Many Happy Returns est une expression anglo-saxonne qui s'utilise lors de célébrations, plus particulièrement lors des anniversaires. Celle-ci n'est pas réellement traduisible en français, returns pouvant prendre plusieurs sens : alors que many et happy veulent dire "nombreux" et "joyeux", returns peut vouloir dire "retours" dans le sens de "se revoir" ou même "retombées". Titre français : Coups de trop Flashbacks : John Reese et Jessica Arndt Pitch : Lorsque Finch apprend que la nouvelle personne d'intérêt est Sarah Jennings, une femme tentant d'échapper à son mari violent, il le cache à Reese. Ce nouveau cas pourrait en effet lui faire penser à une période de son passé...
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N° épisode : 021 Scénaristes : Erik Mountain et Jonathan Nolan Réalisateur : Fred Toye Acteur(s) récurrent(s) : Susan Misner (Jessica Arndt), Brennan Brown (Nicholas Donnelly), Jonno Roberts (Peter Ardnt) Acteur(s) invité(s) : Dagmara Dominczyk (Sarah Jennings/Karen Garner), Jeremy Davison (Brad Jennings), Judith Ivey (Sharon), Fred Applegate (Medical Examiner), Kelly Coffield Park (Détective Marianne Nichols), Randall Duk Kim (Mr. Han)
Diffusion : 3 mai 2012 sur CBS (13,27 millions de téléspectateurs) 30 octobre 2012 sur La Une (301 000 téléspectateurs) 6 mars 2013 sur V (? téléspectateurs) 17 avril 2013 (4,95 millions de téléspectateurs)
Résumé complet : carine79
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Personne d'intérêt : Sarah Jennings (victime)
Lorsque John lit un livre en disant bonjour d'un signe de la main à Harold, qui arrive ; celui-ci trouve qu'il est bien matinal. C'est parce qu'il essaie de bien se faire voir par son patron. Mais il peut simplement l'appeler, car il n'y a pas de nouveau numéro à traiter. John s'étonne ne pas en avoir mais il a l'air déçu. Pas déçu mais surpris. Pourtant, une ville comme New York, pas un crime en vue c'est plutôt étrange. De toute façon, s'il y en a un, c'est discret. Cela n'a pas d'importance pare qu'il peut prendre du bon temps, surtout en ce jour particulier. Peut-être que John pense peut-être que son employeur l'ignore.
Et Finch donne une boîte enveloppée d'un ruban en lui souhaitant bon anniversaire. John le remercie ; Harold lui dit de partir vers ses loisirs quels qu'ils soient. Il respecte sa vie privée car John veut savoir s'il connaît ses activités en dehors du travail et s'en va en suivant son conseil. En réalité, Harold lui a menti. En s'intallant à son poste de travail, il reprend ce qu'il fait, c'est-à-dire l'arrivée d'un nouveau numéro avec une photo : Karen Garner.
Dans un parc, John joue avec une connaissance, qui s'appelle Han et se trouve être non-voyant. Il bouge leurs pions respectifs et Han lui pose la question de savoir pourquoi il ne travaille pas. En fait, c'est son patron qui lui donne un jour de congé car c'est son anniversaire ; Han lui souhaite dans sa langue natale et veut savoir si John reçoit des cadeaux. John sort la boîte avec une clé à l'intérieur et la remet dans la main gauche de Han. Qu'est-ce qu'elle peut bien ouvrir ? Excellente question.
Au commissariat, Carter voit le retour de l'agent du FBI Donnelly. Elle demande où il en est dans sa traque de l'"homme au costume". Justement, il est là pour ça. Il promet de la tenir informée du déroulement de l'enquête. Ils en parlent dans un bureau à l'abri des regards. Il lui explique que le FBI a vent d'un démantèlement de réseau de contrebande, plusieurs mois auparavant ; ils soupçonnent le leader d'avoir un lien avec la CIA. Ce dernier s'est "enfui" avant qu'ils l'inculpent. Joss se souvient de cette affaire. Il se persuade que John travaille pour lui.
En effet, des techniciens trouvent, sur la scène de crime, des empreintes ainsi que du sang, dans le coffre d'une voiture brûlée en plus du corps d'un des membres du groupe. Les analyses ADN correspondent à une vieille affaire, celle de New Rochelle en 2011. Les détails ? Un homicide présumé dont la victime se trouve être un promoteur immobilier, un certain Peter Arndt. Il a des dettes à en plus finir. Ses créanciers veulent récupérer leur argent ; l'un deux, voulant se venger, engage John pour faire le travail, selon Donnelly. Il aurait fait des erreurs ; en s'y rendant, ils trouveront peut-être un témoin ou quelque chose s'y rapprochant. Mais de quoi ? De sa véritable identité. Joss le remercie pour ses renseignements et se voit proposer de se rendre à New Rochelle avec lui. Cela est souhaitable car c'est elle qui débute l'enquête, elle sera présente lors de l'arrestation. Mais évidemment, elle coopère avec lui et reçoit un appel d'Harold. Il veut l'informer de certaines choses, cela tombe bien car c'est réciproque.
Dans un bar, Harold patiente en prenant un verre. Et Jocelyn arrive mais elle s'étonne de le voir fréquenter ce genre d'endroit. C'est une raison pour se trouver là. Quelqu'un de prévisible peut vite devenir vulnérable. Et il demande à une serveuse de prendre commande pour Joss, qui prend une limonade. Apparemment, elle a des choses à lui apprendre. En effet, c'est à propos d'une affaire à New Rochelle. Vu la tête d'Harold, il est au courant. Carter explique que le FBI fait le lien entre un homicide et John. Sans doute l'agent Donnelly. Celui-ci souhaite qu'elle s'y rende. Mais pour Harold, ce n'est pas plus mal, si elle trouve des preuves contre leur ami commun, Carter peut s'arranger pour qu'il ne s'en serve pas. En clair, elle doit saboter une enquête du FBI mais ce qu'elle fait de celles-ci, ça la regarde. Lui aussi a quelque chose à dire mais ce n'est pas grave, il peut le dire à son retour. Elle le remercie pour le verre et s'en va. La serveuse demande à Harold s'il souhaite autre chose, il répond par la négative et veut juste l'addition. Pendant ce temps, il vérifie l'identité du nouveau numéro : la serveuse est bien Karen Garner.
