n’est jamais trop prudent. Les satellites changent la vie. Il choisit l’heure et l’endroit et hop, on a la photo. On peut voir jusqu’au moindre petit détail insignifiant. Ou alors, des traces de terre remuée. Quel serait l’endroit sur quatre photos ? Il a deux douzaines d’hommes prêts à se mettre en routé, équipés de pelles et de pioches, d’un engin excavateur et deux chiens de recherche. Le lendemain, dès la première heure, ils organisent une grande chasse au trésor. Il demande gentiment de lui dire où il a enterré Stills et qu’il sait qu’il l’a tué. Il est pourri jusqu'à la moelle et il va étaler ses crimes au grand jour.
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| Lionel descend des escaliers sous bonne escorte policière avec Soriano. Il se rend dans les toilettes et s’essuie les mains et le visage. Joss arrive auprès de lui pour discuter. Les questions auxquelles Lionel n’a pas répondu, il dit qu’il n’a pas tué Stills mais qu’il va tomber pour ça. Il le mérite et hésite à continuer. Parce qu’il a fait d’autres mauvaises choses. Elle sait qu’au 51ème… Elle le coupe et demande ce que c’est les mauvaises choses. Il a pensé au début qu’il a aidé à nettoyer les rues, que l’argent des dealers ne manquera à personne. Il a pensé la même chose des dealers. C’est vrai qu’ils ont été amis. Il a veillé sur lui comme un frère et il a été toujours là. Puis un jour, on se retrouve dans une mauvaise situation où il ne devrait pas être. Il a tué des gens. Il a été un sale type mais tout ça c’est fini depuis qu’il a rencontré Joss, John et Harold. Il n’est plus un flic véreux. Elle lui a toujours dit que si son passé ressurgit, elle ne le couvrirait pas et il demande de ne pas le faire. Il veut juste qu’elle le comprenne. Elle lui demande d’arrêter, elle ne veut pas en savoir davantage. Elle ne sait pas qui il est et si elle doit avoir confiance en lui. Elle s'en va et il se regarde dans le miroir. | 
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 | Les fenêtres bleues continuent de s’afficher furtivement et on passe de New York à la région de Poughkeepsie. John transporte toujours le professeur Nelson avec Boyd. John demande à Nelson de rester avec lui. Il veut regarder le salaud qui l’a tué et le regarder dans les yeux. Ça ne lui fait rien, il est temps d’affronter les conséquences. Ils font tous des erreurs. Mais… Le professeur se trouve désormais inconscient. Boyd croit qu’il est mort alors John s’arrête précipitamment. Il sort et prend le professeur Nelson avec l’aide de Boyd qui le croit mort. John lui dit de la fermer sinon il y passe aussi. Il ouvre la chemise et prend une seringue pour la mettre dans le torse de Nelson qui arrive à se réveiller en toussant. Il ne faut pas mourir maintenant, ils ont une mission à finir. Il est d’accord et John lui dit de tenir bon. Il le remet dans la voiture alors que Boyd reste debout. Il dit que c’est de la folie et John le repousse. Il ne veut pas rester debout ici comme un con. John dit qu'il a raison et lui met un coup de poing dans le visage et il tombe au sol. |
| Vincent Cochran se trouve chez lui dans son fauteuil en train de boire alors que Nelson le rejoint et s’assoit à côté de lui. Il lui demande s’il le reconnaît et Cochran dit qu’il devrait. Nelson lui dit qu'il est l'homme qui l'a tué. |  |
 | De retour au bureau de Joss, elle semble hésiter à appeler quelqu’un. Elle le fait et joint John. Elle lui demande s’il a prévu de faire quelque chose pour Lionel. Pour l’instant rien car il travaille. Après tout ce qu’ils ont traversé, elle croit qu’ils sont amis. Ce n’est pas son coéquipier ? Avec tout ce qu’a dit Lionel à Joss et ce qu’il a fait. Elle pense que sa place est en prison. John lui dit qu’il n’est pas non plus un exemple de moralité et qu’elle va devoir se débrouiller seule sur ce coup. Elle est un lieutenant de police honnête. Mais il s’agit de Fusco, ce n’est pas aussi simple que ça. Il a toujours cru que c’est clair dans son esprit. Qu’un seul flic fasse un seul faux pas et ce sera toute sa vie un ripou. Maintenant, il doit retourner au travail. Joss raccroche et se met à réfléchir sur la méthode à adopter. |
| Nelson demande à Cochran s’il connait l’effet du polonium sur le corps humain. Il a le sentiment qu’il va lui apprendre. Dès que le produit pénètre dans le système sanguin, il se met à détruire les barrières immunitaires. Il s’infiltre dans la moelle osseuse et de ce fait, son corps ne peut plus se défendre contre ses propres bactéries, qui commencent à le ronger de l’intérieur. Ça attaque l’ADN, ça bloque un à un ses organes vitaux. C’est assez rapide mais c’est extrêmement douloureux. Cochran est épaté qu’il soit encore là. Ces dernières vingt-quatre heures ont été un enfer, oui, c’est une façon diabolique de faire mourir quelqu’un. Mais il n’est qu’un simple médecin, un minus comparé à lui le milliardaire, patron d’une multinationale. Il se sous-estime. Oh non, c’est clair maintenant. Lui et sa société ne