À la bibliothèque, Harold discute avec Lionel, savoir si Garner quitte son appartement mais pas elle ne l'a pas fait. Il pose la question pourquoi Finch s'intéresse à elle. Il lui rétorque que cela ne le concerne pas, il faut juste la surveiller et reçoit les informations sur elle sur la base de données de la police. Selon celles-ci, Karen Garner est recherchée pour usurpation d'identité et vol de chéquiers. Le mandat d'arrêt est émis depuis Detroit. C'est sans doute une délinquante, mais peut-être pas. Il se peut qu'elle soit en danger. Pour Harold, Karen Garner est une identité récente, donc pas son véritable nom. Elle n'a pas d'historique à la banque et ne sort de son appartement que pour le travail, de surcroît, elle reste constamment sur ses gardes. Elle se cache car peut-être en cavale ; soit c'est une redoutable criminelle, préparant un grand coup, soit elle est terrifiée pour se cacher d'un potentiel agresseur. Lionel demande pourquoi ce n'est pas son associé qui s'en occupe. John est ailleurs et fait autre chose, il ne faut absolument pas évoquer cette histoire devant lui. Cela doit rester entre Lionel et Harold, c'est aussi simple que cela.
Justement, John reste dans son petit appartement, préparant un café sur son réchaud. Il regarde si d'autres appels venant d'Harold se trouve sur son téléphone. Ce n'est pas le cas et scrute à travers les stores, dubitatif.
Joss Carter arrive à New Rochelle, dans la maison de Peter et Jessica Arndt. Elle est accueillie par l'agent Donnelly. Il lui explique qu'Arndt prend de gros risques avec les investisseurs et leur argent. Il l'utilise au jeu et achète de mauvais terrains. Il fait des crédits aux banques pour les rembourser. Mais lorsqu'elles décident de les arrêter, il se tourne vers des personnes moins souples (des requins). Son bookmaker fournit à Donnelly quelques noms qu'il les présentent à Peter. Ils s'y intéressent de plus près. Joss voit sur le dossier qu'il est marié, mais son épouse est décédée. La raison ? Un accident de voiture en est la cause, deux mois avant qu'il meure à son tour. L'accident provoque un grand choc, elle est morte sur le coup, lui est grièvement blessé. De toute façon, à ce moment-là, il est déjà en faillite. Il est parti peu de temps après sa sortie de l'hôpital. En regardant la scène du crime, Joss demande si le corps du mari est retrouvé. Donnelly répond par la négative, mais vu le sang perdu, peu de chances qu'il survive. Elle pense que ce n'est pas la méthode de l'homme au costume. Ce qui pousse le FBI à penser que c'est la première fois, donc brouillon et violent. Peut-être serait-ce facile mais il fallait se battre. Il reçoit un message car ils localisent un des requins. Carter demande s'ils discutent avec la police locale ; en fait non, cette dernière leur envoie juste le dossier. Elle souhaite lui parler avec l'assentiment de Donnelly, juste le tenir informé de possibles faits nouveaux et peut compter sur elle. Il s'en va lorsqu'elle voit le dossier et réfléchit.
Une caméra montre Karen Garner descendre un escalator. Elle sort du métro, marche avec Lionel qui la suit. Harold lui demande des nouvelles, il fait savoir qu'elle part travailler et a raison, elle se sent vraiment menacée. Karen rentre dans un magasin. Le lieutenant pose la question, à savoir combien de temps il faut encore la suivre. Jusqu'au moment où Finch, qui appose la photo de Garner sur la glace, puisse identifier la personne dont elle a si peur. Lionel, qui voit un employé afin de savoir s'il ne croise pas une femme rentrer. Il répond qu'il la voit partir aux toilettes. Harold, qui écoute, cherche à savoir ce qui se passe. Malheureusement, il regarde la porte à l'extérieur du magasin se fermer et court vers la rue. Comprenant, grâce à l'essoufflement de Lionel qui la perd, il part seul s'en occuper, lui disant au passage, de retourner à son travail.
Harold retourne au bar où Garner travaille. Il demande au barman, prétextant reconnaître sa voisine, Karen Garner et passant par là, par hasard, s'il peut la voir. Mais pas de chance, elle appelle pour dire qu'elle est malade. Et il prend congé en disant qu'il reviendra la voir un autre soir. C'est à ce moment-là qu'un homme, entendant la discussion, s'en va et interpelle Harold. L'inconnu lui fait savoir qu'il entend, par hasard, la conversation ; enfin, pour Harold, Karen Garner est plus une connaissance, pas une amie. Celui-ci dit s'appeler Brad Jennings, de l'U. S. Marshall Service et lui montre sa plaque. Harold lui demande si Garner a des ennuis avec la justice, il lui rétorque qu'elle est connue sous le nom de Sarah Atkins, c'est en plus une fugitive qu'il essaie de retrouver. En posant la question de savoir le lien avec lui, Harold est très mal à l'aise, car Jennings l'entend dire qu'ils sont voisins et veut son adresse. Il refuse donc ce dernier est prêt à l'arrêter afin de discuter dans son bureau. Arrivant de nulle part, John souhaite le bonjour à Harold, se présente sous le nom du lieutenant Stills, indique à Jennings que ce dernier s'adresse à son informateur ; le Marshall est étonné que Finch soit un indic. John prétexte qu'il blanchit l'argent de Don Moretti. Jennigs veut vraiment qu'Harold réponde à ses questions mais "Stills" rétorque qu'il menace sa couverture et s'en va avec lui. Il veut savoir ce que l'agent souhaite ; Finch lui dit qu'il veut simplement poser des questions. Cela tombe bien, John en a aussi et s'en vont en voiture.
Arrivé à la bibliothèque, Harold est en colère car il comprend que John le suit. Celui-ci rétorque que la vraie question est "Travaillez-vous sur une affaire sans moi ?" Par crainte que cette affaire soit délicate, il préfère mettre son employé à l'écart. Sauf que ce dernier se demande pourquoi, donc Harold lui présente la personne d'intérêt ; elle n'est sûrement pas une menace, mais qu'elle essaie de fuir quelqu'un, sans doute une personne proche. Donc, il lui explique que lorsque la Machine lui envoie les mêmes numéros à intervalles réguliers, souvent des femmes, il croit que c'est une erreur car la vie d'une personne ne peut pas être menacée plusieurs fois. Mais il réalise qu'elles vivent à côté de personnes qui finissent par les tuer. Donc, il essaie de découvrir sa véritable identité afin de détecter la menace. John veut qu'il lui envoie son adresse, pour la délicatesse, ils verront cela plus tard.
Karen Garner ouvre une fenêtre afin de rentrer chez elle mais se trouve nez à nez avec John. Il lui souhaite bonjour en disant Karen ou plutôt Sarah, si elle préfère. Mais cette dernière sort une arme et veut savoir qui il est. C'est juste une personne qui lui veut l'aider. Elle lui demande s'il est flic mais il rétorque qu'elle fuit plutôt quelqu'un mais qui ? Un petit ami, un ex, un mari. Il suggère que c'est un mari. Elle lui demande de se présenter, ce qu'il fait, en plus de dire qu'il aide des gens dans des situations difficiles. Elle souhaite tout de même savoir ce qu'il en sait. Juste assez pour lui dire que sa situation est tellement mauvaise, que Sarah a tout quitté pour s'échapper. Tant qu'il n'y aura personne pour arrêter son poursuivant, elle n'arrêtera pas de fuir. Elle baisse son arme et lui dit que c'est Sarah son vrai prénom. John lui dit qu'elle peut désormais stopper sa fuite mais il ne sait pas de quoi est capable le mari de cette dernière. C'est à ce moment-là qu'Harold lui explique qu'il remonte la piste de son premier pseudo, "Sarah Atkins" grâce à une adresse lorsqu'elle vit à Chicago. Le gérant de l'immeuble où elle habite lui informe qu'elle paye son loyer sous un autre nom, Il l'obtient grâce à une copie d'un chèque : "Sarah Jennings". Ils comprennent que son mari est le Marshall qui a presque arrêté Harold. Elle demande comment il le sait mais c'est sans importance, la priorité c'est qu'ils peuvent l'aider. Qui ça "ils" ? John fait savoir qu'il a un associé qui veille sur elle pendant qu'il règle certaines affaires. Il faut que Sarah reste chez elle pour que John s'assure qu'elle ne vive plus dans la peur.
À New Rochelle, Carter se trouve au bureau de la police locale pour avoir des informations sur la mort de Peter Arndt. Elle pose des questions sur ce qui se passe. Si le tueur est un professionnel ou concernant l'accident qui coûte la vie à son épouse, Jessica Arndt. L'officier de la police locale lui explique qu'il n'y a peu d'affaires impliquant des tueurs professionnels mais qu'il doit de l'argent à des personnes dangereux. Concernant l'accident, il a une chance d'en réchapper, contrairement à sa femme, mais c'est à peine croyable que deux mois plus tard, il se retrouve assassiné. Lorsque la policière s'en va, elle est suspicieuse et essaie d'en savoir plus sur l'accident.
Joss se retrouve à la morgue et le légiste que Jessica Arndt est morte sur le coup avec une blessure à la tête, vu la violence du choc, de surcroît elle n'a pas sa ceinture de sécurité. Elle demande s'ils ont toujours les radios, donc il lui montre. Elle lui explique que dans le rapport médico-légal, Jessica a deux fractures plus anciennes, un poignet et une côte. Donc, elle souhaite vérifier sur les images, avec la permission de celui-ci. Elle s'aperçoit sur la radio du poignet qu'il s'agit d'une blessure en spirale, c'est plus dû à une torsion, pas un choc ; (avec l'image de Peter qui est en train de lui tordre). De surcroît, apparemment, elle est morte d'une fracture des vertèbres cervicales et traumatisme crânien, mais peut-elle avoir de telles blessures lorsque les airbags frontaux et latéraux sont enclenchés. C'est une possibilité vu la violence du choc. Mais Carter doute encore, elle veut savoir si elles ne soient pas intervenues avant l'accident. Ses doutes sont justifiées car lorsque Jessica s'enfuit, son mari la rattrape, voulant lui tirer le bras, elle tombe sur le bord de la table de la cuisine. Paniqué, il essaie d'appeler les secours mais se ravise. Le médecin ne sait pas sur quoi elle travaille à New York mais à New Rochelle, il a à faire à des accidents, donc pour lui c'en est bel et bien un. En lui expliquant qu'une chose est possible mais pas forcément probable, il est interrompu par la sonnerie du portable de Carter. C'est Donnelly qui l'informe qu'il se rend chez la belle-mère d'Arndt pour savoir si elle est au courant des problèmes d'argent de Peter. Elle souhaite son adresse pour qu'elle le rejoigne.
Harold, se trouvant dans sa voiture, surveille l'appartement et les déplacements de Sarah grâce au GPS de son téléphone. Il fait part à John de ses découvertes sur le Marshall : d'après les archives publiques de Denver, il est poursuivi deux fois pour usage excessif de la force dans l'exercice de ses fonctions, à deux reprises, il est acquitté. En plus, il falsifie les mandats contre sa propre épouse et invente des accusations afin d'avoir le soutien de ses collègues dans sa recherche. C'est pour cela que Sarah s'oblige à fuir, elle n'a pas le choix. Pour John, il n'y a qu'une seule façon de s'occuper de ces personnes, dissimulant leur vraie nature en dehors de leur maison. Harold prend peur et lui demande ce qu'il compte faire ; juste lui montrer ce que c'est un vrai monstre. Donc, ce dernier se rend au bureau de Jennings, qui pense que "Stills" change d'avis mais n'a pas le temps de terminer sa phrase, car il est frappé ainsi que ses collègues par John. Celui le menace que s'il se sert encore des Marshall pour trouver sa femme terrorisée, il va le tuer. En plus, personne ne le protège face à lui. Espérant bien se faire comprendre, il s'en va, tapant sur un Marshall qui tient une arme. Harold qui entend la conversation, s'aperçoit qu'il perd la connexion avec Sarah. Se rendant à son appartement, il voit que son portable est brisé et la fenêtre ouverte donc, ils ont un problème. Entre-temps, John souhaite qu'il l'amène en lieu sûr, mais il a une remontrance car ce n'est pas très judicieux de se mettre à dos une agence de maintien de l'ordre.
À la gare Sarah, qui porte des lunettes de soleil, demande un aller simple pour New Haven. L'agent souhaite une pièce d'identité et elle lui présente en faisant l'erreur d'enlever ses lunettes. Il lui donne son billet mais passe un appel. Elle comprend que quelque chose ne va pas. Il lui fait signe d'attendre mais elle s'enfuit. Une annonce intervient avec une description de Sarah. Elle souhaite passer par les quais mais est stoppée par deux policiers. L'un deux prévient que le suspect est arrêté sur la voie numéro 20. Lionel appelle Harold, qui est avec John à la bibliothèque, afin de le prévenir de l'arrestation de la jeune femme car un Marshall donne son signalement. Il demande où elle se trouve désormais, Lionel rétorque que cela est possible qu'elle si trouve encore, en attendant l'arrivée des collègues de Jennings. Donc, ils doivent absolument se rendre à la gare et vite.