s’intéressent pas à la recherche médicale. Ils cherchent simplement à gagner de l’argent. Même s’il faut tricher. Il est dans la finance, il gère des actifs. Mais s’il fait une erreur, comme miser sur le mauvais cheval, il reprend ses billes. De toute façon, il gagne toujours. Nelson a fait de bonnes choses dans sa vie et de moins bonnes. Il a réussi à détruire sa famille, sa réputation. Mais il ne mérite pas de mourir. Cochran boit son verre de vin. Et la commission de contrôle va épingler sa société. Non, il a tord, l’enquête de la commission mourra en même temps que lui. Alors, en même temps qu’eux plutôt. Nelson remarque que Cochran saigne du nez. Il s’essuie le nez. Il ne comprend pas ce qu’il se passe, il regarde à côté de lui et voit John avec une bouteille de vin à la main. Certainement lui qui a mis du polonium dans la bouteille. Il lui souhaite d'en tirer profit. | 
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 | Dans un champ, à Oyster Bay, Soriano et Fusco arrivent à l’endroit où se trouve enterré Stills. Des voitures de police s’y trouvent déjà. Un bel endroit pour se débarrasser d’un macchabée. Heureusement, la neige n’empêchera pas les chiens de le retrouver. Il sort de la voiture et fait descendre Lionel. Ce dernier regarde autour de lui et jette un œil vers le badge et l’arme de Soriano. Au bout du compte, en tant que flic, ils sont la somme de deux choses. D’une part les gens qui vous détestent et d’autre part, ceux qui n’ont rien à foutre d’eux. Sincèrement, il ne croit pas qu’il y ait beaucoup qui s’intéresse à lui. Un policier au lieutenant de venir voir un endroit. Ils y vont à l'endroit où la police les a appelés. |
| Près d’une maison, Nelson est en train d’appeler sa fille pour lui dire qu’elle ne s’en fasse pas, elle connaîtra d’autres garçons. John le rejoint. Nelson dit qu’il l’aime et lui dit aussi au revoir et raccroche. John lui donne un verre et lui dit que c’est ce qu’il préfère, du soixante-deux. Il choque le verre contre celui de John. Il le boit et met sa tête en arrière. Il le remercie pour la seconde chance et tout ça. Il émet son dernier soupir avant de lâcher son verre. John pose le sien sur le sol et remet le corps de Nelson sur la chaise après qu’il se soit avachi. John annonce la mort du professeur à Harold, qui dit que c’est un homme bien. Ils sont arrivés trop tard pour le sauver. C’est un cas de figure qui se répète ses derniers temps. D’abord Szymanski puis Beecher, et maintenant le professeur Nelson. Est-ce qu’il y a un problème avec la Machine ? Harold n’en sais rien. Pour qui est-il trop tard maintenant ? Il s'en va. | 
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 | Lionel est accompagné de Simmons, s’approchant tous les deux près de l’endroit où se trouve Stills. Ce n’est plus qu’une question de minutes maintenant. Si ça le dit de s’allonger dans le trou, il va chercher une pelle. Un policier demande le lieutenant Soriano. C’est l’heure de vérité. Les chiens se sont arrêtés là et la terre a été retournée. Il y a bien eu un corps mais il a été retiré. Simmons a l’air surpris alors que Lionel semble ne pas comprendre. Soriano lui demande s’il ne se moque pas d’eux. Soriano sait que c’est Lionel qui a tué Stills. Qu’est-ce qu’il a fait de son corps ? Il l’emmerde. Soriano n’a pas dit encore son dernier mot. Il sait que c’est un flic corrompu. C’est faux, il se trompe. Il veut son insigne et son arme. Il s'en va sous les yeux de Simmons. |
| Dans la bibliothèque, John rejoint Harold qui est à son poste de travail. Il demande des nouvelles de Lionel. Tiré d’affaire pour l’instant. Son partenaire de jeu en prison, soit Elias, a dit que Azarello a une saute d’humeur et s’est rétracté. Échec et mat. Bonne nouvelle. La tempête à l’horizon dont a parlé Harold, ce dernier a bien peur qu’elle soit arrivée. Le statut du virus change et se met au rouge soit à un seuil critique. John demande où est Balou. C'est un autre sujet dont il faut discuter. | 
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 | Lionel a récupéré son insigne et son arme. Il retourne à son bureau pour continuer à travailler. Joss se lève de son bureau et le rejoint, elle a un dossier dans les mains. Elle a besoin d’un regard neuf sur une piste éventuelle. Il n’a qu’à jeter un œil et elle revient un peu plus tard, elle a eu une longue nuit. Pas de problème. Elle s’en va et prend le chien en même temps. Il a ses pattes recouvertes de terre car il y a des traces au sol. Le dossier concerné est celui de Cal Beecher. |
| L’image se brouille de plus en plus signe que la Machine est de plus en plus mal. Son signal est corrompu. Elle trouve une menace à son système et s’éteint. |  |
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"Notre ami commun, roman de Dickens, publié entre 1864 et 1865, le roman est axé autour d'une histoire de FAUSSE IDENTITÉ, tu parles d'une coïncidence" Harold Finch, Crise d'Identité
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