Mais trop tard, il l'a déjà. Maintenant que son secret est dévoilé, il ne peut plus la ramener chez eux. Il va sûrement la faire disparaître, selon John. Il faut la retrouver mais Harold a peut-être un moyen. Maintenant, tous les véhicules gouvernementaux ont un accès wi-fi, donc aussi les Marshalls. Il peut accéder au réseau, le problème c'est qu'il faut trouver la bonne voiture. Sur l'ordinateur, un point rouge clignotant le situe sur l'autoroute West Side, donc il l'emmène hors de la ville. John donne l'ordre à Harold de sortir en laissant l'ordinateur sur le siège. Une fois dehors, il voit, horrifié John partir.
Carter discute avec la mère de Jessica en compagnie de Donnelly. En regardant sa photo, elle l'a trouve jolie et lui pose la question de savoir si elle et sa fille sont très proches. En effet, puisque elles se téléphonent presque tous les jours.
Donc, ils sont là parce qu'ils veulent lui poser des questions sur Peter. Donnelly confirme et veut savoir si, avant qu'il ne disparaisse, elle a connaissance des ennuis financiers de son gendre. Elle répond, étonnée, par la négative car il a un travail stable et une bonne situation. Sur ce, l'agent lui apprend qu'il doit trois millions de dollars à des créanciers. Elle leur explique que sa fille lui dit qu'ils connaissent une mauvaise passe, que Peter fait en sorte que tout s'arrange, tout cela avant l'accident. Voulant continuer, elle est interrompue par une sonnerie de portable.
C'est pour Donnelly qui s'excuse pour prendre l'appel à l'extérieur. Joss veut savoir si la mauvaise passe est dû au problème d'argent ou de Peter. Mais non, ils sont heureux en ménage, malgré quelques différends, comme tous les couples. C'est à ce moment-là que Donnelly demande à Carter de venir pour lui donner l'information qu'un homme en costume agresse quatre Marshalls à leur bureau de New York, celle-ci est furieuse de l'apprendre, c'est pour cela qu'il va voir ce qu'il en est. Donc, il faut qu'elle de finir d'interroger la mère mais que ce n'est pas la peine, ils n'en sauront pas davantage. Pour en avoir le coeur net, elle appelle Harold pour avoir des explications mais, pour lui, la situation est sous contrôle. Ce que ne pense pas vraiment Carter. En même temps, il veut connaître l'avancement de l'enquête à New Rochelle. Elle ne pense que d'aller là-bas ne sert à rien, contrairement à Donnelly. Pour elle, Peter maquille le meurtre de son épouse en accident. C'est justement son travail d'intervenir en amont mais cette fois-ci, il est trop tard. Elle ne comprend pas le lien entre John et toute cette affaire. Harold est-il certain de lui avoir tout dit ? Il lui dit qu'elle trouvera bien des informations par elle-même et coupe la communication.
Elle reprend la conversation avec la belle-mère de Peter concernant leurs différends. Ce n'est juste que quelques disputes, pas la peine de l'évoquer plus. Carter lui demande si ces disputes sont juste verbaux ou peut-être des violences physiques. Mais elle ne comprend pas ce que Joss insinue dans son propos. Gênée, elle lui dit simplement que ce ne sont que des questions de routines, ce n'est pas grave et la laisse tranquille. Selon elle, malgré des défauts, Peter aime beaucoup son épouse et puis il est beaucoup mieux que l'ex de Jessica. Elle est étonnée de savoir que celle-ci connaît quelqu'un d'autre avant Peter. En effet, elle a une aventure avec un soldat, c'est au moment où elle se trouve à Tacoma. Mais sa mère ne sait pas comment il s'appelle car ils ne sont pas restés longtemps ensemble, car il est souvent en service et elle est restée souvent seule. Ce n'est pas vraiment une vie, en plus il lui fait bien comprendre qu'elle ne doit pas l'attendre. Elle évoque avec nostalgie que si sa fille a fait le choix de l'attendre, peut-être ce serait aujourd'hui différent, heureuse et encore en vie. Dans la conversation, Joss lui demande si elle a une photo de lui. Elle en a pas mais elle garde quelques affaires et lui donne l'autorisation de les regarder. En fouillant dans les cartons, elle trouve une boîte contenant quelques des bijoux et trouvant un petit tiroir avec en dessous une photographie : c'est John et Jessica.
Elle téléphone à son ami, Gene, afin d'obtenir de manière non officiel et à elle uniquement, le dossier militaire de John, membre des forces spéciales, affecté à Fort Lewis entre juin et septembre 2001.
John suit la trace de Jennings et de son épouse lorsqu'il reçoit un appel d'Harold. Celui-ci veut savoir ce qu'il fera de Jennings une fois rattrapé. Il lui rétorque qu'il le mettra hors de portée de Sarah, de toute façon, le Marshall a eu sa chance, il ne l'a pas saisi. Vu les circonstances, il vaut mieux faire intervenir la police. Énervé, John fait savoir que s'il est engagé, c'est pour faire le travail, donc si ses méthodes ne conviennent pas à son employeur, qu'il prenne quelqu'un d'autre et coupe la communication. Justement, la Machine trouve Jennings qui prend une chambre. Pendant ce temps, Harold téléphone à Joss qui lui demande si toute l'affaire de New Rochelle, le meurtre maquillé en accident, il le sait déjà. Il répond que la vérité n'est pas toujours bonne à savoir. En fait, il a un autre problème, John. Il ne va pas lui dire qu'il a encore perdu sa trace. Ce n'est pas ça, il connaît sa position mais il voudrait le raisonner mais il ne peut pas.
Brad et Sarah Jennings rentrent dans la chambre et cette dernière a les mains attachés dans le dos. Elle veut savoir ce qu'ils font là. Pour lui, il veut juste qu'ils passent du temps, rien qu'elle et lui. Il ne sait pas ce qui s'est passé, ce qui leur a bien pu arrivé entre eux, mais il fait son possible pour tout arranger. Elle a maintenant aucune raison de s'enfuir. Il s'approche d'elle et lui demande si elle le croit. Terrifiée, elle hoche la tête en lui disant qu'elle le croît et il l'embrasse. Voyant qu'il se calme, elle veut qu'il lui retire les menottes. Comprenant son manège, il la frappe au visage. Énervé, il lui dit qu'il sait ce qu'elle pense, que c'est de sa faute, qu'il a ce qu'il mérite, mais qu'elle ne se rend pas compte du temps qu'il lui faut pour la retrouver. Elle est tellement apeurée, qu'elle se met à pleurer. Qu'est-ce qu'il lui faut de plus. Il aime plus que tout mais il faut en finir et la menace avec une arme. C'est à ce moment-là que le téléphone de la chambre sonne.
En fait, c'est John qui l'a fait sonné et rentre en défonçant la porte puis le frappe. Il enlève les menottes de Sarah et lui dit de partir, elle est libre. Mais où aller ? N'importe quel endroit, du moment qu'elle soit en sécurité. Elle quitte la pièce et le remercie. John dit au Marshall qu'elle est partie, c'est fini. Mais celui-ci se met à rire en lui disant qu'il n'a jamais été amoureux, qu'il ne sait pas ce qu'est le grand amour. John veut savoir pourquoi il dit ça. Si c'est le cas, il doit savoir que ce n'est jamais fini. En réalité, c'est terminé pour Jennings et lui donne un coup de poing.
Carter est en voiture lorsqu'elle aperçoit un véhicule et met le gyrophare en route. Ils s'arrêtent et lorsqu'elle s'en approche, elle voit John et lui dit que c'est Harold qui lui indique sa position. Elle veut reprendre Jennings, cela ne doit pas se terminer comme à New Rochelle. Elle lui demande si elle peut regarder dans le coffre, il lui rétorque qu'elle fait ce qu'elle veut, cela ne changera rien à ses intentions. Elle veut vraiment l'emmener mais, de toute façon, il sera bientôt libre. Joss veillera à ce qu'il soit condamné mais cela ne dépend pas d'elle, peut-elle le comprendre. Il y a des limites aux choses qu'elle peut faire et c'est là qu'il intervient. Cela viendrait à dire qu'il peut exécuter des gens en toute impunité mais c'est impossible. Ça ne repose pas sur elle mais sur lui-même. Elle doit lui faire confiance, pas simplement ce qui est juste mais ce qui doit être fait. John reprend la route.
John rejoint Harold dans le parc où ils se sont rencontrés pour la première fois. Ce dernier se demande combien de temps il va avoir de ses nouvelles. En fait, il a des affaires à régler à l'extérieur de New York. Harold est certain que John doit comprendre qu'il ne devait pas être mêlé à l'affaire de Sarah Jennings. Mais ce dernier lui rétorque qu'il aurait dû lui en parler. Il est au courant pour New Rochelle, c'est un de ses numéros qui reviennent tout le temps. Ces événements sont intervenus avant qu'ils ne travaillent ensemble, ils ne pouvaient pas faire quelque chose pour s'en occuper. Harold lui donne une carte portant le nom d'Harold Wren et lui dit qu'il oublie de l'inclure dans son cadeau d'anniversaire. John la retourne et voit une adresse.
Joss Carter reçoit le dossier de John et le consulte. Après l'avoir lu, elle le détruit, ainsi que le rapport de l'accident de voiture, en gardant simplement la photo trouvée à New Rochelle. Son portable sonne, c'est un certain Gustavo Pena, directeur d'une prison au Mexique, concernant l'arrestation de son fugitif. C'est le Marshall Jennings qui l'a livré à la police mexicaine en même temps que 10 kilos d'héroïne pure. Pour être sûr, elle lui donne une description physique de ce Marshall. Il confirme car elle est l'officier chargé de l'enquête et qu'il veut qu'elle soit informée. En plus, le fugitif restera très longtemps. Simplement, elle veut savoir combien il y a de détenus américains dans leur prison. Un ou deux. En réalité, ce Marshall n'est autre que John qui prend l'identité de Jennings pour le mettre hors de portée de son épouse.
John, justement, se rend à l'adresse indiquée par Harold et prend la clé. En ouvrant la porte, c'est simplement son nouvel appartement qui donne sur la place où il joue avec Han.
Flash-backs :
Les événements entre John et Jessica sont rappelés avec la citation "Quand vous trouvez la personne qui donne un sens à votre vie, vous devenez quelqu'un de différent, quelqu'un de meilleur. Mais quand cette personne vous ait enlevée, qu'est-ce que vous devenez ?"
John se trouve dans un bus, blessé, et un petit garçon lui demande si ça va et ce qui lui ait arrivé ; il lui répond qu'il a l'impression qu'il démissionne.
Février 2011. John essaie de reprendre contact avec Jessica en l'appelant et se rend à l'hôpital où elle travaille. Une infirmière lui demande ce qu'il veut ; il cherche quelqu'un : Jessica Ardnt. Peut-être qu'elle ne travaille plus là car elle souhaite vivre ailleurs. Son interlocutrice est gênée car elle lui annonce que Jessica est décédée dans un accident de voiture il y a deux mois de ça. Choqué par la nouvelle, il pense qu'elle l'aurait attendue. Elle lui dit qu'elle peut lui donner le numéro de son mari mais pensif, il s'en va et percute un fauteuil roulant et la personne s'excuse.
Février 2011. Peter se trouve chez lui, prêt à s'en aller. Il regarde une photo de Jessica posée sur la table. John le surveille et le voit partir. Il en profite pour s'introduire chez lui et écoute avec nostalgie un message laissé par elle sur son portable ; il réfléchit à ce qu'il peut bien faire. Justement, en l'enregistrant, Peter veut savoir qui elle appelle ; pour elle, évidemment, c'est personne. Mais pour lui, il sait très bien qu'elle appelle quelqu'un.
Il est toujours dans la maison des Arndt et visionne la vidéo avec Jessica et son mari. Il repense à ce qu'elle lui dit à l'aéroport pour ses fiançailles ; l'heureux élu est Peter. Il lui dit que, dans son métier, on lui apprend qu'à la fin, ils sont toujours seuls, personne peut les sauver. Qu'elle soit heureuse avec Peter. Mais pour elle, il ne le pense pas. Il doit juste lui demander de l'attendre et elle le fera. Il continue de regarder et fait un arrêt sur l'image de Peter et Jessica.
C'est la nuit et Arndt retourne chez lui et voit John. Il pense qu'il est là pour un problème de créancier ; en plus, il n'a pas son argent. John n'est pas là pour ça, de toute façon, Peter n'a plus rien de ce qu'il veut. Il souhaite savoir qui il est. C'est une très bonne question ; cela fait longtemps qu'il cherche la réponse. Il sait qui il était, juste celui qui l'a abandonnée, parce que la vraie raison, ce qu'il se persuade qu'elle mérite mieux que lui. Il croit qu'elle trouve quelqu'un qui sait s'occuper d'elle. Rien que pour elle, méritant une personne comme Peter. Peut-être qu'il peut lui dire. Mais quoi ? Qui il est censé être maintenant qu'elle n'est plus là. C'est à ce moment-là qu'il dit la phrase qui est évoqué en début d'épisode. Peter prend un tisonnier, prêt à le frapper mais John fonce vers lui.
Retour sur l'hôpital, lorsqu'il apprend la mort de Jessica, on voit la personne qui se trouve dans le fauteuil roulant lorsque John le percute. C'est Harold qui s'excuse et regarde les photos des trois personnes, à savoir Peter, Jessica et John.
Citations :
Finch : Quoi qu'il en soit, vous méritez un peu de temps libre. Particulièrement aujourd'hui. Vous pensiez que j'ignorais ça ? Bon anniversaire. Filez maintenant. Profitez de vos loisirs, quelqu'ils soient. Finch : Anyway, I think you've earned some time off. Especially today. Or did you think I didn't know? Happy birthday. Now go. Do whatever you do when your're not here.
Carter : [...] Ça ne ressemble pas à l'homme au costume. En général, il ne laisse aucune trace. Carter : [...] Doesn't some like my guy's M.O. He usually covers his tracks.
Donnelly : C'est ce qui nous pousse à croire que c'était son premier boulot. C'était brouillon, violent. Il pensait peut-être que ce serait facile, malheureusement pour lui, il a fallu qu'il se batte. Donnelly : Another reason we think it was his first job. It was messy, violent. Probably figured it would be easy then found out he had a fight on his hands.
Reese : Bonjour Harold. Lieutenant Stills, brigade anti-gang. C'est à mon informateur que vous vous adressez. Il blanchissait l'argent de feu Don Moretti. Vous menacez sa couverture en vous approchant de lui. Venez. Qu'est-ce qu'il voulait ? C'est ça oui. Et bien moi aussi j'ai des questions à vous poser, Harold. Reese : Hello Harold. Detective Stills, Organized Crime. This guy you're talking to is my C.I. And money launderer for the late Don Moretti. [...] You wer risking his cover by even approaching him. Let's go. What did he want? Funny. I've got a few of those for you too, Harold.
Finch : [...] Simplement me poser des questions. Finch : [...] Just to ask me some questions.
Finch : [...] Au début, avec la Machine, Je voyais les mêmes numéros sortir régulièrement, à une semaine, un mois, six mois d'intervalle. Souvent des femmes. J'ai d'abord cru que c'était une erreur. La vie de quelqu'un ne pouvait pas être plusieurs fois menacée. Et puis un jour, j'ai réalisé que ces femmes vivaient aux côtés des personnes qui finiraient par les tuer. Finch : [...] When I was first building the machine, I kept seeing the same numbers, a week, a month, six months apart. Usually women. I thought it was a mistake. How could anyone's life be repeatedly threatened? And then I realized they wer living with the person who would eventually kill them.
Carter : [...] Dans votre rapport, vous avez signalé deux fractures plus anciennes, un poignet et une côte, il me semble. C'est une fracture en spirale ? Elle aurait eu ça à cause d'une forte torsion, pas à cause d'une chute ou d'un choc, n'est-ce pas ? Encore une chose. Selon vous les causes de sa mort sont celles-ci : fractures des vertèbres cervicales et traumatisme crânien, c'est ça ? Est-ce qu'on pourrait avoir ce genre de blessures dans une voiture dont les airbags frontaux et latéraux se seraient déployés ? Est-il possible que ces blessures aient été faites avant l'accident ? Carter : [...] In your report you identified two previous fractures - a broken wrist and cracked rib. Is that a spiral fracture? She'd get that from having her wrist twisted hard. As opposed to falling on it, right? One other thing. You listed her cause of death as blunt-force trauma to the head and broken neck. Could someone suffer those injuries if the car's front and side airbags deployed? Is it possible she had these injuries before the accident?
Reese : [...] Vous n'avez plus rien de ce que je veux. Non, plus rien. C'est une bonne question. Ça fait un sacré bout de temps que je cherche la réponse. Je sais qui j'étais. J'étais le type qui l'a abandonnée. Et vous savez pourquoi ? La vraie raison ? Parce que je pensais qu'elle méritait beaucoup mieux que moi. Je croyais qu'elle trouverait quelqu'un qui saurait s'occuper d'elle. Qui serait là pour elle. Je croyais qu'elle méritait quelqu'un comme vous. Alors je ne sais pas. J'espérais que vous pourriez me le dire. Qui je suis censé être maintenant. Maintenant qu'elle n'est plus là. Vous voyez, quand vous trouvez la personne qui donne un sens à votre vie, vous devenez quelqu'un de différent, quelqu'un de meilleur. Mais quand cette personne vous ait enlevé, qu'est-ce que vous devenez ? Reese : [...] You don't have anything I want. Not anymore. That's a good question. Haven't know the answer for a long time. I know who I was. I was the guy who left her behind. You know why? the real reason? Because I thought she deserved someone better than me. I thought she deserved someone who would look after her. Be there for her. I thought she deserved someone like you. So I don't know. I was hoping you could tell me. Who I'm supposed to be now. Now that she's gone. See when you find that one person who connects you to the world you become someone different. Someone better. When that person is taken from you what do you become then?
Finch : Je suis certain que vous comprenez à présent pourquoi je ne voulais pas vous mêler à l'affaire de Sarah. [...] Ce que je sais, Monsieur Reese, c'est que New Rochelle est arrivé avant qu'on commence à travailler ensemble. Et à cause de ça, ni vous ni moi nous pouvions faire quoi que ce soit. J'ai oublié d'inclure ça à votre cadeau d'anniversaire. Cela m'est sorti de l'esprit. Finch : I trust you now fully appreciate why I couldn't tell you about Sarah's case. [...] What I know, Mr. Reese, is that New Rochelle happened before we started working together. Because of that, there was nothing that either one of us could have done. I forgot to include that in your birthday present. Must have slipped my mind.
Reese : Je suis certain que vous comprenez maintenant pourquoi vous auriez dû. Vous le saviez ? Elle était un de ces numéros qui reviennent encore et encore. Reese : I hope you now understand why you should have. Did you know? Was she one of those numbers that came up again and again.
ah! le 1x21 .. Many happy returns ou l'épisode au titre le plus tristement ironique que j'aie jamais vu. La gorge serrée après 2 minutes, et après avoir résisté vaillamment , les larmes un peu avant la fin, en voyant Harold dans cette chaine roulante...
Un épisode plein de révélations, de tristesse et pourtant aussi d'humour. Que dire de la lueur de terreur dans les yeux d'Harold quand il se fait surprendre en flagrant d'enquête "secrète" par Reese?
Et le sourire un peu triste une fois qu'il a souhaité un bon anniversaire à Reese... je l'ai trouvé vraiment triste à ce moment là. Et pourtant je n'imaginais pas le reste.
Carter qui en apprend beaucoup sur Reese, nous qui en apprenons beaucoup sur beaucoup de choses. Et la vue de Harold était totalement inattendu. Et voir que les 3 numéros étaient sortis. Et tout s'est réalisé.
PS : je croyais que la machine se concentrait sur New York ?
Et un Reese particulièrement sombre, décidé et qui montre (pour une fois) les limites qu'Harold ne doit pas franchir.
PPS : Harold, si tu m'écoutes, t'as un sacré talent pour choisir tes appart', si jamais je te donne mon adresse pour que tu m'envoies une clé à moi aussi. Merci.
SpacyM Ombre et Lumière
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Un petit détail que j'ai remarqué à la seconde vision, la carte que donne Harold à Reese porte le nom d'Harold Wren... reconnaissance et acceptation tacite de l'enquête que mène Reese à son propos?
Bonne question concernant New York, Linley, car Jess ne vivait pas à New York effectivement, mais je pense que dans le cas de Jessica, Harold la tenait à l'oeil de longue date, car si tu te souviens du flash back de l'épisode 2, quand Nathan découvre la liste irrelevante , il y a Jessica sur l'écran. Son numéro est sorti plusieurs fois , a dit Harold.
PAr contre, quand tu dis que les 3 numéros sont sortis.. tu parles de Reese, Peter et Jess? Là je ne crois pas . Je pense plutôt qu'en surveillant Jessica, Reese et Peter étaient les suspects potentiels numéro 1 de menace sur elle pour Harold.. d'où leur photo dans le dossier.
Carter, pour la première fois lors de cet épisode, j'ai envie de lui donner une tape amicale dans le dos. La voir détruire ce dossier pour protéger Reese. ..MAis j'étais quand même déçue qu'elle ne montre pas son vrai nom à la caméra avant de passer le dossier au déchiqueteur. :) On a juste le temps de voir qu'il s'appelle bien John quand même.
ET.. nous avons maintenant une petit idée concernant le salopard de l'épisode 4...
Un petit détail que j'ai remarqué à la seconde vision, la carte que donne Harold à Reese porte le nom d'Harold Wren... reconnaissance et acceptation tacite de l'enquête que mène Reese à son propos? Oui mais t'as vu le titre qu'il s'est donné ? J'étais pliée.
PAr contre, quand tu dis que les 3 numéros sont sortis.. tu parles de Reese, Peter et Jess? Là je ne crois pas . Je pense plutôt qu'en surveillant Jessica, Reese et Peter étaient les suspects potentiels numéro 1 de menace sur elle pour Harold.. d'où leur photo dans le dossier. Pourquoi aurait-il été cherché et mettre en évidence les 3 numéros de sécurité sociale dans ce cas ? Je pense que les 3 nombres sont sortis. Photo et numéro, c'est le mode opératoire de Finch.
Carter, pour la première fois lors de cet épisode, j'ai envie de lui donner une tape amicale dans le dos. La voir détruire ce dossier pour protéger Reese. ..MAis j'étais quand même déçue qu'elle ne montre pas son vrai nom à la caméra avant de passer le dossier au déchiqueteur. :) On a juste le temps de voir qu'il s'appelle bien John quand même. LOL ! Oui j'étais prête à faire un arrêt sur image pour voir son vrai nom et... ils ne l'ont pas montré ! Flûte ! Carter commence à connaitre le bonhomme et a l'apprécié je pense.
ET.. nous avons maintenant une petit idée concernant le salopard de l'épisode 4... Oui et j'ai souri ! Je pense que c'est une punition très sévère (les prisons sud américaines, peu pour moi) mais il ne tue pas. C'est pas un psychopathe !
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Alleluiah, Reese n'est pas un psychopathe :joker: Avions-nous encore réellement un doute là-dessus?
Carter avait l'air très touchée en trouvant la photo. Ca lui a fait quelque chose de découvrir sa faiblesse. MAintenant j'attends de voir si elle va lui donner cette photo un jour..
PAs convaincue pour les 3 photos. Je crois vraiment qu'Harold a cherché d'où venait la menace, et qu'un ex petit ami militaire, çà lui semblait possible.. mais bon, on ne saura pas tant qu'ils ne nous le confirmerons pas. Finch a aussi dit qu'il avait mis du temps à comprendre pourquoi certains numéros revenaient encore et encore, donc je crois possible qu'il ait creusé plus loin pour un cas comme Jess.
Un truc qui me travaille, c'est qu'il y a quand même coincidence de date entre blessure de Finch (je pense qu'on ne s'avance pas trop en pensant que s'il est en chaise roulante, c'est que son accident est récent) , mort de Nathan ET l'affaire d'Ordos. Nathan aurait-il été suspect d'avoir vendu le code de la machine?
Alleluiah, Reese n'est pas un psychopathe :joker: Avions-nous encore réellement un doute là-dessus? Non, mais j'attendais une confirmation quand même.
Carter avait l'air très touchée en trouvant la photo. Oui.
Ca lui a fait quelque chose de découvrir sa faiblesse. MAintenant j'attends de voir si elle va lui donner cette photo un jour.. Yeap'
PAs convaincue pour les 3 photos. Je crois vraiment qu'Harold a cherché d'où venait la menace, et qu'un ex petit ami militaire, çà lui semblait possible.. mais bon, on ne saura pas tant qu'ils ne nous le confirmerons pas. Finch a aussi dit qu'il avait mis du temps à comprendre pourquoi certains numéros revenaient encore et encore, donc je crois possible qu'il ait creusé plus loin pour un cas comme Jess. Ouh la la la la la... je ne suis pas d'accord. Finch qui se retrouve 2 mois après la mort de Jess avec son dossier sur les genoux, qui contient la photo du mari (que personne ne soupçonne) et de l'ex-petit ami (qui était à des milliers de kilomètres le jour de sa mort). En plus le fil entre Jessica et Reese est très ténu. La mère ne le connait pas, ne connait pas son nom, rien ou presque. Le seul lien entre Jessica et Reese, c'est le fameux coup de fil (enregistré et analysé par la machine) au Maroc.
La coïncidence est trop énorme. Et le jour même Reese fracasse Peter... Tous les numéros sont sortis, Spacefilou ! C'est pas possible autrement. Je pense que les numéros ne sont pas sortis tous en même temps mais il y a eu celui de Jessica en premier. Et 2 mois plus tard celui de Peter et de Reese. Sinon pourquoi Finch ce jour là, à l'hôpital avec le dossier ?
Un truc qui me travaille, c'est qu'il y a quand même coincidence de date entre blessure de Finch (je pense qu'on ne s'avance pas trop en pensant que s'il est en chaise roulante, c'est que son accident est récent) , mort de Nathan ET l'affaire d'Ordos. Nathan aurait-il été suspect d'avoir vendu le code de la machine? J'ai réfléchi aussi à la blessure de Finch. Comme pour le coup de la radio, je pense qu'il profite de son infirmité pour passer pour un patient. Sinon il n'aurait pas le dossier sur les genoux. Et surtout pourquoi serait-il hospitalisé dans l'hôpital de Jessica ? Cependant il était peut-être vraiment en chaise roulante à cette période là de sa vie. Why not ?
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Hmm ton raisonnement se tient aussi. Moi je vois plus cela quand même comme Finch menant une enquête plus approfondie sur le cas de Jess à cause des multiples sorties de son numéro, et qu'ensuite elle décède soi-disant par accident. Il aurait alors voulu retrouver le vrai responsable pour qu'au moins cette mort ne reste pas impunie. Sinon, je ne pense effectivement pas qu'il était encore hospitalisé, mais en chaise roulante, oui. Il aurait profité peut-être de certains soins ou revalidation , séances de kiné,.. pour fréquenter cet hopital et mener son enquête.
Hmmm pour le plaisir de trimballer la photo de cette jolie frimousse un peu partout? Hmmm. pas crédible. Il se gardait déjà son dossier sous le coude dans la recherche d'un partenaire.. Ou bien, et là peut-être que c'est toi qui a raison, le numéro de Peter est sorti à cause de la menace qu'allait représenter Reese pour lui.
J'ai là encore beaucoup aimé cet épisode, on sent la montée en puissance de la série, jusqu'à l'apothéose (espérée) finale. Comme il a été dit précédemment, cet épisode est fort car il est à la fois triste mais l'humour est toujours là, par petites touches.
Cet épisode nous en apprend (enfin) un peu plus sur Reese et son drame personnel. Jusque là, on pouvait se douter qu'il était arrivé un malheur à Jessica, mais rien de sûr. Maintenant, les choses sont claires. Pareil sur le sort que réserve Reese aux agresseurs les plus dangereux... finalement c'est moins pire que ce qu'on aurait pu penser! Et effectivement on sait maintenant ce qu'il a fait du type de l'épisode 4...
Quant aux personnages, Harold me plaît de plus en plus. Après avoir été directement séduite par le beauté physique (il faut bien le dire) et la force de Reese, me voilà touchée par la délicatesse de Finch. La façon dont il a voulu épargner à Reese de revivre sa propre histoire, le choix de l'appartement qu'il lui offre, près du square où John a l'habitude de jouer aux échecs... Du coup, je suis vraiment de plus en plus fana du duo qu'ils forment et de la façon dont chacun, à sa manière, veille sur l'autre. Et j'ai hâte d'en savoir plus sur Finch.
Le suspense est maintenant bien en place. Ce qui me taraude le plus c'est bien sûr la machine,
Spoiler:
puisqu'on découvre que Finch reçoit les numéros par téléphone... Ça semblerait indiquer qu'il y a une troisième personne (ou plus?) impliquée dans cette affaire?
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Ah ma petite Black, tu arrives dans le rush final de fin de saison, j'aimerais revivre ces moments à ta place ^^ et tout ce que tu dis sur cet épisode, la délicatesse d'Harold, est très juste.
Concernant le drame de Jessica, je dois avouer qu'au début de la série, je pensais à quelque chose de plus cliché : Jessica tuée par un ennemi de Reese par exemple. Mais ce qu'on découvre ici est tellement plus banal et réaliste en quelque sorte. c'est aussi la première fois personnellement que Carter a reçu toute mon approbation. Son attitude lorsqu'elle découvre la photo de Reese et Jess, et le fait qu'elle détruise son dossier. Elle se montre digne de faire partie de l'équipe.
1x22:
Le coup de fil de la machine.. hmmmm.. no comment..
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Oui, je sens que la pression monte, j'ai vraiment hâte de voir la suite (mais bon ce soir il y a le final de Dr. House, ça se bouscule au portillon!).
Effectivement Spacefilou, le Lt Carter apparaît plus sympathique dans cet épisode. Elle a l'air touchée par l'histoire de Reese, et semble rassurée sur le fait qu'il n'est pas le psychopathe qu'on pourrait croire, au premier abord. Finalement, c'est juste un homme blessé (et superentraîné pour blesser/tuer ). J'ai aussi adhéré au fait qu'elle détruise son dossier... et reste circonspecte sur le fait qu'elle ait gardé la photo de Jessica et Reese... va t-elle lui rendre? s'en servir? Je sens que ça ressortira à un moment ou à un autre...
Spoiler:
Citation :
Le coup de fil de la machine.. hmmmm.. no comment..
J'ai tellement hâte de savoir... Du coup j'imagine des trucs farfelus. A un moment j'ai même pensé qu'il n'y avait plus de machine, et que c'était Harold la machine.
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J'ai tellement hâte de savoir... Du coup j'imagine des trucs farfelus. A un moment j'ai même pensé qu'il n'y avait plus de machine, et que c'était Harold la machine.
Reese a pensé comme toi, à un moment donné, si tu te rappelles dans le 1x11 il lui dit "admettez-le Finch, il n'y a pas de machine, c'est juste vous".
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